Le porno dans la vraie vie c'est beaucoup mieux que sur tablette

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Le porno dans la vraie vie c'est beaucoup mieux que sur tablette

Doctorant Ă  l’universitĂ© Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
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Le Canadien Eric Chandonnet est un grand consommateur de X. Il en a mĂȘme fait, pendant six ans, l’objet d’une chronique hebdomadaire sur le site Nightlife.ca. Il revient sur son expĂ©rience.
Propos recueillis par MaĂŻa Mazaurette
De 2010 Ă  2016, le Canadien quadragĂ©naire Eric Chandonnet, fan de hard, a tenu une chronique sur la pornographie pour le site Nightlife.ca . Certaines d’entre elles font aujourd’hui l’objet d’un livre, Victime de la porn (Amazon, 344 p., 24,95 $, environ 22 €).
Je ne sais pas si « évoluer » est le bon terme, mais disons que cela a toujours Ă©tĂ© en mouvement. Internet est arrivĂ© alors que j’étais adolescent. Quand on n’a encore rien vu, une grosse paire de seins en photo, et le tour est jouĂ©. Ensuite, certaines prĂ©fĂ©rences demeurent, d’autres passent. Je peux ĂȘtre obsĂ©dĂ© par une pornstar, une position ou une ethnie en particulier pendant quelques mois.
J’ai l’impression que c’est comme la nourriture : on a des prĂ©fĂ©rences, mais certains goĂ»ts se dĂ©veloppent avec le temps, ou en fonction de ce qu’on essaie. Et parfois, la « vraie vie » influence aussi nos recherches. Par exemple, la premiĂšre fois que j’ai couchĂ© avec une Française, j’ai cherchĂ© du porno français durant des mois pour retrouver l’accent.
J’ai toujours eu peur de devenir blasĂ© et, par certains aspects, je le suis devenu, mais rien de trop grave. Par exemple, je ne bande plus en tombant sur la photo d’une paire de seins
 mais si une femme qui me dĂ©sire m’envoie une photo de ses seins, cela m’excitera toujours, parce qu’il y a une intention derriĂšre. Dans le porno, un truc qui ne me lasse pas, c’est lorsqu’on me regarde, la catĂ©gorie POV (« point of view », en anglais), oĂč l’actrice plante son regard dans le vĂŽtre

Je pense que je regarderai toujours du porno, mais que cela restera un plan B. Quand j’ai une copine, j’en consomme beaucoup moins. Cela dit, Ă  85 ans, la vraie vie offre sans doute moins d’options. La rĂ©alitĂ© virtuelle sera intĂ©ressante pour les nouvelles gĂ©nĂ©rations de personnes ĂągĂ©es. On pourra ĂȘtre en maison de retraite, avec un sex-appeal en chute libre, et quand mĂȘme vivre des trucs. C’est mieux que rien. Et puis, si mes Ă©rections ramollissent, ça ne dĂ©cevra personne d’autre que moi !
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Une capture d’écran du sondage Ifop pour Cam4 - DR
Un graphique dessinant l’évolution des recherches du mot « biffle », en France.
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gnozd a posté le 18 novembre 2016 à 17h37
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i_i_i_i a posté le 18 novembre 2016 à 17h37
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nono_le_simplet a posté le 18 novembre 2016 à 17h37
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rena_de_sessandre a posté le 18 novembre 2016 à 17h37
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clementscherpereel a posté le 18 novembre 2016 à 17h37
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36% des jeunes de 15-24 ans auraient dĂ©jĂ  pratiquĂ© la « bifle » selon un sondage publiĂ© la semaine derniĂšre par l’Ifop, Ă  propos de la gĂ©nĂ©ration « YouPorn ».
Dans son dictionnaire « Sexe Libris » (Ed. Don quichotte, 2012), Camille, qui s’occupait avant moi de Rue69, dĂ©finit ainsi « la bifle » :
Camille l’écrit avec un seul « f », car dans « gifler » il n y a un « f », mais dans un e-mail, le webmaster de la-biffle.com (oui, ça existe) m’écrit :
Une vraie « biffle » siffle. Quand j’ai dit ça Ă  Camille, sa rĂ©action ne s’est pas faite attendre :
Biffle ou Bifle, on pourra ajouter que la définition la plus drÎle restera probablement à jamais celle de Françoise Mougin, du Comité national contre le bizutage. Elle avait eu ces mots qui avaient fait rire les Internets :
Si vous avez besoin de voir comment ça « se passe » concrĂštement, vous pouvez aussi toujours regarder cette animation parodique. Une femme au mini cerveau (misogynie !) reçoit une « bifle » d’un homme en Ă©rection et dont le cerveau est placĂ© dans les testicules (misandrie !).
Et si vous avez plutĂŽt besoin d’images bien rĂ©elles, on vous laisse la responsabilitĂ© de cliquer ici .
Je ne vous cacherai pas que j’ai eu, en dĂ©couvrant, l’étude de l’Ifop, des rĂ©serves. D’abord, elle Ă©tablissait des liens directs entre consommation de porno et rĂ©alisation de pratiques sexuelles. Or, le lien Ă  Ă©tablir entre les deux est tout de mĂȘme compliquĂ©. C’est un peu un marronnier en matiĂšre de sexualitĂ©. Le porno influence-t-il nos comportements ? Le porno incite-t-il Ă  du sexisme dans la vraie vie ? Le porno rend-il violents les jeunes ?
Le journaliste Xavier Molénat avait trÚs bien montré que « le lien ne va pas de soi » entre violence et pornographie dans un article pour Sciences humaines , publié en 2011.
Au delĂ  de ces considĂ©rations, on peut s’interroger sur le mot « bifle » et la pratique en elle-mĂȘme. VoilĂ  quelques temps que ce terme circule. On l’entend dans les dĂźners entre copains, on voit des blagues par-ci, par-lĂ . Ce mot a-t-il toujours existé ?
En faisant des recherches sur Internet, on tombe d’abord sur un pilote de course amĂ©ricain : Greg Biffle . On espĂšre pour lui qu’il ne parle pas le français et qu’il ne lira pas cet article.
Ensuite, le mot-valise ne semble pas présent dans nos vies depuis une éternité. Sur cette courbe réalisée avec Google Trends, on voit comment il se développe vraiment à partir de 2009.
Une des plus vielles occurrence que je trouve pour ma part date de 2008. On la trouve dans un échange de haute volée sur un forum de jeux vidéo .
Un internaute dénommé iPodMini dit :
Au tĂ©lĂ©phone, Stephen des Aulnois, crĂ©ateur du Tag Parfait, site sur la culture porn, considĂšre surtout ce mot comme « une blague » du mĂȘme acabit que le « tea bagging ». En anglais, les « tea bags » sont des sachets de thĂ©. L’acte consiste donc Ă  poser ses testicules dans la bouche d’une autre personne :
Le webmaster de la-biffle.com (un site clairement potache), m’écrit « avoir Ă©tĂ© aussi surpris par l’ampleur qu’à pu prendre le terme ».
Sur son site, il donne les dix commandements de la « bifle ». Avec par exemple :
Pour Stephen des Aulnois, un court métrage a fini de rendre populaire le mot qui fait rire. Sorti en 2012, la « bifle » est une comédie. Sur Allociné, le pitch annonce :
Stephen des Aulnois parle de la mode de la bifle en disant que :
De là à dire que c’est une pratique courante dans les lits de la jeunesse française... Il n’y croit pas une minute.
On reconnaĂźtra qu’on est loin de la claque d’un sexe en Ă©rection contre une joue. Un sexe qui se balade sur un visage, ça arrive, a priori, plus souvent.
De lĂ  Ă  demander son ou sa partenaire « Je peux te bifler, s’il te plaĂźt ? » ou Ă  l’inverse « Vas-y bifle-moi fort, maintenant ! », c’est une autre affaire. Comme « ça n’est pas trĂšs convivial », c’est difficile Ă  accepter sans sourciller pour le receveur. Camille cite une personne Ă  qui c’est arrivé :
Tandis que sur le blog Sexactu, Maïa Mazaurette écrivait en avril 2009 :
Qu’en est-il du porno ? Y voit-on si souvent des « bifles » ? Pour en avoir le coeur net, j’ai appelĂ© Christophie Bier, auteur du gĂ©nial « Dictionnaire des films français pornographiques et Ă©rotiques en 16 et 35 mm » (Ed. Serious Publishing, 2011).
Il a vu 1 813 films de 1918 à nos jours, il Ă©tait donc tout Ă  fait indiquĂ©. D’emblĂ©e il avoue :
Puis il raconte, avec cette Ă©lĂ©gance qui est la sienne et qu’il ne perd jamais mĂȘme quand il parle de « bifle » :
Pour lui, la « bifle » se dĂ©veloppe dans le porno dans les annĂ©es 80-90. Pas avant. C’eĂ»t Ă©tĂ© possible puisque dit-il  : « L’uro [urophilie, ndlr] existe depuis toujours dans le porno. » Il repense Ă  Gabriel Pontello un acteur qui a dĂ©butĂ© en 1975, et qui a avait pour habitude de « bifler ses partenaires » et de les « malmener ».
Pour expliquer ce dĂ©veloppement de la pratique dans le porno, Christophe Bier l’attribue Ă  de la « surenchĂšre » :
DĂ©sormais, les sexes masculins Ă©jaculent sur les visages fĂ©minins (ou masculins d’ailleurs) ; ils impriment leur empreinte dans le creux de la joue (« La fille prend le sexe de travers », dĂ©taille-t-il) ; et ils biflent, donc.
Pour répondre à la question du titre, donc, « la bifle existe-t-elle ? », on peut dire que :
Mais est-ce qu’à force d’exister, sous forme de blague, le mot ne va pas devenir performatif et gĂ©nĂ©raliser une pratique a priori marginale ? Ce serait alors un bien bel objet d’étude pour les linguistes...
Vulfle est pas mal non plus, quoique difficile à dire...autant qu’à faire, sans doute.


Clitofle serait bien, mais on rentre carrément dans le technique.


Penser à sa bite pour donner des gifles L’Homme est brillant ! Notre espùce a un grand avenir, j’en suis maintenant convaincu.


j’avoue que je ne connaissais pas cette « pratique » qui, Ă  mon avis, est une invention de ceux qui en ont une « grosse » puisque ce doit ĂȘtre difficile avec une petite ...


j’avoue ne jamais avoir Ă©tĂ© tentĂ© bien que pouvant le faire comme non plus de la taper contre un arbre pour faire du bruit ou pour casser des briques ... je suis parfois bizarre, voire lubrique, mais pas con Ă  ce point :)


Ouais, mais ton instrument ne valait pas mieux non plus


hahaha pas mal le bisous breton alors !



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