Le troisième âge rencontre la jeunesse

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Le troisième âge rencontre la jeunesse


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Pour la période temporelle dans l'œuvre de J. R. R. Tolkien, voir Troisième Âge et Quatrième Âge .

Le troisième âge est une notion abstraite et variable dans le temps synonyme de vieillesse qui renvoie à la conception classique des Âges de la vie . Le troisième âge correspond généralement aux personnes appelées « seniors » et/ou « personnes âgées ».

L'espérance de vie augmentant, de même que le nombre de centenaires et de supercentenaires , on a vu apparaître dans les années 1980, l'expression « quatrième âge » pour désigner les personnes très âgées.



Couverture et image intérieure de «La vérité sur les grands-parents» (©Kaléidoscope)
«A New York, chez Mamie» (©Le Genévrier), «Le petit monsieur» (©Glénat Jeunesse) et «Faut pas pousser mamie et papi dans les orties» (©Talents Hauts)
Image intérieure de «Julian est une sirène» (©Pastel)
«Ma mamie en vrai» (©Mango jeunesse), «Ma grand-mère est une terreur» (©Rouergue) et «Le secret de grand-père» (©Gallimard Jeunesse)
«Jeannot» (©Delcourt), «Moi, Ming» (©Rue du Monde) et «Transparente» (©Oskar éditeur)
Les relations intergénérationnelles dans la littérature jeunesse (et au-delà) 4
1. La vérité sur les grands-parents , d’Elina Ellis, Kaléidoscope, 2019 Album, dès 3 ans
Dans cet album original et drôle, l’autrice nous propose une image des grands-parents remise au goût du jour. Planche après planche, tous les stéréotypes sont déconstruits pour mettre en avant un papy et une mamie funky, modernes et en excellente forme, représentés tour à tour en haut d’une attraction (montagnes russes), sur des rollers, maîtrisant l’art du pancake , à un cours de yoga, passionnés par un jeu vidéo ou dansant joyeusement en compagnie de leur petit-fils. L’histoire est racontée du point de vue du garçon, qui se questionne sur les différentes représentations qui circulent sur les grands-parents – vieux, lents, maladroits, fatigués, etc. – pour proposer des contre-exemples de ce que sont ces figures centrales dans sa vie d’enfant.
La vérité sur les grands-parents est à la fois touchant, humoristique et vivifiant, d’une part parce qu’il montre des facettes des grands-parents que l’on a peu l’habitude de voir: à titre d’exemple, le couple est représenté comme étant encore très amoureux, ce qui détonne fortement avec l’image «traditionnelle» des grands-parents et constitue parfois même un tabou. D’autre part, le contraste créé entre le texte, qui renvoie à différents clichés sur les seniors, et les images, colorées et dynamiques, offre une tonalité humoristique à l’ensemble et rend la mamie et le papy très attachants. Enfin, la complicité entre l’enfant et ses grands-parents jaillit au fil des planches et contribue à la belle énergie qui se dégage de l’album. Des seniors dégourdis, aventuriers et infatigables? On dit OUI! (VM)
2. Le camping-car de mon papy , de Harry Woodgate, Kimane, 2021
Album, dès 3 ans
Voyager avec un camping-car nommé Liberté . C’est ce qu’a fait Papy des dizaines de fois avec son amoureux. Chaque fois que sa petite-fille vient lui rendre visite, dans sa jolie maison au bord de la mer, elle lui demande de raconter les péripéties de leur jeunesse: le surf, le concours de châteaux de sables, les feux de camp sur la plage, mais aussi les expéditions dans les villes, dans la jungle. La petite maison mobile les emmenait partout où bon leur semblait et ils étaient heureux. Maintenant que l’amoureux de Papy n’est plus là, sa petite-fille saura-t-elle lui redonner le goût de l’aventure?
Harry Woodgate raconte une belle histoire sur la perte et l’amour entre les générations. Il met en scène une relation très tendre entre une petite-fille et son papy, faite d’écoute et de respect. Élément important mais non central de la narration, l’homosexualité du grand-père est amenée de manière naturelle.
La mise en page est variée, présentant tantôt une planche occupant l’intégralité d’une ou des deux pages, tantôt plusieurs vignettes qui remplissent l’espace, par exemple quand le camping-car nous «emmène» d’une image à l’autre. Une constante cependant: les éléments visuels prédominent toujours sur le texte et ils arborent une fraîcheur colorée. Les techniques d’illustration associent notamment le crayonnage, les Neocolors et le collage. Le camping-car de mon papy vaut le détour car il donne envie de croquer la vie à pleines dents et de prendre soin de celles et ceux qu’on aime. (CS)
3. La surprise , de Nadia Roman et Jean-Pierre Blanpain, Tom’Poche, 2015
Album, dès 4 ans
Depuis quelque temps, la grand-mère du jeune narrateur a un comportement pour le moins inhabituel. Elle s’est teint les cheveux, a acheté un téléphone portable sur lequel elle pianote en douce, s’est mise à fréquenter assidûment la bibliothèque et a décidé de partir quelques jours en vacances. Tout cela ne lui ressemble vraiment pas… Et si mamie cachait un secret?
Cet album, initialement publié aux éditions Thierry Magnier en 2010 et réédité par Tom’Poche dans un petit format souple en 2015, aborde un sujet très peu traité en littérature jeunesse: la vie sentimentale des personnes âgées. La grand-mère dont il est question ici n’est pas enfermée dans son veuvage: elle noue une nouvelle relation amoureuse, porteuse de changements, que son petit-fils va décrire en détail. La perspective tendre et naïve de l’enfant confère une touche humoristique au texte. Ainsi, le garçon ne comprend pas toujours les mots utilisés par les grandes personnes et les réinterprète à sa manière:
«Mamie retraitée et veuve; pour moi ça veut dire qu’elle n’a plus de temps pour venir le samedi matin tôt et je crois que “retraitée et veuve”, c’est quand on devient très occupé ailleurs».
Le mystère autour de la métamorphose de mamie est révélé à la fin du livre par la grande sœur du narrateur: «La surprise de mamie, c’est qu’elle est amoureuse!». La dernière image montre en effet la vieille dame, sourire aux lèvres, donnant la main à un·e inconnu·e, dont seul le bras apparaît dans le champ de vision mais qui, à n’en pas douter, sera bientôt présenté·e à la famille.
Les illustrations de Jean-Pierre Blanpain, qui jouent sur le contraste entre aplats d’encre noire et de couleur (il utilise le rose, le jaune et le bleu), apportent dynamisme et modernité à ce récit. Une belle découverte! (DT)
4. Tortue express , de Sandra Le Guen et Maurèen Poignonec, Little Urban, 2021 Album, dès 4 ans
Après Taxi-Baleine (2019), les deux autrices proposent une nouvelle aventure animalière de la joyeuse famille qui s’est désormais agrandie. Fidèle au rituel de la fin de journée, Tortue-express se met en route posément pour sa tournée et récupère chacun des enfants à leurs différents lieux de garde. Le trajet jusqu’à la maison familiale est l’occasion d’une agréable flânerie durant laquelle rien ne presse. Patient et doux, l’animal est à l’écoute des petits et partage observations, confidences et câlins tout en restant attentif à leur sécurité.
Tortue-express est un grand-père aux allures traditionnelles avec son petit foulard rouge noué autour du cou et ses lunettes rondes en écaille. Il défie pourtant les idées reçues en se chargeant d’aller chercher ses petits-enfants et en leur préparant les gâteaux du goûter quotidien. Alors que la société actuelle impose un rythme effréné, la tortue, animal emblématique de la lenteur, prend tout son temps pour regagner tranquillement le domicile.
Le texte concis, écrit avec bienveillance et réalisme, se marie parfaitement aux illustrations pétillantes et chaleureuses. Les illustrations regorgent de détails et les personnages aux joues rouges rayonnent de joie.
L’ouvrage est une ode à la famille et à la relation forte qui lie les petits-enfants à leurs aïeuls. L’oxymore tortue-express amène à réfléchir sur la nécessité de ralentir pour profiter des moments précieux en compagnie des grands-parents. (MNL)
5. A New York, chez Mamie , de Lauren Castillo, Le Genévrier, 2016 Album, dès 4 ans
Un petit garçon va passer quelques jours chez sa grand-mère à New York. Dès son arrivée, il est catégorique: il n’aime pas cette ville pleine de monde et trop bruyante à son goût. Le soir venu, il n’arrive même pas à s’endormir. Comment va-t-il survivre à ce séjour? C’est sans compter sur sa Mamie, pleine de bienveillance et de bonnes idées…
Narrée du point de vue du petit garçon, l’histoire immerge tout de suite le lecteur dans l’ambiance de la ville vue à travers les yeux du bambin. Les phrases sont courtes et expriment clairement le ressenti de l’enfant, et les illustrations répondent à ses angoisses: sa grand-mère et lui sont les seules touches de couleur parmi une foule grise et compacte se pressant vers la rame du métro ou marchant d’un pas pressé dans les rues de la cité. Devant le désarroi de son petit-fils, Mamie passe la nuit à lui tricoter une cape de super-héros afin de l’aider à affronter ses peurs. Le lendemain, l’enfant se met à voir la ville avec les yeux de sa grand-mère et son point de vue change; il commence à apprécier les choses agréables que la ville peut offrir, comme les balades dans le parc, un concert de musiciens des rues ou encore une démonstration de hip-hop. Les illustrations évoluent également pour accompagner ce changement de vision: la foule n’est plus si grise ni impersonnelle, les gens se teintent de couleurs et on voit désormais leurs visages.
Cet album est un bel exemple de complicité et de transmission entre la grand-mère et son petit-fils. Par la symbolique de la cape, objet de protection, l’enfant se sent en confiance et est prêt à affronter l’inconnu. Le duo va alors pouvoir profiter de toutes les merveilles qu’offre la ville. L’histoire déconstruit ainsi un cliché énoncé par le petit garçon: à son arrivée, il décrète que New York n’est pas un endroit pour une mamie, mais à son départ il trouve au contraire que c’est un endroit parfait! La figue de la Mamie est très intéressante: quoique plutôt moderne par le fait qu’elle aime habiter dans une grande ville et qu’elle apprécie les différents aspects qui effraient au contraire son petit-fils (le bruit, la foule, les nombreuses activités qu’on peut y faire), elle n’en garde pas moins quelques attributs d’une vision plus traditionnelle de la grand-mère, comme le fait qu’elle tricote ou qu’elle vive avec deux chats. Elle est ainsi l’illustration parfaite que ces différentes facettes peuvent cohabiter harmonieusement.
Un bel album à lire et faire lire à tous les duos grands-parents/petits-enfants. (CF)
6. Le petit monsieur , d’Orianne Lallemand et Anne-Isabelle Le Touzé, Glénat Jeunesse, 2021 Album, dès 5 ans
Comme l’indique son titre, Le petit monsieur , c’est l’histoire d’un homme âgé qui vit seul en bord de mer, en y menant une vie paisible. Dans sa grande et belle maison, le quotidien est doux et ponctué d’activités rituelles solitaires, telles que la balade en bord de mer ou le repas du soir composé de sardines à l’huile. La vie, certes simple et agréable, est néanmoins source d’ennui pour le petit monsieur esseulé. Un jour, après avoir croisé de nouveaux arrivants qui «portaient sur eux toute la tristesse du monde», il accepte durant une réunion communautaire d’accueillir dans sa maison une famille issue de ce groupe de réfugiés. Dès lors, Halima, le papa, Amel, la maman et Assaâd, le petit garçon, partagent son quotidien. Au fil des planches, la crainte initiale du petit monsieur et la barrière de la langue, qui se manifeste notamment lors des repas, se transforment en moments de douce complicité et de partages. Ainsi, le petit monsieur n’est plus seul durant ses différentes activités quotidiennes et des liens se tissent entre les personnages, jusqu’à l’établissement d’une joyeuse dynamique de famille.
L’album, coloré et visuellement très réussi, se démarque par ses choix esthétiques. Seul le petit monsieur est représenté comme un humain, tandis que tous les autres personnages, illustrés en animaux, sont anthropomorphisés. En outre, tandis que les habitants du village, habillés de couleurs vives, sont des animaux terrestres – domestiques ou sauvages – les réfugiés sont, eux, des oiseaux vêtus de couleurs ternes et sombres. La symbolique de l’oiseau migrateur permet d’établir le lien avec le statut de réfugié, et devient en ce sens un outil intéressant pour expliquer aux jeunes lecteur·trice·s ce que signifie migrer. Centrale, la figure du petit monsieur offre une vision touchante de la vieillesse, en soulignant notamment la solitude qui la caractérise. Mais, c’est surtout la grande humanité et la générosité du protagoniste qui sont mises en avant, ainsi que l’entraide, l’amitié et la complicité mutuelles qui s’installent dans les relations intergénérationnelles présentes dans l’album. Enfin, Le petit monsieur offre un regard émouvant sur le concept de famille, qui se voit redéfini et élargi par le geste d’accueil du monsieur, qui ouvre non seulement la porte de sa maison, mais également celle de son cœur! (VM)
7. Faut pas pousser mamie et papi dans les orties , d’Elisabeth Brami et Estelle Billon-Spagnol, Talents Hauts, 2020
Album, dès 4 ans
A l’instar du Catalogue de parents pour les enfants qui veulent en changer de Claude Ponti (2008), cet album propose un inventaire jubilatoire de quarante portraits décalés, insolites et cocasses de grands-parents modernes, vus à travers le regard de leurs petits-enfants. A chaque page, un enfant décrit la relation singulière entretenue avec son aïeul-e: «Moi, ma grand-mère… Moi, mon grand-père...». Ce florilège de grands-parents atypiques déconstruit les stéréotypes et démontre leur diversité, qu’il s’agisse de l’âge, la disponibilité, les loisirs, les obsessions, les difficultés ou les origines.
Inspiré de quelques vers du poème Chez moi de René Obaldia, mis en exergue dans la page de garde, Elisabeth Brami explore le lien intergénérationnel avec l’innocence et la fantaisie des plus jeunes. Le texte en rimes est accompagné des notes manuscrites de l’enfant pour une touche plus personnelle. Les dessins colorés, dynamiques et drôles d’Estelle Billon-Spagnol complètent les mots pleins d’esprit.
Cet album est un véritable hymne aux grands-parents d’aujourd’hui… Toutes les mamies ne font pas des gâteaux au chocolat et tous les papis ne jardinent pas avec leurs petits-enfants. Faut pas pousser! (MNL)
8. Le tout petit Bébé de la rivière , d’Armelle Modéré, Albin Michel Jeunesse, 2017 Album, dès 5 ans
Rien que le graphisme du titre et la composition de l’illustration de la couverture jouent avec les contrastes, contrastes qui jalonneront l’album entre deux mondes que tout ou presque oppose: celui de l’abandon et de l’accueil, de la misère matérielle et de la richesse de cœur, de la dureté de la réalité et de la douceur de la relation… En effet, le tout petit Bébé de la rivière est un titre écrit en minuscules, même pour le 1er déterminant le , comme pour induire la taille négligeable du personnage, mais qui, immédiatement après, s’oppose à la seule majuscule, celle qui identifie ce même personnage – Bébé –, lui attribuant par là même une importance de taille, une personnalité qui se détache, prémisse de la construction d’un individu unique et précieux.
Les trois petites vignettes de la couverture donnent à leur tour des indices clairs d’une relation privilégiée d’attention, d’écoute, d’émerveillement mutuel entre une éléphante adulte âgée et une petite lapine blanche: là encore, une rencontre de deux personnages improbables que seul l’amour peut réunir. Cette paire est originale autant qu’unie: la couleur blanche de l’innocence, celle, grise, de la vieillesse, «baignent» joyeusement dans les eaux bleu bébé de la rivière; mais il y a aussi le vert de la robe du bébé, le même que celui de l’écharpe de la matriarche, vert clair d’espoir; le rose, encore, celui de leurs quatre oreilles attentives ou le rouge, symbole de vie, d’amour, de lien indéfectible, même si ce n’est pas celui du sang!
La narration textuelle est épurée, toute en tendresse, en sagesse, en transparence, délivrant un message où seul l’essentiel compte: accueil, dévouement, partage, simplicité, contentement, éducation, scolarisation. Elle conte l’histoire touchante de l’une de ces fillettes indiennes abandonnées – souvent tuées, car elles représentent une charge de trop pour leur famille à cause de l’endettement pour lui fournir une dot au mariage! – qui a été accueillie par une femme pauvre en biens matériels mais si riche d’amour et de sagesse de vie. En filigrane, la survie à l’orphelinat et la possibilité d’adoption qu’il offre, mais surtout la chance que représente la scolarisation des filles pour leur assurer un futur où reconnaissance rimera avec renaissance.
Voici un magnifique hymne à l’amour inconditionnel, capable de faire face aux idées reçues pour les combattre dans les gestes quotidiens; un hymne à la compréhension, au respect mais surtout au courage de lutter contre les traditions injustes et sexistes jusqu’à l’extrême, celui de la discrimination infanticide. Cet amour qui prend mille formes, celle de la bonté spontanée, de l’abnégation parfois nécessaire, de la reconnaissance de l’autre, dans toutes ses dimensions, de la valorisation des petits gestes quotidiens qui font la différence, même s’il faut avoir la patience pour en voir les fruits.
La narration visuelle est composée par de belles illustrations au pastel, expressives et pleines de tendresse, faites de vignettes de différentes tailles qui rendent la lecture dynamique comme l’est la vie trépidante des petits enfants qui s’émerveillent à chaque nouvelle découverte; la douceur des traits et du coloriage crée une ambiance heureuse et sereine, malgré la dure réalité environnante de la misère et des difficultés quotidiennes qui lui sont corrélées.
Comment mieux définir la relation entre une «grand-maman de cœur» et sa petite-fille d’adoption que celle décrite dans cette histoire simple et pourtant profonde, quotidienne et tellement extraordinaire, commune mais pourtant unique? Être grand-maman devrait signifier être deux fois maman et d’un grand âge. Mais ici, il n’y avait jamais eu de maternité et l’âge lui-même s’est retrouvé gommé, effacé, par cette qualité d’amour dit «maternel», qui transcende les milieux et statuts sociaux, dépasse les époques et même survit à la mort, comme une graine profondément enfouie et qui ne cesse de croître, de porter du fruit.
Dans cette relation entre la lapine adoptée et la vieille éléphante, l’amour se décline avec la responsabilité d’éd
Une bonne baise entre mecs
Une vilaine petite asiatique
Jenna Presley se caresse avant de baiser

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