Le patinage m'excite toujours

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Elue sans surprise à la présidence de la Fédération française des sports de glace (FFSG), l'ancienne championne d'Europe de patinage , entend désormais se mettre au travail et elle sait qu'elle en a beaucoup pour remettre son sport dans le bon ordre. Elle n'est que la deuxième femme — après Isabelle Lamour à l'escrime — à la tête de l'une des 36 fédérations olympiques.
Faut-il vous appeler désormais «madame la Présidente»?
NATHALIE PÉCHALAT. Je suis très honorée par la confiance qui m'est accordée par les présidents de clubs présents malgré le contexte compliqué. Je ne minimise pas la hauteur de la tâche qui m'attend maintenant pour répondre à cet honneur. Je suis excitée à l'idée d'accompagner l'évolution de la FFSG pour la faire briller.
Vous prenez la tête d'une fédération pleine de rancœurs et de haines. En avez-vous conscience?
Oui, elle est fragilisée. Cela fait 6 semaines que nous avons beaucoup de rebondissements, que l'image de la fédération est abîmée. La fédération elle-même est en souffrance. Il va falloir travailler dur, notamment sur une modification des statuts au mois de juin. Il y a déjà des échéances qui vont être regardées par le ministère des Sports et c'est normal. On va tout faire pour se reconstruire tous ensemble.
Je préfère le terme apaiser. Nous sommes déjà à mi-mandat et je ne souhaite pas couper les têtes de tout le monde. A l'intérieur de cette fédération, il y a des compétences qui méritent d'être gardés. Sur tout le territoire, il y a des bénévoles qui œuvrent. Au cas par cas, nous allons voir ce qu'on peut faire. Il y a des places vacantes au bureau exécutif. On va voir, en respectant le règlement, comment faire venir du sang neuf pour faire évoluer cette fédération.
LIRE AUSSI > Sport, télé, people… qui est Nathalie Péchalat, la femme qui va diriger le patinage français ?
Pas de grand ménage en perspective?
Il va déjà falloir respecter les statuts et il y a une enquête en cours du ministère sur les violences dont on connaîtra les conclusions en avril. Oui, la FFSG sera assainie.
Vos concurrents disent que vous étiez la candidate de la ministre des Sports…
C'est réducteur, non ? J'ai travaillé dur depuis l'annonce de ma candidature. J'ai fait mon programme, constitué mon équipe et ce que pensent les autres candidats les regarde. Moi, j'avance avec mes valeurs et les gens ont voté.
Cette élection a toutefois été spéciale avec le retrait des autres candidats…
On est habitués, malheureusement. Avec cette fédération, il y a toujours beaucoup de surprises, mais l'élection s'est bien passée.
Fallait-il vraiment qu'elle se tienne ce samedi en pleine pandémie de coronavirus?
Évidemment. Nous devions respecter les statuts après la démission de Didier Gailhaguet. Nous avions 5 semaines pour organiser cette élection et cette AG. Elle a été autorisée par le ministère des Sports en respectant les consignes de sécurité. Ce n'était pas à nous candidats de dire s'il fallait la maintenir ou pas. Toutes les règles ont été respectées et nous avions un problème de délai car sans président, on ne peut pas combler le bureau exécutif et la FFSG ne peut pas avancer. Nous n'avions pas de trésorier, par exemple.
Il y en a tellement d'importants comme répondre à la lettre sur le retrait de l'agrément par le ministère des Sports. Il faut aussi s'occuper des élus, des équipes et des salariés…
Avez-vous conscience de la tâche immense qui vous attend ?
Oui et je ne suis pas au bout de mes surprises. Je vais découvrir le métier très rapidement. Je sais que sera compliqué et qu'il faut aller vite, notamment pour préparer notre AG extraordinaire du mois de juin. Je sais qu'il y a beaucoup de souffrances dans cette fédération.
Préconisez-vous une rupture avec le passé?
De fait, elle est là cette rupture devant vous puisque Didier Gailhaguet était président de cette fédération depuis plus de 20 ans. Le renouveau, je suis là pour le porter.
Vous n'êtes que la deuxième femme présidente d'une fédération olympique…
C'est de bon ton de le souligner, mais cela reste tout de même anecdotique. C'est surtout bien d'avoir des anciens athlètes, des jeunes et du sang neuf qui savent s'entourer de gens d'expérience.
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La patineuse Laure Detante accuse elle aussi l'entraîneur Gilles Beyer d'attouchements
Le 03/02/2020 à 17:34 | MAJ à 17:36
Tout comme Sarah Abitbol, Laure Detante a été entraînée par Gilles Beyer, pendant des années. Et elle aussi a subi des attouchements. Elle témoigne pour RMC Sport.
Pendant plus de vingt ans, Laure Detante, ancienne patineuse, a côtoyé Gilles Beyer au club des Français Volants. Mais ce n'est qu'aujourd'hui, après le témoignage de Sarah Abitbol , sa partenaire d'entraînement, qu’elle exprime des choses qu'elle avait elle aussi enfouies au plus profond d'elle.
"Je suis rentrée en école de glace, j’avais 11 ans, confie Laure Detante à RMC Sport. Donc de 11 ans jusqu’à là, j’en ai 42, donc pendant 30 ans, c’est à peu près ça. Sachant que je ne suis pas restée 30 ans à faire du patinage, mais pareil, j’ai oublié, j’ai mis dans un coin de ma tête. Et puis, c’est revenu là, grâce à cette médiatisation qui fait surface. Il était violent sur la glace. Il nous secouait, il nous mettait des coups de pied au cul, c’est le cas de le dire. Il ne nous respectait pas forcément."
Pendant les étirements, Gilles Beyer posait ses mains sur son sexe, sur ses fesses. Pour la faire tenir droite pendant des portées, il mettait ses mains sur ses seins: "Il nous touchait pour replacer un bassin. Quand ça n’allait pas, c’était toujours une main aux fesses. Donc, il voulait nous replacer le bassin, c’était une main sur le devant, une main sur les fesses. La poitrine, c’était pareil. Quand on faisait les activités hors glace, comme explique Sarah dans son livre, les étirements, il s’allongeait sur nous."
Et elle se souvient, comme Sarah Abitbol, de "son souffle chaud dans le cou" lors des étirements, lorsqu'il se couchait sur elle: "Je m’en souviens bien. C’était quand on avait les jambes écartées, qu’on devait se coucher sur le ventre pour essayer d’être le plus souple possible, il venait, il s’appuyait sur nous et son souffle chaud dans le cou, à côté de nos oreilles, c’est un souvenir que je n’oublie pas. C’est grâce à Sarah que tous ces souvenirs reviennent et c’est grâce à elle que maintenant, je peux parler."
A l’époque, elle ne réalisait pas vraiment ce qu’elle était en train de subir: "C’était toujours le contact avec ses mains. C’était gênant mais pour moi, à l’époque, je ne pensais pas à mal, je me disais: "Il essaye de me replacer, c’est sa façon d’entraîner." Et je n’y voyais pas de mal, jusqu’à ce que Sarah en parle et que je me dise: "Ah mais oui, mais finalement, ça n’était pas normal. Ah oui, ça aussi je l’ai vécu, ça aussi." Et de se rendre compte que oui, ce qu’il faisait, c’était mal."
Elle se souvient de ses regards, de ses claques sur les fesses à chaque fois qu'elle devait entrer en piste... Elle explique aussi que, des années après, elle devait se changer dans le vestiaire, devant lui finalement: "Quand j’ai arrêté les compétitions, j’ai ensuite voulu donner des cours de patinage pour rester dans le monde du patinage. J’ai donné des cours pendant 3-4 ans, au club des Français Volants. Et puis j’ai voulu intégrer sa troupe de Féérie sur glace, où ça permettait de continuer à avoir un contact avec le public."
Gilles Beyer était alors à la tête de cette troupe: "Malheureusement, c’est lui qui dirigeait cette troupe et on était des proies pour lui, parce qu’on se changeait dans son vestiaire. Il nous voyait nous changer donc pour lui, il voyait des poitrines et ça relançait des SMS où justement, c’était: "Ton corps me plaît", "Quels sous-vêtements tu mets?", "Est-ce que tu mets des strings?", "Tu m’excites"… C’était des SMS comme ça. Je ne répondais pas. J’effaçais parce que j’avoue, j’avais honte et j’avais surtout honte que quelqu’un tombe dessus et je n’avais pas du tout envie d’en parler."
Laure Detante n'a pas été violée par Gilles Beyer mais elle se souvient des stages où Sarah Abitbol a expliqué, dans son livre, avoir été violée: "Avec moi, il n’a jamais essayé d’aller plus loin. Sûrement peut-être parce qu’à l’époque, mon corps ne l’attirait pas. Je n’étais pas forcément une fine patineuse. Je pense que mon corps ne l’intéressait pas. Pour moi, heureusement finalement de ne pas avoir subi plus, parce que je pense que, comme Sarah, je n’aurai rien dit non plus."
Cependant, à propos de Sarah, elle s'en veut de n'avoir rien vu, rien senti, alors qu'elles dormaient ensemble. Elle se souvient du stade, de la petite pièce dont parle l'ancienne championne: "Je m’en veux encore plus parce que ce jour-là où il est venu dans la pièce, moi je dormais et je n’ai rien vu. Même si j’étais jeune, je m’en veux encore maintenant. Effectivement, quand elle décrit dans son livre qu’il l’a emmenée dans une petite pièce à côté, je revois très bien comme c’était fait à l’intérieur et effectivement, ça me fait mal de savoir qu’elle a subi ça, alors que j’étais juste là."
Laure Delante a commencé le patinage pour sa grand-mère, fan de Gilles Beyer: "Elle l’idéalisait. Pour elle, c’était l’entraîneur, l’homme qu’il fallait respecter. Sa prestance faisait qu’il donnait confiance, donc elle lui disait toujours: "Vous la gérez. S’il y a besoin de lui mettre un coup de pied au cul, vous le faites." Elle lui donnait toujours raison, même quand moi je lui disais qu’il était dur avec moi. Elle trouvait cela normal et elle lui donnait toute sa confiance."
Elle est tombée des nues lorsqu'elle lui a parlé de tout cela il y a quelques jours: "Quand j’ai appelé ma grand-mère pour lui dire: "Mamie, tu es au courant de ce qu’il s’est passé pour Sarah?" Sa première réaction a été: "Mais, c’est un salopard! On ne peut pas faire ça." Et quand elle m’a demandé si moi aussi j’en avais été victime, je lui ai dit que oui, en minimisant la chose forcément, parce qu’elle est quand même âgée de 99 ans, il y a des choses qu’elle n’a pas forcément besoin d’entendre. Pour elle, maintenant, c’est une ordure. Il faut qu’il paye pour tout ce qu’il a fait, pour toutes les victimes. Et ma grand-mère espère justement que tout le monde puisse enfin pouvoir parler et se libérer de ce qu’il a fait."
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Patinage de vitesse
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Patinage de vitesse - Tout savoir sur le patinage de vitesse - Article du : 24/02/2018

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En patinage de vitesse, les patineurs peuvent atteindre la vitesse de 50 km/h.


Des compétitions sont organisées en Angleterre depuis 1814 grâce aux Frisons ou Frieslanders (habitants le Friesland, une région située du nord des Pays-Bas) qui introduisirent ce sport outre-manche dans la région des Fens près de Cambridge (à l’origine, le patinage de vitesse se nommait ‘fens skating’ en Angleterre).


La première compétition internationale eut lieu en Allemagne à Hambourg en 1885 sur une piste de 3 800 m de long avec comme vainqueur le Norvégien Axel Paulsen, figure emblématique du patinage artistique (il est à l'origine d'une fameuse figure portant son nom, l'Axel) et inventeur des patins longs et à lame étroite.


En 1889, les Pays-Bas organisaient les premiers championnats du monde encore non officiels auxquels participèrent des patineurs hollandais, russes, américains et anglais.


Les premiers championnats du monde officiels furent organisés en 1893 sur les distances de 500, 1500, 5000 et 10 000 m. Le patinage de vitesse devient olympique en 1924 pour les hommes et en 1960 pour les femmes.


Le plus ancien club de patinage est le Skating Club d'Édimbourg, créé en 1742. En 1823, l’Ecossais Russel fît le pari à Dublin de faire soixante-dix lieues sur une piste circulaire. Un siècle après son exploit, le patinage jouissait dans le monde, surtout aux Etats-Unis d’une vogue extraordinaire.


Tim Donoghue
fut le premier grand patineur de vitesse américain, imbattable entre 1871 et 1875. Son fils Joseph Donoghue (1871-1921) remporta les premiers championnats du monde, en 1890 et 1891 (1/2 mile, mile, 2 miles et 5 miles). Il fallait alors gagner les quatre épreuves pour être sacré.


Entre 1965 et 1972, elle a gagné 13 médailles internationales dont 4 médailles olympiques : 3 d'or, 6 d'argent et 4 de bronze. Championne olympique du 3 000 m en 1972 avec une avance de 6s53 secondes sur sa suivante, la plus importante avance de l'histoire du patinage de vitesse féminin. A ce moment, elle fut la femme la plus âgée à obtenir une médaille d'or dans une épreuve individuelle, à de 33 ans et 268 jours. Elle termina 2eme sur 1 500 m en 1972 et 3eme sur 1 500 et 3 0...


L'une des plus grandes championnes de short-track de l'histoire avec 3 titres olympiques (5 médailles) et 19 titres mondiaux (24 médailles) depuis 2015. Quatre fois championne du monde au général, en 2015, 2016, 2018 et 2022. Championne du monde en 2015, à seulement 16 ans, des 1 000 et 3 000 m, et avec le relais. Elle confirme en 2016 en remportant les titres au classement général, sur 1 000 m et avec le relais (2eme du 1 500 m en 2016 et 3eme en 2015) puis en 2018, avec les titres ...


Spécialiste du short track. Vice-championne olympique du 1 000 m en 2018 (3eme du 500 m en 2018 et 2022 et du 1 500 m en 2018). Vice-championne du monde au classement général en 2022 et du 1 500 m en 2019 (2eme du 500 m, du 1000 m, du 1 500 m et du relais en 2022 ; 3eme au général en 2019, du 1 500 m en 2018, du 1 000 m en 2019 et avec le relais en 2018 et 2019). Recordwoman du monde du 500 m depuis novembre 2019 en 41s936 devenant la première femme sous la barre des 42 secondes sur 500 m.
...


Une figure légendaire en short-track, toujours au sommet, à 37 ans en 2022. Avec son frère cadet François, il fait partie des meilleurs patineurs en short track de l'histoire avec 6 médailles olympiques (4 en or) en cinq Olympiades depuis Turin en 2006. Il a gagné 54 médailles internationales (olympiques et mondiales) entre 2005 et 2022 (20 en or, 19 en argent, 15 en bronze). Champion olympique du 500 m et du relais en 2010 et 2022 à 37 ans, du 1 500 m en 2014 (2eme avec le relais en 200...


Né d'un père chinois et d'une mère hongroise, il fait parti, avec son frère aîné Shaolin Sandor, des meilleurs patineurs en short-track. Champion olympique avec le relais en 2018 (la première médaille d'or pour la Hongrie aux Jeux Olympiques d'hiver) et du 500 m en 2022 pour devenir le premier Hongrois de l'histoire à gagner l'or olympique individuel (3eme du 100 m et avec le relais mixte en 2022, 4eme du 1500 m). Champion du monde du général en 2021 et 2022, du 500 m...







Hommes

- Plus de titres au classement final :

6 dont 5 de suite par Ahn Hyun-Soo/Viktor An KOR/RUS (de 2003 à 2007 puis 2014).

4 par Marc Gagnon CAN (1993, 1994, 1996 et 1998).

- Tous les titres dans une édition : Ki-Hoon Kim KOR en 1992 et Dong-Sung Kim KOR en 2002.

Le Canada a remporté tous les titres chez les hommes en 1982 et 1983, la Corée du Sud en 1992.

 



Femmes

- Plus de titres au classement final :

6 par Yang Yang A. CHN (1997 à 2002).

5...


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Des compétitions sont organisées en Angleterre depuis 1814 grâce aux Frisons ou Frieslanders (habitants le Friesland, une région située du nord des Pays-Bas) qui introduisirent ce sport outre-manche dans la région des Fens près de Cambridge (à l’origine, le patinage de vitesse se nommait ‘fens skating’ en Angleterre).


La première compétition internationale eut lieu en Allemagne à Hambourg en 1885 sur une piste de 3 800 m de long avec comme vainqueur le Norvégien Axel Paulsen, figure emblématique du patinage artistique (il est à l'origine d'une fameuse figure portant son nom, l'Axel) et inventeur des patins longs et à lame étroite.


En 1889, les Pays-Bas organisaient les premiers championnats du monde encore non officiels auxquels participèrent des patineurs hollandais, russes, américains et anglais.


Les premiers championnats du monde officiels furent organisés en 1893 sur les distances de 500, 1500, 5000 et 10 000 m. Le patinage de vitesse devient olympique en 1924 pour les hommes et en 1960 pour les femmes.


Le plus ancien club de patinage est le Skating Club d'Édimbourg, créé en 1742. En 1823, l’Ecossais Russel fît le pari à Dublin de faire soixante-dix lieues sur une piste circulaire. Un siècle après son exploit, le patinage jouissait dans le monde, surtout aux Etats-Unis d’une vogue extraordinaire.


Tim Donoghue
fut le premier grand patineur de vitesse américain, imbattable entre 1871 et 1875. Son fils Joseph Donoghu
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