Le pervers baise une fille attachée

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1.



On insérait de force des pointes en métal dans la bouche des femmes qui critiquaient constamment ou comméraient.




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Les peines pour les hommes étaient souvent bien plus légères.
La bride-bavarde était une muselière en fer pour le visage de la femme, utilisée pour punir les «bavardes» – les femmes qui critiquaient sans cesse, comméraient, répondaient ou qui parlaient simplement trop. La bride était verrouillée sur votre tête, et un embout en métal couvert de piques était placé de force dans votre bouche. À chaque fois que vous bougiez la langue, les piques la lacéraient.
La victime de cette torture était parfois enchaînée à un crochet chez elle, ou bien humiliée publiquement.
Variation des piloris, souvent en bois ou en métal, il était utilisé pour punir les femmes qui se disputaient et les commères. Une femme pouvait avoir à le porter seule ou attachée avec la femme avec laquelle elle s'était battue.
Cette punition humiliante pouvait être infligée aux hommes comme aux femmes, mais les femmes accusées d'être des commères ou des filles de joie étaient les premières à devoir s'installer sur un «cucking stool». Attachées sur cette chaise en bois sans siège — souvent une chaise percée —, elles étaient forcées à rester assises, exposées à l'humiliation publique.
Les «cucking stool» ont été modifiés quelques siècles plus tard pour être utilisés comme des sièges à plongeon. Le siège était attaché à de longues poutres en bois, qui reposaient sur un axe. La victime, assise, était ensuite suspendue au-dessus d'une rivière ou d'un étang puis immergée autant de fois que la punition le disait, « afin de refroidir sa chaleur excessive », comme le disait l'écrivain français François Maximilien Misson. Dans certains cas, les femmes étaient immergées un si grand nombre de fois qu'elles en mourraient.
Le «thewe» était un genre de pilori conçu spécifiquement pour les femmes. La femme était enchaînée à un poteau par le cou, mais contrairement aux hommes, ses mains n'étaient pas attachées.
En 1777, Ann Morrow a été accusée de s'être faite passer pour un homme et d'avoir épousé une autre femme. Elle fut mise au pilori, et la foule en colère lui a crevé les yeux en lui jetant des pierres.
Dit aussi «pilori tonneau», cet appareil était utilisé pour punir les hommes coupables de vol, d'ivresse et d'émeutes. Mais les femmes pouvaient également être mises dans un manteau d'ivrogne.
Un homme a raconté avoir vu un tonneau à Delft, aux Pays-bas : «Un lourd récipient en bois, semblable à une baratte, que la femme audacieuse qui a deux maris en même temps porte sur ses épaules, seule sa tête dépassant au sommet, et qui est ainsi promenée en ville, en punition de son intempérance.»
La mutilation ou l'ablation du nez d'une femme était une punition pour les femmes aux mœurs légères, qui a perduré durant le Moyen Âge. En défigurant la femme, on éliminait le pouvoir de sa beauté. La loi britannique de Cnut (1018) imposait qu'une femme accusée d'adultère ait le nez et les oreilles coupés en punition. En comparaison, un homme adultère devait payer une simple amende.
Les marches de la honte étaient une punition traditionnelle pour les prostituées ou les «harpies» – des femmes dominatrices. Ces dernières devaient marcher pieds nus dans les rues, parfois vêtues uniquement de leur jupon. Les chaussées étaient sales, hérissées de pierres irrégulières. La foule, railleuse, se mettait en rang pour regarder les victimes fixement.
C'était une punition populaire pour les prostituées au XVIe siècle. Lady Low , qui dirigeait une maison close à Aberdeen, en Écosse, fut marquée au fer rouge sur les deux joues par un bourreau, puis dû porter une couronne en papier avant d'être bannie de la ville pour sept ans et un jour.
Jusqu'au XVIIe siècle, au Royaume-Uni, l'une des punitions pour les femmes accusées de vol était la noyade . C'était également la cause de la mort dans « l'ordalie par l'eau froide », dans laquelle les chasseurs de sorcières testaient le fait qu'une femme était une sorcière ou non en regardant si elle flottait ou coulait.
La noyade en tant que punition civile simple était d'ailleurs considérée comme une punition clémente, comparée à certaines des méthodes d'exécution plus brutales, comme...
Les femmes accusées de sorcellerie et de communier avec le diable étaient brûlées. Mais c'était également une punition courante en cas de trahison ou d'hérésie. En Écosse, une femme pouvait avoir les membres couverts de goudron, ou devoir porter une robe et un bonnet enduits de cette susbtance. Elle était ensuite attachée par le cou sur un tonneau, le feu allumé, et elle était à la fois brûlée et pendue dans un brasier.
Ce post a été traduit de l'anglais .
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Cet article date de plus de trois ans.



Publié le 14/10/2018 17:08


Mis à jour le 14/10/2018 17:20



Édition du dimanche 14 octobre 2018


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"Il y avait une forte odeur de chair brûlée... C’était comme dans un film d’horreur", confie l’actrice Sarah Edmondson qui croyait intégrer l’élite de la secte de Keith Raniere en acceptant d’être marquée comme du bétail. Elle entrait plutôt dans le harem du gourou aujourd’hui en prison. Extrait du magazine "13h15 le dimanche" du 14 octobre 2018.
Pour fêter l’anniversaire de son gourou Keith Raniere, la communauté de la secte NXIVM (prononcer Nexium) lui organise une semaine de fête : "Bon anniversaire à notre visionnaire", déclare la maîtresse de cérémonie. En cadeau, le fondateur de cette organisation, basée dans l’Etat de New York, s’offre des femmes qu’il repère pendant des sorties collectives pour alimenter son harem, soit un groupe d’une douzaine d’esclaves sexuelles.
Sa plus belle conquête est l’actrice américaine Allison Mack, vue notamment dans la série télé Smallville . Keith Raniere se sert alors de sa notoriété comme d’un faire-valoir. Il réalise avec elle des vidéos de propagande diffusées sur Internet pour attirer plus d’adeptes : "Tu vas trouver ton moi essentiel, un être unique" , dit-il à la jeune femme qui éponge quelques larmes sous le coup de l’émotion. "C’est quelque chose que j’attendais…" lui répond-elle.
La disciple Allison Mack a peut-être dépassé son maître, car c’est elle qui aurait eu l’idée du marquage au fer rouge des recrues. Son amie l’actrice Sarah Edmondson va faire partie des cobayes. En mars 2018, elle est invitée avec quatre autres jeunes femmes chez Allison, pensant intégrer un groupe secret, l’élite de la secte. C'est en fait le harem du gourou. La comédienne canadienne subit alors ce rituel initiatique qu’elle est la première à dénoncer publiquement.
"Il y avait une forte odeur de chair brûlée, confie-t-elle magaine " 13h15 le dimanche " ( Facebook , Twitter , # 13h15 ). Nous étions en pleurs. C’était comme dans un film d’horreur. La femme sur la table criait comme un porc qu’on égorge, comme un animal qu’on marque au fer rouge. Je m’étais engagée, j’avais dit que je le ferais et je l’ai fait, même si tout en moi hurlait 'Sauve-toi de là !'" Sur sa peau désormais, les initiales KR, pour Keith Raniere, arrêté en mars 2018 pour trafic sexuel. Et aussi AM, pour Allison Mack, incarcérée le mois suivant pour l’avoir aidé à recruter des esclaves sexuelles.
Extrait de " L'Amérique des gourous ", diffusé dans le magazine "13h15 le dimanche" du 14 octobre 2018.
"13h15 le dimanche". L'Amérique des gourous
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