Le masque la cache hein

Le masque la cache hein




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Le masque la cache hein





Accueil


Fanfictions
Animés / Mangas


Tokyo Ghoul



Le masque, l'art de cacher



Chapitre 1 : Retour Ă  la maison





Side Story

/ Self-inserted



Aucune review
3 vote(s) de lecteurs, moyenne de10 sur 10 3 Ă©valuation(s)



Nombre de téléchargements:
6.2 K



Retour Ă  la liste

1 - Retour à la maison

2 - Retrouvailles

3 - Ami ou prédateur ?

4 - Test de confiance

5 - Le fabriquant de masques

6 - Sauver Kaneki

7 - Un client inattendu

8 - Un café remixé

9 - Questions/Réponses

10 - L'Europe, entrevue à l'Antique

11 - Une poursuite nocturne

12 - "Tsuki Scenery"




Retour Ă  la liste

1 - Retour à la maison

2 - Retrouvailles

3 - Ami ou prédateur ?

4 - Test de confiance

5 - Le fabriquant de masques

6 - Sauver Kaneki

7 - Un client inattendu

8 - Un café remixé

9 - Questions/Réponses

10 - L'Europe, entrevue à l'Antique

11 - Une poursuite nocturne

12 - "Tsuki Scenery"




Signaler un chapitre


×



Raison du signalement

Classement incorrect
Infraction au rĂšglement
Autre (merci de préciser)




ParamĂštres d'affichage du texte


×



Police de lecture

Arial
Georgia
Helvetica
Lora (par défaut)
Times New Roman
Verdana



Taille de la police

0.9rem
1rem
1.1rem (par défaut)
1.2rem
1.3rem
1.4rem
1.5rem



Interligne

1
1.5
2(par défaut)
2.5
3



Espacement blocs

0.75 (par défaut)
1.25
1.75
2.25
2.75



Largeur du contenu

1/2 page
2/3 page
Tout (par défaut)



Entrez votre commentaire:
Maximum 2500 caractĂšres







Les univers et personnages des différentes oeuvres sont la propriété de leurs créateurs
et producteurs respectifs. Ils sont utilisés ici uniquement à des fins de divertissement et
les auteurs des fanfictions n'en retirent aucun profit sur ce site.




2022 © Fanfictions.fr - Tous droits réservés


2577 mots, Catégorie:

K+





DerniĂšre mise Ă  jour
il y a presque 6 ans


C'Ă©tait la derniĂšre fois qu’elle mettait les pieds dans son cafĂ© prĂ©fĂ©rĂ©, Le Malakoff.
La derniĂšre fois qu’elle voyait ce pays, son pays, pays du Romantisme selon les clichĂ©s, de l'Art et de la Baguette.
Elle est actuellement à Paris, sa ville natale, dans le café Le Malakoff, un café assez chic dont les prix ne sont pas donnés.
Nous savons tout d’elle, tout de sa vie, et nous l’observons toujours. Nous la suivons peu importe oĂč elle va.
Nous sommes quelqu’un et personne à la fois, et ainsi nous n’intervenons jamais dans sa vie.
Nous serons des ĂȘtres transparents, toujours prĂ©sents tout au long de cette histoire.
Nous serons de simples spectateurs incapables de changer le cours des Ă©vĂšnements.
Elle se prénomme Mae Lin, française d'origine chinoise.
Cela fait deux ans dĂ©jĂ  qu’elle avait quittĂ© la France pour Ă©tudier au Japon. Elle ne pensait pas que ça allait ĂȘtre dĂ©finitif jusqu'Ă  l'arrivĂ©e d'un incident imprĂ©visible qui changea sa vie.
Ce n’était pas le genre de jeune fille que l’on remarquait du premier coup d’Ɠil au coin de la rue, mais elle n’était pas moche non plus.
Mais cela ne la préoccupait pas tellement, le physique, la beauté et tout ce qui obsÚde un tas de jeunes filles, ne serait-ce que sa taille.
En effet, avec sa taille relativement petite, elle n’attirait pas spĂ©cialement l’attention, elle se fondait souvent dans la masse.
Ce qui la différenciait des autres, ce fut bien son sourire.
Elle prĂ©voyait d’effectuer des Ă©tudes supĂ©rieures littĂ©raires, mais suite Ă  l’incident, elle parti Ă©tudier au Japon, pays qui l'attirait depuis le plus jeune Ăąge.
On lui disait souvent qu’elle avait du potentiel et qu’elle pouvait entrer dans l'Ă©cole du Louvre.
Seulement, il aura fallu que cela arrive.
Cela l'avait brisĂ©, nous l’avions vu.
Pendant des mois, elle n'avait pas pu s'en remettre.
Mais il faut aller de l'avant, c'est pourquoi elle opta pour une fac Ă  Tokyo.
Ainsi en changeant de pays, elle vivrai une nouvelle vie.
Ce n'est pas comme si elle y allait en touriste, elle se débrouille assez bien en Japonais. C'est une langue qui à l'écrit lui est assez familiÚre car cela s'approche du chinois, sa deuxiÚme langue maternelle.
Elle n'eut ainsi pas de mal Ă  intĂ©grer une fac se nommant Kamii Ă  Tokyo oĂč elle s’inscrivit au dĂ©partement de LittĂ©rature. 
Deux ans passÚrent et déjà, le pays lui vint à manquer.
C'est alors qu’elle est Ă  prĂ©sent ici, dans ce cafĂ© au dernier jour de ses vacances.
En effet, elle part demain, pour une nouvelle vie, et ne compte plus jamais revenir.
Elle part vivre sa vie demain dans un pays oĂč vivent de mĂȘme qu'ici des Ă©nergumĂšnes de la mĂȘme espĂšce que les coupables de cet incident qui l'a marquĂ© Ă  jamais, des bourreaux de ses parents.
Elle en a conscience, mais s'il faut faire une croix sur le passé, ainsi faudra t-il tout d'abord surmonter ses craintes, ne le pensez-vous pas ?
La tasse contenant le café est à présent vide, le serveur comme à son habitude, tarde à venir apporter l'addition.
Il est toujours dans son uniforme repassĂ©, qui sent encore la lessive, odeur qu’elle parvient Ă  sentir lorsqu'il dĂ©barrasse la table, non loin d’elle.
L'addition alors payée, elle s'en va sur un pas tonique, le son de ses talons se réverbérant contre le parquet super lisse.
Elle frissonne au dehors, prise par le vent frais des soirs d'hiver.
Tout en marchant, elle songe encore au passĂ©, observe ce qui l'entoure et remarque Ă  quel point ce quartier peut ĂȘtre beau la nuit.
Les gens ne sont pas nombreux dans les rues, ils sont tous Ă  observer la Tour Eiffel briller la nuit.
Elle fait de mĂȘme, cigarette Camel à la main.
Deux, trois bouffées devant la Tour Eiffel.
La derniĂšre fois qu’elle la verra, de mĂȘme.
C'est ainsi que se termine sa soirée.
Les rayons du soleil ne traversent pas bien la seule fenĂȘtre de sa chambre, mais suffisent Ă  la rĂ©veiller.
Elle a dormi beaucoup trop longtemps à cause du décalage horaire.
De plus, Ă  peine rentrĂ©e, elle doit dĂ©jĂ  payer le loyer de son appartement. Nerima, le vingtiĂšme arrondissement de Tokyo lui avait toujours plut, et vous ne pouvez imaginer Ă  quel niveau s’éleva sa joie lorsqu’elle put enfin se dĂ©nicher cet appartement, dans son quartier prĂ©fĂ©rĂ©.
Un quartier stable, ni chic, ni dĂ©linquant, ce qui lui convenait totalement. MĂȘme si depuis deux ans dĂ©jĂ , elle n’eut pas d’ami vĂ©ritable, ne serait-ce que deux autres Ă©tudiants de la mĂȘme fac.
Son portable, un iPhone quatre, se met alors Ă  vibrer, semblerait-il justement ĂȘtre un de ses amis ?
Trop engourdie, elle déplie longuement le bras et tente de décrocher.
« Hideyoshi-kun », souffle-t-elle, à moitié endormie.
Nous Ă©coutons : une voix masculine Ă©nergique se fait entendre Ă  l’appareil, Ă  la seconde oĂč la jeune femme dĂ©croche.
Il parle trop vite, sans à peine articuler comme à son habitude :
« Maeee, ça va ? Revenue ? Pas trop crevĂ©e ? Ca te dirait qu’on se voit cet aprem ? Ahhh tu peux pas savoir comment j’ai plein de trucs Ă  te raconter ! Kaneki sera pas lĂ , enfin, je vais t’expliquer pourquoi, c’est long, enfin moi non plus, j’sais pas trop ce qui lui arrive, mais bon, faut qu’on se voit hein ! »
Elle met un temps Ă  rĂ©pondre, car elle analyse encore phrase par phrase avant de les traduire dans sa tĂȘte, surtout que le japonais d’Hide lui est difficile Ă  comprendre, elle qui dĂ©bute encore dans la langue. Et puis, vu son Ă©tat

« Oui  », finit-elle par rĂ©pondre Ă  l’aide d’un soupir, avant de poursuivre :
« Je suis rentrĂ©e avant hier dans la nuit, tard, aprĂšs plus de dix heures de vol
 Je crois que j’ai dormi toute la journĂ©e hier, je me sens un peu stone.
- SĂ©rieux ? Oh, si tu es trop fatiguĂ©e, ça peut attendre hein, rien ne presse ! Ca fait plus d’une semaine que Kaneki ne pas donnĂ© un signe de vie alors je m’habitue maintenant, hahaha ! RĂ©pond le blondinet toujours Ă  la mĂȘme vitesse.
-Euh
 quoi ? Attends
 Qu’est-ce qui est arrivĂ© Ă  Ken ? Demande-t-elle alors, surprise.
-Ahhh ! Justement, je voulais t’en parler cet aprùs-midi, en prenant un verre, pour que tu me donnes de tes nouvelles aussi, tout ça, tout ça
 -Il soupire-
C’est compliquĂ©, tu sais, d’en causer au tĂ©lĂ©phone, vaut mieux que je t’explique cet aprĂšs-midi ! Mais euh, on se voit du coup ou pas ?
-Non, c’est bon. Je vais me prĂ©parer illico. Rendez-vous dans le vingtiĂšme au Big Girl dans une heure !
-Ca marche ! Je t’attends lĂ -bas ! A tout Ă  l’heure ! », conclue Hide en raccrochant Ă  la seconde oĂč il termine sa phrase.
L’iPhone glisse de ses mains et rebondit sur le matelas de son lit deux places. Mae s’étire tout en grognant, puis se redresse d’un bond. Plus une minute Ă  perdre ! Elle n’avait pas vu Hide depuis plus d’un mois.
Mae se dédouble à présent, car habillée, elle se maquille furtivement tout en regardant les infos matinaux à la télévision. 
Encore et toujours eux, ils sont partout. Le plus effrayant est qu’il se pourrait bien que quelqu’un que vous voyez tous les jours, quelqu’un qui vous est trĂšs proche mĂȘme pourrait ĂȘtre des leurs.
Ils se fondent si bien dans la masse, impossible de les diffĂ©rencier d’un humain au quotidien, ou alors, s’ils n’arrivent pas Ă  nous imiter, ils se cachent. 
« Goules », « Effrayantes », « crĂ©atures », « nouveaux meurtres », « monstres », « morceaux de chair humaine », « cadavres retrouvĂ©s », tels sont les mots Ă©corcheurs que prononce sans cesse Ă  toute vitesse la femme des infos. Cela dĂ©goute fort Mae, qui tente d’engloutir rapidement un sandwich lui figurant de dĂ©jeuner, une fois maquillĂ©e.
Elle est assise et mange, sandwich jambon en main, assiette sur la table, en face d’une tĂ©lĂ© Ă  Ă©cran plat, dont dĂ©filent diverses images montrant la prĂ©sentatrice inexpressive dĂ©blatĂ©rer des horreurs ou bien les lieux des crimes de la semaine, ainsi que les restes appĂ©tissants des victimes, Ă  peine censurĂ©es

Ainsi, elle se plonge au plus profond de son ĂȘtre, et pense.
Nous y pénétrons et lisons en elle.
Une goule ne diffĂšre pas d’un humain, elle lui est Ă©gale en tout point, physiquement, et intĂ©rieurement Ă  quelques dĂ©tails prĂšs.
C’est ce qui fait d’une goule une autre espĂšce, supĂ©rieure Ă  l’espĂšce humaine. La loi de la nature a fait que cette espĂšce ne pourrait survivre qu’en se contentant de se nourrir d’humains.
Tant d’humains, aussi prĂšs de tous les gens que Mae frĂ©quente, dĂ©testent les goules.
Elle mĂȘme ne sait pas encore, nous le lisons, elle s’interroge.
Elle est au Japon pour trouver la réponse.
Elle ne pense pas que les goules soient des toutes des monstres, mais garde cette vision malsaine des choses dans un coin bien cachĂ© de son cerveau, car elle ne peut en parler Ă  personne qu’elle ne connaisse Ă  ce qu’elle ne sache. Elle craint de passer pour une folle et de se faire enfermer.
Nous nous souvenons qu’il lui arrive de penser souvent qu’il existe des goules qui ne soient pas des monstres, elle en est convaincue.
Or elle n’en a jamais parlĂ© Ă  personne et n’en parlera peut-ĂȘtre jamais jusqu’à ce qu’elle en trouve une, en espĂ©rant de ne pas lui servir de repas juste aprĂšs leur conversation monumentale.
Elle ne voudrait effectivement pas finir comme ses parents.
Notre regard se penche maintenant sur la pendule rose Hello Kitty fixĂ©e sur le mur de la salle Ă  manger. Celle-ci indique deux heures dix minutes de l’aprĂšs-midi.
Notre regard descend rapidement et s’arrĂȘte sur Mae qui songe toujours.
Nous voulons la réveiller, car elle est en retard. Malheureusement, nous ne pouvons agir.
Elle sort elle-mĂȘme de ses pensĂ©es. Puis, comme si les notre lui Ă©taient parvenues, elle jette un regard sur la pendule et remarque de mĂȘme qu’il faudrait qu’elle se rende au Big Girl.
L’assiette dĂ©posĂ©e dans l’évier, la tĂ©lĂ©vision Ă©teinte, elle s’empresse d’enfiler ses bottines Ă  talons et un blouson. Elle claque la porte et dĂ©vale les escaliers un Ă  un.
Nous rappelons qu’elle n’habite qu’au deuxiĂšme Ă©tage et qu’emprunter l’ascenseur ne serait que perdre davantage son temps, parce qu’il faudrait attendre que celui-ci monte Ă  sa lenteur habituelle.
Nous sommes à présent dehors, et nous la suivons.
Elle a envoyĂ© un message depuis son iPhone Ă  Hideyoshi pour l’avertir de son retard.
Il vient de rĂ©pondre : « Ce n’est pas grave, je viens juste d’arriver moi aussi. ;) Et puis, j’ai commandĂ© un bon hamburger ! Je suis Ă  l’étage. »
Elle n’a pas le temps de rĂ©pondre car elle court, petit sac Ă  la main, traverse trois, quatre rues et arrive enfin devant le restaurant Big Girl, aprĂšs sept minutes cinq secondes de sprint.
Elle pousse la porte, essoufflée, et cherche Hideyoshi du regard.
Il se trouve Ă  une table de quatre personnes, Ă  cĂŽtĂ© de la vitrine, donnant sur l’avenue principale et sur une belle vue d’une forĂȘt de buildings

Il lui fait signe en l’appelant : « Hey ! Maeeeeeeee, je suis là ! »
Et c’est ainsi que notre sujet d’observation numĂ©ro un rejoint le jeune Ă©tudiant japonais.

Si vous souhaitez signaler un chapitre, merci de remplir ce formulaire.
Merci de votre aide pour conserver un contenu pertinent et de qualité.


Voix ambiguë d'un coeur qui au zéphyr préfÚre les jattes de kiwis. 1234567890.


Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor
incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis
nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.


Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore
eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident,
sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.






Accueil




Mask Singer


Mask Singer – Hibou dĂ©masquĂ©, dĂ©couvrez qui se cachait derriĂšre le masque

Mask Singer – Hibou dĂ©masquĂ©, dĂ©couvrez qui se cachait derriĂšre le masque

Les indices du Hibou dans "Mask Singer 2020", le 24 octobre 2020

Le Hibou est l'un des costumes de "Mask Singer 2020" (TF1) ! Mais qui se cache derriÚre le masque ? Voici tous les indices dévoilés et décryptés.
Voir cette publication sur Instagram
Abonnez-vous Ă  Purepeople sur facebook
Dans Mask Singer , tous les samedis soir sur TF1, Alessandra Sublet , Anggun , Kev Adams et Jarry tentent de savoir qui se cache derriÚre les personnalités masquées. Les téléspectateurs ont notamment le plaisir de retrouver le personnage du Hibou.
Le Hibou disait le 17 octobre : " Je suis le hibou. Un hibou guerrier, un hibou samouraĂŻ mais pourtant je suis un vrai non violent. Sans me vanter, je pense que beaucoup d'entre vous me connaissent. J'ai certainement marquĂ© une gĂ©nĂ©ration. Dans les annĂ©es 90 comme beaucoup de mes camarades, j'ai eu la chance de passer par la case AB Productions, la classe hein ? Premiers Baisers, HĂ©lĂšne et les garçons, DorothĂ©e et ses chansons inoubliables... J'ai mĂȘme eu l'occasion de chanter avec elle. Mais ce n'est pas la seule fois oĂč vous m'avez vu Ă  la tĂ©lĂ©. Des concours, des clips et mĂȘmes des grands Ă©vĂ©nements et surtout lĂ  oĂč vous ne m'attendiez pas. Et si je chante ce soir c'est encore pour vous surprendre Ă  tout prix. "
Le Hibou disait le 24 octobre : " Tout ce qui m'est arrivĂ©, je l'ai voulu, je l'ai souhaitĂ©. Le succĂšs arrive rarement par hasard contrairement Ă  l'amour. Ah l'amour ! Le Hibou peut vous en parler. Il paraĂźt que c'est un connaisseur. Quoi que je fasse, je suis un passionnĂ©. Des amours, j'en ai eu. Des amours diffĂ©rentes, des amours fidĂšles. Et j'ai mĂȘme rĂ©ussi Ă  percer les mystĂšres de l'amour en rencontrant LE grand amour. Mais mon premier amour ne rimait pas avec paillettes et glamour. Il rimait avec bateau et explorations. Jeune, je ne rĂȘvais pas de succĂšs, de reconnaissance. Je rĂȘvais de navigation et de voyages. Finalement quand on y pense, j'ai rĂ©alisĂ© mon rĂȘve. J'ai mĂȘme Ă©tĂ© sur un bateau et aujourd'hui, le hibou s'est posĂ©. Mais il n'a rien perdu de sa libertĂ©. "
Le Hibou disait le 31 octobre : " Vous connaissez beaucoup de choses de moi. Dans ma vie j'ai eu la chance de jouer avec de grands acteurs. Souvent j'étais assez reconnaissable dans mes rÎles, je ne suis pas du genre à me transformer. Je reste comme je suis que ça plaise ou non. Je dis ce que je pense et ce n'est pas prÚs de changer "
L'avis des EnquĂȘteurs le 17 octobre : À la suite de la prestation du Hibou sur le titre Jailhouse Rock d'Elvis Presley, Jarry pense Ă  Bernard Minet, Kev Adams Ă  Vincent Lagaf , Anggun donne le nom d' Anthony Dupray et Alessandra Sublet suppose que c'est Jacky qui se cache derriĂšre le masque.
L'avis des EnquĂȘteurs le 24 octobre : A la suite de la prestation du Hibou sur Rolling in the deep d'Adele, Alessandra Sublet et Jarry ont proposĂ© Dave, Kev Adams a misĂ© sur Tex, Anggun a suggĂ©rĂ© SĂ©bastien Roch.
L'avis des
Une amatrice et un bite telle un anaconda noir
Des instructions de branlette par cette jolie blonde
Une brune qui aime nous soumettre

Report Page