Le perdant prend tout

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Le perdant prend tout

nom Personne qui perd au jeu, dans une affaire, une compétition. ➙ battu , vaincu .

locution Être bon, mauvais perdant : accepter sa défaite avec bonne ou mauvaise grâce.


C'est un perdant, il échoue souvent. ➙ loser .



adjectif Qui perd. Les numéros perdants.

Partir perdant.


Dans ce clivage, les partis de droite radicale seraient placés sur le versant perdants de la modernisation. Pouvoirs, 2021, Pascal Delwit (Cairn.info)
Oui, malheureusement, ce sont les grands perdants de ce mois de décembre. Ouest-France, Jacques SAYAGH, 12/11/2020
Il a réalisé un ace en perdant sa raquette, fait appel au kiné pour soigner un dos douloureux. Ouest-France, Clément HEBERT, 12/12/2017
Dans cette redistribution, l'université est souvent présentée comme la grande perdante. Actes de la recherche en sciences sociales, 2010, Bernard Convert (Cairn.info)
Comme pour chaque réforme, la question est de savoir qui seront les gagnants et les perdants. Capital, 17/10/2018, « Fonctionnaires : les risques que fait peser la réforme sur… »
D'une certaine manière, le cultural planning annonce la fin des politiques culturelles, celles-ci perdant leur autonomie, leur spécification et leur différenciation. L'Observatoire, 2010, Charles Ambrosino, Vincent Guillon (Cairn.info)
Dans de tels systèmes, il ne peut y avoir de vrais perdants, ni de vainqueurs, et donc pas de motivation à consolider. Revue Défense Nationale, 2018, Comité (Cairn.info)
D'autres participants, eux, ne changeaient pas de tactique et finissaient perdants. Ça m'intéresse, 18/09/2019, « A quoi servent les regrets ? »
En sorte qu'en perdant son âme, elle perdait un très grand nombre d'autres âmes. Anatole France (1844-1924)
Finalement, le grand perdant de ce premier tour est celui que certains donnaient pourtant en tête. Ouest-France, Tanguy HOMERY, 21/06/2021
Dès lors, étant donné que nous nous retrouvons dans le camp des perdants, nous estimons qu'il est d'autant plus important de soulever la question. Europarl
La règle étant que les perdants soutiennent le gagnant, on voit mal comment elle pourrait avoir lieu. Ouest-France, Michel URVOY, 13/04/2016
Dans ce processus, les vrais perdants du commerce mondial ont été les anciens pays communistes et les pays en voie de développement. Terrains & Travaux, 2005, Neil Fligstein, Frédéric Merand (Cairn.info)
Ils ont aussi proposé de bonnes séquences, en ne perdant que peu de ballons. Ouest-France, 05/02/2018
Il a finalement succombé, perdant cet ultime combat, lui qui en avait remporté tant sur le pré. Ouest-France, 19/07/2020
Cette dernière est un des perdants du scrutin de 2015 (10 sièges au lieu de 12), avec les sociaux-démocrates (34 sièges au lieu de 42). Savoir/Agir, 2015, Louis Weber (Cairn.info)
Ces exemples proviennent de sites partenaires externes. Ils sont
sélectionnés automatiquement et ne font pas l’objet d’une relecture par
les équipes du Robert.
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Qui souffre quelque dommage. Il ne se dit gueres que des joüeurs. Je me suis trouvé du costé des perdants, je pariois pour les perdants.

Ces définitions du XVII e siècle, qui montrent l'évolution
de la langue et de l'orthographe françaises au cours des siècles,
doivent être replacées dans le contexte historique et sociétal dans
lequel elles ont été rédigées. Elles ne reflètent pas l’opinion du
Robert ni de ses équipes.
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vaincu , loser ( familier ) , raté ( familier )
L’origine du mot lavande interpelle. Sa forme rappelle en effet l’italien lavanda , qui signifie « lavage, toilette ».
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Je suis pas spécialement beau, mais je suis un grand boxeur — Bebel
Par  cultureboxe  le 26 février 2015
quand je reviens à moi je suis sur une table,
tout le monde est parti : la figure du courage
sous les projecteurs, qui me jette un regard mauvais,
et puis un sale type se tient devant moi, cigare aux
« Petit, t’es pas un boxeur », il me dit,
je me lève et d’un direct l’envoie valser par-dessus une
reste là, assis sur son gros cul, à répéter
sans arrêt : « Bon Dieu, bon Dieu, kèce qui te
le sparadrap encore autour des mains, et en arrivant

Découvrez de nouvelles façons de faire évoluer votre conscience & votre esprit
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Par


Claire C.


4 janvier 2020, 14h19



 Nous nous investissons totalement dans la relation et nous investissons tout notre temps, notre amour et notre attention. En général, l’autre personne partage ce que nous ressentons, ce qui nous permet de développer une relation saine avec l’autre. Cependant, il arrive aussi que ce sentiment ne soit pas réciproque. Et quand cela arrive, nous nous en voulons de trop donner à une personne qui n’est pas aussi engagée que nous.
Néanmoins, nous devons prendre conscience qu’il est tout à fait normal de donner de l’amour à une autre personne, c’est tout à fait humain.
Le perdant n’est pas celui qui donne de l’amour, car son comportement est basé sur la vérité, la sincérité, la loyauté. Le perdant est celui qui ne sait pas comment recevoir ce magnifique cadeau et qui l’ignore.
Ne pas savoir aimer est ce qu’il y a de pire. Donc ne vous blâmez jamais pour tout ce que vous faites par amour.
La science nous soutient sans cesse sur notre chemin vers la connaissance de soi, et avec les neurosciences, nous pouvons avoir une meilleure compréhension de la manière dont nous nous comportons en amour.
L’une des choses essentielles à savoir est que nous sommes des êtres sociaux; nos gènes nous poussent à développer des relations sérieuses dans lesquelles nous pouvons établir des projets et assurer notre survie. Avoir des relations avec d’autres personnes nous est indispensable. Donc nous ne sommes pas prêts à la séparation et à la perte. Le sentiment de solitude alerte notre cerveau et peut nous blesser profondément.
Nos hormones de stress commencent à se libérer de façon instantanée, et avec le temps nous développons la sensation que nous appelons «le cœur brisé».
D’un point de vue émotionnel et psychologique, la situation n’est pas la même. La souffrance de la perte est mélangée à une perte de motivation, d’énergie, d’amour et d’espoir, ce qui entraîne souvent un vide dans nos coeurs.
Cette situation est très complexe, et pour la gérer et nous ouvrir à nouveau, nous devons surmonter les situations d’une autre façon.
Nous avons tous notre propre vie avec notre propre histoire remplie de joies, de déceptions et de victoires. Et quand nous nous engageons dans une relation, nous transportons tout ce bagage avec nous. Nous ne pouvons pas réinitialiser tout ce que nous sommes avec tous ceux que nous rencontrons.
Ce qui est différent lorsque nous abordons nos relations avec maturité et compassion, c’est la manière dont nous apprenons à gérer les choses grâce à tout ce que nous avons vécu jusqu’à maintenant.
Quand nous sommes déçus dans une relation, nous changeons notre manière de vivre et de voir le monde. Certains ne réussissent pas à bien gérer les changements de vie, et quand une relation dans laquelle ils ont donné beaucoup d’amour prend fin et ne devient plus qu’un souvenir, ils peuvent construire des murs autour d’eux pour se protéger. 
Cependant, aimer une personne et prendre des risques par amour ne devrait jamais être une source de honte ou de culpabilité, car ce sont justement ces comportements qui dévoilent notre humanité, qui montrent que nous avons le courage de nous battre pour ce qui compte vraiment pour nous. Quand nous regrettons ce que nous faisons par amour, nous ignorons l’une des meilleures parties de nous-mêmes.
Une étude à l’University College London a révélé que nous surmontons différemment la déception émotionnelle. Les femmes se sentent plus profondément brisées, mais s’en remettent généralement plus vite que les hommes. 
Cependant, les hommes montrent qu’ils vont bien , qu’ils gèrent la situation avec calme, alors qu’en fait ils ont tendance à refouler la douleur. En principe, il leur faut plus de temps pour se remettre d’une déception amoureuse.
Cela est dû au fait que les femmes écoutent davantage leurs émotions car elles ne s’en éloignent jamais vraiment. Elles recherchent généralement plus de soutien et des façons de pardonner pour rendre leur vie meilleure, ce qui les aide à avancer.
Mais au final, cela n’a pas d’importance de savoir qui se remet plus rapidement ou qui a besoin de plus de temps, nous devons prendre conscience qu’à un moment donné, nous vivrons une déception amoureuse.
Mais cela ne devrait pas nous empêcher de rechercher à nouveau l’amour.
À propos de l’auteure: J’ai toujours été passionnée par tout ce qui avait trait à la spiritualité et son influence sur nous tant sur le plan psychologique que spirituel. Depuis que j’ai intégré l’équipe d’ESM en 2013, je mets au service toutes mes connaissances pour aider au mieux les gens qui en ont besoin et qui cherchent des réponses à leurs nombreuses questions. J’espère pouvoir y contribuer un peu chaque jour.


Par


Claire C.


17 août 2022, 10h11


Par


Jean-Charles R


15 août 2022, 9h38


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Jean-Charles R


11 août 2022, 10h38


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Sandra Véringa


10 août 2022, 10h50


Par


Sandra Véringa


9 août 2022, 10h52


Par


Jean-Charles R


4 août 2022, 10h33


Par


Sandra Véringa


2 août 2022, 11h35


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Claire C.


30 juillet 2022, 9h39


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Claire C.


29 juillet 2022, 7h48


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Jean-Charles R


27 juillet 2022, 11h08


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Sandra Véringa


27 juillet 2022, 10h31


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Jean-Charles R


26 juillet 2022, 11h20


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Claire C.


25 juillet 2022, 11h44


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Claire C.


23 juillet 2022, 9h36


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Claire C.


22 juillet 2022, 9h16


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Claire C.


18 juillet 2022, 10h21


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Claire C.


15 juillet 2022, 10h06
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Suzanne Colpron
LA PRESSE

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Photo Robert Skinner, archives La Presse
Le 28 janvier dernier, le ministre des Transports Robert Poëti est redevenu simple député, victime d’un remaniement ministériel orchestré par Philippe Couillard.
Des perdants, il y en a presque toujours dans un remaniement. Jeudi, c'est à Robert Poëti qu'est revenu ce titre, lui qui s'est fait mettre à la porte du Conseil des ministres.
M. Poëti perd les Transports et la région de Montréal, mais il reste député de Marguerite-Bourgeoys.
« Me demande si Denis Coderre appellera Martin Coiteux le samedi matin pour aller prendre un café comme il le faisait avec Robert Poëti ? », a lancé mon collègue Vincent Marissal sur Twitter. La réponse ne s'est pas fait attendre : « Bien sûr », a répondu le maire.
Et voilà. On est déjà dans l'après-Poëti. C'est triste, mais c'est comme ça. En politique, m'a rappelé jeudi Henri-François Gautrin, qui s'était fait éjecter par Philippe Couillard en 2014, être ministre est une prérogative du premier ministre.
« On n'est jamais ministre plus longtemps que le temps que ça prend au premier ministre de traverser la rue et d'aller au bureau du lieutenant-gouverneur Ça veut dire à peu près deux minutes. »
N'empêche. « Ça doit être assez dur pour M. Poëti. Il faut être conscient de ça. Moi aussi, je l'ai mal pris. Il faut dire la vérité, ce n'est pas facile. On peut comprendre la logique, mais c'est difficile quand ça s'applique à soi. Il faut toujours savoir qu'on est élu pour être député. Après, on a des fonctions. Mais c'est un mandat de député avant d'être un mandat de ministre. »
Élu dans Verdun de 1989 à 2014, M. Gautrin s'attendait à perdre son portefeuille en 2007 quand il a été convoqué au bureau de Jean Charest. « Dans les jours qui précèdent le remaniement, le bureau du premier ministre s'arrange pour faire des fuites dans les médias, m'a-t-il expliqué. Un journaliste m'avait appelé pour m'avertir que ça pouvait être le cas. »
L'ex-ministre péquiste Jacques Brassard, lui, n'a rien vu venir. En février 2002, M. Landry l'a reçu à sa maison de Chambly pour lui annoncer la nouvelle.
« Il m'avait offert de me garder comme leader, plus quelques babioles... Mais il faut mettre les choses en perspective. Sous le gouvernement de Lucien Bouchard, j'avais des responsabilités assez substantielles. Je n'étais pas seulement leader parlementaire, j'avais un ministère important. J'étais, dans le jargon politique, un ministre senior. »
M. Brassard et Guy Chevrette, qui avait subi le même sort, ont remis leur démission le lendemain.
« Tout ce que M. Landry m'offrait, c'était des responsabilités purement décoratives. Je n'étais pas très content et il s'en est rendu compte. En route vers Québec, j'ai appelé ma femme et je lui ai dit : "Je viens de voir Bernard Landry. Je rentre dans mes terres" », raconte Jacques Brassard.
Il tirait ainsi un trait sur 25 ans de vie politique.
À l'époque, la décision de M. Landry était motivée par la volonté de rajeunir son conseil des ministres et d'augmenter le nombre de femmes. Tout comme celle de M. Couillard, hier.
« J'étais perçu comme un vieux débris, un has-been ! J'en ris maintenant, mais je ne trouvais pas ça drôle. Je m'imagine très bien dans quel état doit être M. Poëti. Ce n'est pas agréable. »
M. Brassard dit avoir mis un an à s'en remettre.
La même chose est aussi arrivée au député libéral d'Orford, Pierre Reid, qui a perdu son portefeuille, en février 2006, alors qu'il était dans le gouvernement Charest.
« J'ai pris une journée. On est des êtres humains. Il y avait plein de dossiers qui me tenaient à coeur. Mais ce n'est pas moi qui décide. Le premier ministre a une équation à résoudre. Et il la résout du mieux qu'il peut. La vie continue. »
La vie continue aussi pour Robert Poëti, qui n'a pas assisté au remaniement, hier, mais qui sera de retour au prochain caucus.
« Mes collègues vivent aujourd'hui de beaux moments. Je n'irai pas ternir une journée de célébration à cause du fait que, de toute évidence, je n'aurais pas souri beaucoup. »
« Je suis député, j'ai été élu dans ce comté, j'y ai déménagé, c'est sûr que je vais continuer de travailler avec les citoyens. Mais est-ce que je dois prendre du recul et réfléchir ? La réponse est oui, on ne vit pas facilement un épisode comme ça. »
« M. Couillard m'a dit : "Cela va être une mauvaise journée pour toi. Professionnellement, je suis satisfait de ton travail, personnellement, je n'ai aucun problème, mais comme je veux avoir une meilleure représentation des jeunes et des femmes tu tombes à un mauvais endroit." »
« J'étais en plein dans le projet de loi sur la gouvernance des transports collectifs. J'étais prêt à déposer des amendements au Code de sécurité routière. »

Des voix commencent à se lever contre le recours aux critères ESG (environnement, société et gouvernance) par les fonds de retraite auxquels les contribuables doivent absolument cotiser. Chez nos voisins du Sud, plusieurs États ont commencé à se questionner, voire à attaquer cette méthode de gestion.


10 minutes : c’est le temps qui est alloué au médecin que vous consultez dans une clinique sans rendez-vous. 10 minutes plus tard, il devra rencontrer un autre patient, puis un autre, puis une autre, puis un autre… jusqu’à un total possible de 40 patients sans rendez-vous dans la journée. S’il prend cinq minutes de plus avec vous, puis un autre cinq minutes de plus avec le patient suivant, etc., c’est plus de trois heures de retard qu’il aura accumulé à la fin de la journée. Vous aviez rendez-vous à 19 h, eh bien vous ne verrez pas le médecin avant 22 h ou peut-être pas du tout parce que le Groupe de médecine de famille (GMF) ne sera pas ouvert jusqu’à minuit…


Comme partout, le Québec est affecté par l’inflation, qui se fait particulièrement sentir par l’augmentation du prix de l’essence et la pénurie de logements abordables. Pas étonnant qu’au même moment, les questions d’aménagement urbain fassent les manchettes : c’est que les villes sont au front face aux grands enjeux de l’heure. Certaines solutions à la crise de l’abordabilité et à la crise du logement sont les mêmes !


Dans presque toutes les régions du Québec, la population étudiante est frappée de plein fouet par la crise du logement 1 . De nombreuses personnes étudiantes doivent se résigner à payer des loyers bien au-delà de leurs moyens, tandis que d’autres renoncent carrément à leur p
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