Le secouriste fait du bouche à bouche (à bouche)

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Le secouriste fait du bouche à bouche (à bouche)
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Rédigé le 11/06/2010 , mis à jour
le 18/03/2015
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Dans quels cas faut-il faire le bouche-à-bouche ?
Les réponses avec le Dr Pascal Cassan, médecin conseiller national de la Croix-Rouge française :

"De toute façon, il vaut mieux faire quelque chose que ne rien faire du tout. Le message est très simple aujourd'hui. D'abord chez l'adulte, comme c'est un arrêt cardiaque lorsque quelqu'un arrête de respirer , on va donner priorité à faire circuler ce sang, c'est-à-dire à faire le massage.

"Comme la personne vient de s'effondrer, on va agir parce que l'on espère qu'un jour un Français sur deux, voire pourquoi pas tous les Français, saura le faire et que dès que quelqu'un va s'écrouler, on va faire le massage cardiaque. L'oxygène est encore dans le sang donc il suffit de le faire circuler et le massage suffit.

"Si j'ai été formé à faire du bouche-à-bouche, je fais le bouche-à-bouche. Mais il faut savoir qu'aujourd'hui appeler, masser, défibriller, ce sont les trois gestes réellement qui peuvent sauver quelqu'un.

"Pour le bon rythme, on dit 100 fois par minute et si on veut mémoriser quelque chose de simple, c'est deux appuis toutes secondes. Donc en fait, il faut se dire que c'est à peu près les secondes. Il faut avoir un rythme, c'est vrai qu'une fois qu'on l'a appris, on le garde en mémoire et ça, c'est l'élément important parce qu'il faut un jour l'avoir appris pour bien le faire.

"Le bouche-à-bouche vient s'intercaler entre 30 massages et 2 insufflations mais il n'est pas fondamental, c'est-à-dire qu'aujourd'hui si je sais le faire, je le fais. Sinon je fais le massage cardiaque jusqu'à l'arrivée des secours.

"Victorien découvre une victime allongée sur le sol. Il va lui parler, cette personne ne lui répond pas; Dans ce cadre-là, il va regarder si elle respire. Il bascule simplement la tête en arrière et regarde si le thorax et le ventre bougent. Comme rien ne bouge, quelqu'un peut appeler les secours et il continue les gestes. Il commence les 30 premiers massages cardiaques. S'il sait faire le bouche-à-bouche, il va faire deux insufflations en basculant la tête en pinçant le nez et puis il souffle une seconde pour chaque pour que de l'oxygène arrive à la victime. Ce n'est pas à tous les coups on gagne puisque si la ventilation n'est pas efficace, de toute façon, on continue le massage cardiaque.

"Juste après, puisque quelqu'un lui apporte un défibrillateur, on le met en place. On met les électrodes, on les colle sur la victime et on enclenche ce défibrillateur qui va tout dire, il va tout nous expliquer.

"Là, on vous a apporté un défibrillateur de la Croix-Rouge qui n'existe pas. C'est un défibrillateur de la Croix-Rouge qui a été fait pour ça, pour que les gens ne s'habituent pas à une marque. Effectivement il y a six à sept marques sur le marché français aujourd'hui, peu importe, le principe est toujours le même. On l'écoute et je fais ce que me dit l'appareil."

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De temps à autre, les médias livrent les résultats de telle ou telle étude, avec un titre péremptoire, tel qu’ « oubliez le bouche-à-bouche ! » [ 1 ] [ 2 ] . Faut-il les croire ? Les résultats présentés sont issus d’études scientifiques sérieuses qui semblent faire autorité. Mais ils occultent d’autres études, qui peuvent aller dans le même sens, être plus nuancées, ou livrer des conclusions totalement opposées. Pour se faire une idée, il faut avoir une vue d’ensemble de l’état de la recherche médicale sur une question. Ce travail est réalisé régulièrement par des groupes d’experts internationaux spécialisés dans la réanimation, comme l’ILCOR [ 3 ] . Les conclusions de ces groupes de travail sont ensuite utilisées pour modifier, si nécessaire, les procédures de réanimation, telles qu’elles sont enseignées par exemple dans le PSC1 ou le PSE1. Faisons le point sur les tendances actuelles.
La méthode actuelle de réanimation cardio-pulmonaire (RCP) enseignée au grand public [ 4 ] consiste à commencer sans délai des cycles de 30 compressions suivies de 2 insufflations. Si un défibrillateur automatique est disponible, il doit être mis en place dès que possible.
Chez l’enfant et le nourrisson, la RCP doit être précédée de cinq insufflations avant de commencer les compressions du thorax, car à ces âges l’arrêt cardio-respiratoire (ACR) est le plus souvent dû à une déficience initiale de la ventilation, alors que chez les adultes l’ACR est dans la plupart des cas dû à une déficience de la circulation.
La RCP traditionnelle pourrait être améliorée en abandonnant la ventilation précoce, pour plusieurs raisons [ 5 ] [ 6 ] .
Les chercheurs ont également récemment caractérisé l’ACR consécutif à une fibrillation ventriculaire en périodes distinctes. Pendant la première phase, les quatre ou cinq premières minutes, le cœur est réceptif au choc électrique d’un défibrillateur. Cette phase est appelée « phase électrique » de l’arrêt cardiaque. Pendant la seconde période, dite « phase circulatoire », le myocarde a utilisé la plus grande partie de ses réserves énergétiques, et des compressions sont nécessaires pour perfuser, ou « réamorcer » le cœur, avant que le choc électrique du défibrillateur ne puisse être efficace. Or la RCP débute le plus souvent lors de cette seconde phase lorsqu’aucun témoin n’a rien entrepris avant l’arrivée des secours publics.
Sur la base de ces informations, les chercheurs de l’université de l’Arizona (États-Unis) ont en 2003 créé un nouveau protocole de prise en charge de l’ACR qu’ils ont appelé réanimation cardiocérébrale (abrégé en CCR en anglais), qui a ensuite été amélioré. Les principales modifications par rapport à la technique de RCP actuelle consistent à supprimer la ventilation forcée de la victime dans les 6 à 10 premières minutes, ou à utiliser une technique de ventilation « douce », et à ne pas mettre en œuvre le défibrillateur avant d’avoir 200 compressions thoraciques (à un rythme de 100 par minute).
La CCR a démontré sa supériorité sur la RCP traditionnelle, de manière très claire lors d’essais sur des animaux. Différentes études cliniques ont également démontré la supériorité de la CCR, avec cette fois des victimes humaines et des secouristes qualifiés, mais il leur est reproché certaines limites méthodologiques qui pourraient affecter le caractère incontestable des conclusions [ 7 ] .
Concernant le grand public non secouriste, témoin d’un ACR, deux articles ont été publiés fin juillet dans le New England Journal of Medicine. Les chercheurs ont comparé la survie des victimes selon que le régulateur médical préconise au téléphone de réaliser ou non des insufflations en plus des compressions thoraciques. Les résultats laissent penser que des compressions continues sans ventilation, qui sont plus simples à enseigner et à réaliser que la RCP classique, donnent des résultats similaires.
Or les témoins d’un ACR seront plus enclins à réaliser une réanimation efficace sans ventilation. En effet, la réalisation d’un bouche-à-bouche efficace est difficile pour un sauveteur non entraîné. De plus, le sauveteur peut avoir une aversion pour la technique ou craindre les risques associés au contact de la bouche. Ceci étant dit, il semble important de continuer à enseigner la ventilation artificielle pour les cas où l’ACR est manifestement consécutif à une déficience primaire de la ventilation, en particulier chez les enfants [ 8 ] [ 9 ] .
En conclusion, l’idée de supprimer les insufflations de la procédure de la RCP pour les adultes semble faire son chemin. Mais il ne semble pas encore tout à fait démontré que cela aura un bénéfice incontestable pour les victimes. Au moins, on peut retenir de tout ceci qu’il n’est pas préjudiciable d’omettre le bouche-à-bouche lorsqu’on intervient comme sauveteur isolé si l’on est incommodé par le geste ou encore pour les personnes qui n’ont pas appris à le faire. Les recommandations de la Fédération française de cardiologie vont d’ores et déjà dans ce sens : « Dans les premières minutes, il faut privilégier le massage cardiaque. Mais si vous savez le faire, vous pouvez aussi pratiquer une ventilation pulmonaire (bouche-à-bouche) » [ 10 ] .
Deux situations doivent être distinguées et ne pas être confondues.
Si la victime de l’ACR est prise en charge immédiatement par un sauveteur à proximité d’un défibrillateur automatique, ce défibrillateur doit être installé le plus vite possible. En effet, dans ce cas, on est dans la « phase électrique » de l’arrêt cardiaque. Plus le choc éventuel sera précoce, plus il sera efficace. C’est bien ce qui est enseigné dans le PSC1 (citoyen isolé) et le PSE1 (secouriste).
Si la victime est prise en charge hors hôpital par une équipe médicale munie d’un défibrillateur manuel (SMUR), l’ERC [ 11 ] recommande de réaliser deux minutes de RCP (cinq cycles de 30/2) avant d’envisager la défibrillation, pour « réamorcer la pompe ». Bien sûr, cela ne s’applique pas si les professionnels de santé sont directement témoins de l’ACR, auquel cas ils se trouvent dans le cas de figure précédent et doivent réaliser la défibrillation sans délai si nécessaire.
La même consigne s’applique logiquement aux secouristes non médecins (ambulanciers, pompiers...) appelés auprès d’une victime en ACR depuis plusieurs minutes, pour laquelle aucun témoin n’a entrepris de RCP. Selon le référentiel PSE1 [ 12 ] , ils doivent réaliser cinq cycles de 30/2 chez l’adulte, et 10 cycles chez l’enfant, avant de mettre en fonction le défibrillateur.
La question se pose, puisque ces recommandations sont appliquées depuis environ cinq ans, de savoir si elles sont efficaces. La plupart des études sur ce sujet confirment le bénéfice des deux minutes de RCP avant défibrillation pour la victime en ACR depuis plusieurs minutes, ou alors sont neutres (ni avantage, ni inconvénient). Une étude publiée en 2009 a en revanche recommandé de revenir à une défibrillation précoce dans tous les cas.
Le bilan semble donc favorable à la pratique actuelle, même si le consensus n’est pas total. Quoi qu’il en soit, revenir en arrière risquerait de semer une certaine confusion chez les secouristes... [ 13 ]
Les résultats de la recherche médicale dans le domaine de réanimation sont sous surveillance et sont examinés tous les cinq ans par les groupes de travail scientifiques. S’il y a lieu, les procédures de réanimation sont modifiées. Jusqu’ici, il semble que rien de révolutionnaire ne remette en cause ce qui est enseigné actuellement. Mais nous serons vite fixés : c’est fin 2010 que l’ERC rendra publiques ses dernières recommandations, qui seront si nécessaire traduites ensuite dans les référentiels nationaux. En attendant, il est bon de se tenir informé pour répondre aux questions que peuvent légitimement se poser les sauveteurs et secouristes en formation.
[ 3 ] International Liaison Committee on Resuscitation http://www.ilcor.org/
[ 5 ] A. Mattu, 2010, Emergency Cardiology 2010 : The Articles You’ve Gotta Know ! , citant Ewy GA, Kern KB. J Am Coll Cardiol 2009 ;53:149-157 ; Garza AG, Gratton MC, Salomone JA, et al . Improved patients survival using a modified resuscitation protocol for out-of-hospital cardiac arrest. Circulation 2009 ;119:2597-2605 ; Ewy GA. Do modifications of the American Heart Association Guidelines improve survival of patients with out-of-hospital cardiac arrest ? Circulation 2009 ;2542-2544 (editorial)
[ 7 ] A. Thompson, 2010 AHA Updates
[ 8 ] Weisfeldt ML. In CPR, Less May Be Better. New England Journal of Medicine ;363(5):481-3.
[ 13 ] A. Thompson, 2010 AHA Updates
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Source : SOS-KANTO study group, Lancet, 369 : 920-6, 2007.
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Publié par Dr Philippe Presles , le 02/04/2007 à 02:00
En cas d'arrêt cardiaque , les techniques de réanimation enseignées aux secouristes, au personnel médical et paramédical sont cardiorespiratoires. Elles couplent le massage cardiaque et la ventilation assurée par le bouche-à-bouche . Les gestes de premiers soins alternent 15 compressions thoraciques et deux insufflations. Mais déjà en 2005, les cardiologues américains recommandaient plutôt d'alterner 30 compressions thoraciques avec toujours seulement deux insufflations, en affirmant que le pronostic en cas d'arrêt cardiaque était meilleur avec moins d'insufflations. Mais de là à montrer que la récupération des fonctions vitales est supérieure avec le massage cardiaque seul… C'est ce que vient de faire une équipe de chercheurs japonais.
Les taux de survie ont été analysés chez 4.100 adultes victimes d'arrêt cardiaque en dehors de toute structure hospitalière et devant témoin. Avant l'arrivée des ambulanciers, 3.000 n'ont bénéficié d'aucune manoeuvre de bouche-à-bouche, 400 d'un massage cardiaque exclusivement et 700 d'une réanimation cardiorespiratoire alternant massage cardiaque et bouche-à-bouche . Trente jours après une réanimation réussie, le taux de survie était de loin le plus bas dans le premier groupe, sans aucun geste d'urgence. En revanche, 22% des sujets ayant reçu un unique massage cardiaque étaient en vie, contre 10% dans le groupe association massage cardiaque et bouche-à-bouche .
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David Castello-Lopes
17h13, le 01 octobre 2020 , modifié à
19h18, le 01 octobre 2020

>> Tous les jours dans Historiquement vôtre , David Castello-Lopes revient sur les origines d'un objet ou d'un concept. Ce jeudi, il se penche sur le bouche-à-bouche, cette technique d’assistance respiratoire prodiguée lors des premiers secours et enseignée dans le monde entier. Elle a été mentionnée pour la première fois en 1740, à Paris.
J’ai passé toute mon enfance à me dire que j’aimerais vraiment énormément embrasser une fille. Le problème à cette époque, c’est que je ne m’étais pas encore incarné dans cette forme définitive que vous avez sous les yeux. Quand j’étais enfant, on m’appelait David Castello-L’Obèse… donc pas de bisou pour moi. Et quand les jours sans bisous se transforment en mois puis en années, on laisse aller sa pensée aux circonstances exceptionnelles qui pourraient nous donner la possibilité d’en faire.
Et puis un jour à l’école, on nous a expliqué le bouche-à-bouche. Je me suis rendu compte que je n’étais pas seul dans mes pensées coupables parce que l’ensemble de la classe a gloussé, filles comme garçons. Mais quand je préparais cette chronique, je me suis dit que ce gloussement était quand même complètement insensé.
Parce que quand on doit faire du bouche-à-bouche à quelqu’un, c’est que cette personne est en train de mourir. A moins d’être un psychopathe de l’enfer, ce n’est vraiment pas une situation où on se dit ah super, ça va être un peu comme faire des bisous.
Bon alors depuis j’ai embrassé quelqu’un pour la première fois. C’était pendant le confinement, donc je ne fais pas non plus le malin. Mais je n’ai jamais fait de bouche-à-bouche, ce qui ne m’a pas empêché de m’intéresser à ses origines. Alors pendant longtemps, il y avait quand même une petite tendance des gens à ne pas vouloir ressusciter les morts. Pourquoi ? Parce que vouloir ressusciter les gens, c’était un peu faire genre on était Dieu vous voyez. Et Dieu, vous le connaissez, il n’aime pas trop qu’on empiète sur sa fiche de poste.
Mais bien sûr tout a changé avec les Lumières. Un peu partout en Europe au milieu du 18ème siècle, des sociétés savantes se constituent et commencent à réfléchir, notamment à comment faire pour que les gens qui ont l’air morts redeviennent vivants. Et parmi l
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