Le visage du pécher

Le visage du pécher




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Le visage du pécher
Le sujet de
l’affranchissement du péché nous conduira nécessairement sur un terrain de
découverte de l’œuvre de Christ à la croix. On ne parlera jamais assez de cette
œuvre à cause de ces deux valeurs : historique et actuelle. L’œuvre de la
croix est toujours présente dans l’histoire des hommes. Pour les uns, elle
représente le jugement, la condamnation ; et pour les autres la libération
et l’introduction d’une nouvelle ère.
Aujourd’hui plus que jamais,
nous avons encore le devoir de jeter avec humilité les regards à la croix car
c’est véritablement là que se trouve le torrent inépuisable de la vérité.
Christ, la Vérité, a accompli une œuvre dont les empreintes sont vivantes
aujourd’hui. Mais la perle de Dieu qu’est l’Église dont Christ est le chef est
sujette à la convoitise tant de la puissance des ténèbres que du péché et ses
dérivés. Ouvrons donc ensemble les yeux et découvrons qu’un constat malheureux
s’impose dans les milieux chrétiens : le péché est bel et bien là et il
domine sur un certain nombre de chrétiens qui sont pourtant nés de nouveau. En
effet, combien de chrétiens aujourd’hui, avant d’entrer dans la pleine
communion avec Dieu ne passeront-ils pas par un temps de confession ? Des
milliers de chrétiens sont troublés, fatigués et chargés. Il n’y a point de
repos pour un grand nombre. Nous qui avons été appelés à une vie abondante,
nous offrons souvent un spectacle désolant dans nos vies. Aujourd’hui nous
assistons à une vague de scandales des assemblées chrétiennes. L’on pèche
délibérément parce que vaincu par le péché. La légèreté et la démobilisation
sont notre partage mais plus grave encore, le sens du discernement est presque
obscurci et la tendance à appeler bien, mal et mal, bien, s’installe. Quand
bien même l’appel de Dieu à la sanctification demeure solennel, il est
pratiquement impossible à un grand nombre de chrétiens d’y répondre.
Que faire donc ? Où
trouver la solution malgré toutes les prières qu’on a pu faire ?
Malgré aussi tous les beaux
et puissants messages prêchés pour inciter les chrétiens à se débarrasser du
péché ?
À travers cette étude, nous
développerons les quatre points suivants :
« Si nous disons que nous n’avons pas DE PÉCHÉ, nous nous séduisons
nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous. Si nous confessons NOS PÉCHÉS, il
est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute
iniquité » (1 Jean 1:8-9).
La création est sortie
parfaite des mains du Créateur : « Dieu
vit tout ce qu’il avait fait, et voici, cela était très bon » (Genèse 1:31)
et l’homme fait à l’image de Dieu était sans péché. Dieu, par un commandement,
mit à l’épreuve sa responsabilité de créature qui devait gérer ce que le
Créateur lui avait confié par un commandement : « de l’arbre de la connaissance du bien et mal, tu n’en mangeras
pas ; car, au jour que tu en mangeras, tu mourras certainement »
(Genèse 2:17). C’est en transgressant ce commandement que l’homme s’est rendu coupable
devant Dieu et est devenu pécheur : « par
un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et…
la mort a passé à tous les hommes, en ce que tous ont péché » (Romains
5:12). Le péché a rompu la relation libre et heureuse que l’homme avait avec
Dieu : « j’ai entendu ta voix dans le
jardin, et j’ai eu peur, car je suis nu, et je me suis caché » (Genèse
3:10). Ce que Dieu avait dit doit s’accomplir, l’homme devra mourir, et il est
chassé du jardin d’Éden. Le péché d’Adam a entraîné toute sa descendance dans
le péché : « par une seule faute les
conséquences de cette faute furent envers tous les hommes en condamnation…par
la désobéissance d’un seul homme plusieurs ont été constitués pécheurs »
(Romains 5:18-19).
Bien avant que la loi n’ait
été donnée, le péché et la mort qui en est la conséquence (« le salaire du péché, c’est la mort »
Romains 6:23), ont été la part de tous les hommes, même sans que le péché soit
manifesté par la transgression d’un commandement : « la mort régna depuis Adam jusqu’à Moïse, même sur ceux qui ne péchèrent
pas selon la ressemblance de la transgression d’Adam » (Romains 5:14).
La loi a ensuite été donnée,
mettant en évidence le péché qui est devenu plus grave puisqu’il est devenu la
transgression d’un commandement précis « la
loi donc est sainte, et le commandement est saint, et juste, et bon. Ce qui est
bon est-il donc devenu pour moi la mort ? Qu’ainsi n’advienne ! Mais
le péché, afin qu’il parût péché, m’a causé la mort par ce est bon, afin que le
péché devînt par le commandement excessivement pécheur » (Romains 7:12-13)
Le péché est donc devenu un
principe de mal intérieur qui produit des fruits, même s’il n’y a pas de loi.
C’est l’activité d’une propre volonté indépendante Dieu : « nous nous sommes tournés chacun vers son
propre chemin » (Ésaïe 53:6).
Désormais nous devons voir le
péché comme un problème d’hérédité, car si par une seule faute la condamnation
a atteint tous les hommes, nous devons accepter cette vérité à savoir : « si nous disons que nous n’avons pas de
péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous » (1
Jean 1:8).
L’apôtre Paul avait lui-même
en son temps reconnu cette vérité. Il l’exprima en ces termes : « le péché habite en moi » (Romains 7:20).
Les péchés sont le résultat
de ce principe né en nous. Pour mieux comprendre cette pensée, considérons
l’arbre comme le péché et les fruits de cet arbre comme les péchés. En clair,
les péchés sont le résultat du péché ou encore le fruit de cette nature
pécheresse que nous avons héritée d’Adam. C’est pourquoi rappelons-nous :
« si nous confessons nos péchés, il est
fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute
iniquité » (1 Jean 1:9).
« Voici, j’ai été enfanté dans l’iniquité, et dans le péché ma mère m’a
conçu » (Psaumes 51:5).
Ces paroles furent prononcées
par David lorsque le prophète Nathan vint à lui après que celui-ci fut allé
vers Bath-Shéba. Ici, David reconnaît sans l’ombre d’un doute que, par
naissance, il est marqué par le péché. Il reconnaît que la nature de sa mère
est pécheresse et que par conséquent la sienne l’est aussi. Christ lui-même
avait déclaré en son temps : « ce qui
est né de la chair est chair »
(Jean 3:6).
Comment les Écritures
appellent-elles cette nature adamique ou vieille nature ?
Attention, pour ne pas
confondre, notons que la Bible mentionne la chair de deux manières :
Notons qu’en cette vieille
nature, il n’habite point de bien, et qu’en sa pensée, elle est inimitié contre
Dieu, car elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, car aussi elle ne le peut pas
(Rom. 8:7). Par voie de conséquence, l’homme ordinaire accomplit les volontés
de la mauvaise nature car par nature il est enfant de colère. « Or les œuvres de la chair sont manifestes,
lesquelles sont la fornication, l’impureté, l’impudicité, l’idolâtrie, la
magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les colères, les intrigues,
les divisions, les sectes, les envies, les meurtres, les ivrogneries, les
orgies, et les choses semblables à celles-là » (Galates 5:19-21).
Ces différents péchés cités
sont en rapport avec trois domaines sensibles de l’homme et souillent l’esprit,
l’âme et le corps :
Voyons ensemble le rapport de
Christ et de la chair (ou le péché). Jean déclare à propos de Jésus qu’ « il n’y a point de péché en lui » (1 Jean
3:5). Le Seigneur Jésus n’avait pas en lui le péché, en clair il n’avait pas en
lui le principe du péché, cette nature déchue que nous héritons par naissance
physique.
Ainsi, nous comprenons mieux
ce verset qui dit « celui qui n’a pas connu
le péché, il l’a fait péché pour nous, afin que nous devinssions justice de
Dieu en lui » (2 Corinthiens 5:21). Rappelons-nous que la naissance de Jésus
n’est pas du type biologique que nous connaissons sur le plan humain mais « sa mère, Marie, étant fiancée à Joseph,
avant qu’ils fussent ensemble, se trouva enceinte par l’Esprit Saint »
(Matthieu 1:18).
Le péché est bel et bien en
nous et même si nous avons du mal à accepter cette vérité, il arrive néanmoins
que lorsque nous réfléchissons à notre condition devant Dieu, la question du
péché, la notion du bien et du mal ainsi que de l’éternité prennent parfois
place dans notre esprit. Il suffit que nous soyons dans une situation de
détresse, ou au bord de la mort pour que cette conscience du péché s’éveille en
nous, montrant ainsi que nous avons besoin d’entrer en contact avec Dieu. Mais
nous réalisons très vite que nous sommes morts dans nos fautes et dans nos
offenses. La misère morale et spirituelle est telle qu’il nous paraît
impossible d’être dans la présence du Dieu Saint.
Depuis la Pentecôte, l’Esprit
Saint ne cesse d’opérer, convainquant l’homme de péché.
Mais très souvent celui-ci,
aveuglé par son orgueil et la pensée qu’il n’a de compte à rendre à personne,
se bat pour étouffer la voix du Saint Esprit. Mais Dieu aime l’homme qu’il a
créé et Il nous a prouvé son amour en nous donnant son Fils unique afin que
quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. Le Fils
de Dieu « a été livré pour nos fautes et a
été ressuscité pour notre justification » (Romains 4:25). Avec la mort et la
résurrection de Jésus, Dieu a pu concilier son grand Amour et sa parfaite
Justice.
La justice de Dieu devait
être satisfaite ; le Seigneur Jésus a volontairement pris la place du
coupable et « l’Éternel a fait tomber sur
lui l’iniquité de nous tous » (Ésaïe 53:6). La résurrection de Christ est la
preuve vivante que Dieu a agréé son sacrifice. Ainsi, la question du péché a
été résolue devant Dieu parce que l’expiation a été pleinement accomplie.
Désormais Dieu peut pardonner au coupable et nous sommes invités à avoir « une pleine liberté pour entrer dans les
lieux saints par le sang de Jésus, par le chemin nouveau et vivant qu’il nous a
consacré à travers le voile, c’est-à-dire sa chair » (Hébreux 10:19-20).
Que celui donc qui n’a pas
fait la paix avec Dieu, qui a la certitude d’être coupable et qui réalise par
une grande prise de conscience qu’il est pécheur, change radicalement de
conception et de disposition intérieure à l’égard du péché. Qu’il comprenne
qu’il a d’abord offensé Dieu en ce sens qu’il a péché contre Lui et par
conséquent qu’il a affaire à Lui. C’est pourquoi il est urgent qu’il se tourne
vers Dieu, reconnaissant humblement ses fautes et ses offenses.
Lorsque la confession a lieu
comme résultat de la réalité intérieure et que le pécheur saisit par un acte de
foi que Jésus le Fils de Dieu est l’unique Sauveur qui est mort et ressuscité
corporellement pour expier ses péchés, et que fort de cette conviction il se
détourne de son chemin inique pour se tourner vers le chemin de la lumière,
vers Dieu, et ce, par un acte réfléchi et volontaire, alors il recevra la
rémission de ses péchés. Il « a la vie
éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la
vie » (Jean 5:24). Le pardon lui
est accordé et Dieu le déclare juste, et il est né de nouveau.
La régénération qui est dans
le fond une œuvre créatrice de Dieu a pour but essentiel de produire en nous
une vie dans laquelle nous devenons participants de la nature divine. Étant nés
de Dieu, Dieu crée en nous une nouvelle nature qui est véritablement sienne.
Comment les Écritures
appellent-elles cette nouvelle nature ?
Nous avons vu plus haut que
l’une des conséquences immédiates de la nouvelle naissance c’est que le
chrétien possède une nouvelle nature. La première nature est tellement
corrompue qu’on ne peut l’améliorer. Elle est par conséquent condamnée et mise
à mort devant Dieu : « notre vieil
homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché soit annulé, pour que
nous ne servions plus le péché » (Romains 6:6) . C’est bien dommage que quelques-uns tentent de la faire sortir de
sa position de crucifiée, pour la faire revivre en cherchant à l’améliorer.
Cette tentative est inutile car la vielle nature ne peut pas produire des
fruits dignes de la repentance, des fruits de la sainteté et elle ne peut pas
être enseignée parce que « l’homme animal
ne reçoit pas les choses qui sont de l’Esprit de Dieu, car elles lui sont
folie ; et il ne peut les connaître parce qu’elles se discernent
spirituellement » (1 Corinthiens 2:14). On ne peut donc pas parler d’une
sanctification qui viserait à améliorer une nature déchue et rejetée mais qui
est en nous pendant notre bref séjour sur la terre. Au contraire « la chair convoite contre l’Esprit, et
l’Esprit contre la chair ; et ces choses sont opposées l’une à l’autre,
afin que vous ne pratiquiez pas les choses que vous voudriez » (Galates 5:17).
Le chrétien qui commence ses
premiers pas dans la foi est par moment surpris de constater que sa chair n’a
pas du tout changé. Elle est pareille à celle qu’a le païen et il fait
l’expérience de l’homme dont parle l’apôtre Paul qui, pour plaire à Dieu
s’était mis sous la loi : « je trouve
donc cette loi pour moi qui veux pratiquer le bien, que le mal est avec moi.
Car je prends plaisir à la loi de Dieu selon l’homme intérieur ; mais je
vois dans mes membres une autre loi qui combat contre la loi de mon entendement
et qui me rend captif de la loi du péché qui existe dans mes membres »
(Romains 7:21-23).
Un tel chrétien est anxieux
quant à sa vie chrétienne. Rien ne va et sa marche pratique prouve le contraire
de sa profession. Quoiqu’il ait pris toutes les bonnes résolutions possibles
pour faire le bien et plaire à Dieu il dit comme le déclare l’homme de Romains
7 « ce que je fais, je ne le reconnais
pas, car ce n’est pas ce que je veux, que je fais, mais ce que je hais, je le
pratique… je sais qu’en moi, c’est-à-dire en ma chair, il n’habite point de
bien ; car le vouloir est avec moi, mais accomplir le bien, cela je ne le
trouve pas. Car le bien que je veux, je ne le pratique pas ; mais le mal
que je ne veux pas, je le fais » (Romains
7:15, 18-19).
Ces paroles décrivent à n’en
point douter l’état pratique du chrétien sincère qui, s’étant mis sous la loi
veut vivre une vie de sainteté pour plaire à Dieu. Mais hélas, il n’y arrive
pas ! Il se rend compte que, quand bien même il est né de nouveau, il ne
peut pas s’empêcher de pécher. Il constate qu’en tant que chrétien il a des
mauvaises tendances qu’il ne peut malheureusement pas maîtriser. Il est esclave
du péché et des désirs de la chair. Ayant la volonté, il n’a pas le pouvoir et
il fait le contraire de ce qu’il veut faire : le péché le domine. De tout ce
qui précède, nous comprenons aisément le cri de détresse de ce croyant : « misérable homme que je suis, qui me
délivrera de ce corps de mort ? » Il fait l’expérience que le péché
devient de plus en plus fort en lui quand il se met sous la loi.
À ce propos, l’apôtre dit « je n’eusse pas connu le péché, si ce n’eût
été par la loi ; car je n’eusse pas eu conscience de la convoitise, si la
loi n’eût dit : “ tu ne
convoiteras point …” Or moi, étant
autrefois sans loi, je vivais ; mais le commandement étant venu, le péché
a repris vie, et moi je mourus ; et le commandement qui était pour la vie,
a été trouvé lui-même pour moi pour la mort » (Romains 7:7, 9-10).
Le péché est donc fort quand
on se place sous la loi pour vivre la sainteté pratique. N’oublions pas que
Dieu a donné la loi « afin que toute
bouche soit fermée, et que tout le monde soit coupable devant Dieu »
(Romains 3:19) et de plus « la loi a été
notre conducteur jusqu’à Christ, afin que nous fussions justifiés sur le
principe de la foi ; mais, la foi étant venue, nous ne sommes plus sous un
conducteur, car vous êtes tous fils de Dieu par la foi dans le christ Jésus »
(Galates 3:24-26). Néanmoins la loi demeure. Elle est d’origine divine, elle
est sainte juste et bonne. Cependant elle ne s’exerce plus sur le chrétien et
pour cause : « la loi n’est pas pour
le juste, mais pour les iniques et les insubordonnés, pour les impies et les
pécheurs, pour les gens sans piété et les profanes, pour les batteurs de père
et les batteurs de mère, pour les homicides, pour les fornicateurs, pour ceux
qui abusent d’eux-mêmes avec des hommes, pour les voleurs d’hommes, les
menteurs, les parjures, et s’il y a quelque autre chose qui soit opposée à la
saine doctrine, suivant l’évangile de la gloire du Dieu bienheureux » (1 Timothée 1:9-11).
L’un des drames dans le
christianisme d’aujourd’hui c’est que l’on s’est grandement écarté de
l’enseignement simple que les apôtres et prophètes ont laissé par écrit, chacun
voulant faire ce qu’il lui plaît. Bien plus, on a séparé la Parole de foi, de
la foi — et la marche pratique, de la saine doctrine. Comment donc pouvons-nous
demander à un chrétien qui commence ses premiers pas dans le christianisme de
marcher sainement sans qu’on ne lui apprenne au préalable l’enseignement qui se
trouve dans la Parole à ce sujet ?
On ne peut pas s’écarter de
la Parole et en même temps vouloir vivre une vie digne de Dieu. Ce que doit
faire le chrétien, c’est de s’asseoir pour être enseigné comme Jésus le fît
avec Marie qui, lui dit-il, avait choisi la bonne part qui ne lui serait pas
ôtée. L’apôtre Paul avait conscience de cette nécessité c’est pourquoi envers
les Colossiens, il dit : « nous ne
cessons pas de prier et de demander pour vous que vous soyez remplis de la connaissance
de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle, pour marcher d’une
manière digne du Seigneur, pour lui plaire à tous égards, portant du fruit en
toute bonne œuvre, et croissant par la connaissance de Dieu » (Colossiens 1:9-10) .
Ainsi, c’est après avoir
compris l’enseignement sur un sujet donné que je peux obéir, marquant ainsi mon
accord avec cet enseignement : c’est la communion. Notons que Dieu nous
fournit tout ce qui est nécessaire pour que nous menions ici bas une vie de
sainteté pratique. Lecteur, la mesure, c’est la Parole de Dieu, non notre
propre satisfaction ou encore l’approbation des autres. On peut penser bien
faire et être approuvé des autres, mais la Parole peut nous contredire et
mettre à nu ce que nous sommes réellement. La Parole pénètre là où le regard
des autres n’ira jamais. Inutile de se lancer des fleurs car ce qui nous juge,
c’est la Parole de Dieu. Pour plaire à Dieu, il faut vivre ce qui sort de sa
bouche, et ce que Dieu veut est écrit dans la Bible. Méditons la soigneusement
et scrupuleusement. Cette discipline est affaire de tous car chacun aura un
compte à rendre à Dieu pour lui-même. Jetons maintenant un regard sur ce que
l’apôtre Paul dit aux Corinthiens : « vous
êtes de lui dans le christ Jésus, qui nous a été fait sagesse de la part de
Dieu, et justice, et sainteté, et rédemption, afin que, comme il est écrit,
« celui qui se glorifie, se glorifie dans
le Seigneur » (1 Corinthiens 1:30-31) .
Cette déclaration de l’apôtre brise toutes nos prétentions. Nous prenons
conscience ici que nous n’avons pas en nous-mêmes une sanctification mais que
Jésus a été fait, pour nous, sainteté. Voilà ce que Jésus est pour nous en
vertu de son œuvre accomplie. Ma foi doit saisir et garder ferme cette vérité,
attendant que les effets pratiques de la vérité se développent puissamment en
moi.
Précisons ici que la nouvelle
nature ne pratique pas le péché et ne nous conduira jamais dans ce chemin-là.
La nouvelle nature porte en
elle les germes de la sainteté. Tout ce qu’elle veut c’est qu’on la laisse
vivre pleinement sans être entravée par les actions de la chair. Elle n’est
point guidée par la loi mais elle accomplit la loi. Si la loi dit : « tu ne tueras pas », la nouvelle nature ne
sera pas du tout ébranlée parce que le principe du meurtre n’est point en elle
et n’effleure pas sa pensée ; au contraire, elle trouv
Deux maîtresses et leur esclave
Elle ne savait pas que je filmais, je lui ai donné une bonne baise à sa chatte mal rasée et elle a joui.
Morgane la jeune bourgeoise se fait démonter par un vieux trio avec journaliste.

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