Les Fesses De Ma Femme

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Les Fesses De Ma Femme
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Si dans les années 1990 et 2000, la forme et la taille des seins étaient une préoccupation de nombreuses femmes, désormais notre attention se porte sur la forme des fesses.
Si dans les années 1990 et 2000, la forme et la taille des seins étaient une préoccupation de nombreuses femmes, désormais notre attention se porte sur la forme des fesses. Jennifer Lopez, Kim Kardashian ou encore Nicki Minaj ont largement contribué à faire de cette partie du corps un atout... ou un gros complexe ! On vous propose aujourd'hui de découvrir quelle forme ont vos fesses et s'il est oui ou non possible d'en changer...
S'il y a autant de types de fesses que de femmes, on peut malgrĂ© tout classer la plupart en 4 morphologies. Ronde, en cƓur, carrĂ©e ou en V, dĂ©couvrez votre morpho spĂ©ciale fessier.
A post shared by Paloma Elsesser (@palomija) on Nov 7, 2018 at 5:45pm PST
Les fesses en cƓur inversĂ© ou en poire , c'est la morphologie la plus apprĂ©ciĂ©e des femmes. Cette forme est en effet particuliĂšrement harmonieuse. Votre postĂ©rieur a cette forme s'il est plutĂŽt rebondi sur la partie basse et que vos hanches sont arrondies. Vers l'intĂ©rieur des cuisses, les fesses s'Ă©loignent lĂ©gĂšrement pour former le fameux cƓur.
A post shared by Emily Ratajkowski (@emrata) on Feb 27, 2019 at 12:57pm PST
C'est le type de fesses des mannequins en vogue du moment comme Emily Ratajkowski .
C'est une morphologie qui fait parfois complexer les femmes. Ici, les hanches et l'extérieur de la cuisse forment une ligne droite , perpendiculaire au sol. Elles sont alignées. Le contour des fesses dessine ainsi un carré, voire un triangle si vos hanches sont larges. De profil, les fesses n'ont pas beaucoup de volume, elles ne sont pas « rebondies ».
Les voilà, les fameuses fesses rondes que Jennifer Lopez, Kim Kardashian et Nicki Minaj ont popularisées. On les appelle aussi en anglais les bubble but , chaque fesse formant une belle bulle de chewing-gum . De profil, les fesses sont généreuses, rebondies , et dessinent une cambrure vertigineuse.
A post shared by Kim Kardashian West (@kimkardashian) on Feb 17, 2018 at 10:42am PST
Les fesses en forme de V, c'est l'autre gros complexe des femmes. Ici, le gras est plutĂŽt rĂ©parti sur la partie supĂ©rieure des fesses . Elles s'amincissent ainsi vers le bas du postĂ©rieur. Leur contour, si on trace une ligne partant des hanches et allant vers la base des fesses forme ainsi un V. Ces fesses sont parfois vues comme molles et/ou flasques. Difficile Ă  assumer pour de nombreuses femmes Ă  l'heure oĂč les fessiers rebondis s'affichent partout.
Contrairement à la poitrine que de nombreuses séances de sport ne réussissent pas à redresser, surtout aprÚs une grosse perte de poids, on peut modifier l'apparence des fesses grùce à des exercices ciblés .
Il faut ainsi faire travailler le grand fessier, le moyen fessier ou le petit fessier selon les besoins (redonner du volume, tonifier, modifier la morphologie). Plusieurs possibilités s'offrent alors à vous. La plus évidente : la marche rapide ! Voilà en effet une activité physique qui sollicite en premier lieu les muscles des jambes et des fesses.
A post shared by Emily Ratajkowski (@emrata) on Mar 11, 2019 at 11:44am PDT
Mais ne vous contentez pas d'une promenade digestive... Il faut donner du fil à retordre à votre postérieur pour le tonifier. Pour cela, préférez les terrains difficiles . Sable, montées, descentes, escaliers, marche dans l'eau, la nature est la meilleure des salles de sport .
Pour des fesses galbĂ©es, testez Ă©galement les squats ! Mais attention Ă  vos genoux si vous ĂȘtes en fort surpoids . Avoir des belles fesses, c'est bien, mais pas Ă  n'importe quel prix.
Chez Ma Grande Taille vous le savez, nous poussons toujours nos lectrices Ă  se mettre au sport , parce que ça fait du bien au corps, mais aussi Ă  la tĂȘte . Alors si vous dĂ©cidez de vous inscrire Ă  la salle de gym avec l'espoir de changer la morpho de vos fesses, on ne va pas vous en empĂȘcher.
A post shared by Kim Kardashian West (@kimkardashian) on Aug 20, 2018 at 3:18pm PDT
Gardez simplement en tĂȘte que modifier une partie du corps ne se fait pas en une nuit. Cela reprĂ©sente un investissement de temps consĂ©quent . Voulez-vous vraiment employer votre temps prĂ©cieux Ă  avoir de belles fesses ?
On ne vous dira jamais quoi faire de votre corps, mais on vous rappellera toujours que vous ĂȘtes belle et avez de la valeur lĂ  maintenant tout de suite . Vous avez le droit de vous aimer ou de ne pas ĂȘtre obsĂ©dĂ©e par votre apparence, peu importe la forme de votre fessier.

Cela peut ĂȘtre insupportable. Parfois, c'est agrĂ©able. Dans tous les cas, c'est inĂ©vitable : le regard des garçons est aimantĂ© par le derriĂšre des filles. Une mauvaise manie façonnĂ©e par l'art et, plus encore, des rĂ©flexes ancestraux. Car si les hommes sont des cochons, c'est la faute Ă  Cro-Magnon !
C’est une scĂšne fameuse du cinĂ©ma français des annĂ©es 70, le morceau de bravoure des Galettes de Pont-Aven , la comĂ©die douce-amĂšre de JoĂ«l SĂ©ria. Elle met en scĂšne Jean-Pierre Marielle et Jeanne Goupil, le premier s’extasiant sur le postĂ©rieur nu et dĂ©licieux de la seconde. « Oh, il est magnifique ! Je vais le peindre en vert. En bleu, en rouge, en jaune. » Et le moustachu subjuguĂ© de conclure son panĂ©gyrique d’un retentissant « Nom de Dieu d’bordel de merde ! ». Plus de quarante ans ont passĂ© et, contrairement au joli popotin qui en Ă©tait l’objet, cette dĂ©claration enflammĂ©e n’a pas pris une ride. Certes, cette gauloiserie qui, rappelons-le, valut au film une interdiction aux moins de seize ans lors de sa sortie en salle, paraĂźt bien innocente aujourd’hui, vu toutes les donzelles qui, Ă  la tĂ©lĂ© ou sur Instagram, misent sur leur lune pour dĂ©crocher une place au soleil. MalgrĂ© tout, le lyrisme franchouillard de Marielle reste encore Ă  mes yeux l’une des plus belles cĂ©lĂ©brations de celui qui, depuis que l’Homme s’est dressĂ© sur ses pattes arriĂšres, ne cesse de le fasciner : le derriĂšre des filles.
Disons-le tout net : le cul est culte ! Au point que plus de huit mĂąles sur dix le classent parmi les principaux atouts de sĂ©duction fĂ©minins. Qu’ils s’en vantent ou non, qu’ils assument ou pas, les fils d’Adam, dans leur immense majoritĂ©, sont pygophiles (du grec puguĂȘ qui signifie “fesse” et philos , “personne qui aime”). Bien sĂ»r, sitĂŽt qu’un magazine fĂ©minin ou un institut de sondage les interrogent sur ce qui retient leur attention en premier chez une femme, ils s’empressent de dĂ©gainer le regard et le sourire. Mais ne soyons pas dupes ! Ces belles paroles ne prouvent rien, sinon que le sĂ©ant de la femme fait de l’homme un faux-cul !
Il est vrai que l’attirance commence le plus souvent par un visage, voire par une silhouette. Mais Ă  peine ont-ils validĂ© le recto que les hommes reluquent le verso, plongeant leurs mirettes vers les michettes. L’expĂ©rience menĂ©e par Jessie Gurunathan et Reanin Johannink en tĂ©moigne. En 2011, ces deux NĂ©o-zĂ©landaises au physique avantageux ont eu l’idĂ©e de fixer une micro-camĂ©ra sur l’arriĂšre de leurs jeans avant de se balader tranquillement dans les rues de Los Angeles. BaptisĂ© « Rear view girls » (Les filles dans le rĂ©tro), le petit film qu’elles ont tirĂ© de leur promenade ne laisse guĂšre planer le doute : le centre d’intĂ©rĂȘt des passants se confond le plus souvent avec le centre de gravitĂ© des demoiselles !
Raymond Queneau - Les enfants du limon
Depuis, quelques jeunes femmes ont imitĂ© sous d’autres cieux les deux Kiwis. Et le rĂ©sultat est invariable : l’arriĂšre-train femelle agit sur les pupilles mĂąles comme un aimant sur de la paille de fer. D’oĂč vient cette fascination pour ce qui n’est jamais que la combinaison de graisses et de diffĂ©rents muscles (dont le grand glutĂ©al, le plus puissant de tous, celui qui nous permet de tenir debout) ? De la nuit des temps ! C’est en tout cas l’explication que nous donnent de nombreux scientifiques. Selon eux, le matage de cul est inscrit dans nos gĂšnes. MĂȘme s’il peut faire bondir les fĂ©ministes, le concept se dĂ©fend. Remontons le temps, si vous le voulez bien, jusqu’à nos plus anciens ancĂȘtres, ces gaillards qui se rĂ©galaient des fruits secs de Lucy, faute de connaĂźtre les noix juteuses de Kim Kardashian
 Pour eux, la croupe n’était pas tant un objet de dĂ©sir qu’une assurance-vie. Ils associaient en effet les chances de survie de leur descendance Ă  la taille du dargeot de la maman.
À une Ă©poque oĂč l’on ne connaissait pas France 5 et Michel Cymes, l’intuition Ă©tait franchement gĂ©niale. Car la science moderne est venue confirmer ce que l’homo heidelbergensis pressentait il y a de ça 700 000 ans : si les femmes prennent du derriĂšre alors que les hommes se remplissent du bidon, c’est parce qu’elles logent leurs rĂ©serves Ă©nergĂ©tiques dans leurs fesses afin de laisser le ventre plus libre pour porter le foetus. Mieux encore : des chercheurs de l'UniversitĂ© de Pittsburgh, aux Etats-unis, ont Ă©tabli rĂ©cemment une corrĂ©lation entre la rondeur du baba et l’intelligence du bĂ©bé ! Les lipides stockĂ©s dans les fesses des femmes sont en effet bien plus vertueux que l’huile de palme du Nutella. Ils sont particuliĂšrement riches en DHA (acide docosahexaĂ©noĂŻque), l’une des composantes essentielles du cerveau. Et plus la mĂšre en dĂ©livre Ă  sa progĂ©niture, lors de la gestation, puis de l’allaitement, plus celle-ci peut fortifier ses neurones. La conclusion : un bon boulard fait un bon bulbe ! Et ce n’est pas tout ! Une autre Ă©quipe de chercheurs amĂ©ricano-turque, emmenĂ©e par un certain Docteur David Lewis, a avancĂ© derniĂšrement une hypothĂšse des plus intĂ©ressantes. Si le regard des hommes collent au fondement des femmes mieux qu’un Malabar Ă  la semelle d’une basket, ce n’est pas seulement pour en estimer le volume. C’est aussi et surtout pour juger de sa cambrure. Et lĂ  encore, c’est pour la bonne cause...
Il faut savoir en effet que le rebond d’un derriĂšre est d’autant plus prononcĂ© que la courbure de la colonne vertĂ©brale au niveau des lombaires est grande. Or, celle-ci joue un rĂŽle essentiel lors de la grossesse. Plus les semaines passent, plus le ventre s’arrondit, plus la pression augmente sur les hanches et plus le centre de gravitĂ© de la femme est attirĂ© vers l’avant. Pour retrouver de l’équilibre et du confort en position debout, la femme enceinte bascule donc son bassin vers l’arriĂšre. Un ajustement qui n'est possible que si la colonne est bien creusĂ©e au bas du dos, au niveau du fameux “creux des reins” si bien chantĂ© par Serge Gainsbourg et Brigitte “Tu les aimes mes fesses ?” Bardot. Ainsi, Ă  l’ùre glaciaire, une belle cambrure promettait Ă  Cro-Magnon bien davantage qu’un pĂȘcher mignon dans l’obscuritĂ© de sa caverne. Elle lui dĂ©signait une compagne valide jusqu’au terme de sa grossesse. Et en ces temps nomades et de cueillette, c’était plutĂŽt rassurant !
Bref, Mesdames, si les hommes n’ont pas les yeux dans les poches mais sur celles de vos Levi’s, c’est parce qu’ils sont programmĂ©s au plus profond de leurs gĂšnes pour choisir la mĂšre parfaite pour leur futur rejeton. Un peu facile comme excuse ? J’en conviens. Car, dans de tout autres domaines, l’homo sapiens moderne a su dĂ©passer l’innĂ© et l’instinct de survie pour adopter des mƓurs plus sophistiquĂ©es. C’est ce que l’on appelle communĂ©ment « l’acquis » ou bien, quand il concerne toute une population, « la civilisation ». Sauf que depuis plus de 2000 ans, notre civilisation occidentale n’a rien fait pour dĂ©tourner le mĂąle de son obsession. Bien au contraire, elle a encouragĂ© cette derniĂšre en la parant du plus beau de ses vernis : l’art. Des sculptures de la VĂ©nus callipyge (des termes grecs kalĂłs et puguĂȘ qui signifient respectivement “beau” et “fesse”), cette dĂ©esse antique qui admire le reflet de son cul parfait dans l’eau, aux apparitions Ă©mouvantes du fessier de Sophie Marceau qui fut longtemps le fantasme prĂ©fĂ©rĂ© des Français, en passant par les GrĂąces de Rubens, les Odalisques de Boucher et les Baigneuses de Renoir, sans oublier bien sĂ»r les minauderies glamour de Marilyn Monroe qui, pour info, enrobait ses chairs d’un bon 42, sculpteurs, peintres et cinĂ©astes n’ont cessĂ© de mettre le derriĂšre sur le devant de la scĂšne, nourrissant par la mĂȘme occasion le goĂ»t des hommes pour le cul des femmes.
Comment s’étonner aprĂšs ça qu’une majeure partie de l’HumanitĂ©, loin de s’affranchir de ses bas instincts, les ait dĂ©veloppĂ©s ! D’autant plus que, par une rĂ©action en chaĂźne bien comprĂ©hensible, la femme, saisissant l’intĂ©rĂȘt des hommes pour son fessier, n’a cessĂ© de le mettre en valeur. Un phĂ©nomĂšne qui, aujourd’hui, atteint son paroxysme. Selon un sondage Harris, prĂšs de sept femmes sur dix choisissent leur pantalon en fonction de l’apparence qu’il donne Ă  leur derriĂšre. Leurs strings, leggins, jeans push up et autre seconde peau moulent leurs meules comme jamais. Quant au Brazil Butt Lift, ou le lifting brĂ©silien qui consiste Ă  prĂ©lever des graisses dans une partie du corps pour les rĂ©injecter dans les fesses, il se classe dĂ©sormais parmi les opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique les plus demandĂ©es. C'est sĂ»r : le culte du cul a encore de beau jour devant lui ! VoilĂ  pourquoi les hommes, quand bien mĂȘme sont-ils en charmante compagnie, ne peuvent s’empĂȘcher de mater les fesses des femmes qui passent devant eux. Moi le premier ! Mais attention : mĂȘme si cela rĂ©pond d’un rĂ©flexe, mĂȘme si la sociĂ©tĂ© l’entretient, mĂȘme si une partie du beau sexe se montre complaisante, ce regard malicieux, de prĂ©fĂ©rence discret, ne saurait ĂȘtre autre chose qu’un instant de beautĂ©. Rien, aucune pensĂ©e et encore moins un geste, ne devrait jamais le souiller. Et je ne sais pas pour vous, mais moi, rien que de le savoir et de me dire que je vais mourir moins con (et le plus tard possible) que tous ces trous du cul qui salissent les plus adorables des rondeurs de leur obscĂ©nitĂ©, ça me ravit.
Illustrations : Roman Despeaux - Monts et Merveilles Alexander Schimmeck, via Unsplash François Boucher, L'Odalisque blonde - Domaine public - https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=32492699
Et puisqu'il se dit qu'en France, tout se termine par une chanson, je vous offre celle-lĂ  :
Je suis d'accord avec les conditions d'utilisation et la politique de confidentialité et je déclare avoir pris connaissance des informations requises conformément à l' article 13 of GDPR.
Cela peut ĂȘtre insupportable. Parfois, c'est agrĂ©able. Dans tous les cas, c'est inĂ©vitable : le regard des garçons est aimantĂ© par le derriĂšre des filles. Une mauvaise manie façonnĂ©e par l'art et, plus encore, des rĂ©flexes ancestraux. Car si les hommes sont des cochons, c'est la faute Ă  Cro-Magnon !
C’est une scĂšne fameuse du cinĂ©ma français des annĂ©es 70, le morceau de bravoure des Galettes de Pont-Aven , la comĂ©die douce-amĂšre de JoĂ«l SĂ©ria. Elle met en scĂšne Jean-Pierre Marielle et Jeanne Goupil, le premier s’extasiant sur le postĂ©rieur nu et dĂ©licieux de la seconde. « Oh, il est magnifique ! Je vais le peindre en vert. En bleu, en rouge, en jaune. » Et le moustachu subjuguĂ© de conclure son panĂ©gyrique d’un retentissant « Nom de Dieu d’bordel de merde ! ». Plus de quarante ans ont passĂ© et, contrairement au joli popotin qui en Ă©tait l’objet, cette dĂ©claration enflammĂ©e n’a pas pris une ride. Certes, cette gauloiserie qui, rappelons-le, valut au film une interdiction aux moins de seize ans lors de sa sortie en salle, paraĂźt bien innocente aujourd’hui, vu toutes les donzelles qui, Ă  la tĂ©lĂ© ou sur Instagram, misent sur leur lune pour dĂ©crocher une place au soleil. MalgrĂ© tout, le lyrisme franchouillard de Marielle reste encore Ă  mes yeux l’une des plus belles cĂ©lĂ©brations de celui qui, depuis que l’Homme s’est dressĂ© sur ses pattes arriĂšres, ne cesse de le fasciner : le derriĂšre des filles.
Disons-le tout net : le cul est culte ! Au point que plus de huit mĂąles sur dix le classent parmi les principaux atouts de sĂ©duction fĂ©minins. Qu’ils s’en vantent ou non, qu’ils assument ou pas, les fils d’Adam, dans leur immense majoritĂ©, sont pygophiles (du grec puguĂȘ qui signifie “fesse” et philos , “personne qui aime”). Bien sĂ»r, sitĂŽt qu’un magazine fĂ©minin ou un institut de sondage les interrogent sur ce qui retient leur attention en premier chez une femme, ils s’empressent de dĂ©gainer le regard et le sourire. Mais ne soyons pas dupes ! Ces belles paroles ne prouvent rien, sinon que le sĂ©ant de la femme fait de l’homme un faux-cul !
Il est vrai que l’attirance commence le plus souvent par un visage, voire par une silhouette. Mais Ă  peine ont-ils validĂ© le recto que les hommes reluquent le verso, plongeant leurs mirettes vers les michettes. L’expĂ©rience menĂ©e par Jessie Gurunathan et Reanin Johannink en tĂ©moigne. En 2011, ces deux NĂ©o-zĂ©landaises au physique avantageux ont eu l’idĂ©e de fixer une micro-camĂ©ra sur l’arriĂšre de leurs jeans avant de se balader tranquillement dans les rues de Los Angeles. BaptisĂ© « Rear view girls » (Les filles dans le rĂ©tro), le petit film qu’elles ont tirĂ© de leur promenade ne laisse guĂšre planer le doute : le centre d’intĂ©rĂȘt des passants se confond le plus souvent avec le centre de gravitĂ© des demoiselles !
Raymond Queneau - Les enfants du limon
Depuis, quelques jeunes femmes ont imitĂ© sous d’autres cieux les deux Kiwis. Et le rĂ©sultat est invariable : l’arriĂšre-train femelle agit sur les pupilles mĂąles comme un aimant sur de la paille de fer. D’oĂč vient cette fascination pour ce qui n’est jamais que la combinaison de graisses et de diffĂ©rents muscles (dont le grand glutĂ©al, le plus puissant de tous, celui qui nous permet de tenir debout) ? De la nuit des temps ! C’est en tout cas l’explication que nous donnent de nombreux scientifiques. Selon eux, le matage de cul est inscrit dans nos gĂšnes. MĂȘme s’il peut faire bondir les fĂ©ministes, le concept se dĂ©fend. Remontons le temps, si vous le voulez bien, jusqu’à nos plus anciens ancĂȘtres, ces gaillards qui se rĂ©galaient des fruits secs de Lucy, faute de connaĂźtre les noix juteuses de Kim Kardashian
 Pour eux, la croupe n’était pas tant un objet de dĂ©sir qu’une assurance-vie. Ils associaient en effet les chances de survie de leur descendance Ă  la taille du dargeot de la maman.
À une Ă©poque oĂč l’on ne connaissait pas France 5 et Michel Cymes, l’intuition Ă©tait franchement gĂ©niale. Car la science moderne est venue confirmer ce que l’homo heidelbergensis pressentait il y a de ça 700 000 ans : si les femmes prennent du derriĂšre alors que les hommes se remplissent du bidon, c’est parce qu’elles logent leurs rĂ©serves Ă©nergĂ©tiques dans leurs fesses afin de laisser le ventre plus libre pour porter le foetus. Mieux encore : des chercheurs de l'UniversitĂ© de Pittsburgh, aux Etats-unis, ont Ă©tabli rĂ©cemment une corrĂ©lation entre la rondeur du baba et l’intelligence du bĂ©bé ! Les lipides stockĂ©s dans les fesses des femmes sont en effet bien plus vertueux que l’huile de palme du Nutella. Ils sont particuliĂšrement riches en DHA (acide docosahexaĂ©noĂŻque), l’une des composantes essentielles du cerveau. Et plus la mĂšre en dĂ©livre Ă  sa progĂ©niture, lors de la gestation, puis de l’allaitement, plus celle-ci peut fortifier ses neurones. La conclusion : un bon boulard fait un bon bulbe ! Et ce n’est pas tout ! Une autre Ă©quipe de chercheurs amĂ©ricano-turque, emmenĂ©e par un certain Docteur David Lewis, a avancĂ© derniĂšrement une hypothĂšse des plus intĂ©ressantes. Si le regard des hommes collent au fondement des femmes mieux qu’un Malabar Ă  la semelle d’une basket, ce n’est pas seulement pour en estimer le volume. C’est aussi et surtout pour juger de sa cambrure. Et lĂ  encore, c’est pour la bonne cause...
Il faut savoir en effet que le rebond d’un derriĂšre est d’autant plus prononcĂ© que la courbure de la colonne vertĂ©brale au niveau des lombaires est grande. Or, celle-ci joue un rĂŽle essentiel lors de la grossesse. Plus les semaines passent, plus le ventre s’arrondit, plus
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