Le quotidien d'un couple lesbien

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La sexualité entre femmes est souvent réduite à certaines pratiques sexuelles et quelques positions. Pourtant, l'amour lesbien présente différentes façons d'être pratiqué. Quelle sexualité ont les femmes homosexuelles ?
L'amour lesbien est le sexe pratiqué entre femmes. Lorsqu'il est pratiqué uniquement entre femmes qui n'aiment que les femmes, on parle alors d'une relation homosexuelle, qui correspond à une orientation sexuelle. Souvent invisibilisée, la sexualité des femmes lesbiennes est souvent réduite à quelques positions sexuelles et pratiques connues. Pourtant, la sexualité lesbienne est tout aussi riche et diversifiée que la sexualité entre un homme et une femme, par exemple.
L'amour lesbien est aussi la source de nombreux clichés et idées reçues. Pourtant, la manière de faire l'amour, que ce soit entre une homme et une femme, ou entre deux femmes, ne diffère pas énormément : le plaisir, le désir ou encore la passion sont des constantes que l'on retrouve aussi bien chez l'un que chez l'autre. Seules certaines pratiques ou positions sont différentes. 
Il existe plusieurs pratiques sexuelles possibles entre deux femmes. Comme dans un rapport hétérosexuel, le sexe oral fait souvent partie des préliminaires. Cette catégorie englobe par exemple le cunnilingus ou l'anulingus. La plus connue demeure sans doute le cunnilingus, une pratique de sexe oral qui consiste à donner du plaisir à la femme avec sa bouche (lèvres, langue, etc.) en stimulant et caressant le vagin et le clitoris de différentes façons. Le cunnilingus entre deux femmes peut être pratiqué dans la position dite du 69, c'est à dire allongée l'une au-dessus de l'autre, où chaque partenaire donne du plaisir à l'autre.
La pénétration, qu'elle soit anale ou vaginale, est une autre pratique de la sexualité lesbienne. Elle peut être faite avec les doigts, ou avec un objet, comme un sextoy (vibromasseur, etc.) Enfin, le frottement entre les sexes est une caresse qui permet de stimuler le clitoris et la zone de la vulve, érogène et très sensible. 
Il existe différentes positions pour faire l'amour entre deux femmes. Dans le Kamasutra par exemple, plusieurs positions sexuelles, qu'elles incluent une pénétration ou non, sont consacrées aux lesbiennes. On y retrouve par exemple des positons classiques comme la cuillère, qui permet de mêler étreintes, baisers et caresses du clitoris. Le 69 est une position qui permet de pratiquer le sexe oral, où chacune des partenaires fait un cunnilingus à l'autre.
Enfin, il existe des variantes du missionnaires qui permettent des pénétrations digitales simultanées ou non. Globalement, toutes les positions hétérosexuelles peuvent être adaptées en positions lesbiennes, si la pénétration est faite avec un sextoy ou de manière manuelle. 
La pénétration (qu'elle soit vaginale ou anale) n'est pas l'unique pratique lors d'un rapport sexuel lesbien. Nous l'avons vu, le sexe oral, les caresses ou encore le frottement entre les sexes sont autant de manière de procurer du plaisir. Pour autant, il est possible d'intégrer la pénétration, en utilisant ses doigts ou un accessoires.
Les accessoires sexuels sont divers et permettent de varier les pratiques. Les sextoys comme les vibromasseurs ou les ceintures godemichet permettent ainsi une pénétration vaginale ou anale, et peuvent être utilisés seuls ou en complément de caresses manuelles. Enfin, le clitoris peut aussi être stimulé grâce à des oeufs vibrants. 
La sexualité lesbienne est souvent décrite comme présentant moins de risques que la sexualité hétérosexuelle. En effet, l'absence de sperme, qui est l'un des liquides par lequel les MST et IST sont transmis, fait drastiquement chuter les possibilités de contamination. Pourtant, l'amour entre femmes n'est pas dépourvu de risques.
Pour se protéger, il est possible d'utiliser des protections buccales pour le sexe oral, comme des digues dentaires (ou préservatif oral), qui sont des carrés de latex qui sont à positionner entre la bouche et la vulve ou l'anus. Enfin, il est également important de bien stériliser les objets sexuels, pour ne pas transmettre de bactéries ou de maladies transmissibles telles que l'herpès. 
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Cahiers du Genre Numéro 2001/1 (n° 30) Couples au féminin : aspects...






Couples au féminin : aspects du quotidien




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Raphaële Ferzli

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Cahiers du Genre
2001/1 (n° 30) , pages 147 à 178








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Dans un couple de femmes, c’est super fort. Je ne sais pas comment l’expliquer. Il se passe quelque chose… C’est complet. Tu as l’impression que c’est toi-même qui es en face .
Entre deux femmes, déjà, il y a une complicité de base […], ce qui était drôle c’est qu’au début quand on vivait ensemble, on parlait de choses et d’autres, et à chaque fois qu’il y en a une qui disait quelque chose, l’autre disait : « Ah, moi aussi ! », […] On est vraiment des jumelles quoi .
Pourquoi aller militer ? Je ne vois pas. Il y a d’autres choses pour lesquelles j’irais militer. Mais je ne vois pas l’intérêt de s’afficher vraiment, de provoquer, quoi. La provocation, moi, je n’aime pas cela. Donc je n’irai pas manifester .
Je n’ai jamais milité. Mais ce que je n’aime pas, moi, dans les groupes, je n’aime pas les extrémistes. Par exemple, à un moment donné, les lesbiennes disaient des petites phrases : hétéro-collabo. Et pour moi, ça, c’est pire, et c’est aussi une forme d’intégrisme. […] Vraiment, je déteste, et le mouvement homosexuel, je suis sûre que ça va être ça .
Moi je ne suis militante de rien du tout. Il y a pas mal de nanas qui sont assez chtarbées dans ce milieu, et moi j’aime bien les gens sains, et puis je ne suis vraiment revendicative de rien, ce n’est pas dans mon caractère .
À partir du moment où on a parlé du PACS, tout le monde est descendu dans la rue en criant : « hi, ha, les homosexuels…, berk ». Je ne vois pas l’intérêt qu’il y ait des gens dans les rues pour crier leur homophobie. Apprenons tout simplement, tous les jours, à mettre une petite pierre sur l’édifice, pour vivre tous heureux ensemble. […] Moi, je n’ai rien à revendiquer. […] Donc le militantisme… je pense qu’on est un couple comme un autre. Le militantisme entre guillemets, c’est justement, par notre manière de vie, ou notre manière d’être, ou en tout cas notre relation avec les autres, de pouvoir dire : effectivement, il n’y a pas de différence .
Moi, je n’aime pas le ghetto, parce qu’en fin de compte, c’est eux qui se refusent aux autres .
Un jour, j’étais dans un bar et j’attendais une amie en fait, et j’étais en tailleur. Je vois une nana s’approcher de moi, très masculine, l’horreur. Elle me dit : « Qu’est-ce que tu fous là, toi ? Tu attends un mec ? ». Je lui dis : « Non, j’attends une amie, et je sais très bien où je suis ! ». Elle me dit : « Tu sais, les filles habillées comme toi, c’est pour les mecs ». Et elle a commencé à me tenir un discours sur les mecs, pas possible, et je lui ai demandé : « Mais toi, tu es déjà sortie avec un homme ? ». Et là, elle m’a sorti une phrase qui m’a… Elle me dit : « Tu sais chérie, il n’y a pas besoin d’avoir bouffé de la merde pour savoir que c’est dégueulasse ! ». Alors là, je me suis dit : tu dois être malade, il faut que tu trouves le médicament, parce que moi je n’ai jamais pu penser des trucs pareils ! .
Cela veut dire que, quand on est dedans, on a une autre attitude parce que dedans et dehors, on n’est jamais pareil. C’est le cas de tout le monde, mais comme dehors on est pratiquement obligées d’être très soft, du coup, on se rattrape un petit peu. .
[…] L’important… D’avoir vraiment un foyer, quelque chose qui existe… pas uniquement pour dormir, mais qu’il y ait quelque chose, une âme, où en tout cas on se sente bien. C’est important .
Les femmes sont très discrètes, en général. Elles sont casanières, donc… Ouvrir un bar de filles par exemple, c’est clair, c’est courir à la cata directe ! .
Les femmes en couple ne sortent pas dans les bars, ne vont pas en boîte, et si elles le font c’est de manière mutuelle. Entre parenthèses, c’est un peu comme dans le milieu hétéro, ceux qui sont tout le temps en boîte, surtout à 30 ans […] Elles ne sortent jamais, ou très rarement en boîte, et généralement ont beaucoup plus de fréquentations hétérosexuelles que n’en ont les hommes en général .
Et puis, on a aussi des amis hommes avec qui on s’entend vraiment très bien, et tous ces endroits pour danser homos c’est rarement mixte, et ça, ça nous énerve beaucoup parce qu’on a envie de sortir avec eux et de danser avec eux, alors du coup, on n’y va pas .
On a énormément d’amis hétérosexuels avec des enfants, et j’espère surtout, comme ils sont petits et ne comprennent pas bien, qu’après ils vont comprendre qu’on est deux femmes ensemble, et se dire que… c’est naturel, que c’est normal…, qu’ils n’auront peut-être pas un a priori négatif vis-à-vis des couples homosexuels. […] Une de nos amies nous dit, écoutez, quand je vous vois, si mon fils me dit qu’il est homosexuel, je le comprendrai. Là, je pense avoir fait plus que manifester dans la rue .
Ils s’en doutent, mais comme je n’en parle pas… Mais ils le savent pertinemment, ça, c’est sûr. Cela fait 22 ans que je travaille dans le même lycée, avec les mêmes collègues… Je n’amène jamais mon conjoint donc … ils savent très bien. […] Mais c’est vrai que j’aurais plus de relations amicales s’ils étaient au courant de ma vie, parce qu’ils ne viennent pas ici… C’est le genre de détails qui me gêne .
Le boulot, c’est le boulot. J’essaie de faire toujours une barrière entre la vie privée et la vie professionnelle. De toute façon, ça ne regarde personne .
Le fait d’être homo et de pas pouvoir le dire, tu vois, quelque part, j’ai l’impression de ne pas arriver à m’accomplir dans le boulot. […] Vraiment j’arrive au boulot, j’ai une autre vie quoi. Enfin je n’ai pas de vie parce que je n’en parle pas, mais c’est vrai que tu n’es pas sur la même longueur d’ondes que les gens .
Le jour où je l’ai dit à ma mère, tout a changé, j’étais la reine, il ne pouvait plus rien m’arriver, et à partir de ce jour j’ai pris confiance en moi .
Cette histoire, bien que vécue par deux hommes, actualise un modèle relationnel dans lequel on peut facilement détecter deux rôles fondamentaux : l’un masculin, l’autre féminin, comme définis par un système hégémonique d’idées sexuelles. Le cadre de référence sera le monde hétérosexuel, privilégié et sanctionné par la société en général.
Ce n’est pas : il y en a une qui fait le mec, il y en a une qui fait la nana .
Noémie, quand elle s’y met, elle s’y met, et moi, quand je m’y mets, je m’y mets, et c’est tant mieux si ce n’est pas le même jour .
Il n’y a pas vraiment de répartition en fait. Je n’ai pas dit : toi, tu as les cheveux plus longs que moi, donc tu vas faire ça, et moi j’ai les cheveux plus courts, donc je vais faire ça, pas du tout .
Il y a un moment, quand je bossais chez S., je faisais vachement d’heures, donc c’était Éloïse, qui n’en faisait pas beaucoup, qui compensait. Et puis là, c’est un peu l’inverse, comme moi je démarre un boulot cool et qu’elle, elle fait vachement d’heures, je fais nettement plus de tâches bassement ménagères .
Ca se répartit très facilement et naturellement. Par exemple, quand j’ai connu Sylvie, elle a été au chômage très rapidement, pendant plus d’un an, et moi je bossais comme une dingue. Donc elle s’est mise à faire à manger, et plein de trucs. Après, elle a bossé, et moi j’ai bossé un peu moins, donc c’est vraiment en fonction des heures et des jours .
Chacune des pratiques qui composent le travail domestique met en jeu des savoir-faire, une histoire, une symbolique spécifiques et l’on pourrait étudier séparément la cuisine et le ménage, les soins corporels ou l’éducation. Mais on manquerait alors l’essentiel, car c’est le système des pratiques, la logique de leur agencement, qui révèlent les rapports sociaux qui le fondent .
C’est
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