Le meilleur des deux mondes

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Le meilleur des deux mondes


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4.1 Présentation du Meilleur des Mondes

4.3 Le sauvage visite l'État mondial

5.6 Mustapha Menier : Alpha plus et administrateur mondial

7 Réception, critiques et distinctions
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↑ c'est-à-dire en 2540 selon le calendrier grégorien , puisqu'il est écrit dans le chapitre III : « L'introduction du premier modèle en T de Notre Ford [...] Choisie comme date d'origine de l'ère nouvelle »

↑ Ce terme, d'abord utilisé dans les milieux littéraires, a été popularisé aux USA, peu de temps avant la sortie de ce roman


Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : Encyclopædia Britannica [ archive ] Store norske leksikon [ archive ]





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Le Meilleur des mondes (titre original : Brave New World ) est un roman d'anticipation dystopique , écrit en 1931 par Aldous Huxley . Il paraît en 1932 . Huxley le rédige en quatre mois [ 1 ] , à Sanary-sur-Mer , dans le sud de la France [ 2 ] . Vingt-cinq ans plus tard, Huxley publie un essai consacré à ce livre, Retour au meilleur des mondes , insistant notamment sur les évolutions du monde qu'il perçoit comme allant dangereusement vers le monde décrit dans son ouvrage.

Le roman figure à la 5 e place dans la liste des cent meilleurs romans de langue anglaise du XX e siècle établie par la Modern Library en 1998 [ 3 ] . Il a été adapté à la télévision en 1980, 1998 et en 2020.

Le titre original du roman, Brave New World , provient de La Tempête , pièce de théâtre en cinq actes de William Shakespeare , acte 5 scène 1 , texte prononcé par le personnage de Miranda [ 4 ] : « Oh, wonder! How many goodly creatures are there here! How beauteous mankind is! O brave new world , that has such people in ‘t! »


Le personnage de John, le « Sauvage », reprend souvent cette phrase dans le roman (chap. 8, 11, 15). Dans la pièce de Shakespeare, la phrase est ironique et la traduction française de Jules Castier reprend la même ironie, mais en référence à la littérature française avec la phrase prononcée par Maitre Pangloss dans le Candide de Voltaire [ 5 ] :
« Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles »

Ce roman, écrit en 1931, a été publié en 1932 . Il est donc postérieur au krach boursier de 1929 qui marque le début de la plus grande crise économique du XX e siècle connue sous le nom de Grande Dépression qui suivit la puissante expansion des années 1920, également connue sous le nom des Roaring Twenties .

Cet événement financier et économique entraîna la faillite de nombreuses entreprises, tout d'abord sur le continent américain, puis en Europe et dans le monde entier. Il fut la cause directe de la montée du chômage, d'un appauvrissement d'un grand nombre de citoyens entrainant une crise politique et la montée des nationalismes puis des pouvoirs dictatoriaux, notamment dans de nombreux pays en Europe [ 6 ] .

Ce roman précède dans le temps d'autres romans dystopiques de même nature tels que Ravage de René Barjavel (publiée en 1943 ), 1984 de George Orwell (publié en 1949 ) et Fahrenheit 451 de Ray Bradbury (publié en 1953 ) mais il postérieur aux deux romans de Herbert George Wells , La Machine à explorer le temps (publié en 1895 ) et Quand le dormeur s'éveillera , publiée en 1899 .

Le roman est découpé en dix-huit chapitres.

Le récit évoque une société futuriste et eugéniste, très hiérarchisée, divisée en différentes castes dont les individus, conçus artificiellement, sont conditionnés biologiquement et psychologiquement afin de garantir la stabilité et la continuité du système. Au cours du récit le lecteur découvre un grand nombre de personnages dont notamment Bernard Marx, individu appartenant à la caste supérieure de cette société et John, un « sauvage », car indépendant, né d'une femme et vivant en dehors de ce système social imposé à une très grande majorité d'êtres humains [ 7 ] .

L'histoire débute à Londres , en l’« an 632 de Notre Ford » [ Note 1 ] , dans un bâtiment gris nommé « Centre d'incubation et de conditionnement de Londres-Central ». Dans le monde décrit par l'auteur, l'immense majorité des êtres humains vit au sein de l'État mondial – seul un nombre limité de « sauvages » est encore regroupé dans des réserves. L'enseignement de l' Histoire est jugé parfaitement inutile dans ce monde, on apprend que les sociétés anciennes ont été détruites par un conflit généralisé connu sous le nom de « Guerre de Neuf Ans ». C'est l'unique garde-fou motivé par tous les aspects de l'individualisme ou de la culture, ardemment combattus par la société.

La religion a subi une mutation radicale : les cultes chrétiens, jugés trop empreints de passion, ont été bannis et les croix latines coupées au sommet pour former des T majuscules car, désormais, l'être suprême est... Henry Ford (Divinisé en Notre Ford - jeu de mots sur "Our Lord", Notre Seigneur en anglais). Les T majuscules sont là pour rappeler que le calendrier grégorien a disparu et que l'an zéro du nouveau calendrier est celui du lancement en grande série de la Ford Modèle T . Cela va jusqu'à l'interjection "Dieu du Ciel !" , remplacée par " Ford du Tacot !".

Le Culte et la messe sont réduits à une célébration consensuelle où les fidèles sont sous l'emprise du Soma (la drogue du bonheur quasi obligatoire dans le Meilleur des Mondes). Un chanteur communautaire (ou Chantre) préside aux cérémonies où les assistants reprennent en chœur des rengaines populaires et des chants au contenu unanimiste et creux.

Dans cette société, la reproduction sexuée telle qu'on la conçoit de nos jours a totalement disparu ; les êtres humains sont tous créés en laboratoire, les fœtus y évoluent dans des flacons et sont conditionnés durant leur enfance. Les traitements que subissent les embryons au cours de leur développement déterminent leurs futurs goûts, aptitudes, comportements, en accord avec leur future position dans la hiérarchie sociale. Ainsi, les embryons des castes inférieures reçoivent une dose d'alcool qui entrave leur développement, les réduisant à la taille d'avortons, et sont traumatisés par tout ce qui concerne la nature ou les livres. Cette technique permet de résoudre les problèmes liés aux marchés du travail en produisant un nombre précis de personnes pour chaque fonction de la société, nombres déterminés par le service de prédestination.

Les membres des castes inférieures (Delta et Epsilon) sont produits en série (comme les Ford T ) par un procédé de division cellulaire au stade qui suit la fécondation in vitro d'un ovule (le procédé Bokanovsky), ainsi un atelier d'usine "taylorisée" peut être équipé de machines identiques conduites par vingt-quatre, quarante-huit ou quatre-vingt-seize ouvriers jumeaux absolument identiques (on parlerait actuellement de clones ).

Une fois enfants, les jeunes humains reçoivent un enseignement hypnopédique qui les conditionne durant leur sommeil, créant une morale commune profondément ancrée dans le subconscient de chacun. Les castes supérieures apprennent ainsi à mépriser les castes inférieures tout en reconnaissant leur nécessité. Plus précisément, la société est séparée en cinq castes [ 8 ] .

Chacune de ces castes est divisée en deux sous-castes : Plus et Moins . Chacun, en raison de son conditionnement, estime être dans une position idéale dans la société, de sorte que nul n'envie une caste autre que la sienne, contribuant à l'objectif ultime de tout le système social : la stabilité.

Cette société rend tabou le sujet de la viviparité : les allusions à la maternité, à la famille ou encore au mariage font rougir de honte aussi bien les jeunes que les adultes. La sexualité y apparaît comme un simple loisir : chaque individu possède simultanément plusieurs partenaires sexuels (entre deux et six par semaine) et la durée de chaque relation est extrêmement limitée (quelques semaines seulement). Les femmes utilisent de nombreux moyens de contraception , appelés « exercices malthusiens », afin de contourner tout risque de reproduction qui échapperait au conditionnement réglementaire.

Chacun des membres de la société est conditionné pour être un bon consommateur et est obligé de participer à la vie sociale. La solitude est une attitude suspecte.

Tout le monde dans l'État mondial utilise du « soma », substance apparemment sans danger qui peut, à forte dose, plonger celui qui en prend dans un sommeil paradisiaque. Le soma n'a aucun des inconvénients des drogues que nous connaissons aujourd'hui. Il se consomme sous forme de comprimés distribués au travail en fin de journée. Cette substance est le secret de la cohésion de cette société : grâce à elle, chaque élément de la société est heureux et ne revendique rien. Les individus de toutes les castes se satisfont de leur statut par le double usage du conditionnement hypnopédique et du soma [ 9 ] .

Les humains qui ne vivent pas dans l'État mondial sont parqués dans des « réserves à sauvages » délimitées par de hautes barrières électrifiées. Elles ont été créées par l'État mondial à cause des conditions climatiques et géologiques peu favorables : « Il n'a pas valu la peine ni la dépense de civiliser » . Ces sauvages perpétuent la reproduction vivipare et ont un mode de vie primitif.

La première partie du roman décrit la vie dans l'État mondial et les personnalités de deux des personnages principaux, Bernard Marx et Lenina Crowne. Lenina est une jeune femme Bêta particulièrement belle, tandis que Bernard est une sorte de paria : même s'il est un Alpha, il est aussi petit qu'un Gamma. En outre, Bernard se trouve être un élément subversif de la société ; il déteste le soma, il préfère « être lui-même et triste plutôt qu'une autre personne qui soit heureuse » [style à revoir] . Il aime également la mer, les étoiles, la randonnée alors que les êtres humains ont été conditionnés à détester la nature. Bernard remet encore en cause les mœurs répandues dans l'État mondial, la façon dont sont considérées les femmes, et en particulier Lenina : « comme de la viande » . Cette conduite étrange a fait naître une légende à son sujet : on aurait versé par erreur de l'alcool dans son « pseudo-sang » alors qu'il était encore un embryon (traitement normalement réservé aux castes inférieures).

On fait également la connaissance d'Helmholtz Watson, maître de conférences au Collège des Ingénieurs en Émotion (Section des Écrits) et meilleur ami de Bernard. Il est assez similaire à Bernard sur le plan intellectuel, mais son physique agréable, conforme à la norme des Alphas, n'en fait pas un paria. Helmholtz lui aussi s'interroge et trouve que quelque chose manque à cette société, aussi formidable soit-elle : une personne héroïque suscitant l'admiration.

Dans ces chapitres, Bernard obtient un permis de visite pour lui-même et pour Lenina à destination d'une réserve à sauvages, au Nouveau-Mexique . Il présente ce voyage à Lenina comme un rendez-vous galant. Juste avant de partir, au moment où il veut faire valider son laissez-passer par son supérieur hiérarchique, le directeur du Centre d'Incubation et de Conditionnement, celui-ci se met à lui raconter comment lui-même était allé dans cette réserve avec une amie quand il était jeune. Elle s'est perdue pendant une randonnée et ne fut jamais retrouvée.

À la réserve à sauvages, Bernard et Lenina sont présentés à la société de Malpais qui a été largement oubliée par l'État mondial. Les habitants de la réserve vivent en société primitive tribale, s'accouplent à vie, se reproduisent naturellement, survivent dans un univers non stérile, ce qui horrifie Lenina et fascine Bernard.

Le couple rencontre par hasard Linda, l'amie du directeur perdue dans la Réserve et dont elle était enceinte sans le savoir. Avoir un enfant l'a empêchée de se signaler pour revenir dans la société industrielle. La plupart des résidents de la réserve sont illettrés, animistes et n'ont pas reçu d'éducation moderne. Son fils John, plus tard appelé le Sauvage, a été éduqué par sa mère, mais il a été exclu de l'initiation religieuse des jeunes gens de la tribu et il en souffre. Il a découvert Shakespeare dans un vieux livre, sa seule lecture avec le manuel de technicien avec lequel sa mère lui a appris à lire.

John est fasciné par Bernard et Lenina et il souhaite voir le monde d'où vient sa mère. Imaginant le pouvoir de nuisance qu'il aurait sur son chef, Bernard utilise aussitôt ses relations et sa connaissance hiérarchique du système. Il parvient à obtenir l'autorisation de rapatrier Linda et John à Londres avec lui.

Le choc culturel est énorme lorsque John le « Sauvage » est propulsé dans la société de ce « nouveau monde merveilleux » ( Brave New World , titre du livre en anglais) comme il l'appelle au début.

Pendant ce temps, le directeur du Centre d'Incubation et de Conditionnement dénonce l'attitude subversive de Bernard devant tous les travailleurs des hautes classes du Centre. Après que le directeur finit sa tirade, Bernard contre-attaque en présentant son propre fils, John, ainsi que Linda, sa mère, devant tous les membres du Centre. C'est l'humiliation la plus totale : avoir un enfant, de surcroît né de manière vivipare, dans le corps d'une mère. Le directeur perd ses moyens en public en ignorant John et Linda et s'enfuit. Peu après, on apprend que le directeur a choisi de démissionner.

Le retour du Sauvage à la société est un événement médiatique dont Bernard se sert pour sa propre ascension mondaine. Il organise régulièrement des soirées auxquelles il invite de nombreuses personnalités de la classe supérieure à voir le Sauvage. Bernard devient célèbre et envié ; la rumeur d'alcool dans son « pseudo-sang » est oubliée. À l'une d'elles, Bernard invite une personne de premier plan, l'Archichantre de Canterbury. John, lassé d'être exhibé, refuse de s'y présenter. L'Archichantre, outré d'avoir été dérangé pour rien, décide de quitter la soirée suivi par les autres invités, entraînant la déchéance sociale de Bernard qui s'aperçoit de la vacuité de ses ambitions mondaines.

Bernard présente John à son ami Helmholtz Watson, qu'il avait délaissé depuis sa récente et fragile célébrité. Les deux deviennent vite amis en se découvrant des réflexions communes. Ils se fréquentent souvent pour discuter littérature, plus spécialement de Shakespeare dont Watson est ignorant et dont John connaît les œuvres par cœur en les interprétant au sens littéral.

Lenina, sensible à la personnalité de John, s'aperçoit qu'elle en est tombée amoureuse et aimerait bien avoir une relation avec lui. John, façonné par la lecture romantique de Shakespeare et son éducation monogame tribale, est incapable de dialoguer avec Lenina. Il en est amoureux, mais la facilité sexuelle de cette société polygame lui fait voir Lenina comme une courtisane délurée. Lassée d'attendre les avances de John, Lenina décide un jour de provoquer leur relation et se rend chez John. Surpris et content, celui-ci cherche à lui déclarer son amour et ses tourments en des termes que ne comprend pas Lenina. Celle-ci parvient à obtenir clairement son aveu. Conformément à son conditionnement, elle se prépare sur-le-champ à exalter vigoureusement ses pulsions sexuelles et celles de John en se déshabillant puis en se jetant sur lui. John, horrifié par l’attitude de Lenina, la repousse violemment. Leur soirée est heureusement interrompue par un appel téléphonique d'un hôpital qui annonce à John la mort prochaine de sa mère.

Depuis son retour à la civilisation, Linda s'est réfugiée dans de fortes doses de soma qui lui font oublier sa déchéance physique et sa désocialisation provoquées par vingt ans de vie primitive. Usée, elle est mourante et John la rejoint in extremis à son lit d'hôpital. Quand Linda meurt, il pleure sa disparition, ce qui suscite l'incompréhension de l'entourage puisque toute la société est conditionnée pour être insensible à la mort. Devant leur absence de réactions face à son malheur, John s'énerve puis devient violent envers les enfants Deltas qui jouent parmi les mourants. En quittant le chevet de Linda, il assiste à la distribution quotidienne de soma à l'équipe de jour des employés Deltas de l'hôpital. Il décide de les libérer de leur dépendance volontaire en les dissuadant de prendre leur ration, qu'un Alpha leur apporte. Rejoint par Helmholtz Watson et Bernard Marx qui le recherchaient après sa disparition soudaine vers l'hôpital, il jette l'ensemble des rations par la fenêtre avec l'aide de Watson. Loin de comprendre le concept de liberté et de drogue contribuant à leur asservissement, les Deltas se révoltent contre John et Watson. La police est appelée au secours par les responsables de l'hôpital. Rapide, efficace, équipée de masques à gaz, elle intervient en vaporisant du soma et un magnétophone diffusant des paroles d’apaisement. Les Deltas rapidement calmés, Helmholtz, Bernard et John sont arrêtés.

Bernard, Helmholtz et John se retrouvent devant Mustapha Menier, l'Administrateur Mondial résidant en Europe occidentale. Celui-ci est d'un niveau intellectuel très supérieur et leur dévoile sa connaissance parfaite des mécanismes de contrôle social, autant que sa culture historique et littéraire dont il discute avec John. Il partage leurs réflexions et reconnaît leur originalité. Alors que Bernard et Helmholtz craignaient l'exil dans des îles isolées, l'Administrateur leur révèle que ces îles sont des havres de regroupements d'individus hérétiques dans leur genre. Il s'agit d'une récompense plus que d'une punition, puisqu'ils peuvent y rencontrer d'autres gens comme eux. Helmholtz pourra y assouvir son désir d'écrivain iconoclaste et Bernard y vivre en paix. Bernard est envoyé en Islande et Helmholtz choisit les îles Falklands (les Malouines ). En revanche, Mustapha Menier impose à John de rester sur place, à titre de sujet d'expérience.

Dans le chapitre final, John tente de s'isoler de la société en se réfugiant dans un phare de navigation aérienne désaffecté à la périphérie de Londres ; cependant, il est dans l'impossibilité d'y vivre sans convoiter Lenina et il se punit systématiquement, physiquement et mentalement pour de telles pensées. Sa propre flagellation lui vaut la curiosité des médias et des badauds. Il est harcelé par de nombreux visiteurs, intrigués par sa conduite inhabituelle. À la fin du roman, John attaque Lenina alors que celle-ci se joint aux curieux. Le matin, effrayé par ce qu'il a fait et dégoûté de lui-même, il se pend dans la cage d'escalier du phare.

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