Le sexe à deux c'est bien à trois c'est encore mieux

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 « Oublie-la, mon petit Nichkhun ! » pensai-je en m'avançant lentement dans la salle. Les gars et moi étions invités pour l'anniversaire de Victoria. Cette dernière avait insisté auprès de mon meilleur ami pour que je sois présent ce soir. Evidemment, il avait accepté à la condition que sa nouvelle petite amie, dont je n'avais pas encore fait la connaissance, fasse partie des privilégiers invités. Un traître ! Mais, je ne pus m'empêcher de sourire devant son air ravi. « Tu as intérêt qu'elle en vaut le sacrifice extrême que je suis en train de faire ! », lui glissai-je à l'oreille en rigolant. Cependant, il n'eut pas le temps de me répondre, car Victoria venait vers nous, d'un air satisfait. Comment avais-je pu la trouver si attirante à une époque ? Mes amis me tapèrent tous sur l'épaule, avant de disparaître. Ils n'appréciaient guère cette vipère, selon leur dire. Je me résignai à subir ses assauts. « Nichkhun ! Je suis si heureuse que tu sois enfin là ! », susurra-t-elle en glissant sa main sous mon bras et déposant un baiser sur ma joue. Argh, Jun Su, tu as vraiment de la chance de m'avoir pour ami ! Je tentai vainement de me libérer de son emprise, sans succès. « Tu devrais sourire ! Ils vont finir par croire que tu assistes à un enterrement, alors qu'il s'agit de mon anniversaire !, siffla-t-elle en souriant aux invités qui nous reluquaient. - Pardonne-moi de ne pas savoir faire semblant comme toi !, rétorquai-je avant de retirer sa main et de me rendre au bar qui se situait au centre de la salle. Derrière moi, je crus l'entendre taper du pied. Une preuve de son exaspération ! Je souris. « Un whisky sec, s'il vous plaît ! » commandai-je en scrutant les alentours à la recherche de mes amis. Lorsqu'une femme aux longs cheveux bruns retint mon attention. Je ne voyais d'elle que ses cheveux et ses jambes galbées dans des escarpins Louboutin, semble-t-il. Elle attirait tous les regards, car elle dépassait d'une tête au moins toutes les femmes de l'assistance. Je ris en portant mon verre à ma bouche. « Retourne-toi, jolie étrangère ! », pensai-je. Tout à coup, elle pivota vers moi, comme si elle avait entendu ma prière muette. J'avalai de travers en la reconnaissant. Impossible ! Pourtant, je ne pouvais rêver : le visage en cœur, les yeux bruns, les lèvres pulpeuses, la taille fine, la peau mate et ce sourire renversant. Il s'agissait d'elle. Sans m'en rendre compte, j'avais abandonné le bar et avançais lentement jusqu'à elle. Une main sur la taille, elle riait. Son rire cessa lorsqu'elle me vit. Dans ses yeux, je lus la même question qui trottait dans ma tête : « Que fais-tu ici ? » - J'ai été invité par Victoria ! Et toi ?, demandai-je, la voix rauque et le cœur qui faisait des bonds dans les sens. - Moi aussi. - J'ignorai que tu connaissais Victoria !, fis-je remarquer avant de me mordre la langue. - C'est normal ! Nous n'étions pas sensés nous revoir !, dit-elle en souriant. - C'est vrai ! Puis-je t'offrir un verre ?, proposai-je avant de m'apercevoir qu'elle tenait déjà un verre à la main. Zut ! Ressaisis-toi, mec ! - Ce sera avec plaisir ! Je n'aime pas du tout le champagne !, me murmura-t-elle en me faisant un clin d'œil. Nous éclatâmes de rire. Au bar, nous goûtâmes un cocktail, dont le principal ingrédient était la téquila. Au deuxième verre, l'atmosphère était plus détendue. « Je n'ai pas eu l'occasion de te remercier pour la dernière fois. », commença-t-elle, « Je me suis enfuie comme une voleuse. J'en suis désolée ! - Ce n'est pas grave ! Et j'accepte tes remerciements ! - Hahahahahaha, c'est un peu embarrassant, n'est-ce pas ? - Oui, mais nous sommes adultes, donc nous devons assumer. - Et puis, ce n'était qu'une nuit !, fit-elle en m'observant attentivement. - Une seule nuit !, répétai-je en me rappelant les émotions que j'avais éprouvé à son contacte. Une rencontre dans un bar. Elle et moi seuls. Plusieurs verres et des rires plus tard. Mon appartement. Une nuit magique. Une fuite. Le destin nous donnait-il une chance de terminer ce que nous avions commencé cette nuit-là ? « Oh My God ! J'adore cette chanson. », fit-elle en se levant de son tabouret et me saisissant le bras, « Fais-moi danser ! » J'aurais du refuser, mais elle m'entraînait déjà dans son sillage. Je retrouvai la même sensation quand elle se colla à moi. Dans un corps à corps enflammé, nous dansions le tango que crachait la sono. Je me noyai dans ses effluves. Elle était ensorcelante. Nos pas ne formèrent plus qu'un jusqu'au final. Là, le corps renversé, la tête abandonnée et les lèvres offertes, j'aurais pu l'embrasser. Peu importe, les gens qui nous entouraient, seule elle comptait et les émotions qui bouleversaient ma vie depuis que je l'avais croisée. Pendant que je la remettais sur pied, je sentis une main sur mon épaule. « Nichkhun ! Je constate que tu as fait la connaissance de Jennifer !, dit Jun Su en enlaçant la taille de ma cavalière. Il l'embrassa...sur les lèvres que j'avais goûtées une nuit.





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BiGBANG iS BACK Haru Haru - BiGBANG

Création : 28/09/2011 à 03:42
Mise à jour : 25/04/2013 à 01:43

# Posté le jeudi 27 décembre 2012 09:12


Cartes Pokémon : où commander le coffret ...

[Priorité à James & ensuite à Heather. Après ceux qui veulent pourront poster tant qu'il n'y a pas trop de bazar]. [Ensuite Ayten est plutôt sérieuse comme fille. J'ai l'habitude des RP's loufoques, donc là je pense que ça se voit un peu M'enfin, je sens qu'on va bien s'amuser quand même .... soyez indulgent avec moi ] Il était environ 23 heures et, dans la salle commune des Serdaigle il n’y avait plus qu’Ayten encore réveillée. Enfin, réveillée était un bien grand mot. La Miss était avachie sur un fauteuil, la bouche grande ouverte avec un filet de bave dégoulinant le long de sa joue les yeux à moitiés fermés un livre de cours glissant petit à petit de ses mains. Le bruit que ce même livre produisit en tombant à terre lui fit faire un bond. A présent bien réveillée, la jeune Piaf se leva prête à aller se coucher. Soudain, une horrible conclusion s’imposa à elle : elle avait envie d’aller aux toilettes. Devoir parcourir le château dans le noir lui donnait d’avance des frissons mais si elle ne remédiait pas au trop plein de sa vessie, elle allait avoir des surprises en se réveillant. C’est ainsi que notre amie décida de braver le danger et de partir à la recherche de toilettes potables. Armée de sa baguette et sa cape posée par-dessus son uniforme, la jeune fille marcha sur la pointe des pieds jusqu’au tableau gardant l’entrée de sa salle commune. Elle poussa ce dernier et s’éloigna sans faire attention aux injures proférées par le tableau concernant « les jeunes et leur manie de se croire tout permis. De mon temps… ». La Serdaigle s’arrêta un instant assez déconcertée. Elles étaient où encore ses toilettes ? La dernière fois elle était sûre de les avoir vues ici et maintenant il n’y avait plus rien du tout. Ayten en était sûre, elles avaient fait exprès de se déplacer pour l’embêter et lui faire perdre du temps. Surtout qu’elle était vraiment pressée et qu’elle se voyait mal allait frapper chez Rusard pour lui demander où il avait mis les toilettes. Allons bon, autant en revenir à la bonne vieille méthode : le ploufploufage. Après avoir récité « au bout de trois ça sera toi que je prendrais, 1…2…3 » son doigt s’arrêta vers un couloir qui partait vers la gauche. Son sort reposait maintenant sur un simple geste de hasard. Allait-elle trouver des toilettes dans les trente secondes qui suivent ce geste où se retrouverait-elle condamnée à errer dans les couloirs jusqu’à ce que, par miracle, elle trouve Rusard. La bleue et bronze n’avait jamais eu de chance dans sa vie et, cette fois ci encore n’échappa pas à la règle. Tout ce qu’elle vit devant elle, c’est un long couloir où les flammes de quelques rares bougies contrastaient avec la noirceur de l’endroit. Mais Ayten n’avait même pas peur. Collée contre le mur, d’une marche saccadée et peu assurée, la bleue et bronze continua son chemin. Et, ô miracle, juste devant elle ? Les toilettes ! Enfin, elle commençait à désespérer notre Serdaigle. Un sourire béat jusqu’aux oreilles, Ayten approcha sa main de la poigné et la tourna, rassurée à l’idée que, dans quelques minutes, elle n’aurait plus cet horrible mal de ventre et qu’ensuite elle pourrait retourner dormir. C’était sûrement trop demander au destin. Parce que, derrière la porte, au lieu de trouver des cabinets, c’est sûr un jeune homme blond que tomba Ayten. Vous me direz, en voyant le visage de ce fameux jeune homme, que la différence n’était pas énorme. Ce n’est pas entièrement faux. Passablement de mauvaise humeur, la jeune fille se demanda ce qu’il foutait là. Dans les toilettes des filles en plus. Enfin. Ce qu’elle croyait être les toilettes des filles. Dans sa précipitation, la Miss ne s’était même pas rendu compte qu’elle avait mis pied dans un sacro lieu saint. Un endroit où il ne fallait jamais mettre les pieds. En endroit sale, puant, plein de flaques bizarres et non identifiées au sol, bref un endroit de GARCON, tout simplement. Et elle, Ayten Yeter Oztürk, ainée d’une famille de sept enfants, venait de déroger à la règle. Honte à son honneur. « Mamie racontes nous ton enfance à Lashlabask » « Je suis entrée dans les toilettes des mecs, l’un d’eux m’a vu, et là cela a été un gouffre de déshonneur sans fin. ». Rien de très réjouissant pour elle, n’est-ce pas ? Mais cela, elle ne le savait pas encore. Alors, mis à part sa vessie, rien ne la mettait de très mauvaise humeur. La bleue et bronze avait déjà vu ce garçon blond. Elle savait qu’il était assez connu. Si même Ayten en avait entendu parler, c’est qu’il devait avoir une quelconque renommée non ? C’était peut-être à cause de ses cheveux blonds, il devait être le descendant du type qui avait inventé la serpillère. Wah. Peut-être était-elle en face d’une célébrité locale alors ? Que devait-elle faire ? Se prosterner ? Faire des courbettes au sieur devant elle ? Plutôt mourir. Non, elle ne ferait rien de tout cela. Sans agressivité, la jeune fille murmura, d’un ton ironique : « Ainsi donc, les toilettes des garçons sont si horribles que ce que l’ont dit ? Remarque, je te comprends. Cela doit être particulièrement dégoûtant de devoir marcher dans des flaques à chaque fois que l’on se rend au petit coin » Tout en disant ses mots, Ayten remarqua une tâche claire et jaune sur le sol à sa droite. Pour elle le coupable ne pouvait être que le jeune homme qu’elle avait en face d’elle. Honte à lui. Sans rien dire, la jeune fille secoua la tête. Elle ne ferait aucun commentaire, même si l’envie la titillait assez fortement. Non, elle possédait bien trop de tact pour cela. Sans avoir remarqué son erreur, il faut dire qu’il faisait sombre aussi, et qu’il était tard, et qu’elle était fatiguée. Oui je lui trouve des excuses à ma chose et alors ? Toujours est-il que la miss n’avait pas remarqué les pissotoires adossés au mur. Elle, ce qui l’intéressait c’était l’unique cabine - depuis quand les WC des filles n’ont qu’une seule cabine ?-, positionnée juste derrière le blondinet. D’un ton assez poli, mais on sentait pointer l’ironie à l’intérieur, elle reprit : « Puis-je passer ? » * Oui parce que sinon je vais faire dans ma jupe. Et après on va dire que je suis aussi sale qu’un garçon. Alors bouge ton joli petit cul mon gaillard, j’ai envie de faire pipiiii !*
A d m in s u p er m é c h an t e Ayten, présidente
[HJ: MDR ton topic! Ne t'inquiète pas j'essayerai d'être indulgent!]
A d m in s u p er m é c h an t e Ayten, présidente
H eather était dans la salle commune des Serpentards, assise à une table. Devant elle s’étalaient plusieurs livres concernant les sortilèges d’apparition, une feuille de parchemin entièrement recouverte de son écriture, deux autres encore vierges, une plume et une petite bouteille d’encre. Cela faisait un peu plus d’une demi-heure qu’elle travaillait sur son devoir de sortilège, et elle n’avait pas encore complètement terminé. A vrai dire ce n’était pas urgent étant donné qu’il était à rendre dans seulement deux jours, mais une fois que ce serait terminé, elle n’aurait plus à y penser. Heather avait commencé à s’y mettre en début de soirée, mais elle avait très vite abandonné en voyant un groupe de première année arriver en hurlant. La jeune fille était montée dans son dortoir pour redescendre un peu plus de deux heures après - une fois qu’un grand nombre d’élèves furent partis se coucher. A ce moment là, il y avait encore un petit groupe de cinquième année et deux ou trois élèves de septième, mais désormais, Heather était seule dans la pièce. La jeune fille se passa les mains sur le visage et se frotta légèrement les yeux. Elle commençait à être un peu fatiguée, et elle n’avait plus aucune envie de travailler. Il faudrait que la prochaine fois, elle pense à jeter un sort aux importuns histoire de travailler tranquillement dès le début de la soirée plutôt que de s’y mettre avec sérieux seulement vers vingt-trois heures. Heather referma le livre qu’elle avait sous les yeux et rangea ses affaires dans son sac. La jeune fille s’approcha du feu de cheminée, presque éteint. La Serpentard fouilla dans la poche de son jean à la recherche de la lettre de sa mère. Elle l’avait reçu ce matin dans la grande salle lors du petit déjeuner. Heather ne l’avait même pas lu, mais là, la curiosité la prit. Après tout, sa mère n’écrivait jamais, il devait donc y avoir quelque chose d’intéressant dans cette lettre, ou du moins d’important. Mais la jeune fille eue beau vérifier plusieurs fois, il n’y avait rien dans ses poches. Où avait-elle bien pu mettre cette lettre ? E t merde ! Heather venait de se souvenir de sa petite escale dans les toilettes des garçons en début de matinée. Elle avait eut une envie pressante alors qu’elle quittait la tour d’astronomie et elle ne se souvenait plus pourquoi, mais elle avait vidé ses poches sur le bord d’un lavabo. La jeune fille jeta un œil autour d’elle. Aller la chercher ou ne pas y aller ? Heather marcha de long en large dans la salle commune. Et si la lettre était tombée entre les mains d’un autre élève ? Si sa mère y avait écrit des choses importantes et confidentielles ? Si ses parents lui dévoilaient enfin la vérité sur leurs agissements sur ce simple morceau de parchemin ? Tout à coup, la Serpentard fut prise d’angoisse. Il fallait absolument qu’elle retrouve cette lettre. Heather grimpa rapidement dans son dortoir pour aller chercher une veste. Elle était pressée de retrouver son courrier, mais elle n’avait pas non plus envie d’attraper la crève. La jeune fille veilla à ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller ses camarades, et s’approcha de son lit à baldaquin. Elle avait laissé une veste sur sa malle et elle l’attrapa avant de quitter le dortoir. Heather vérifia qu’elle avait bien sa baguette dans sa poche et elle quitta la salle commune des Serpentards, déclenchant au passage quelques remarques du portrait qui gardait l’entrée. Mais l’adolescente ne s’en préoccupa guère, et elle avança à travers les cachots tout en enfilant sa veste. Il ne faisait pas très chaud, et elle pressa le pas. Heather sortit des cachots et jeta discrètement un œil à l’intérieur du hall d’entrée. La voix était libre. La Serpentard grimpa rapidement les escaliers qui menaient au premier étage, et continua son ascension, priant pour ne croiser aucun professeur. U n peu plus tard, elle posait les pieds au sixième étage. La jeune fille poussa un soupir de soulagement. Elle avait eu beaucoup de chance de ne croiser personne. Pas un enseignant, pas un préfet, ni même un élève en train d’enfreindre les règles. C’était assez inhabituel. Mais bon, elle n’allait pas s’en plaindre ! Heather s’approcha des toilettes des garçons. Elle n’avait plus qu’à prier pour que sa lettre soit toujours là, et surtout, qu’elle soit intacte ! Parce que si elle était trempée, la jeune fille était mal barrée pour pouvoir la déchiffrer. La Serpentard poussa la porte des toilettes. Elle referma derrière elle et alors qu’elle se retournait, elle resta sans voix. Si il y avait une chose à laquelle elle ne s’attendait pas, c’était bien celle là. Une élève de Serdaigle, Ayten, était dans les bras de James, les yeux fermés. Heather resta immobile, sans comprendre. Alors maintenant, en plus d’inv
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