Le professeur et l'étudiante
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Le professeur et l'étudiante
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Revue internationale de l'enseignement Année 1902 43 pp. 563-573
Picavet François. Enquête sur les relations entre professeurs et étudiants. In: Revue internationale de l'enseignement , tome 43, Janvier-Juin 1902. pp. 563-573.
LES RELATIONS ENTRE PROFESSEURS ET ÉTUDIANTS
La Revue du 45 mai a donné (p. 443-424) le Rapport lu au groupe parisien de la Société d' enseignement supérieur sur les relations entre professeurs et étudiants ; puis le compte rendu (p. 457-459) de la séance où, après lecture de ce rapport, il avait été décidé que les conclusions en seraient discutées dans une séance ultérieure et que tous les renseigne¬ ments venant de France ou de l’étranger, et propres à éclairer cette discussion, seraient réunis et publiés.
La Revue (p. 459) a fait appel à tous ses lecteurs et à ses collabora¬ teurs. J’ai en outre, par lettres individuelles, prié nos correspondants de m'adresser toutes les indications qu’ils pourraient réunir. Voici, dans ce qu’elles contiennent d’essentiel, celles qui m’ont été envoyées ou que j’ai recueillies :
Ribliothèque de V Université à Paris. — La cinquième des conclu¬ sions (p. 424) avait pour objet l’ouverture, même en temps de vacances, des laboratoires et des bibliothèques aux anciens étudiants. La note sui¬ vante nous a été remise, qui concerne Paris :
1° Le personnel des bibliothèques est insuffisant en fonctionnaires et en surveillants ; 2° de ce fait , il a V obligation de venir tous les jours , pendant six heures, et quelques-uns même pendant huit heu¬ res ; 3° dans ces conditions, un repos de six à sept semaines accordé à la fin de Vannée, paraît mérité. En cas d’’ obligation d’ ouverture pen dant les vacances, on pourrait établir un service deux ou trois fois par semaine pendant deux ou trois heures, mais après un mois de congé, toutefois. Il serait de toute justice que le personnel fût rému¬ néré et sur des bases déterminées : fonctionnaire , 300 fr. par mois ; surveillant, 100 fr. mois.
Laboratoire de biologie végétale à Fontainebleau. — Sur ce labora¬ toire, dont le directeur est M. Gaston Bonnier, M. Léon Dufour, direc¬ teur-adjoint, a publié un article en 4898 (Revue internationale de l'en¬ seignement, XXXVI, p. 427-430). On y reçoit, pendant la période des vjicances, des professeurs de Paris ou de province. Les constructions qui n’étaient pas terminées a.u moment où M. Dufour écrivait son article, le sont aujourd’hui, et l’installation est complète, comme il m’a été donné de le constater dans une visite toute récente. Huit chambres sont mises gratuitement, dans l’établissement même, à la disposition des travail¬ leurs. Des pensions, installées dans le voisinage du laboratoire et de la
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Marco Fortier
5 avril 2017
Éducation
Des lignes directrices à venir
À la demande du ministère de l’Enseignement supérieur, les cégeps et les universités doivent préparer une politique de lutte contre les violences sexuelles. Les relations intimes entre professeurs et étudiants feront partie du plan, ont indiqué des établissements au Devoir . « Bien qu’il n’y ait pas de politique spécifique pour l’instant [cette] question fait présentement l’objet de discussions au sein du comité qui traite de la révision de la Politique 16 contre le harcèlement sexuel de l’UQAM. Attendue au printemps, la prochaine version de cette politique institutionnelle inclura toutes les formes de violences à caractère sexuel. Le comité qui en fait la révision est composé de 16 membres : des étudiants, des représentants du Syndicat des professeures et professeurs (SPUQ), du Syndicat des chargées de cours et chargés de cours (SCCUQ), du Syndicat des étudiantes employées et des étudiants employés (SETUE), du Syndicat des employées et employés de soutien (SEUQAM), de l’Association des employés non syndiqués (AENSUQAM) et de l’Association des cadres de l’UQAM (ACUQAM) » , indique l’UQAM. L’Université de Montréal indique aussi travailler sur des ajouts ou des modifications à sa politique existante contre le harcèlement.
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C’est un immense tabou dans les collèges et les universités. Les relations intimes entre professeurs et étudiants — surtout des étudiantes — existent depuis toujours, mais des voix s’élèvent pour encadrer ces liaisons qui causent un malaise grandissant dans les campus du Québec.
Des syndicats d’enseignants montent au front et recommandent même à leurs membres d’éviter « tout rapport intime (amoureux ou sexuel) » avec une étudiante ou un étudiant, a appris Le Devoir . Ces syndicats prônent une forme d’autodiscipline de la profession, un peu comme les psychologues, les médecins ou les travailleurs sociaux, qui s’interdisent les relations intimes avec leurs patients.
En privé, des représentants syndicaux admettent « qu’on ne peut pas empêcher un coeur d’aimer » . Les liaisons entre professeurs et étudiantes sont courantes. La profession est divisée à ce sujet. Des universitaires disent redouter qu’un vent de rectitude politique dicte à des adultes consentants comment se comporter.
Les rapports sexuels ou amoureux entre professeurs et étudiants ne font d’ailleurs l’objet d’aucune réglementation dans les maisons d’enseignement supérieur. Des voix influentes s’élèvent tout de même pour demander l’encadrement de ces relations qui peuvent mener à des abus de pouvoir de la part de professeurs — ou à du chantage par des étudiants.
Dans un mémoire daté du 20 janvier 2017, la Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (affiliée à la CSQ) prône un « code de conduite qui proscrit les rapports amoureux et sexuels entre le personnel et les étudiantes et étudiants » .
« De telles relations s’inscrivent dans un rapport de pouvoir “maître-élève”, elles peuvent devenir toxiques et avoir des conséquences néfastes pour les jeunes. Certaines directions ont déjà fait connaître leurs attentes à ce sujet, d’autres devraient y songer sérieusement » , indique le document, qui a été soumis aux consultations du ministère de l’Enseignement supérieur visant à prévenir les violences sexuelles sur les campus.
La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ), affiliée à la CSN, vient d’adopter une résolution qui va dans le même sens. Le conseil fédéral de la FNEEQ appelle ses syndicats affiliés à « proscrire tout rapport intime (amoureux ou sexuel) » avec des étudiants ou des étudiantes.
Les enseignants sont en « position de pouvoir » par rapport aux étudiants, note la résolution. Pour des raisons éthiques, les professeurs doivent éviter toute apparence de conflit d’intérêts dans leurs fonctions, et notamment dans l’évaluation des étudiants.
« Une relation intime entre un professeur et une étudiante, ce n’est pas recommandé. Il y a beaucoup de chances que ça finisse mal » , dit Caroline Se
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