Le temps d'enseignement de l'étudiant

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Cet indicateur présente le temps statutaire d’enseignement et le temps de préparation. Le temps d’enseignement est le nombre d’heures passées à enseigner à un groupe ou une classe d’élèves conformément à la politique officielle du pays ; le temps de préparation est le nombre d’heures passées à préparer les cours. Pour les établissements du primaire et des premier et deuxième cycles du secondaire, le temps d’enseignement est exprimé en nombre d’heures par an. Pour les établissements du premier cycle du secondaire, le temps d’enseignement et le temps de préparation sont exprimés en heures par semaine.

Cet indicateur présente le temps statutaire d’enseignement et le temps de préparation. Le temps d’enseignement est le nombre d’heures passées à enseigner à un groupe ou une classe d’élèves conformément à la politique officielle du pays ; le temps de préparation est le nombre d’heures passées à préparer les cours. Pour les établissements du primaire et des premier et deuxième cycles du secondaire, le temps d’enseignement est exprimé en nombre d’heures par an. Pour les établissements du premier cycle du secondaire, le temps d’enseignement et le temps de préparation sont exprimés en heures par semaine.
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La condition étudiante cristallise les débats publics sur l'enseignement supérieur. Les étudiants sont plus nombreux mais ils sont aussi en plus grand nombre à rencontrer des difficultés pour financer leurs études ou pour se loger.




Dernière modification :
30 août 2021




Temps de lecture 
10 minutes

La crise sanitaire provoquée par le coronavirus a mis en lumière la situation précaire de certains étudiants .
Pour l' année 2021-2022 , alors que près de 2,81 millions d'étudiants devraient faire leur rentrée (nouvelle fenêtre) (+1,1% par rapport à 2020), le syndicat étudiant Fédération des associations générales étudiantes (FAGE) annonce une augmentation du coût de la rentrée de près de 1,32%. 
Dans une enquête récente sur les conditions de vie des étudiants pendant la crise sanitaire (nouvelle fenêtre) , l'Observatoire national de la vie étudiante (OVE) révèle que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie. De nouvelles inégalités sont apparues entre étudiants avec le développement des cours en distanciel (ordinateur personnel, connexion internet, environnement calme et propice au travail universitaire, etc.). Les étudiants étrangers ont été les plus affectés par les conséquences du confinement.
Qu'est-ce que l'Observatoire national de la vie étudiante (OVE) ?
Créé en 1989 par le ministère de l'éducation nationale, sa mission principale est de mettre à disposition des informations sur les conditions de vie des étudiants et sur leur rapport avec le déroulement des études. L'objectif est d'éclairer la réflexion politique et sociale et d'aider à la prise de décisions.
Parmi les étudiants interrogés, 30% jugent leurs ressources insuffisantes et sont contraints de travailler pour subvenir à leurs besoins primaires (alimentation, logement, transport, etc.).
Le pourcentage d'étudiants qui déclarent être en activité rémunérée pendant l'année universitaire est de 46% . Ils sont 54% à juger cette activité indispensable pour vivre et 25% estiment qu'elle a un impact négatif sur leurs résultats scolaires. Au-delà de 12 à 15 heures par semaine, une activité professionnelle est jugée comme possiblement concurrente à la réussite scolaire , notamment si elle n'a aucun lien avec les études. Cet emploi peut être source de stress et de fatigue pour l'étudiant et avoir un impact sur sa santé physique et psychologique.
La crise sanitaire a encore dégradé ces conditions. Selon le rapport de la FAGE, 82% des étudiants ayant un emploi rémunéré ont déclaré connaître des difficultés financières depuis mars 2020.

À partir des résultats d'enquête de l'OVE, l'Inspection générale de l'administration, de l'éducation nationale et de la recherche (IGAENR) relève la diversité des situations face à l'emploi étudiant . Les effets de l'emploi varient en fonction du type d'activité rémunérée exercée pendant l'année universitaire. La concurrence entre l'emploi et les études provoque, dans la plupart des cas, des effets négatifs comme un étirement des parcours. À l'inverse, les activités en lien avec la formation ou les activités rémunérées en conciliation avec les études peuvent contribuer au développement du projet personnel des étudiants. 
L'IGAENR formule une série de recommandations destinées aux établissements d'enseignement supérieur pour rendre l'emploi davantage compatible avec les études. Les préconisations visent à inciter le recrutement d'étudiants sur le campus par des levées d'obstacles de nature réglementaire. Les établissements sont aussi sollicités à mettre en place des services d'orientation pour valoriser l'emploi étudiant dans le cadre des parcours de formation .
Le confinement lié au coronavirus a également eu des conséquences fortes sur les activités rémunérées des étudiants puisque 58% de ceux qui exerçaient une activité ont arrêté, réduit ou changé leur activité rémunérée .
Les aides sociales constituent la principale ressource des étudiants. Le ministère de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation y consacre 3,3 milliards d'euros (nouvelle fenêtre) . Pendant l'année universitaire 2019-2020, près de 718 000 étudiants qui suivaient une formation ouvrant droit à une bourse ont perçu une bourse sur critères sociaux (soit 37%). S'ajoute l'aide personnalisée au logement (APL) qui concerne près de 800 000 étudiants. 
Pour la rentrée universitaire 2021 , les bourses dispensées sur critères sociaux seront augmentées de 1% (nouvelle fenêtre) . Cette hausse est jugée insuffisante par plusieurs fédérations et syndicats étudiants par rapport à l'inflation des coûts de la vie étudiante.
La question des APL s'ajoute aux préoccupations étudiantes. Après l'annonce d'une diminution de cinq euros par mois en 2017, une nouvelle réforme des APL modifiant le mode de calcul du montant de l'aide (nouvelle fenêtre) est entrée en vigueur le 1er janvier 2021. Son application, initialement prévue le 1er avril 2020, a été reportée en raison de la crise sanitaire. Selon une enquête de l’Union nationale pour l'habitat des jeunes (UNHAJ) de mai 2021, durant l'année scolaire 2020-2021, 39% des jeunes ont connu une baisse des APL pour un montant moyen de 118 euros mensuels, quand 15% des jeunes ont connu une hausse des APL pour un montant moyen de 49 euros mensuels.
La plupart des grandes villes françaises enregistrent une hausse continue des loyers depuis plusieurs années.
Pour la rentrée 2021, l'enquête annuelle réalisée par le syndicat étudiant UNEF évalue le coût moyen du loyer à 550,92 euros par mois (contre 535 euros à la rentrée 2020), soit plus des deux tiers du budget mensuel des étudiants. Selon l'observatoire des loyers de l'agglomération parisienne, entre 2009 et 2019, le loyer moyen hors charges a connu une augmentation de 16% . 
Pour sa part, le Cnous a décidé le gel des loyers des logements administrés par les différents Crous en 2020 (nouvelle fenêtre) . Cette mesure, reconduite pour la rentrée 2021, ne concerne que les locations des Crous et n'impacte pas les loyers des locations du parc privé.
Les Crous font face à une forte demande de logements sans avoir les capacités de loger l'ensemble des demandeurs. Par exemple, le Crous de Paris avait reçu, en 2016, 24 500 demandes de logement pour 6 700 places disponibles . La situation est similaire dans la plupart des grandes villes étudiantes françaises.
Un premier plan de logements étudiants visant à construire 40 000 logements avait été lancé en 2013. Un deuxième plan vise la construction de 60 000 logements étudiants d'ici à 2022, 20 000 seront gérés par le Crous. Ces plans ont pour objectif d'améliorer les conditions de vie des étudiants et de compléter l'offre de logements pour être en mesure de suivre l'accroissement futur du nombre d'étudiants.
La "décohabitation" désigne le fait de quitter le domicile parental. Après une hausse de 36% en dix ans pour atteindre 69% d'étudiants décohabitant en 2016, la situation s'inverse et la décohabitation a lieu de plus en plus tard.
L' étude sur les 16-25 ans à Paris (portrait social et démographique) (nouvelle fenêtre) de l'atelier parisien d'urbanisme (APUR) montre qu'en Ile-de-France, près de 45% des jeunes âgés de 25 ans et nés à Paris vivaient encore chez leurs parents en 2014 contre 32% en 1999. L'une des principales explications est l' augmentation des loyers . En moyenne, il faut débourser 572 euros pour un logement de 12m² et 855 euros pour un logement de 21m² à Paris.
Cette tendance d'une "décohabitation" de plus en plus tardive touche principalement les grandes villes. Les jeunes nés dans les petites et moyennes villes doivent le plus souvent partir de leur lieu de résidence pour étudier. 
À l'heure où les études supérieures se démocratisent et où la population étudiante augmente d'année en année, la santé devient un enjeu social primordial.
Projection des effectifs dans l'enseignement supérieur pour les rentrées de 2019 à 2028
Selon les projections 2019-2028 du ministère de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation (nouvelle fenêtre) , les inscriptions lors de la rentrée 2019 avaient déjà augmenté de 1,3%, ce qui représentait 35 000 étudiants supplémentaires. Elles progressent de 0,8% pour la rentrée 2021. Si les tendances actuelles se prolongent, on attend 2,81 millions d'étudiants en 2028 , soit 133 000 étudiants de plus qu'en 2018 .
Dans l'enquête de l'OVE, à la question " Durant une semaine normale de cours, vous arrive-t-il de sauter des repas ? ", 48% des étudiants déclarent sauter des repas . Les raisons sont multiples : 71% par manque de temps ou à cause d'horaires irréguliers, 16% pour des raisons financières, 7% pour des raisons de santé.
Pour permettre aux étudiants boursiers d'accéder à un repas complet à un tarif réduit, le repas à 1 euro a été institué dans les restaurants universitaires du Crous à la rentrée 2020. Fin janvier 2021, le dispositif a été étendu aux non-boursiers. Entre cette date et avril 2021, près de 5,5 millions de repas ont été distribués. Le dispositif ne sera pas reconduit à la rentrée 2021 pour les étudiants non boursiers.
Les étudiants sont aussi davantage concernés par le phénomène du renoncement aux soins. Selon l'enquête réalisée pour l'année 2015-2016 par l'OVE, 30% des étudiants affirment avoir déjà renoncé au moins une fois à des soins . Dans 44,5% des cas, le renoncement est dû à des raisons financières. Les étudiants étrangers sont également touchés. Ceux ne parlant pas ou peu la langue et ne connaissant pas le système de santé français sont confrontés à des difficultés pour trouver un médecin. 
Cependant les raisons du renoncement aux soins ne sont pas toutes liées à des contraintes financières, le manque de temps et " l'attente que cela passe " rentrent également comme principales raisons au renoncement aux soins.
La santé mentale des étudiants est devenue un enjeu social important. L'enquête 2016 de l'OVE pointe " le non-recours aux soins des étudiants souffrant d'un épisode dépressif majeur ". Il est estimé que 75% des troubles psychiatriques et psychologiques débutent avant l'âge de 24 ans . En effet, les études correspondent à une période de changement dans la vie de l'individu et les étudiants sont susceptibles d'être soumis à plusieurs formes de pressions, qu'elles concernent la réussite scolaire, les difficultés financières ou l'intégration sociale.
Dans un rapport de 2018 sur la qualité de vie des étudiants en santé (nouvelle fenêtre) , il est proposé, après un constat inquiétant sur l'état de santé des étudiants en médecine de mettre en place des dispositifs de soutien et d'accompagnement englobant et dépassant les seules aides aux étudiants en échec académique grave ou souffrant de troubles psychiatriques. L'idée principale est d'agir majoritairement en prévention pour intervenir en amont des difficultés que rencontrent les étudiants.
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