L'erreur de jugement de son mari

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Divorce / Divorce pour faute / Par Alexia.fr , Publié le 20/12/2017 à 15h25
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Les fautes admises dans le cadre d’une procédure de divorces sont diverses : manquements aux obligations et aux devoirs du mariage, comportements violents ou excessifs, négligences envers l’époux(se) ou les enfants…
Afin de vous aider à y voir plus clair et déterminer s’il y’a faute ou non, voici la liste des 10 fautes les plus fréquemment admises au cours d’une procédure de divorce.
1- L’infidélité : Qu’il s’agisse d’une ou de plusieurs aventures ponctuelles ou d’une relation extra-conjugale suivie, le fait d’être infidèle peut être considéré comme une faute après appréciation du juge.
2- Le manquement au devoir de vie commune : On entend par devoir de vie commune le fait d’habiter sous le même toit et d’avoir des rapports sexuels avec son conjoint. L’abandon du domicile conjugal est de ce fait considéré comme une faute, tout comme le fait de refuser d’avoir des rapports sexuels avec son conjoint pendant des mois.
3- Les violences conjugales/physiques : Les violences conjugales/physiques constituent un manquement au devoir de respect. On entend par violences conjugales toute atteinte physique (coups et blessures) portés au conjoint. Cela est également valable si le conjoint est violent envers les enfants ou s’il dégrade volontairement le lieu de vie de la famille.
4- Les violences verbales : Les insultes, menaces, humiliations et dénigrements sont considérés comme des manquements au devoir de respect, au même titre que les violences physiques. Cela englobe tous les propos insultants, blessants, menaçants, prononcés dans l’intimité du couple ou bien en public.
5- Le manquement à la contribution aux charges du mariage : Ce type de faute est admis lorsque l’un des époux conserve tout son salaire pour ses dépenses personnelles et son bien-être personnel et ne participe pas aux dépenses de la famille.
6- Le manquement au devoir d’assistance : le fait qu’un époux ne soutienne pas son conjoint en cas de difficultés professionnelles, familiales ou en cas de maladie est considéré comme une faute.
Exemple 1 : un époux qui cache à son épouse qu'il entretient une double vie et a eu un enfant avec sa maîtresse peut être considéré comme une faute.
Exemple 2 : une femme qui refuserait d'avoir des relations intimes avec son mari pendant des mois, qui ne ferait rien pour que les choses s'arrangent (consulter un médecin, un psychologue, etc...) pourra être accusée d'avoir commis une faute lors du divorce.
Un époux ne peut reprocher une faute passée à son conjoint si cette dernière a été pardonnée et qu'elle n'a pas été l'élément déclencheur du divorce. Par ailleurs, certaines fautes peuvent être excusées par le juge lorsqu'elles sont directement liées au comportement du conjoint (Par exemple, le refus d'avoir des relations sexuelles avec son conjoint suite à une infidélité ou bien des violences physiques, etc...)
7- Défaillance à l’égard des enfants : Un comportement irresponsable voire dangereux envers les enfants peut être considéré comme une faute.
8- La jalousie, la possessivité : un comportement excessif qui nuit à l’un des conjoints et qui affecte son bien-être, l’équilibre du mariage ainsi que de la famille peut constituer une faute.
9- La pratique excessive du sport ou de la religion : un mode de vie excessif peut également être considéré comme une faute, dès lors que l’un des conjoints tente d’imposer ses règles, ses convictions, sa manière d’agir et de penser à son époux(se) ainsi qu’à l’ensemble de la famille.
10- Les conduites addictives : l’alcoolisme, le tabagisme et toute autre conduite addictive qui nuisent au bon fonctionnement du mariage peuvent être considérés comme une faute en cas de divorce.
Une faute est admise lorsqu'elle résulte du manquement répété aux obligations liées au mariage (inscrites dans le Code Civil), ou qu'elle constitue un danger physique ou moral pour l'époux(se) et/ou les enfants.
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Votre décision est prise, mais le divorce ne sera peut-être prononcé que dans un an, voire plus dans l’intervalle. Attention à ne pas fragiliser l’équilibre de votre situation. En dix points, ce qu’il ne faut pas faire !

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Par crainte de se voir reprocher l’ abandon du domicile conjugal dans un divorce contentieux, certains époux continuent à vivre sous le même toit alors que la rupture est consommée. Il est vrai que « tant que le juge n’a pas autorisé les époux à vivre séparément, il pourra toujours être reproché à l’un d’être parti du jour au lendemain » , indique Joanne Elia, avocate en droit de la famille.
Notre conseil : si vous avez simplement envie de partir, demandez l’autorisation de résider séparément dans la requête en divorce au juge aux affaires familiales. « Dans le cas où la cohabitation est compliquée, voire impossible, en raison d’un(e) conjoint(e) violent(e) physiquement ou psychologiquement, faites établir des certificats médicaux, déposez une plainte ou une main courante au commissariat de police avant de quitter le domicile conjugal. Cela attestera du motif de votre départ » , reprend l’avocate. En revanche, ne vous posez pas de question et partez dès que vous le souhaitez si vous et votre conjoint êtes d’accord à la fois sur le principe et les modalités du divorce (divorce amiable sans juge).
Moment de crise, la séparation s’accompagne souvent de conduites irrationnelles. « Dans le cadre d’une procédure de divorce, les SMS, courriels, tweets, images, diffusés sur les réseaux sociaux... tout peut être utilisé comme élément de preuve par l’autre conjoint. Le magistrat pourrait en tirer des conséquences fâcheuses pour celui qui en est à l’origine » , met en garde Me Elia.
Notre conseil : interdisez-vous les propos injurieux, menaçants ou abaissants vis-à-vis de votre conjoint(e).
La procédure sera plus longue et plus onéreuse, si les mariés ne fournissent pas les papiers indispensables. « Il peut se révéler très difficile, une fois la procédure engagée, d’obtenir de son conjoint les documents nécessaires au bon déroulement de l'instruction » , signale maître Elia.
Notre conseil : constituez-vous rapidement un dossier administratif (avis d’imposition, bulletins de paie, copie du livret de famille, carte Vitale, etc.) pour justifier de votre état civil et de votre patrimoine.
L’envie de tourner définitivement la page et de refaire sa vie pousse certains à préférer une procédure amiable, le fameux « divorce sans juge », en espérant en finir plus rapidement. Quitte à oublier de procéder au partage des biens devant notaire ou à accepter des arrangements qui pourraient être regrettés par la suite.
Notre conseil : restez ferme sur l’essentiel. « S’il peut être judicieux d’accepter des compromis, notamment patrimoniaux, afin d’aboutir rapidement à un accord, il n’en demeure pas moins qu’il faut être précis sur les conséquences de la séparation et ne pas remettre à plus tard le partage des biens. De toute façon, le notaire n’enregistrera pas la convention de divorce si le partage n’est pas réalisé. Les futurs divorcés peuvent rester en indivision , mais il est conseillé d’établir une convention avec l’aide d’un notaire qui précisera les droits de chacun sur les biens » , prévient Jean-François Humbert, notaire et vice-président du Conseil supérieur du notariat. Si vous possédez 60 % d’une maison de campagne et votre conjoint 40 %, par exemple, vous pouvez choisir de ne rien changer (pas de rachat des parts de l’autre ni de vente). La convention d’indivision précisera à quels moments de l’année chacun pourra s’y rendre, la répartition des factures d’entretien et travaux, etc.
Quand on sait qu’un divorce coûte en moyenne à chaque époux entre 2 000 et 3 000 euros, les publicités sur Internet proposant un divorce pour 250 euros sont séduisantes. Vous risquez, au mieux, d’être tombé sur un prix d’appel qui montera en flèche, une fois la procédure en cours. Au pire, sur une escroquerie : s’il n’y a pas d’avocat derrière la façade Internet, la procédure ne tiendra pas. Pas de recette miracle, l e divorce a un coût . Les honoraires de l’avocat sont libres et varient en fonction de sa spécialité, de sa notoriété, de son ancienneté. Ils sont calculés en fonction d’un tarif horaire – 100 à 150 euros de l’heure en moyenne – ou au forfait.
Notre conseil : avant d’aller voir le notaire et les avocats, il faut s’entendre avec son conjoint sur le principe et les conséquences du divorce (garde des enfants, domicile, autres biens, etc.). « Il est recommandé, pour alléger le travail de l’avocat, et donc ses honoraires, de préparer son dossier en réunissant le maximum de documents, avant même le premier rendez-vous, explique Me Elia. Les personnes qui ont des difficultés financières ne doivent pas hésiter à demander l’ aide juridictionnelle . »
Bien avant que le divorce ne soit prononcé, les époux se sont organisés. Garde alternée, consensus financier... chacun pensant que la situation est provisoire. « Attention, signale Me Elia, si une organisation concernant le mode de garde de l’enfant s’est instaurée et si elle a bien fonctionné, il y a de fortes chances que le juge ratifie cette pratique. Sa remise en cause risquerait de lui paraître incohérente. Or, il prend sa décision avant tout dans l’intérêt de l’enfant. »
Notre conseil : dès le dépôt de la requête en divorce , demandez au juge de prendre des mesures urgentes. En attendant l’ audience de conciliation – deux à six mois après l’introduction de la requête –, ne laissez pas s’installer une situation regrettable.
Le divorce est l’affaire des parents. Il n’en reste pas moins que les enfants sont souvent un enjeu. Résidence, pension alimentaire ... tout peut être prétexte à nourrir le conflit conjugal.
Notre conseil : acceptez l’aide d’un tiers par le biais d’ une médiation familiale . « Souvent, les parents ne se parlent plus, ne s’écoutent plus. Le médiateur familial va les aider à mettre des mots, des émotions sur les situations passées et apaiser le conflit. C’est l’occasion de trouver une nouvelle organisation familiale qui satisfasse les besoins de l’enfant et leurs besoins respectifs. La solution trouvée est alors mieux acceptée que lorsqu’elle est imposée par le juge » , explique Valérie Le Goaster, médiatrice familiale.
Première étape de la procédure de divorce , le juge rend, à l’issue de la tentative de conciliation , des décisions importantes concernant notamment le montant de la pension alimentaire et l’attribution de la garde. « Ne pas justifier de son absence ni avoir motivé une demande de report peut avoir des conséquences très préjudiciables. Le juge risque de rendre une décision sans tenir compte des prétentions du conjoint absent » , insiste maître Elia.
Notre conseil : adressez un courrier au greffe du juge aux affaires familiales en précisant les raisons de cette absence (bulletin d’hospitalisation, mission pour l’employeur, etc.) et demandez un renvoi.
Lorsque la résidence principale des enfants est fixée chez l’un des deux parents, l’autre bénéficie d’un droit de visite et d’hébergement. Les parents sont libres de s’organiser pour l’exercice de ce droit mais, en cas de désaccord futur, ils devront se reporter à la convention de divorce pour une procédure amiable ou à la décision de justice. Ces dernières ne doivent donc pas être sujettes à interprétation.
Notre conseil : évitez les formules trop vagues. « Il faut préciser si ce droit de visite et d’hébergement s’exercera les week-ends des semaines paires ou impaires et indiquer le lieu et l’heure du retour » , alerte maître Elia.
Chaque époux doit participer à l’entretien du ménage. « Tant qu’il n’y a pas de décision judiciaire qui fixe les charges de chacun, on ne peut pas se soustraire à ses obligations financières sous prétexte que l’on ne réside plus ensemble, souligne Me Eli
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