Le pote de mon frère me séduit pendant le petit-dej
🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻
Le pote de mon frère me séduit pendant le petit-dej
(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
© Tous droits réservés. Leptikevin.
Mon grand frère, François, est un beau gosse, blond et athlétique. Il a 19 ans, de taille moyenne, il possède de fines jambes musclées. Ses poils sont épars et d’une jolie couleur rousse. On les voit peu, il en a en bas des jambes en plus de sa belle touffe.
À cet instant, il est à quatre pattes, la tête posée sur le tapis de sa chambre, les bras en avant. Il se fait défoncer par son meilleur ami, Loïc. Loïc, bien que du même âge, de par sa taille et ses poils, parait plus mature. Il est lui aussi beau mec, mais plus masculin, plus brut que mon frère. D’un gabarit plus costaud, il assène des coups de queue puissants dans le corps gracieux de mon frère qui gémit comme un phoque.
La bite de Loïc, qui entre et sort à un rythme frénétique du petit cul de François, semble énorme. Elle est, en tout cas, très grosse, plus grosse que celle de mon frère, très tendue et courbée vers le haut, comme pour mieux lui racler ses entrailles. Solidement posé sur ses genoux, mû par ses puissantes cuisses, musclées, Loïc enfonce son sexe profondément comme pour transpercer mon frère qui sursaute de tout son corps.
Mon frère est maintenant sur le dos, il tient ses longues jambes en l’air. Son ami, en position accroupie, le pénètre en missionnaire de tout son poids. Le contraste entre les deux garçons est saisissant maintenant qu’ils se font face à face. Loïc est un bel homme, tout en puissance, mon frère n’est encore qu’un jeune adolescent. À cet instant, Loïc ramène les mollets de François sur ses épaules, glisse ses mains dans le bas du dos de son partenaire et le soulève jusqu’à être lui-même, bien debout, la bite toujours bien enfoncée. Il pose le dos de mon frère contre le mur et reprend son va-et-vient violent.
Je regarde ainsi les deux garçons baiser depuis plus d’une demi-heure avec délectation. Cela fait maintenant plus de deux mois que j’ai surpris mon frère et Loïc en pleine bourre. Depuis, je les traque pour ne pas rater l’occasion de les voir se troncher. Bien sûr, les premières fois, j’étais gêné de voir mon frère, entièrement nu et en train de bander. Mais de les voir se sucer puis s’enculer m’excitait tellement que cela est vite passé. Là aussi, la première fois que j’ai observé Loïc, enculer mon frère, cela m’a fait un choc. Je ne me doutais pas que lui et mon frère étaient pédés. Mais leurs ébats étaient si sublimes que l’émotion est passée pour laisser place à l’envie et au plaisir.
Mais revenons à la scène de baise du moment qui m’excite tant. Mon frère est maintenant sur le côté. Derrière lui, Loïc continue à lui bourrer le fion avec son énorme engin. J’observe avec envie la grosse queue glisser entre les cuisses de mon frère, entrer puis sortir presque entièrement de son anus. Que c’est beau ! Leur plaisir est immense, mon frère hurle de bonheur, sa queue balance violemment et finit par cracher une belle quantité de sperme qui s’étale un peu partout, mais surtout sur son ventre. Son jus fumant répand une belle odeur de sexe dans toute la chambre.
Loïc continue de labourer François et au moment où il sent, lui aussi, son jus monter, il décule, se branle violemment et vide ses couilles sur le buste de François. Avant Loïc, je n’avais jamais vu une éjaculation aussi abondante. Ça dégoulinait de partout, mon frère était couvert de sperme. Les deux garçons, heureux de leur forfait, se sont embrassés avant de se relever pour aller se nettoyer.
— Loïc, je vais en premier à la douche, j’ai du sperme partout.
— OK, répondit Loïc, je t’attends, ma poule.
Mon frère est sorti de la chambre après que je me fus planqué dans un placard du couloir. J’entre alors, l’air de rien, dans la chambre où se trouve encore Loïc, en train de se rhabiller. Quand il m’aperçoit, je sens comme un air de panique. Torse nu, il venait de remettre son slip et enfilait son pantalon.
— Eh, non, enfin oui, je crois qu’il est allé prendre une douche
Loïc semble gêné, pas que je sois impressionnant par mes 15 ans, mais parce qu’il ne trouve pas d’explication à me donner quant à sa tenue.
— Vas-y, je t’écoute, me répond-il.
— Pourquoi y’a du sperme par terre ? ; lui dis-je en regardant les nombreuses traces de semences sur le parquet.
Loïc ne sait plus quoi dire. Il rougit comme une pivoine, il ne s’attendait absolument pas à ça. Le voyant perdu, je suis venu à son secours.
— Écoute, Loïc, je sais ce que tu fais avec François. Je ne dirais rien, mais à condition que tu me défonces comme lui, OK ?
À cet instant, je lui prends le paquet dans une main, lui déboutonne le jeans avec l’autre et lui baisse son froc. Loïc se remet à bander instantanément.
J’enlève mon pantalon et mon caleçon et lui présente mon cul. Il lèche sa main, me la glisse dans la raie des fesses pour m’humidifier l’anus et prends sa grosse queue dans l’autre main. J’ai senti une énorme douleur, comme une déchirure puis un plaisir intense de le sentir en moi. Pendant dix bonnes minutes, il m’a enculé violemment. Je ne pouvais écarter les jambes, prises dans mon pantalon, j’étais ballotté comme un paquet. J’ai éjaculé direct et me retrouvait avec plein de sperme sur ma chemise. Les coups de queue de Loïc s’accéléraient, il allait lui aussi jouir dans peu de temps.
Il décula et se branla devant ma gueule. J’ai ouvert grand la bouche et il a giclé de sorte que j’avale la moitié du sperme, le reste s’étala sur mon joli visage d’ange. Quand mon frère débarqua dans la chambre, c’était trop tard. Loïc était toujours sur moi, la queue dans la main, dégoulinante et encore chaude. J’étais sur le dos, défroqué, la bite à l’air, la bouche pleine de sperme.
Was this page helpful?
Yes
No
Performance & security by Cloudflare
You do not have access to karaokemedia.ru.
The site owner may have set restrictions that prevent you from accessing the site. Contact the site owner for access or try loading the page again.
The access policies of a site define which visits are allowed. Your current visit is not allowed according to those policies.
Only the site owner can change site access policies.
Ray ID:
738b032c4f4c73e3
738b032c4f4c73e3 Copy
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer
Se connecter
Rechercher sur le site
Elle
Psycho & Sexo
C’est mon histoire
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur pinterest
Suivez-nous
Lien vers réseau social facebook
Lien vers réseau social twitter
Lien vers réseau social pinterest
Lien vers réseau social youtube
Lien vers réseau social instagram
Lien vers réseau social snapchat
Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris
Contacts
Annonceurs
Abonnez-vous
La rédaction
Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Voler l’homme d’une autre et sous ses propres yeux, Céline ne s’en serait jamais cru capable. Mais la tentation était trop forte.
Cet article issu de l’édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d’abonnement
Partir seule en vacances avec ses deux enfants, c’est rigolo, mais il y a mieux. Je décide donc de louer, avec ma meilleure amie et son mari, une maison au bord de l’eau pour nous et nos quatre fils. J’ai besoin de chaleur, d’horizon bleu et de cigales. Nous optons pour la Méditerranée. Comme la maison est grande, Bruno, le mari de Nathalie, propose d’y convier Pierre et Fabienne, un couple d’amis que je ne connais pas, mais dont Nathalie me dit toujours du bien.
Nous sommes déjà installés sous un olivier, quand la voiture apparaît au bout de l’allée. Fabienne en sort la première, mais je n’ai d’yeux que pour Pierre. Le soleil dans la figure, les mains sur le volant, le front ridé par la lumière, il me regarde. J’essaie de me remettre les idées en place. Il n’est pas question de faire n’importe quoi. Est-ce mon divorce qui produit cet effet-là ? Il faut dire que mon ex-mari a cessé de me toucher après la naissance de notre deuxième fils… Qui a 9 ans. Pierre me fait la bise, et son odeur me pénètre. Des papillons me montent à la tête tandis que mon cerveau analyse chaque fragrance que Pierre exhale, menthe, chaleur, reste de parfum sur le lin de sa chemise. Et tout mon corps se liquéfie. Pierre est là depuis quelques heures et, chaque fois qu’il sort de ma vue, je le cherche. Je sais qu’il sait. Je sens qu’il sent. Et cette attirance mutuelle qui a germé en une fraction de seconde ne s’estompe pas au fil de la journée. Le soir, à table, alors que nous nous asseyons côte à côte, nos genoux se frôlent. Nathalie parle de mon récent célibat , annonçant à qui veut l’entendre que les hommes, sur la plage, n’auront qu’à bien se tenir. Mes fils râlent de ces mauvaises blagues. Fabienne se joint à Nathalie pour me souhaiter : « Bonne chasse ! ». Et, à ce moment-là, la main de Pierre effleure ma cuisse. Je suis en nage. De la racine des cheveux à l’arrière des genoux, mon corps libère de l’eau. J’ai l’impression de me défaire de kilos de trop. Ces kilos de lourdeur sentimentale, d’échec. Je me sens redevenir légère.
Chacun part se coucher et, dans ma chambre, je recadre mes pensées. Fabienne est là, sous le même toit. Il n’est pas question que je me laisse aller à faire n’importe quoi avec le mari de l’amie de ma meilleure amie. Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Moi qui suis toujours si droite, qui me vante de n’avoir jamais trahi personne, je serais donc capable de voler le mari d’une femme sous ses propres yeux ? Le lendemain est un jour de malchance. Quand je me réveille, les garçons sont déjà partis à la plage avec Fabienne, Bruno et Nathalie. Pierre lit devant la maison, attendant le réveil de sa fille Nancy pour les rejoindre. Quand il me voit, il me tend une tasse de café. Je m’assieds à côté de lui et une vague d’émotion me recouvre. Je voudrais dire un mot sur Fabienne, afin de placer une sorte de barrière entre nous, mais je me tais. Nos yeux se croisent, s’agrippent et se dévorent pendant de longues secondes. Je fuis son regard, je me lève et pars sous la douche. Ma situation est impossible, je refuse de m’autoriser une telle légèreté, mais mon corps désire Pierre à un point tel que je vais devenir dingue si je reste ici avec lui… Alors que je cogite sous la douche, la porte de la salle de bains s’ouvre. Pierre la referme à clef derrière lui, me pose la main sur les lèvres, et entre avec moi sous l’eau chaude. Nous faisons l’amour comme si c’était la millième fois. Ce corps inconnu me connaît. Nos souffles restent silencieux, profonds comme deux extases muettes. Subjuguée par la violence de notre élan l’un pour l’autre, je perds la tête. Je n’ai jamais aussi bien fait l’amour. La petite voix de Nancy qui appelle son père à travers la maison nous ramène à la raison. Pierre se rhabille et va la rejoindre. Je reste là, anéantie, ivre d’amour, de bonheur… et de culpabilité.
Nous partons tous trois à la plage pour rejoindre les autres. Fabienne a déjà repéré pour moi tous les célibataires. Nathalie me présente sa propre liste. et nous rions entre filles. si la situation était autre, Fabienne pourrait devenir une bonne amie ! Je passe des heures dans l’eau, afin d’éviter d’établir toute connivence avec elle. Quand nous rentrons à la maison et que Pierre me frôle alors que nous préparons le repas tous ensemble, je ne veux plus qu’une chose : lui. Dès lors, tout est prétexte à nous retrouver en tête à tête. Je descends à la cave chercher des bouteilles de vin et il arrive deux minutes après pour m’aider. Nos étreintes durent parfois une seule minute mais leur force est dévastatrice. Nous ne pensons qu’à ça mais nous ne nous parlons pas. Comme deux enfants enjoués, nous inventons des stratagèmes. Graves comme deux malfaiteurs, nous apaisons nos craintes dans nos ébats. Nous ne parlons de rien, et surtout pas de la situation. Nous sommes purement aimantés l’un par l’autre et survoltés dès que nous ne pouvons pas nous toucher.
Hier soir, Fabienne est allée se coucher un peu plus tôt. Nous avons traîné dehors, Nathalie, Bruno, Pierre et moi. J’avais l’impression d’être en couple, en vacances avec ma meilleure amie. Quand Pierre est allé rejoindre Fabienne, j’ai eu un choc. Je me suis demandé s’ils faisaient souvent l’amour ensemble. J’ai posé la question telle quelle à Nathalie qui m’a répondu ne pas connaître assez Fabienne pour pouvoir me renseigner sur la fréquence, mais qu’elle la connaissait quand même assez pour me dire que c’était oui ! Je m’en suis voulu de ne pas tout lui raconter. Mais qu’aurais-je ressenti, moi, si Nathalie avait couché avec le mari d’une de mes amies, présente de surcroît ? Cette nuit-là, Pierre est venu me rejoindre dans ma chambre. Nous avons fait l’amour des heures, rien ne pouvait nous séparer. Il est parti à l’aube. Pendant le petit déjeuner, alors que Pierre tardait à nous rejoindre, Fabienne nous a dit qu’il avait souffert d’une grosse insomnie et qu’il était parti marcher. La semaine a continué. Je n’avais qu’un seul but, faire l’amour avec lui et que personne ne le sache. Avec Pierre, j’ai trouvé le soleil d’été que je cherchais, celui qui brûle et qui dévaste. Mais je n’assume pas la trahison. Quand la semaine s’achève, nous nous promettons de dîner tous ensemble à la rentrée et la voiture de Pierre et Fabienne disparaît à l’angle de la route. a cette seconde, je me jure de ne jamais le revoir. Je crains que mon corps ne me hurle l’inverse, mais non, je le sens apaisé, soulagé, comme si ma trahison s’éloignait. J’espère ne pas manquer de volonté. A peine une heure après son départ, Pierre m’envoie un texto. Je n’y réponds pas. Comme l’a dit Nathalie quand ils ont quitté la maison, Fabienne et Pierre sont magnifiques ensemble… alors je veux les laisser en paix. Je ne sais pas à qui je fais cette promesse. C’est sans doute à l’homme qui viendra pour moi, car, grâce à Pierre, mon corps s’est réveillé. Je veux penser que cette folie a juste servi à ça. Oui, je crois que mon corps est de nouveau prêt à aimer. Quelqu’un de libre.
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre témoignage. Écrivez-nous à cmh@cmimedia.fr
Podcast - C'est mon histoire : « J’avais 17 ans, elle en avait 36 »
C’est mon histoire d’été : « J’ai couché avec le mauvais pirate »
C'est mon histoire d'été : passion sur une île bretonne
C’est mon histoire : « Je suis tombée amoureuse au téléphone »
« Mon plan d’un soir m’a cambriolé »
C'est mon histoire : « Le meilleur coup de ma vie était riquiqui »
Ce signe vous permet de savoir s’il est temps de rompre ou de changer de travail
5 positions sexuelles pour une pénétration jouissive
« J’ai une envie viscérale de me marier, et pas lui » : quand le désir de mariage divise le couple
Julien, divorcé sur les applis de rencontres : « Je me suis pris la réalité en pleine gueule »
Charlène et Julien, en couple depuis 15 ans : « Je l’ai trompée parce que j’ai été con et faible »
Le Kama-Sutra de la semaine : 7 positions pour faire grimper la température
Allô, Giulia ? « J’ai peur de me désengager et de me retrouver seule »
C'est mon histoire d'été : passion sur une île bretonne
Fabrice Midal : ses 7 clés pour trouver sa « puissance intérieure »
Podcast - C'est mon histoire : « Je suis tombée amoureuse d'un scientologue »
Philo feel good : 5 conseils inspirés de Sénèque à méditer cet été
Premier rencard : 49% des célibataires craignent de n’avoir rien à se dire
C’est mon amour de vacances : « Le jour où mon frère est tombé amoureux »
Elle reçoit sa première sodomie
Beurette poilue se laisse ramoner le cul
Fils enregistre acte sexuel avec sa maman