Le mec chanceux baise deux filles dans le train

Le mec chanceux baise deux filles dans le train




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Le mec chanceux baise deux filles dans le train
Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accĂ©der Ă  des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basĂ©s sur l'intĂ©rĂȘt lĂ©gitime Ă  tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialitĂ© sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Analyser activement les caractĂ©ristiques du terminal pour l’identification , CrĂ©er un profil personnalisĂ© de publicitĂ©s , CrĂ©er un profil pour afficher un contenu personnalisĂ© , DĂ©velopper et amĂ©liorer les produits , Exploiter des Ă©tudes de marchĂ© afin de gĂ©nĂ©rer des donnĂ©es d’audience , Mesurer la performance des publicitĂ©s , Mesurer la performance du contenu , Stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur un terminal , SĂ©lectionner des publicitĂ©s personnalisĂ©es , SĂ©lectionner des publicitĂ©s standard , SĂ©lectionner du contenu personnalisĂ© , Utiliser des donnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer

Au Japon, les agressions sexuelles quotidiennes se multiplient dans les trains bondés


L’actrice Anne Heche meurt à l'ñge de 53 ans


Abonné
Livres


Abonné
Cinéma

AccĂ©dez Ă  l’intĂ©gralitĂ© des Inrockuptibles
Publié le 25 novembre 2017 à 11h54 Mis à jour
le 25 novembre 2017 Ă  11h54

Des usagers du métro à Tokyo, le 24 juillet 2017 © Toru Yamanaka / AFP
On les appelle les “tchikan”. NoyĂ©s parmi les usagers des lignes de trains japonaises, ces prĂ©dateurs sexuels agressent les jeunes filles, en particulier les collĂ©giennes. Ils seraient aujourd’hui plus de 10 000 Ă  agir. L’une de leurs victimes, Kumi Sasaki, a dĂ©cidĂ© de tĂ©moigner dans un livre.
Entre 8h30 et 9h30, la Yamanote, la ligne de train circulaire qui relie les principaux points nĂ©vralgiques de Tokyo, est bondĂ©e. Les employĂ©s se rendent au travail, les enfants Ă  l’école. C’est pour entrer dans ce mĂȘme train que, sur ce crĂ©neau horaire, des prĂ©posĂ©s de la compagnie ferroviaire tassent les passagers dans les wagons pour que les portes de la rame puissent fermer. C’est cette mĂȘme ligne que Kumi Sasaki* emprunta quotidiennement, pendant six ans, pour se rendre au collĂšge. FraĂźchement dĂ©barquĂ©e Ă  Tokyo, elle avait 12 ans lorsqu’elle a rencontrĂ© son premier tchikan , l’un de ces prĂ©dateurs sexuels qui sĂ©vissent surtout dans les trains bondĂ©s.
“Au Japon, beaucoup d’hommes fantasment sur les uniformes des Ă©coliĂšres”
Ces hommes “agressent en particulier les collĂ©giennes, symboles d’innocence, de virginitĂ©. Au Japon, beaucoup d’hommes fantasment sur les uniformes des Ă©coliĂšres” , explique-t-elle. Cette premiĂšre agression, elle s’en souvient parfaitement. “Ça a durĂ© sept minutes. Il a touchĂ© ma poitrine avec son pouce, j’ai d’abord cru Ă  un accident. Il y avait tant de promiscuitĂ© dans le wagon, mais il n’a pas retirĂ© son doigt. Il a ensuite passĂ© sa main sous ma jupe. J’étais terrorisĂ©e.” Les genoux qui tremblent, elle arrive Ă  l’école et prĂ©vient son institutrice “qui ne rĂ©agit pas vraiment” , puis le soir venu, sa mĂšre “qui n’a pas compris ce que je venais de vivre” .
Un jour, Kumi Sasaki a pensĂ© au pire. Pour que tout s’arrĂȘte. Un matin, elle s’est sentie prĂȘte Ă  se jeter sur les rails de ce fameux train.
Les annĂ©es scolaires dĂ©filent, les prĂ©dateurs sexuels se multiplient. Kumi Sasaki les subit presque quotidiennement, en silence, jusque ses 18 ans. Essentiellement dans le train, mais aussi dans la rue. “Une fois, un homme m’a suivi lorsque je suis descendue. J’avais peur qu’il voit oĂč j’habite. Je n’arrivais pas Ă  m’en dĂ©barrasser.” L’homme finit par la laisser tranquille, mais la jeune fille est encore un peu plus brisĂ©e. Plus tard, alors qu’un nouveau tchikan l’a agressĂ©e dans le train, l’homme lui “dit merci en descendant du wagon. J’avais envie de hurler. Merci de quoi ? Je n’étais pas consentante” . Un jour, Kumi Sasaki a pensĂ© au pire. Pour que tout s’arrĂȘte. Un matin, elle s’est sentie prĂȘte Ă  se jeter sur les rails de ce fameux train, thĂ©Ăątre de tous ses tourments. “Une amie de l’école m’a aperçue. Elle est venue me parler. Je n’ai jamais su si elle avait compris ce que je m’apprĂȘtais Ă  faire
”
PĂšre idĂ©al, mari attentionné  et harceleur sexuel
Aujourd’hui, Kumi Sasaki est trentenaire, elle partage sa vie entre Tokyo et Paris, oĂč elle rĂ©side depuis une dizaine d’annĂ©es. Il lui aura fallu vingt ans pour mettre des mots sur son histoire et en faire un livre tĂ©moignage , coĂ©crit avec Emmanuel Arnaud et publiĂ© aux Ă©ditions Thierry Marchaisse. “Aujourd’hui, j’ai envie d’essayer de changer les mentalitĂ©s.” Car pour elle, c’est un fait : “Rien n’a changĂ© dans la Yamanote.” Une rĂ©alitĂ© que confirme Akiyoshi Saito qui a publiĂ©, l’étĂ© dernier, un ouvrage intitulĂ© Les raisons pour lesquelles les hommes deviennent des tchikan . Dans la clinique oĂč il officie, Ă  Tokyo, il propose un programme aux hommes qui souhaitent se soigner de cette addiction. Depuis douze ans, il a reçu 3 200 patients.
“C’est un phĂ©nomĂšne qui a explosĂ© depuis les annĂ©es 1960, explique-t-il. Le profil du tchikan est le cadre, mariĂ© avec des enfants, instruit et ayant fait des Ă©tudes universitaires. Il est souvent le pĂšre idĂ©al, le mari attentionnĂ©, le parfait employĂ©. Dans le train, il se transforme.” FrustrĂ© par un quotidien trop fatigant, trop contraignant, trop stressant, “le tchikan se sent chanceux d’avoir pu toucher la main d’une femme. Et c’est le dĂ©but, pour certains, de toute une sĂ©rie d’agressions. Les cas les plus extrĂȘmes peuvent passer la journĂ©e Ă  prendre le train pour s’en prendre Ă  une vingtaine de femmes. Ils s’attaquent surtout aux plus jeunes, plus fragiles, plus vulnĂ©rables” .
“Une jeune fille qui s’exprime publiquement sur une affaire de ce genre est humiliĂ©e et salie aux yeux de la sociĂ©tĂ© japonaise”
Ce problĂšme a pris aujourd’hui une ampleur sans prĂ©cĂ©dent. “Notre clinique s’est spĂ©cialisĂ©e dans les addictions prĂ©sentes dans l’archipel, comme le sexe, le jeu, l’alcool, le travail, l’anorexie, la boulimie, etc. Le tchikan est la plus reprĂ©sentĂ©e, et de loin, avec plus de 10 000 individus Ă  l’échelle du pays. Ils sont surtout prĂ©sents dans les grandes villes comme Tokyo, Osaka, Nagoya, Fukuoka et Sapporo, qui possĂšdent des trains bondĂ©s. Autrefois, ils agissaient dans la rue, c’était moins discret.”
Du cĂŽtĂ© des femmes, la parole reste bloquĂ©e. “On a honte, confirme Kumi Sasaki. Une jeune fille qui s’exprime publiquement sur une affaire de ce genre est humiliĂ©e et salie aux yeux de la sociĂ©tĂ© japonaise : on dit qu’elle est perdue, qu’elle ne trouvera jamais de mari.” Kumi Sasaki insiste sur un autre point. “Au Japon, les Ă©coles privĂ©es, contrairement aux publiques, ne sont pas mixtes. Beaucoup d’adolescents grandissent en se posant beaucoup de questions sur l’autre sexe sans jamais avoir de rĂ©ponses.” A contrario, ils sont exposĂ©s trĂšs tĂŽt aux contenus pornographiques par le manga, le film ou internet en accĂšs libre. “Quand j’étais petite, je ne comprenais rien Ă  la sexualitĂ© mais je connaissais le tarif horaire d’une escort girl.” Aujourd’hui encore, lorsque Kumi Sasaki emprunte la Yamanote, il lui arrive de “revivre la terreur de [ses] 12 ans” .
Tchikan, de Emmanuel Arnaud & Kumi Sasaki, Ă©d. Thierry Marchaisse, 128 p., 14,90 €
Je veux enregistrer ce contenu pour le lire plus tard
Je n'ai pas encore de compte pour alimenter ma bibliothĂšque


Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accĂ©der Ă  des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basĂ©s sur l'intĂ©rĂȘt lĂ©gitime Ă  tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialitĂ© sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
DonnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit , Stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur un terminal
*Champ obligatoire *Ce champ est obligatoire pour pouvoir publier un commentaire, merci. *l'adresse mail n'est pas valide
*Cette case doit ĂȘtre obligatoirement cochĂ©e pour poster votre commentaire. Pour laisser votre commentaire, veuillez cocher cette case svp. Recevez ensuite toute l'actu Closer dans votre boite mail et les offres des partenaires.
Je souhaite aussi recevoir les bons plans des partenaires du site
Dans C'est au programme, Sophie Davant n'a pas caché son attirance pour un jeune homme célibataire à la recherche de l'amour.
Oh la petite coquine ! Il y a quelques heures, Sophie Davant découvrait dans son émission C'est au programme sur France 2 le témoignage d'un jeune homme trÚs timide avec les filles qui prend des cours pour gagner en confiance et accroitre son pouvoir de séduction. Frédéric a trÚs peur d'aborder les femmes, "soit par peur de la déranger" soit parce qu'il la trouve bien "trop belle" pour lui. Sophie Davant n'a pas hésité à faire savoir qu'elle serait trÚs heureuse si le jeune homme l'abordait dans la rue pour la draguer. "Il est trÚs charmant ce monsieur, nous on veut bien le prendre en stage" lùche-t-elle, trÚs amusée, avant d'ajouter qu'elle aimerait beaucoup "consulter le fichier" des hommes qui suivent ce type de cours. Le message est passé !
Closer.fr vous propose de découvrir cet extrait.
A la suite de ses études, Sophie Davant effectue un stage de rédactrice à Antenne 2 en 1986. Elle devient rédactrice pour le 19/20 de FR3.En...
Merci pour votre inscription. Pour en savoir plus ou exercer vos droits, cliquez-ici .
Sophie on t'Aiiimmmmeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais qu' on lui fiche la paix elle est adorable sophie
Vous ĂȘtes bien inscrit(e) Ă  la newsletter avec l'adresse :
Les informations recueillies par ce formulaire font l'objet d'un traitement informatique Ă  destination de Reworld Media Magazines et/ou ses partenaires et prestataires afin de pouvoir envoyer les bons plans et offres promotionnelles.
Conformément à la loi "Informatique et libertés" du 6 janvier 1978 modifiée, vous disposez d'un droit d'accÚs, de modification et de suppression des données vous concernant.
Pour en savoir plus ou exercer vos droits, vous pouvez consulter nos conditions générales d'utilisation .




Trio avec une contorsionniste indienne
Livraison de chatte
Grosse salope ùgée suce deux bites

Report Page