Le plan à quatre sauvage est lancé

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Par Lucie D'Agosto Dalibot
Publié le 9 Août 22 à 12:59 





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Le cirque Zavatta est installé depuis le 3 août en toute illégalité sur un terrain municipal à Haguenau avec des animaux sauvages. La Ville a lancé une procédure pour s'y opposer.
Depuis le mercredi 3 août 2022, le cirque Achille Zavatta fils a installé ses quartiers à Haguenau , route de Schirrhein (Bas-Rhin), sur un terrain municipal . Le problème ? La Ville s’y était opposée.
La municipalité a de ce fait publié un communiqué pour dénoncer avec la plus grande fermeté l’ installation illégale du cirque sur le territoire communal et a lancé une procédure en référé auprès du tribunal administratif.
« Ils nous avaient contactés avant de venir s’installer et nous avions clairement exprimé notre refus. Ils sont tout de même venus avec une quarantaine de véhicules sur un terrain communal « , explique Jean-Michel Staerlé, adjoint au maire, chargé, entre autres, de la gestion de l’occupation du territoire public, à Actu Strasbourg . 
Depuis, le cirque enchaîne les représentations de leur nouveau spectacle intitulé La Légende de King Kong . Malgré le refus de la Ville, l’occupation du terrain est affichée sans pudeur sur les réseaux sociaux.
D’ailleurs, à la suite de la parution d’un premier article à propos de leur occupation illégale du terrain, les responsables du cirque ont publié un message, indiquant qu’ils continueraient les représentations jusqu’au 15 août et qu’ils n’avaient, donc, pas l’intention de partir avant la fin de leur tournée.
Contacté par notre rédaction, Renato Cagnac, responsable du cirque Achille Zavatta et fils, a donné sa version des faits . 
Nous sommes arrivés sur un premier terrain sur lequel nous n'avions pas le droit de rester, alors la police - municipale et nationale - est venue et nous avons été installés route de Schirrhein. C'est la première fois que nous venons à Haguenau et les spectateurs sont ravis.
Du côté du cabinet du maire , l’histoire est tout autre :
« Ils se sont installés sur un terrain privé en fin de soirée. Le ton est rapidement monté entre eux et l’agriculteur, propriétaire du champ, qui n’avait pas donné son accord. Alors, nous avons proposé une solution d’urgence et les avons en effet installés provisoirement pour qu’ils repartent le lendemain route de Schirrhein. Cet endroit accueille habituellement les cirques, c’est vrai, mais nous avons suffisamment de manifestions à venir cet été « , argumente le cabinet du maire.
« S’ils avaient eu l’accord d’un particulier pour s’installer sur un terrain privé, pourquoi pas , mais là, ce n’est pas le cas, ni sur le privé, ni sur le municipal », ajoute Jean-Michel Staerlé.
Autre problématique soulevée par la Ville, l’utilisation d’animaux sauvages tels que des lions ou zèbres.
Nous aurions souhaité privilégier une nouvelle forme de cirque avec plus d'arts circassiens et pas forcément d'animaux sauvages.
En effet, d’autres villes – comme Strasbourg – s’étaient déjà fermement opposées à la venue de cirques qui réalisent des spectacles avec des animaux sauvages.
Malheureusement, les bêtes de cirque, après des années au contact de l’Homme, ne peuvent pas retourner dans leur milieu naturel et les solutions sont rares.
« Ils ne peuvent plus vivre à l’état sauvage, il faut trouver des solutions pour leur permettre de vivre enfin paisiblement une retraite plus que méritée. Quelques sanctuaires existent déjà, mais trop peu nombreux au regard des besoins , même à l’échelon européen », expliquait Marie-Françoise Hamard, conseillère municipale déléguée aux animaux dans la ville à Actu Strasbourg en 2020.
Pour la famille Cagnac : « Un cirque sans nos animaux, ce n’est plus un cirque. On prend soin de nos bêtes , des vétérinaires viennent régulièrement vérifier que tout va bien, les papiers sont en règle. Nous avons ce cirque depuis huit générations, ces animaux sont nés chez nous, que vont-ils devenir s’ils nous sont retirés ? Personne n’a d’autre solution pour les accueillir dans de bonnes conditions », déplore Renato Cagnac, qui craint pour l’avenir du cirque et de son héritage familial.
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"Avec ces histoires de piqûres qui tourne, je me suis demandée si j'oserais encore aller dans la fosse", raconte Alice, 30 ans.
Pixabay










Faits divers , Société , France - Monde




Publié le 11/06/2022 à 06:52
, mis à jour

à 08:35






Suspicions de piqûres sauvages dans les Hautes-Pyrénées : " les analyses pratiquées ne révèlent rien d'anormal"



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l'essentiel
Depuis mars, les cas de piqûres sauvages dans les bars, les boîtes de nuit, lors de concerts ou encore de festivals se multiplient en France. En l'espace de trois mois, près de 450 plaintes auraient été déposées. Vraie volonté de nuire ? Psychose ? Mauvais délire ? Que sait-on réellement de ce phénomène étrange qui prend de l'ampleur ? Décryptage.

"Je me suis posé la question." Alice, 30 ans, était au Zénith de Toulouse le week-end dernier pour son premier concert depuis la crise sanitaire. "Avec ces histoires de piqûres qui tournent, je me suis demandée si j'oserais encore aller dans la fosse, collée aux autres. Je pense que je ne serais pas tranquille... J'étais bien soulagée d'avoir une place dans les gradins !" 
Depuis plusieurs semaines, une vague inexpliquée de piqûres touche des boîtes de nuit, des bars et des festivals à travers la France, avec des plaintes déposées de Béziers à Lille et de Lorient (Morbihan) à Strasbourg, en passant par plusieurs villes de la région comme Toulouse, Pamiers, Vic-Fezensac ou encore Tarbes. Si des plaintes ont été déposées - 450 ont été comptabilisées sur l'ensemble de la France en l'espace de seulement trois mois - les enquêtes s'avèrent délicates pour les forces de l'ordre.  
À Toulouse, la quinzaine de plaintes est traitée par l'unité des atteintes aux personnes de la sûreté départementale qui rencontre d'importantes difficultés à caractériser ses agressions : vraie volonté de nuire ? Psychose ? Mauvais délire ? D'autant que, dans certaines affaires, des piqûres avec punaise sont soupçonnées. Le fait que les malaises décrits par les victimes ne se ressemblent pas trouble aussi les enquêteurs.
Un autre problème s'ajoute : pour l'instant, comme dans l'immense majorité des cas en France, aucune analyse toxicologique n’a permis de déterminer si une drogue ou une autre substance nuisible avaient été injectées. Si l’hypothèse de seringues contenant du GHB – surnommé la drogue du violeur – est toujours dans le viseur des enquêteurs, son analyse est rendue compliquée puisque la substance n’est détectable que durant les quelques heures qui suivent l’administration. Jusqu'à présent, le GHB n'a été décelée qu'à deux reprises : à Roanne et dans les Pyrénées-Orientales (des cas où le lien entre les piqûres et le GHB n’est, pour le moment, pas formellement établi).
Outre la question de la substance injectée, se pose également celle des répercussions psychologiques sur les victimes. L'introduction d'un objet dans sa chair, à notre insu, n'a rien d'anodin. Au Royaume-Uni - après une alarmante série de plaintes à l’automne 2021 - une commission composée de onze députés a publié un rapport parlementaire sur la problématique. Après avoir entendu des centaines de victimes, ils ont démontré l'apparition de réelles souffrances mentales telles que l'anxiété, les cauchemars, des cas d'amnésie. "La fille d'une collègue vient de subir une attaque de piqûre au GHB en faisant la queue pour rentrer en boîte de nuit à Montpellier avec ses amis. Le trou noir, les urgences, l'incompréhension, ne pas savoir... Non merci", témoigne Emilie qui depuis redoute de sortir.
Autre conséquence plus visible : la psychose générale qui plane sur toute une génération de fêtards. Comme chez cette jeune Toulousaine qui raconte "faire attention de ne pas être seule et je fais encore plus attention au comportement des autres. Les sorties sont faites pour se détendre, lâcher prise et on a ça qui nous pollue l'esprit."
Une situation qui pollue aussi le moral et les caisses des professionnels de la nuit et de la culture, des secteurs déjà fortement impactés par la crise sanitaire et l'inflation. Le directeur d'un festival d'Occitanie s'agace de voir l'affolement monter à travers tout le pays alors que, selon lui, "il n'y a pas un seul cas avéré". Le relais de ces affaires, toujours selon ses dires, amplifie la peur : "Il y a même des gens qui s'amusent à amener des cure-dents pour créer de la psychose alors qu'on est à -30% de réservation. C'est inintéressant au possible et pénalisant pour nous. Il faut arrêter de nourrir la peur des gens !"
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Allez ! on va dire que c'est une psychose !
juste un sentiment d'insécurité ! comme
les agressions du" Stade Saint Denis " !!!!

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La chanteuse mezzo-soprano Karine Deshayes sera au théâtre de verdure de Casseneuil ce 17 août.
DR - Aymeric Giraudel










Culture et loisirs , Casseneuil , Lot-et-Garonne




Publié le 16/08/2022 à 10:49
, mis à jour


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