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Le Tarot de Marseille, Hisotire et légendes autour du tarot. Restauration des tarots historiques de Jean Noblet, Dodal et Jeacques Viévilles.
Voici une histoire qui se rattache au cycle de l’arcane XVIII La Lune
Un ami me l’a contĂ©e, bien sĂ»r, un soir de pleine lune.

. « Il existe en Europe, des terres oĂč le sacrĂ© se manifeste, oĂč la tradition est toujours vivante. Tenez, je sais que vous n’allez pas croire cette histoire, cependant, elle est vĂ©ridique, vous avez ma parole !
Mon amie de l’époque Ă©tait roumaine et je souhaitais m’installer avec elle Ă  Cluj-Napoca, la capitale de Transylvanie, et y acheter un appartement. Elle Ă©tait musicienne, travaillait dans un des trois OpĂ©ras de la ville, et m’avait introduit dans le milieu artistique local. Je mettais en scĂšne un spectacle autour de la vie de Vlad Zepech, celui que l’on prĂ©sente en Europe de l’ouest comme un croquemitaine suceur de sang : Dracula.
Pour eux, c’est un saint homme, un “inspirĂ©â€ envoyĂ© par le ciel, il renouvelle JĂ©sus et son enseignement. Comme lui, il est mort exĂ©cutĂ© en nouant un drame s’inscrivant dans l’ñme du monde : on lui trancha la tĂȘte.
A cette Ă©poque, j’avais encore une entreprise en France, et je faisais rĂ©guliĂšrement les allers retours entre les deux pays. Vu l’état de pauvretĂ© de la Roumanie, je n’avais pas pris l’avion et, pour ne pas arriver les mains vides, nous allions avec un compĂšre conducteur et ami, dans ce fin fond de bout du monde de Transylvanie avec un camion plein de vĂȘtements et de chaussures. Nous faisions une livraison humanitaire avec les dons rĂ©coltĂ©s en France. Ça faisait un paquet d’heures qu’on roulait, nous avions traversĂ© les deux tiers de l’Europe, et enfin, Ă  l’aube, nous approchions des premiĂšres montagnes. C’était au dĂ©but de l’étĂ©, et en passant un col, sur ces routes d’un autre Ăąge, nous plongeons dans une Ă©paisse nappe de brouillard. De cette nappe Ă©merge d’un cĂŽtĂ© et de l’autre de la route, d’abord une premiĂšre rangĂ©e de bohĂ©miennes qui portaient des paniers de girolles. Nous nous arrĂȘtons et achetons les paniers. Nous repartons et croisons de l’autre cĂŽtĂ©, une autre colonne de bohĂ©miennes. Nous passons et continuons de rouler. Quelques centaines de mĂštres pour se mettre les idĂ©es au clair, et enfin nous nous regardons et on se dit pratiquement en mĂȘme temps : nous avons un camion plein pour faire de l’humanitaire, commençons dĂšs maintenant ! Ni une, ni deux, nous faisons demi-tour et rattrapons celles qui avaient encore leurs paniers pleins. On s’arrĂȘte et nĂ©gocie la girolle. Puis, on ouvre les portes arriĂšre du camion et les fait se servir. Les autres les rejoignent, et toutes ensemble, elles piochent dans les chaussures, les blousons et les pantalons.
En repartant, j’étais au volant, je jette un coup d’Ɠil dans le rĂ©tro, et qu’est que je vois : les femmes qui se mettent Ă  genoux, les mains jointes, en priĂšre et qui remercient le ciel pour la bonne aubaine. »
La vie lui avait offert un centimĂštre cube d’opportunitĂ©. Sur le pĂšlerinage de l’ñme, ça ne se rate pas, il ne l’avait pas ratĂ©, les mondes de la magie ordinaire s’ouvraient pour lui. Sa distribution d’humanitaire terminĂ©e, il s’occupe de l’appartement.
Coup de chance, celui de Mircea Eliade est en vente.

. « Le fils et la fille s’engueulaient comme du poisson pourri, pourtant ils sont universitaires tous les deux. Le fils est prof d’universitĂ©, il a des crises qui ressemblent Ă  une sorte de schizophrĂ©nie Ă©pileptique. Ça ne prĂ©vient pas, il est bien et tout Ă  coup, il est dedans, en plein dĂ©lire.
L’appartement Ă©tait bourrĂ© de bouquins. Dans toutes les langues ! Inimaginable, il y en avait partout, vraiment partout. Tous les murs Ă©taient couverts. Deux cent cinquante mĂštres carrĂ©s avec toute l’accumulation d’un homme curieux de tout comme MircĂ©a Eliade. Les enfants laissaient tout, ils ne voulaient rien prendre. Ils ne souhaitaient rien conserver de leur pĂšre
.
Chez le notaire, pour la signature du compromis de vente, on attend les enfants : ils ne viennent pas. Le notaire se démÚne, téléphone partout, et finalement les retrouve. Il renégocie un rendez-vous quinze jours plus tard. Compte tenu de mes affaires en France, je ne souhaitais pas rester tout ce temps en plus, mais tant pis, je me débrouille et continue de travailler sur le spectacle autour de Vlad Zepech dont je faisais la mise en scÚne. »
« A ce nouveau rendez-vous, la fille est lĂ , on attend le fils. Alors, je flĂąne, j’erre en piochant dans la bibliothĂšque et feuillette nĂ©gligemment des livres. C’est Ă  ce moment-lĂ  que j’entends un hurlement qui me glace de terreur. A Ă©voquer ce souvenir, j’en ai encore les poils qui se dressent, regarde. »

. « Quand j’examine le livre que la surprise m’a fait ouvrir, c’est pile sur une gravure de Vlad Zepech, le VoĂŻvodine Conte Dracula ! TrĂšs vite, avec le notaire, on a constatĂ© que le fils n’était pas en mesure de signer, et on est partis comme des dĂ©ratĂ©s, encore remuĂ©s par ce cri Ă©pouvantable.
Sur le palier, nous Ă©tions soulagĂ©s de quitter cet appartement de cinglĂ©s. L’histoire n’est pas finie me dit-il, nous sommes au pays de Vlad Zepech, ne l’oublie pas !
En attendant l’ascenseur, nous devisions pour soulager la tension et nous eĂ»mes mĂȘme quelques rires nerveux. Lorsqu’il est arrivĂ©, nous nous sommes prĂ©cipitĂ©s, trop contents de quitter ce monde de fous furieux. Seulement 
 Dans la cabine de l’ascenseur, sur les parois, du sang coulait
. »
Ah !!! m’exclamai-je de surprise! J’hallucinais complùtement !

. « Je savais que tu ne me croirais pas ! »
Il lĂšva les bras au ciel : « pourtant, c’est vrai, ma parole ! »
J’entends, j’entends ton histoire, permets que j’hallucine, tu es si bon conteur !
Nom de Dieu, chez lui, quand la magie ordinaire se met en action, elle n’y va pas par quatre chemins et pas de main morte ! Ah la vache !
Et l’appartement, lui demandai-je ! Il leva les yeux au ciel, 
 « foutu bien sĂ»r ! » et la roumaine ! Il sourit, mĂ©lancolique 
.
Il avait généré un monde magique, il en avait été le « moteur immobile ».





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Voici une histoire qui se rattache au cycle de l’arcane XVIII La Lune
Un ami me l’a contĂ©e, bien sĂ»r, un soir de pleine lune.

. « Il existe en Europe, des terres oĂč le sacrĂ© se manifeste, oĂč la tradition est toujours vivante. Tenez, je sais que vous n’allez pas croire cette histoire, cependant, elle est vĂ©ridique, vous avez ma parole !
Mon amie de l’époque Ă©tait roumaine et je souhaitais m’installer avec elle Ă  Cluj-Napoca, la capitale de Transylvanie, et y acheter un appartement. Elle Ă©tait musicienne, travaillait dans un des trois OpĂ©ras de la ville, et m’avait introduit dans le milieu artistique local. Je mettais en scĂšne un spectacle autour de la vie de Vlad Zepech, celui que l’on prĂ©sente en Europe de l’ouest comme un croquemitaine suceur de sang : Dracula.
Pour eux, c’est un saint homme, un “inspirĂ©â€ envoyĂ© par le ciel, il renouvelle JĂ©sus et son enseignement. Comme lui, il est mort exĂ©cutĂ© en nouant un drame s’inscrivant dans l’ñme du monde : on lui trancha la tĂȘte.
A cette Ă©poque, j’avais encore une entreprise en France, et je faisais rĂ©guliĂšrement les allers retours entre les deux pays. Vu l’état de pauvretĂ© de la Roumanie, je n’avais pas pris l’avion et, pour ne pas arriver les mains vides, nous allions avec un compĂšre conducteur et ami, dans ce fin fond de bout du monde de Transylvanie avec un camion plein de vĂȘtements et de chaussures. Nous faisions une livraison humanitaire avec les dons rĂ©coltĂ©s en France. Ça faisait un paquet d’heures qu’on roulait, nous avions traversĂ© les deux tiers de l’Europe, et enfin, Ă  l’aube, nous approchions des premiĂšres montagnes. C’était au dĂ©but de l’étĂ©, et en passant un col, sur ces routes d’un autre Ăąge, nous plongeons dans une Ă©paisse nappe de brouillard. De cette nappe Ă©merge d’un cĂŽtĂ© et de l’autre de la route, d’abord une premiĂšre rangĂ©e de bohĂ©miennes qui portaient des paniers de girolles. Nous nous arrĂȘtons et achetons les paniers. Nous repartons et croisons de l’autre cĂŽtĂ©, une autre colonne de bohĂ©miennes. Nous passons et continuons de rouler. Quelques centaines de mĂštres pour se mettre les idĂ©es au clair, et enfin nous nous regardons et on se dit pratiquement en mĂȘme temps : nous avons un camion plein pour faire de l’humanitaire, commençons dĂšs maintenant ! Ni une, ni deux, nous faisons demi-tour et rattrapons celles qui avaient encore leurs paniers pleins. On s’arrĂȘte et nĂ©gocie la girolle. Puis, on ouvre les portes arriĂšre du camion et les fait se servir. Les autres les rejoignent, et toutes ensemble, elles piochent dans les chaussures, les blousons et les pantalons.
En repartant, j’étais au volant, je jette un coup d’Ɠil dans le rĂ©tro, et qu’est que je vois : les femmes qui se mettent Ă  genoux, les mains jointes, en priĂšre et qui remercient le ciel pour la bonne aubaine. »
La vie lui avait offert un centimĂštre cube d’opportunitĂ©. Sur le pĂšlerinage de l’ñme, ça ne se rate pas, il ne l’avait pas ratĂ©, les mondes de la magie ordinaire s’ouvraient pour lui. Sa distribution d’humanitaire terminĂ©e, il s’occupe de l’appartement.
Coup de chance, celui de Mircea Eliade est en vente.

. « Le fils et la fille s’engueulaient comme du poisson pourri, pourtant ils sont universitaires tous les deux. Le fils est prof d’universitĂ©, il a des crises qui ressemblent Ă  une sorte de schizophrĂ©nie Ă©pileptique. Ça ne prĂ©vient pas, il est bien et tout Ă  coup, il est dedans, en plein dĂ©lire.
L’appartement Ă©tait bourrĂ© de bouquins. Dans toutes les langues ! Inimaginable, il y en avait partout, vraiment partout. Tous les murs Ă©taient couverts. Deux cent cinquante mĂštres carrĂ©s avec toute l’accumulation d’un homme curieux de tout comme MircĂ©a Eliade. Les enfants laissaient tout, ils ne voulaient rien prendre. Ils ne souhaitaient rien conserver de leur pĂšre
.
Chez le notaire, pour la signature du compromis de vente, on attend les enfants : ils ne viennent pas. Le notaire se démÚne, téléphone partout, et finalement les retrouve. Il renégocie un rendez-vous quinze jours plus tard. Compte tenu de mes affaires en France, je ne souhaitais pas rester tout ce temps en plus, mais tant pis, je me débrouille et continue de travailler sur le spectacle autour de Vlad Zepech dont je faisais la mise en scÚne. »
« A ce nouveau rendez-vous, la fille est lĂ , on attend le fils. Alors, je flĂąne, j’erre en piochant dans la bibliothĂšque et feuillette nĂ©gligemment des livres. C’est Ă  ce moment-lĂ  que j’entends un hurlement qui me glace de terreur. A Ă©voquer ce souvenir, j’en ai encore les poils qui se dressent, regarde. »

. « Quand j’examine le livre que la surprise m’a fait ouvrir, c’est pile sur une gravure de Vlad Zepech, le VoĂŻvodine Conte Dracula ! TrĂšs vite, avec le notaire, on a constatĂ© que le fils n’était pas en mesure de signer, et on est partis comme des dĂ©ratĂ©s, encore remuĂ©s par ce cri Ă©pouvantable.
Sur le palier, nous Ă©tions soulagĂ©s de quitter cet appartement de cinglĂ©s. L’histoire n’est pas finie me dit-il, nous sommes au pays de Vlad Zepech, ne l’oublie pas !
En attendant l’ascenseur, nous devisions pour soulager la tension et nous eĂ»mes mĂȘme quelques rires nerveux. Lorsqu’il est arrivĂ©, nous nous sommes prĂ©cipitĂ©s, trop contents de quitter ce monde de fous furieux. Seulement 
 Dans la cabine de l’ascenseur, sur les parois, du sang coulait
. »
Ah !!! m’exclamai-je de surprise! J’hallucinais complùtement !

. « Je savais que tu ne me croirais pas ! »
Il lĂšva les bras au ciel : « pourtant, c’est vrai, ma parole ! »
J’entends, j’entends ton histoire, permets que j’hallucine, tu es si bon conteur !
Nom de Dieu, chez lui, quand la magie ordinaire se met en action, elle n’y va pas par quatre chemins et pas de main morte ! Ah la vache !
Et l’appartement, lui demandai-je ! Il leva les yeux au ciel, 
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** Avertissement. Bien que le informations de ce texte soient vĂ©rifiĂ©s et contre vĂ©rifiĂ©es, le classement en top 10 est purement subjectif. L’ordre des personnages est placĂ© selon ma propre interprĂ©tation de leurs histoires respectives. De plus Il s’agit surtout d’une façon dĂ©tournĂ©e de vous prĂ©senter 10 personnages qui gagnent Ă  ĂȘtre connus. Pour de bonnes ou de mauvaises raisons! **
Notre histoire regorge d’une multitude personnages, qui ont marquĂ© l’imaginaire des gens par leurs actions. Certains pour de bonnes raisons, et d’autres, en lien avec des comportements complĂštement dĂ©rangĂ©s. Que ce soit par le pillage, la torture, la dĂ©bauche, le viol, l’inceste, la mutilation, le meurtre, le massacre ou autres actes dĂ©pravĂ©s, certains ont commis les pires atrocitĂ©s possible.
Des empereurs romains dĂ©rangĂ©s, en passant par de la royautĂ© sadique, des papes dĂ©viants et des criminels sans scrupule, l’histoire a Ă©tĂ© marquĂ©e au fer rouge par leurs agissements. Voici donc le top 10 des personnages, qui selon moi, sont les plus fous de tous les temps
 et qui n’ont pas fait parti d’un de mes top 10 prĂ©cĂ©dent! (disponibles Ă  la fin de celui-ci).
Edward Teach, plus connu sous le nom de Barbe Noire, est un pirate anglais qui a opĂ©rĂ© dans les Antilles et sur la cĂŽte est des colonies britanniques en AmĂ©rique. Aux commandes du Queen Anne’s Revenge, comptant 40 canons et jusqu’à 350 hommes Ă  son bord, Teach devient le plus grand pirate de tous les temps dans les annĂ©es 1717 et 1718. Il s’est mis Ă  multiplier les abordages, les pillages et les tueries. Il pille en un an plus de 40 navires.
Teach est recherchĂ© et sa tĂȘte est mise Ă  prix. Son apparence inquiĂšte en raison de son Ă©paisse barbe noire, pleine de graisse. Il avait l’habitude de porter plusieurs Ă©pĂ©es, couteaux et six pistolets. Le pirate, avant les assauts, allumait des mĂšches de poudre Ă  canon dans son abondante barbe noire, ce qui lui valut son surnom. Il ne se lavait jamais. On dĂ©crivait qu’il avait une odeur de la sueur mĂ©langĂ©e au Rhum et Ă  la poudre de canon. Ses vĂȘtements, dĂ©chirĂ©s par les nombreux combats, sont de couleur sombre, tĂąchĂ©e de sang et d’alcool.
AprĂšs 2 annĂ©es Ă  faire la pluie et le beau temps sur l’ocĂ©an Atlantique, il fut exĂ©cutĂ©. Le tout se produit aprĂšs une grande bataille face aux forces britanniques, dirigĂ©es par le Lieutenant Maynard. On releva sur son corps 25 blessures diverses, dont 5, par balles. Maynard fit trancher la tĂȘte de Teach et l’exposa au sommet du mĂąt afin de servir d’avertissement Ă  tous les pirates qui se trouvaient aux CaraĂŻbes oĂč ailleurs. Sa lĂ©gende marque encore les esprits, ayant fait de lui un personnage plus grand que nature.
De Henry VIII Ă  Elizabeth Ire, la lignĂ©e des Tudor a brillĂ© par sa violence. La premiĂšre fille d’Henry VIII et de Catherine d’Aragon, Marie, porte bien le surnom de “Bloody Mary”, la Sanglante.
Fervente catholique, elle s’oppose Ă  la rĂ©forme religieuse de son pĂšre. À 17 ans, Henry VIII la dĂ©signe comme deuxiĂšme hĂ©ritiĂšre, aprĂšs son fils Édouard. Il est nĂ© d’une union avec Jane Seymour, la 3e femme du roi. À la mort d’Henri VIII, Édouard accĂšde au trĂŽne d’Angleterre. Ne souhaitant pas que sa demi-sƓur Marie (qui Ă©tait catholique) lui succĂšde, le nouveau roi Édouard dĂ©signe alors pour lui succĂ©der sa cousine Jeanne Grey.
À la mort d’Édouard (Ă  seulement 15 ans), Marie fait enfermer et dĂ©capiter sa cousine Jane Grey. Sans autres hĂ©ritiers en Ă©tat de rĂ©gner dans la famille Tudor, elle accĂšde au trĂŽne. Mary se marie avec le prince Philippe d’Espagne. Elle ramĂšne l’Angleterre du cĂŽtĂ© du Vatican. La reine matera dans le sang la rĂ©volte des croyants protestants. Elle en a fait exĂ©cuter prĂšs de 300 jusqu’à la fin de son rĂšgne. Bloody Mary meurt abandonnĂ©e de tous, le pays ayant complĂ©tĂ© son virage vers la religion protestante.
Basile II est un empereur byzantin (empire romain d’Orient). Il rĂšgne de 976 Ă  1025. Basile II passe une grande partie de son rĂšgne Ă  lutter contre les Bulgares. Ceux-ci avaient constituĂ© un vaste empire dans les Balkans.
Les Bulgares menacĂšrent l’empire, mais la victoire dĂ©cisive des Byzantins en 1014 Ă©carte le danger bulgare. La Bataille de la Passe de Kleidion sera l’évĂ©nement le plus marquant de son rĂšgne. Basile y gagne le surnom de « Bulgaroctone » (tueur de Bulgares).
AprĂšs la victoire, il renvoie Ă  leur chef le tsar Samuel, 15 000 soldats bulgares prisonniers aprĂšs leur avoir fait crever les yeux. Il n’en a Ă©pargnĂ© que 150 (1 sur 100) d’entre eux. Ils ne furent pas aveuglĂ©s pour pouvoir guider tous les autres. Le tsar Samuel meurt deux mois plus tard d’une crise cardiaque. Celle-ci aurait Ă©tĂ© provoquĂ©e par la vue des milliers de prisonniers bulgares aveuglĂ©s.
Portant le nom d’Octavien Ă  la naissance, il fut le 130e pape de l’Église catholique romaine. Il rĂ©gne sous le nom de Jean XII. Ce pape aime la chasse et la guerre. Il est devenu pontife Ă  seize ans. C’était donc un adolescent Ă  la tĂȘte de la papautĂ© catholique. Son rĂšgne est marquĂ© par des vices, des scandales sexuels et des ambitions de pouvoir.
Il buvait Ă  la santĂ© du Diable et implorait des dieux paĂŻens comme Jupiter, VĂ©nus et les autres dĂ©mons. Sous son rĂšgne, l’Église catholique rĂ©alisera plusieurs conquĂȘtes militaires. Mais son passe-temps prĂ©fĂ©rĂ© Ă©tait les orgies et la dĂ©cadence sexuelle. Il avait une obsession pour les femmes et les jeunes enfants. Ses chambres regorgeaient de prostituĂ©e.
Jean XII couche avec les femmes de ses rivaux comme avec celles de ses amis. Il fut accusĂ© de luxure et d’inceste par de nombreuses personnes. Ce pape aimait avoir auprĂšs de lui toute une collection de femmes. Jean XII avait des relations avec des veuves, sa belle-mĂšre et ainsi qu’avec sa propre niĂšce. Il transforma le palais sacrĂ© en bordel. C’est un pape qui a fait castrer des cardinaux. Il est considĂ©rĂ© comme un Caligula chrĂ©tien, dont les crimes sont dĂ©pravants. Certaines sources affirment qu’il fut tuĂ© par un mari jaloux alors qu’il Ă©tait en plein acte sexuel.
Le Tyran d’Agrigente Ă©tait rĂ©putĂ© pour sa cruautĂ© excessive. Parmi ses atrocitĂ©s prĂ©sumĂ©es, on retrouve le cannibalisme. Il a dit avoir mangĂ© des bĂ©bĂ©s allaitants. Phalaris a Ă©tĂ© qualifiĂ© Ă  l’époque comme le tyran le plus cruel de tous les temps. Phalaris Ă©tait un dirigeant sans humanitĂ©, qui Ă©liminait ses ennem
Une femme bien en chair avec des seins Ă©normes !
Une mature qui a voulu prendre son pied en se faisant lĂ©cher le clito par l’amie de sa fille
Elle m'a sollicité une interview et je l'ai baisée

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