Le sourire pendant son solo

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Publié le 11/10/2012 à 12h40, mis à jour le 4/02/2015 à 22h34





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1.

Prendre du temps pour soi


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Bien s’entourer et dĂ©culpabiliser


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Garder le lien avec le pĂšre






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Ces femmes élÚvent seules leurs enfants. Comment font-elles pour gérer leur éducation ? Quelle relation entretiennent-elles avec le papa, quand il est présent ? Quelles astuces ont-elles trouvé pour organiser le quotidien ? Quatre mamans solos se livrent.
"J’ai divorcĂ© il y a deux ans, mes garçons avaient alors 4 et 7 ans. J’ai obtenu leur garde : ils voient leur papa un week-end sur deux et durant la moitiĂ© des vacances scolaires.
L’annĂ©e qui suit la sĂ©paration est un chamboulement pour tout le monde. L’entourage - la famille mais aussi les amis - ont un rĂŽle trĂšs important Ă  jouer dans cette transition. Il ne faut pas hĂ©siter Ă  demander de l’aide et ne pas s’enfermer dans une solitude ou une vie Ă  3. Tous les week-ends, avec mes garçons, nous organisions des sorties avec des amis qui ont des enfants du mĂȘme Ăąge. Il faut les solliciter (mĂȘme ceux en couple !), car ils sont parfois pudiques et n’osent pas proposer leur aide, de peur de s’immiscer dans une vie de famille en reconstruction. Pourtant, ils sont un vrai soutien. Et les enfants s’éclatent ensemble !
CĂŽtĂ© Ă©ducation, il faut bien entendu impliquer le papa au maximum, par un dialogue constant (j'ai la chance que cela soit possible). Le tenir au courant des choses, prendre des dĂ©cisions ensemble, se mettre d’accord sur telle ou telle chose
 c’est fondamental pour l’équilibre des enfants : ils sont rassurĂ©s que notre discours soit le mĂȘme, mĂȘme s’ils nous voient sĂ©parĂ©ment.
Pour Ă©viter de culpabiliser (pas facile !), j’ai deux "astuces". D’abord, je fais en sorte d’ĂȘtre pleinement prĂ©sente avec eux quand je les ai. Les week-ends oĂč je suis seule, je gĂšre les courses pas marrantes, la paperasse, etc. L’idĂ©e : dĂ©gager le temps oĂč j’ai les enfants de toutes contraintes pour pouvoir me concentrer sur eux. Et passer de super moments ensembles

La deuxiĂšme chose fondamentale, et je ne l’ai pas suffisamment fait l’annĂ©e qui a suivi la sĂ©paration, est de prendre du temps pour soi. C’est trĂšs important de souffler et de se faire plaisir (comme quand on est en couple d’ailleurs !). On ne profite que mieux des moments avec ses enfants aprĂšs. L’idĂ©al : pouvoir poser une journĂ©e de congĂ© par mois pour prendre son temps Ă  la maison, aller chez le coiffeur sans courir
 Et aller chercher les garçons Ă  l’école Ă  4h. SuccĂšs assurĂ© ! Dans la rĂ©alitĂ©, ce n’est pas toujours facile Ă  faire, mais il faut essayer de s’y tenir !"
"Je me suis retrouvĂ©e seule avec LĂ©o quand il a eu un an. Le papa est trĂšs prĂ©sent, il essaie de l'ĂȘtre le plus possible...
Nous l'avons chaque jour par tĂ©lĂ©phone avant le coucher de LĂ©o et dĂšs que possible sur Skype. Il retrouve LĂ©o tous les week-ends. Quand on est maman solo, le plus important est de bien s'entourer pour gĂ©rer le quotidien et les imprĂ©vus. Étant donnĂ© que nous n’avons pas de famille proche, nous nous sommes constituĂ©s un rĂ©seau de personnes fiables qui peuvent nous aider Ă  tout moment : ma meilleure amie (qui est aussi la marraine de LĂ©o), une nounou en or et la gardienne de l'immeuble pour dĂ©panner en cas de besoin. J’ai entendu parler de nombreuses associations pour mĂšres cĂ©libataires qui se crĂ©ent, j’imagine que ça peut ĂȘtre utile de les contacter, elles ont sĂ»rement plein d'astuces et de conseils pour aider les mamans solos aussi !
Pour moi, le plus important est de garder le moral, d'ĂȘtre positive malgrĂ© les difficultĂ©s... Il y a beaucoup de moment compliquĂ©s Ă  gĂ©rer avec la fatigue que cela implique quand on mĂšne de front carriĂšre, nuits courtes et manque de temps libre pour soi. Si mon fils doit regarder des dessins animĂ©s le matin pendant que je me prĂ©pare, c'est pas grave... Pareil s'il mange souvent des pĂątes, faute de temps pour prĂ©parer un repas le soir. Il faut dĂ©culpabiliser, l’important est qu’il voit sa maman souriante et heureuse, non ?"
"J’ai adoptĂ© ma fille quand elle avait 20 mois. J’ai donc Ă©tĂ© dĂšs le dĂ©part une "maman solo". Au dĂ©but, nous avions une relation trĂšs fusionnelle, je la laissais rarement. Eventuellement Ă  ma mĂšre pour aller au supermarchĂ© ! Avec le recul, je pense qu’il est trĂšs important d’ĂȘtre entourĂ© (un enfant c’est trĂšs prenant) et de s’autoriser soi-mĂȘme Ă  vivre, sans ĂȘtre en permanence centrĂ©e sur son enfant. En s’obligeant Ă  sortir, en se fixant un cours de gym par semaine, une sortie avec les copines le soir, etc. Mais aussi en profitant des structures, comme les halte-garderies, sans culpabiliser.
Au quotidien, le maĂźtre-mot : se faire confiance ! En Ă©tant attentive Ă  leurs rĂ©actions, Ă  leurs Ă©motions
 Bref, s’adapter Ă  la situation plutĂŽt que d’appliquer des recettes de psy toutes faites (Dieu sait si j’ai pu lire d’ouvrages sur le sujet !) Attention aussi, Ă  la volontĂ© d’ĂȘtre parfaite. J’ai eu un dĂ©clic le jour oĂč ma fille m’a dit "Maman, t’en fais trop !"
CĂŽtĂ© autoritĂ©, pour Ă©lever seule un enfant, c’est sĂ»r qu’il faut avoir de la personnalitĂ©, une bonne dose de self-control et une forte capacitĂ© de rĂ©sistance ! L’idĂ©al est d’avoir une personne de l’entourage sur qui on peut s’appuyer, un rĂ©fĂ©rent dans l’autoritĂ© en somme, pour se "soulager" quand l’enfant nous pousse Ă  bout.
Enfin, je dirais que le plus important dans tout ça est d’ĂȘtre consciente et accepter que son enfant a forcĂ©ment un manque. Il faut l’aider Ă  se construire avec ce manque plutĂŽt que de chercher Ă  le combler absolument
"
"Je suis restĂ©e trois ans avec celui qui devait ĂȘtre le pĂšre de mon enfant. Il est marin, il partait longtemps, ne supportait pas Paris. C’était une relation fusionnelle. Je l’ai quittĂ© quelques mois puis nous avons repris notre liaison. Une semaine aprĂšs, j’étais enceinte. Je ne voulais pas Ă©lever mon enfant seule. Mon ami m’a laissĂ©e dĂ©cider, en affirmant qu’il Ă©tait heureux. Mon fils est nĂ©.
Son pĂšre Ă©tait lĂ  Ă  mi-temps. Au bout d’un an, nous avons rompu. J’avais passĂ© l’hiver quasiment seule, je m’étais bien dĂ©brouillĂ©e en tant que maman. Mais j’avais peur d’infliger une rupture Ă  mon enfant. Et puis, grĂące Ă  des conseils extĂ©rieurs, j’ai commencĂ© Ă  penser Ă  moi et Ă  constater qu’avec une maman Ă©panouie, mon fils allait mieux. Je lui ai beaucoup parlĂ©. Les dĂ©buts avec son pĂšre ont Ă©tĂ© trĂšs conflictuels. Et il a fini par l’accepter. Il a achetĂ© un appartement prĂšs de chez nous et notre fils va chez lui quand il est lĂ .
J’ai la chance d’ĂȘtre trĂšs entourĂ©e : sa nounou est une tante de son pĂšre, mes parents viennent souvent nous voir et mes deux frĂšres sont pas loin et peuvent le garder. Comme je suis aidĂ©e, nous vivons bien. Parfois bien sĂ»r, j’aimerais que quelqu’un prenne le relais mais j’apprĂ©cie de me retrouver seule. Quand son pĂšre s’en occupe, j’ai du temps. En plus, nous sommes sur la mĂȘme longueur d’onde au niveau de l’éducation. Mon fils va parfois aussi chez mes parents. Je profite alors de ma vie de cĂ©libataire. Je lui explique toujours oĂč il va, quand on se revoit, et je lui parle beaucoup de son pĂšre. Je garde un lien comme ça."
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Le sourire, cette expression subtile qui modifie votre cerveau

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« Le sourire provient d’une vibration qui associe la joie et la terreur, l’émerveillement et l’effroi », Ă©crit Patrick Drevet dans son essai Le Sourire.
Le sourire , cette expression subtile qui modifie votre cerveau
Combien de fois souriez-vous par jour ?
Impossible de le dire, tant cela dépend de votre personnalité et des instants choisis. Mais souriez-vous toujours pour exprimer le plaisir ?
Est-il toujours associé à un sentiment positif ?
Timide, narquois, carnassier, glamour, conquĂ©rant, etc. Dix-neuf sourires ont Ă©tĂ© recensĂ©s, nous n’en dĂ©cryptons que six. Levons le voile sur la plus subtile des expressions humaines.
« Le sourire provient d’une vibration qui associe la joie et la terreur, l’émerveillement et l’effroi » , Ă©crit Patrick Drevet dans son essai Le Sourire.
Complexe, il rĂ©vĂšle ce que nous sommes. Pourtant, Ă  l’inverse du rire, qui prĂ©occupe les chercheurs depuis une vingtaine d’annĂ©es, peu d’études ont Ă©tĂ© consacrĂ©es Ă  cette expression trĂšs subtile.
À la naissance, il n’existe pas. Il apparaĂźt chez le bĂ©bĂ© entre son 30e et son 45e jour, au plus tard Ă  3 mois. Il sert Ă  exprimer un contentement Ă  la vue d’une personne familiĂšre, Ă  l’écoute d’un son mĂ©lodieux ou aprĂšs un repas.
L’apprentissage par imitation va ensuite jouer son rĂŽle et donner tous ses sens au sourire. Le psychologue Paul Ekman en a recensĂ© dix-neuf diffĂ©rents, dont ceux empreints de peur, de mĂ©pris ou d’ironie : les rictus.
Sourire est d’abord un mĂ©canisme cĂ©rĂ©bral. Selon les scientifiques, tout commence par une excitation de la partie antĂ©rieure de notre hypothalamus . Cette glande est situĂ©e Ă  la base du cerveau.
Telle une onde, elle transmet un influx nerveux au systÚme limbique, siÚge des émotions. Le tonus musculaire se relùche, les réactions faciales de contentement apparaissent.
VoilĂ  une excitation de la partie postĂ©rieure de l’hypothalamus entraĂźne des rĂ©actions de mĂ©contentement.
Aussi anodin que cela puisse paraĂźtre, le sourire a plus d’une vertu. Il apaise entre autres la rĂ©action de stress.
Il libĂšre aussi des substances neurochimiques saines, telles que la dopamine et les endorphines . C’est cette rĂ©action qui nous permet de nous sentir bien tout de suite.
Il a Ă©tĂ© prouvĂ© que le simple fait d’activer les muscles faciaux du sourire nous incite Ă  Ă©valuer la vie de façon plus positive. Et ce, mĂȘme si nous n’en ressentons pas l’envie,
Voir une personne sourire nous incite à nous sentir et à agir mieux. Également, si vous souriez à quelqu’un les chances sont que cette personne vous fasse un beau sourire en retour.
C’est ce qu’on appelle la contagion Ă©motionnelle.
Quand vous souriez avec sincĂ©ritĂ©, vous incitez les gens Ă  venir vers vous et Ă  s’ouvrir davantage Ă  vous. Sourire plusieurs fois par jour peut propager des ondes merveilleuses partout.
Que ce soit dans votre cerveau, votre corps, votre esprit et vos relations.
Le sourire est souvent un remÚde gratuit et trÚs efficace contre la morosité.
Voici 5 bienfaits qui se feront sentir trĂšs rapidement :
Nous sommes naturellement attirés par les gens qui sourient.
Pourquoi ? Parce qu’ils nous paraissent plus attrayants, sociables et confiants.
Une Ă©tude a mĂȘme dĂ©montrĂ© que 69 % des personnes interrogĂ©es trouvent qu’un sourire est plus attrayant chez les femmes que du maquillage.
Conclusion: le sourire reste l’arme la plus puissante en termes de sĂ©duction !
De la mĂȘme façon que bĂąiller est contagieux, un sourire est communicatif. Encore une fois, tout se passe dans notre cerveau qui est « cĂąblĂ© » pour la sociabilitĂ©.
Lorsque nous interagissons avec les autres, un pont neuronal est créé entre notre cerveau et ceux qui nous font face.
Nos « neurones miroirs » assurent une fonction de synchronisation.
Ils peuvent alors activer la mĂȘme rĂ©gion de notre cerveau qui a Ă©tĂ© activĂ© dans celui de la personne avec laquelle vous interagissez.
Les scientifiques ont étudié ce qui se produit en nous lorsque ces muscles du visage, ainsi que les minces os de la face, se déplacent.
Ils ont constaté que le sourire libÚre de la dopamine et de la sérotonine dans le cerveau, provoquant un sentiment de bonheur.
Nous pouvons améliorer nos états physiologiques et psychologiques en changeant délibérément nos expressions faciales.
Sourire aide le systĂšme immunitaire Ă  travailler plus efficacement.
Une petite risette peut vous permettre de baisser votre pression artérielle et à vous sentir plus détendu.
Lorsque vous souriez, vous libĂ©rez des hormones associĂ©es au «circuit de la rĂ©compense» chez l’humain.
Maintenant, essayez de penser à quelque chose de négatif sans perdre votre sourire. Pas facile !
Lorsque nous sourions, notre corps nous renvoie un signal signifiant Ă  notre esprit que tout va bien. Plus vous souriez, plus vous vous sentirez positif et verrez la vie en rose.
Lisez cette liste plusieurs fois par jour en replongeant dans la sensation de joie que ces expériences vous procurent.
Prenez pleinement conscience de tout ce que vous ressentez.
Prenez aussi conscience de la maniÚre dont vous vous comportez vis-à-vis des autres et leurs réactions.
Vous pouvez noter : des moments que vous avez partagĂ©s des comportements sur lesquels vous avez Ă©voluĂ© et dont vous ĂȘtes fier des situations extĂ©rieures des nouvelles connaissances ou rencontres changement opportunitĂ©s cadeaux
Faites cet exercice rĂ©guliĂšrement pendant un mois. Puis vĂ©rifiez par vous-mĂȘme ce qui change dans votre attitude, dans vos relations, dans vos pensĂ©es.
Avez-vous souri en lisant cet article ? Si c’est le cas, bravo! Vous ĂȘtes sur la bonne voie pour dĂ©velopper cette habitude si bĂ©nĂ©fique Ă  votre santĂ©.
N’oubliez pas que le sourire est gratuit. Et qu’il fait autant de bien à celui qui le donne que celui le reçoit.

Blog voyage > Lifestyle > Partir seule en vacances pour la premiĂšre fois : conseils pour se rassurer
MarlÚne Lifestyle Mis à jour le 4 juillet 2020
Article publié le 27 août 2020 DerniÚre mise à jour le 4 juillet 2020
Salut Bye Bye est un blog voyage qui réunit de nombreuses informations, photos et bonnes adresses pour faire des découvertes partout autour de soi !
Vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  envisagĂ© de partir seule en vacances 
 ou peut-ĂȘtre que l’idĂ©e vient seulement de vous traverser l’esprit. Que ce soit pour faire le point, pour se ressourcer, pour prendre du temps pour soi, partir seule en voyage ou simplement en week-end peut faire peur, en particulier quand c’est la premiĂšre fois !
Ayant l’habitude de voyager seule , je vous propose dans cet article des conseils issus de ma propre expĂ©rience pour sauter le pas !
Conseils voyage de l'article [ Masquer ]
Pour certaines personnes, la simple idée de voyager seul paraßt déconcertante : pourquoi choisir de partir sans ses amis, sa famille, son conjoint ?
Le voyage solo , à mes yeux, ne remplace pas le voyage entre amis, en couple ou en famille. Il offre simplement une expérience différente .
Partir seule en vacances n’est pas aussi rare qu’il y paraĂźt ! En 2014, Booking avait publiĂ© une Ă©tude sur les voyageurs solo , qui montrait que 72% des AmĂ©ricaines avaient dĂ©jĂ  voyagĂ© seules.
Partir seule en voyage, c’est avoir la libertĂ© de choisir parmi une foule de destinations , en France comme Ă  l’étranger. Par peur ou par manque de confiance en soi, on se tourne parfois vers une destination par pur esprit pratique : ce n’est pas trop loin, ça ne coĂ»te pas trop cher, ça n’a pas l’air trop dangereux

Bien sĂ»r, les critĂšres de prix et de sĂ©curitĂ© sont importants, mais choisir une destination qui vous parle au plus profond de vous l’est encore plus. C’est ce qui vous donnera l’impression d’avoir accompli un beau voyage.
Pensez aux endroits que vous avez toujours rĂȘvĂ© de voir . Ça peut ĂȘtre cette photo qui vous a inspirĂ©e, cette culture qui vous attire depuis toujours, ce film qui vous a donnĂ© envie de vous projeter dans un autre dĂ©cor

Ce sont d’excellentes motivations pour trouver une destination qui vous fera vibrer . Plus vous Ă©prouverez cette curiositĂ© et cette passion, plus vous serez prĂȘte Ă  dĂ©ployer un maximum de ressources pour vivre un beau voyage et affronter ce qui vous fait peur.
Si vous avez certaines apprĂ©hensions Ă  partir seule en vacances, vous pouvez rĂ©duire ce sentiment d’incertitude en rassemblant un maximum d’informations sur votre destination . J’ai partagĂ© sur le blog de nombreux conseils pour crĂ©er un itinĂ©raire , par exemple.
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