Le médecin me donne son médicament spécial

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Ce que votre médecin ne vous dit pas (pour votre bien)






jeu 15 juin / 2017






126 commentaires





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Les médecins ont un métier horriblement compliqué… et mieux vaut en être conscient !
Il faut se mettre à leur place, au moins l’espace d’un instant.
Car je suis persuadé que vous serez mieux soigné si vous réalisez ce à quoi ils sont confrontés tous les jours.
Votre santé sera mieux préservée si vous apprenez à reconnaître les dilemmes cornéliens qui tourmentent votre médecin au quotidien.
Je n’exagère pas. Je sais bien que j’ai été très critique vis-à-vis de certains médecins « maltraitants » dans un article précédent .
Mais vous avez aussi le devoir d’être lucide sur ce que votre médecin peut vraiment faire pour vous. Vous devez l’aider à vous aider , sans demander l’impossible.
Votre médecin est un être humain, avec ses failles inévitables : ce n’est pas un super héros.
Et la médecine est un art tout sauf infaillible : il n’a donc pas de superpouvoirs.
Voyez plutôt les dilemmes difficiles auxquels il est confronté :
Cela vous paraît peut-être évident… Votre médecin vous doit la vérité, toute la vérité.
Lorsqu’il vous prescrit un médicament, votre médecin devrait donc vous faire un exposé détaillé des risques auxquels vous vous exposez.
Mais ce n’est pas si simple, malheureusement.
Ce qui complique tout, c’est l’effet « nocebo ».
Vous connaissez son « frère jumeau », l’effet placebo : si l’on vous donne une pilule contenant de l’eau en vous disant que c’est un médicament antidouleur, vous allez réellement ressentir une diminution de votre douleur.
C’est une sorte de petit miracle créé par votre cerveau : lorsqu’il anticipe que votre corps va aller mieux (grâce à la pilule qu’on vous donne), il active des substances qui vous aident naturellement à aller mieux.
C’est la raison pour laquelle les scientifiques réalisent toujours des tests « contre placebo ».
Ils comparent toujours l’efficacité d’un remède à celle d’une pilule vide, pour être sûr que le remède a bien une efficacité par lui-même, en plus de son effet placebo.
Problème : ce qui est vrai pour les remèdes l’est aussi pour les… poisons !
Si on vous dit par avance qu’une substance va vous faire du mal… eh bien vous avez plus de chance d’avoir mal que si l’on ne vous dit rien : c’est l’effet nocebo .
Prenez cette étude spectaculaire, réalisée auprès de 13 enfants hautement allergiques au sumac vénéneux (une plante sauvage). [1]
Les chercheurs ont frotté l’avant-bras de chaque enfant avec une feuille de sumac vénéneux… en leur disant que c’était une feuille inoffensive.
Aussitôt après, ils ont frotté l’autre avant-bras avec une feuille inoffensive… en leur disant qu’il s’agissait de sumac vénéneux.
Savez-vous sur quel avant-bras les enfants ont subi une éruption cutanée ? Croyez-le ou non, mais une éruption a été constatée chez tous les enfants… sur l’avant-bras frotté par la feuille inoffensive !
Encore plus étonnant : le vrai sumac vénéneux, lui, n’a créé de réaction allergique que chez 2 enfants sur 13 !
On retrouve cet effet nocebo dans toutes les études évaluant l’efficacité des médicaments : des patients sous « placebo » se plaignent régulièrement des effets secondaires du médicament… alors qu’ils ne prennent qu’une gélule vide !
Vous voyez peut-être où je veux en venir…
Si votre médecin fait un exposé détaillé de tous les effets indésirables du médicament qu’il vous demande de prendre… il augmente le risque que vous en souffriez !
Vous comprenez pourquoi votre médecin se montre parfois un peu trop « optimiste » sur le traitement qu’il vous prescrit ?
Consciemment ou non, il a tendance à exagérer son efficacité… et à minimiser ses effets secondaires… pour votre bien !
En faisant cela, il augmente réellement vos chances de guérir, et limite les risques d’effet indésirable !
Attention : je reste persuadé que les médecins doivent dire toute la vérité à leurs patients, pour qu’ils puissent choisir leur traitement en connaissance de cause.
Mais vous devez savoir que les médecins ne sont pas dans la meilleure position pour le faire… et c’est pourquoi vous devez toujours vous renseigner par vous-même sur les risques des traitements que vous prenez !
Et c’est la même chose pour les examens médicaux.
Il est toujours tentant pour le patient de réaliser des examens : prise de sang, radio, scanner.
Avoir mal peut être très inquiétant : et si c’était quelque chose de grave ?
Mais c’est très tentant également pour le médecin .
Car en médecine, on ne peut jamais être sûr de rien.
Il y a moins d’une chance sur un million pour qu’un mal de tête « banal » soit le premier signe d’un cancer au cerveau. Et c’est pourquoi on ne vous enverra jamais faire un scanner pour cela.
Mais parfois, ce n’est pas aussi « évident ».
Même si la probabilité qu’on « trouve » quelque chose est minime, votre médecin aura souvent tendance à vous envoyer faire des examens complémentaires… ne serait-ce que pour s’éviter un mauvais procès !
Mais où est le dilemme, me direz-vous ? Quel mal y a-t-il à faire des examens complémentaires ?
La réponse est qu’ils ne sont jamais sans risque.
Voyez plutôt cette histoire racontée par le Dr Christian Lehman dans son livre Patients, si vous saviez …
Il reçoit en consultation Joséphine, 73 ans, qui se plaint d’une douleur à la gauche du thorax, qui irradie dans le bras.
Après examen, le Dr Lehman est convaincu à 99,9 % qu’il ne s’agit pas d’un début d’infarctus. Mais le 0,01 % qui reste l’ennuie beaucoup : il ne veut prendre aucun risque… et on le comprend !
Alors il conseille légitimement à Joséphine de se faire hospitaliser.
À son arrivée à l’hôpital, on injecte à Joséphine des anticoagulants, par « précaution »… et suite à une mauvaise réaction, la pauvre se retrouve bientôt en réanimation , sur le billard pendant toute une matinée, après avoir perdu plus d’un litre de sang dans la nuit, via une hémorragie abdominale !
C’est la même chose avec beaucoup de tests ou d’opérations « préventives ».
Prenez les colonoscopies : elles peuvent sauver des vies en détectant un cancer du côlon… mais comme toute opération, elles peuvent aussi se terminer en catastrophe – c’est rare, mais cela arrive.
Faire toujours plus d’examens peut être inutile et dangereux. Mais… vous pouvez aussi passer à côté de quelque chose de grave si vous ne faites pas d’examen.
Vous voyez à quel point la décision du médecin est difficile ?
Et surtout, vous voyez pourquoi il peut être tenté de vous prescrire l’examen de trop ?
Mon épouse Jade a eu récemment une douleur au sein. Son gynécologue l’a envoyé faire une échographie pour s’assurer qu’il n’y avait rien de grave.
Cela peut paraître raisonnable, car l’échographie n’a rien d’invasif. Le problème est qu’après l’échographie, le radiologue n’était pas sûr à 100 % qu’il n’y ait rien… et lui a demandé de faire une mammographie dans la foulée !
Or il est bien établi que les radiations sont potentiellement cancérigènes… c’est donc un test à manier avec précaution, et qu’il ne faut faire qu’en cas de facteur de risque avéré .
Or mon épouse n’avait aucun risque statistique particulier de cancer du sein !
Mais face à un « spécialiste », et sous le coup de l’émotion, il lui était très difficile de dire non !
Voilà pourquoi il faut toujours être préparé .
Un homme ou une femme averti(e) en vaut deux… donc renseignez-vous bien… et n’hésitez pas à vous affirmer !
Je voudrais terminer cette lettre par un dilemme un peu particulier… et un poil provocateur.
N’est-il pas évident que le médecin doit toujours être d’une grande humanité avec ses patients ?
Oui, bien sûr. Mais mettez-vous une seconde à la place de votre médecin, surtout s’il est cancérologue, ou neurologue, et qu’il voit chaque jour des cas dramatiques.
Le mot « compassion » vient du latin cum patior , « souffrir avec ». La sympathie (empathie) vient du grec syn pathos – souffrir avec, aussi.
Si un médecin est authentiquement empathique vis-à-vis de tous ses patients… il est condamné à passer ses journées entières à souffrir !
Imaginez les douleurs auxquelles les médecins sont confrontés au quotidien. Imaginez le nombre de patients qu’ils « perdent »… surtout en cancérologie.
S’ils avaient le malheur de développer de profonds sentiments d’empathie pour chacun d’entre eux, leur vie serait un enfer !
Il est logique qu’ils érigent des barrières de protection ! Ou que leur empathie s’émousse avec le temps.
Un peu comme l’inspecteur de police chevronné qui ne s’étonne plus des crimes atroces sur lesquels il doit enquêter.
Attention : je ne suis pas en train d’excuser les attitudes hautaines et inhumaines de certains cancérologues.
Votre médecin vous doit de la bienveillance , toujours.
Mais il ne vous doit pas forcément de la compassion , car tout le monde n’a pas la force d’âme d’une mère Teresa face à la souffrance humaine.
Alors je vous invite à être bienveillant vous aussi avec votre médecin.
Gardez toujours en tête qu’il n’est pas un surhomme :
Et bien sûr, beaucoup de médecins sont gravement ignorants des méthodes naturelles, corps & esprit , pour guérir en profondeur – mais que voulez-vous, on ne leur en a jamais parlé à la Faculté de Médecine !
Alors n’en voulez pas à votre médecin de ne pas être parfait.
Rappelez-vous que votre santé dépend d’abord de vous-même , de votre mode de vie, mais aussi de vos connaissances .
C’est à vous de compenser les limites inévitables du système médical.
Et pour cela, il n’y a pas 36 solutions : il faut vous informer par vous-même… auprès de sources fiables et sérieuses !
Bonjour, Je suis tout à fait d’accord avec vous ,c’est toujours un plaisir de vous lire.Mon époux et moi même avons eu comme beaucoup de personnes des problèmes de santé,et nous avons eu la chance de tomber sur de très bons médecins. Merci bonne continuation.
Bonjour , je suis tout à fait d’accord , les médecins sont des humains nous ne ferions pas facilement face à une seule de leur journée . Mais pour la compassion , il me semble que c’est différent , et malgré son étymologie , la vraie compassion n’apporte pas de souffrance , au contraire , c’est une ouverture du cœur qui renforce . C’est la peur qui fait du mal , peur de notre propre souffrance , de notre propre mort , pas la compassion ou l’empathie . Peut-être les écoles de médecine devraient-elles inclure quelques séances de méditation et de développement spirituel ! Belle journée à tous , Karen
Bonjour, Je trouve ce texte sur les médecins très beau et sensé. Je l’envoie aux « amis » et aussi à certains médecins que j’apprécie car trop de gens leurs manquent de reconnaissance …
J’ étais il y a encore 2 ans médecin homéopathe. En butte, mais je m’ en moquais, à la dérision de certains confrères allopathes. mais merci encore de reconnaître la difficulté de notre métier qui est, comme vous le rappelez, un art, et non un ensemble de techniques. Mais hélas ! il y a maintenant une certaine dérive qui me hérisse. Je suis une heureuse abonnée à votre revue.
Concernant le prix de la consultation je voudrais ajouter tout de même que les 25 euros correspondent a 20 minutes de face à face avec le patient, voici le temps en moyenne d’une consultation, pourquoi pas 60 euros mais pour une bonne heure alors de travail, tout comme les naturopathes ou autres approches alternatives. Cordialement Isabelle Lecointre
Je pense que ce qui est dit est juste chacun est responsable de ses pensées et de sa maladie car nous sommes notre propre médecin les médecins ne font que ce qu’ils peuvent. Il faudrait qu’ils soient plus psy et ce serait un grand pas car le pouvoir est là tout de même Que chacun se prenne en main. Se documente et experimente par lui même.
Très bien, Docteur Xavier BAZIN, car je ne suis pas médecin, simplement patiente et suis horrifiée par certains procès tout en admettant que certains peuvent être nécessaires, mais attention. Faisons confiance, pas aveugle certes, sinon changeons de médecin.
Monsieur Bazin, Merci de la bienveillance développée dans cette lettre. Le ton est juste et ouvre vers le discernement.
Bon à savoir on y pense pas mais des fois on est vite expédié du cabinet la pas moyen de lui parlé
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