Le temps de bouffer est fini

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Le temps de bouffer est fini
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En pré-ménopause ou en ménopause, les bouffées de chaleur vous gâchent la vie ? Vous vous demandez quand est-ce qu'elles vont cesser ? Si des traitements peuvent raccourcir leur durée ? Medisite vous répond avec le Dr Christelle Charvet, gynécologue.
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Publié par Laura Chatelain , le 25/06/2014 à 11:12
C'est très variable. "Globalement, les trois quarts des femmes s'en plaignent la première année, puis ça va plutôt en s'améliorant, leur intensité et leur fréquence a tendance à diminuer. Mais la moitié des femmes en ont encore 5 ans après et 10% d'entre elles à 10 ans. Et même si c'est rare, certaines ont toujours besoin d'hormones pour les éviter 20 ans après le début de la ménopause", constate le Dr Christelle Charvet, gynécologue. Et si la plupart des femmes commencent à avoir des bouffées de chaleur au moment de la ménopause (avec l'arrêt des règles), d'autres les ressentent bien avant, lors de la préménopause (parfois dès la quarantaine) qui peut durer plusieurs années. Bon à savoir : le tabac a tendance à abaisser l'âge de la ménopause et à augmenter les risques de souffrir de bouffées de chaleur. Mieux vaut donc arrêter de fumer le plus tôt possible (dans l'idéal plusieurs années avant la ménopause) pour aborder au mieux cette période.
Difficile de le prévoir ! Mais dans certains cas oui : certaines femmes ressentent une gêne seulement quelques mois puis continuent à avoir des bouffées de chaleur de manière occasionnelle mais sans en être gênée, et n'auront pas besoin de traitement. "En revanche, il est vrai que si les bouffées de chaleur commencent tôt, dès la préménopause, ou sont tout de suite très gênantes, cela risque de durer et de ne pas aller en s'améliorant. Il vaut mieux dans ces cas là entamer un traitement hormonal assez rapidement", estime le Dr Charvet. Il est en effet conseillé de commencer le traitement hormonal substitutif dans les deux ans après que la ménopause soit installée (mais jamais avant la ménopause), d'autant qu'il agit aussi sur les autres symptômes : libido, sécheresse vaginale, état de la peau...
"Même si en général l'intensité et la fréquence des bouffées de chaleur est plutôt stable lorsqu'il n'y a pas de traitement, certaines femmes n'en souffrent en effet que par périodes. Elles peuvent par exemple en avoir beaucoup l'été lorsqu'il fait chaud et être plus tranquilles l'hiver", constate la spécialiste. Enfin, il y a le cas particulier du traitement hormonal : les bouffées de chaleur peuvent alors disparaître puis revenir lorsqu'on arrête le traitement.
Le Dr Charvet l'a en effet constaté : "J'ai vraiment l'impression que chez mes patientes, lorsque les bouffées de chaleur ne sont pas trop invalidantes au départ, l' homéopathie aide à les faire passer plus rapidement, parfois en 3 ou 6 mois. L'organisme s'adapte et les bouffées de chaleur sont ensuite beaucoup mieux tolérées." Il existe notamment une spécialité, Acthéane (Boiron), rassemblant les principales souches utilisées pour traiter les bouffées de chaleur. Un médecin ou gynécologue formé à l'homéopathie peut également prescrire un traitement plus individualisé, adapté au terrain et aux symptômes ressentis. Adopter une bonne hygiène de vie, avec une alimentation équilibrée et une activité physique régulière, semble également aider à diminuer leur intensité et raccourcir leur durée.
Pas vraiment, il cache plutôt le problème en apportant les hormones dont on manque (oestrogènes et progestérone). Résultat : le plus souvent, les bouffées de chaleur disparaissent complètement si le traitement est bien dosé avec des hormones de synthèse. Avec les phyto-estrogènes, les bouffées de chaleur peuvent également s'atténuer. "Mais lorsqu'on arrête le traitement, même au bout de quelques années, les bouffées de chaleur peuvent revenir, parfois avec la même intensité qu'avant, parfois de manière beaucoup moins gênante" prévient la gynécologue. Il est donc important d'arrêter de temps en temps pour voir ce que ça donne sans (plutôt l'hiver) et si on peut s'en passer ou s'il faut reprendre.
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par


Jean-Marie Gourio





dans Force , Citations
A force de bouffer des conservateurs, on finira par plus pourrir dans le cercueil.
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Laurence Pierre. «Ils finiront par nous bouffer » : enquêtes contemporaines sur la mémoire du loup en Cévennes. In: Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d'ethnologie , n°1-3/2002. Le fait du loup. De la peur à la passion : le renversement d'une image, sous la direction de Véronique Campion-Vincent, Jean-Claude Duclos et Christian Abry. pp. 179-198.
«Ils finiront par nous bouffer» : enquêtes contemporaines sur la mémoire
A L'AUTOMNE 1996, je débutais un travail de recueil de la mémoire orale en Cévennes, qui comprenait notamment, parmi ses champs d'investi-. gation, la mémoire historique et le légendaire fantastique�. Préparant un premier canevas d'enquête, je proposais d'inclure dans les thèmes de recherche, quelques questions relatives à la mémoire du loup, puisque ce thème se situait au carrefour des deux domaines précités. Quelques lectures préalables, associées à la connaissance du terrain de Daniel Travier et Jean-Noël Pelen, suggéraient qu'il puisse y avoir là un domaine d'investigation intéressant. Les enquêtes qui sui¬ virent permirent effectivement de recueillir un corpus important de récits com¬ mentés relatifs à la présence ancienne du loup, attestant de la richesse de la mémoire orale autour de ce thème.
Je présente ici les résultats de cette collecte pour laquelle les récits rassemblés se répartissent en deux groupes bien distincts, relatifs d'une part aux attaques de loups sur les animaux domestiques (essentiellement les troupeaux) et d'autre part aux confrontations directes de l'homme et du loup®. L'analyse de ces récits et des commentaires qui les accompagnent permettra également de s'interroger sur la place du loup dans un légendaire des temps et des espaces. Tout discours sur le passé entrant nécessairement en interaction avec le présent, c'est le contexte
(1) L'étude, réalisée à la demande du Parc national des Cévennes, du SIVOM des Hauts-Gardons avec le soutien de la DRAC Languedoc-Roussillon, sous la responsabilité scientifique de Jean-Noël Pelen, concernait les Hautes Cévennes, à savoir, la vallée Française, le pays de Calberte, la haute vallée Borgne et la vallée de la Mimente, territoire entièrement compris dans le département de la Lozère. Voir : P. LAURENCE, Du paysage et des temps. La mémoire orale en Cévennes, vallée Fran¬ çaise et pays de Calberte. Récits de l'histoire, «au-delà des choses», littérature orale, Rapport final de re¬ cherche, 1999.
(2) Je n'évoquerai pas ici la mémoire du loup dans le conte populaire, également bien attestée en Cé¬ vennes, que ce soit dans le conte merveilleux (genre peu représenté, T. 700), le répertoire facétieux (T. 1875) ou surtout les contes d'animaux (cycle du loup et du renard). P. LAURENCE, op. cit., p. 677-773 ; J.-N. Pelen, Le conte populaire en Cévennes , Paris, Payot, 1994.
Le Monde alpin et rhodanien, l"-3' trimestres 2002. Le fait du loup, pp. 179 à 198.


Les téléfilms de l’après-midi sur M6, c’est fini


M6
[ Source ]
Tremblement de terre sur M6. La chaîne fait une croix sur ses traditionnels téléfilms de l’après-midi et propose désormais des documentaires.
C’est un chapitre long de 30 ans qui se termine aujourd’hui pour M6. En effet, la chaîne de télévision range au placard ses incontournables téléfilms de l’après-midi. Souvent clichés, très fleur bleue et pas forcément qualitatifs, ils avaient pourtant réussi à se faire une place de choix dans le paysage télévisuel français. Les plateformes de streaming semblent avoir gagné ce round mais M6 n’a pas dit son dernier mot.
Les mythiques téléfilms de l’après-midi sur M6 ne sont plus. Désormais, la chaîne propose des documentaires à ses téléspectateurs, du lundi au vendredi à partir de 14 heures. Qu’elles soient fictives ou réelles, M6 veut continuer à raconter des histoires. “Nous allons raconter des histoires que vivent les Français” confie Christine Bouillet, directrice de la programmation, à nos confrères du Parisien .
Avec Un jour, un doc’ , la chaîne promet une diversité de sujets : loisirs, métiers originaux, activités familiales. Il devrait y en avoir pour tous les goûts. De quoi changer des téléfilms traditionnels qui, on l’avoue, étaient la plupart du temps des comédies romantiques à l’eau de rose. Rien qui venait révolutionner le genre…
Laisser tomber ses fameux téléfilms de l’après-midi est un pari risqué mais nécessaire pour M6. En effet, les audiences sont en chute libre face à des plateformes de streaming qui continuent de gagner du terrain. Depuis leur arrivée sur le marché, notre manière de consommer du contenu multimédia a bien changé. Eh oui, c’est désormais un réflexe de se ruer sur Netflix , Disney+ ou encore Prime Video pour regarder un programme que de zapper sur les chaînes, “à l’ancienne”. Les chaînes télévisées sont généralement pointées du doigt pour leurs programmes qui ne seraient pas à la hauteur ou encore des horaires définis qui ne plaisent pas à tout le monde.
Si les téléfilms de l’après-midi avaient leur public, qui s’insurge de ces adieux sur les réseaux sociaux, M6 se devait d’innover pour éviter la dégringolade complète. Ainsi, la chaîne espère relever ses audiences grâce à des documentaires intéressants et variés. Si la qualité est au rendez-vous, cela pourrait bien être une stratégie payante. Parfois, le changement a du bon. Non ?
Fusion TF1-M6 : pourquoi le projet risque d’échouer
Molotov : pourquoi vous ne verrez plus les chaînes du groupe M6
M6 va lancer une offre 6Play payante sans coupures pub, comme myTF1 Max
Je suis déçue de ne plus voir de films ou téléfilms. Déjà je ne regardais plus le weekend alors qu’il y en avait, maintenant je ne regarderai plus du tout. Cela me permettais de décompresser et me détendre. Fini M6
Je suis extrêmement déçue de ne plus pouvoir regarder ces téléfilms qui étaient distrayant. Les documentaires diffusés dans le nouveau programme sont du déjà vu. Par exemple cet après-midi le couple et leur fils qui va au Canaries. Je ne regarderai plu M6.
Avec beaucoup de regrets
Oui et le changement c’est TF1 qui ne veut pas de concurence l’après midi et qui continue de diffuser des téléfilms.
Bonjour,
Enfin débarrassé de ces prétextes à pub
Faut-il encore que se soit vrai. Nous avions boycotter, à l’époque TF1, à cause de pratiques similaires, ça ne s’est pas assaini.
Et bien, il était temps d’enlever des nullités pareil qui ne font que ramollir le cerveau et de mettre des choses qui reflète la réalité du quotidien, qui pourrait donner des envies de création futur de projet ou inversement de nous prévenir des choses à faire ou ne pas faire. Les gens veulent de la fraîcheur et en redemande. Bravo au groupe M6 de faire le pas et arrêtez SVP SVP avec ces téléfilm d’un autre âge, des émissions Immobilières, de bouffes et j’en passe, tournez vous vers des choses utiles et intelligente, l’immobilier n’a jamais rempli un cerveau à preuve du contraire et des shows de bouffes qui font croire aux gens qu’ils vont devenir des chefs étoilés le temps d’une émission, n’oubliez pas que ces émissions créées des obèses indirectes.
C’était déjà nul avant mais là c’est encore plus débile a part voir Stéphane Plaza sur beaucoup de chaîne s il n’y a plus rien sur la télé elle est belle la tnt
Dommage j’aimais bien les téléfilms de l’après midi, mais c’est pas grave y a encore ceux de TF1.
Super déçu plus de film à l eau de rose quand tu es malade ben tu ne regardes plus un jour une histoire rabattement sur tf1 dommage
Ce n est pas la qualité du programme qui fait gagner les plateformes…. C est les indigestions de publicité…. Yen as déjà bien assez des Doc télé réalité au niveau intellectuel assez bas…. De vrais documentaires y auras jamais mieux que arte….. Vous n avez cas diminuer vos pub et les gens iront moins sur des plateformes….
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