Le médecin familiale a la solution

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Médecin de famille à la recherche de solutions (Lévis)

POINT DE VUE / Je désire vous partager, en tant que médecin de famille, mon opinion concernant les stratégies à mettre en place en vue de l’amélioration de l’accès pour tous à un médecin de famille.


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Plus de 288 000 patients inscrits à un groupe de médecins au Québec


Fini, le médecin de famille à tout prix


Du stage à la médecine en région: «Il faut être prêt à tout!»


Le médecin de famille de l’année est à Gatineau


Hommage à Larry Hodgson, grand vulgarisateur de l’horticulture


Le 737 continue de faire jaser à L'Ancienne-Lorette


Les «wax pen» inquiètent de plus en plus


5 façons de réduire son empreinte carbone lors de sa visite à Québec


Infrastructures: le dôme et le synthétique, 5 ans plus tard


Du Musée aux jardins, un été foisonnant!


Imagine Monet , une célébration des couleurs et de la lumière

Expert-conseil en communication et développement stratégique

POINT DE VUE / En cette période estivale, je jette un regard personnel sur trois œuvres du cinéma québécois. En effet, toutes m’ont captivé pour leur brutalité, déçu pour les clichés et inspiré pour leurs vérités. Il y a d’abord Confessions , film réalisé par Luc Picard, qui incarne aussi le rôle principal de Gérald Gallant, tueur en série (28 meurtres) lors de la guerre des motards pour le contrôle de stupéfiants au Québec. Puis le film Les tricheurs de Louis Godbout, une comédie qui se déroule sur un terrain de golf, mais dont l’intrigue n’a rien à voir avec le golf. Enfin, j’ai regardé le film Arlette réalisé par Mariloup Wolfe et dont le rôle-titre revient à Maripier Morin, que j’ai découvert en tant qu’actrice et qui ne laisse personne indifférent dans son rôle de ministre de la Culture.


J’aime bien évoquer le premier vers du poème Art poétique de Paul Verlaine pour parler de l’importance de la musique dans la vie, soit de la musique avant toute chose.


POINT DE VUE / En réaction à l’article La CAQ veut créer une nouvelle agence en santé du journaliste Olivier Bossé paru le 18 août

Professeur titulaire, directeur principal, Laboratoire de sciences analytiques en agroalimentaire

COMMENTAIRE / Le plan d’Ottawa sur la réduction des émissions attribuables aux engrais compromettra notre sécurité alimentaire. Les Canadiens ont jusqu’au 31 août pour s’exprimer sur ce qui est proposé.


POINT DE VUE / Comme on le sait, l’influence botanique britannique impose un mode de culture favorisant la prolifération de plantes vertes politiques. Claire Samson, l’ex-députée québécoise transplantée, s’est intéressée au phénomène de la plante verte à l’Assemblée nationale. Suite à ses observations inestimables, elle aurait affirmé que ce phénomène risque de s’amplifier dans l’hypothèse d’un raz-de-marée de la CAQ aux prochaines élections.

Président-directeur général, Fédération des chambres de commerce du Québec

POINT DE VUE / Le Québec est aux prises avec une pénurie de main-d’œuvre généralisée et les étudiants, comme tous les autres travailleurs actifs sur le marché du travail, apportent grandement à la société actuelle qui traverse son lot de défis. Alors que la rentrée scolaire est à nos portes, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) souhaite réitérer l’importance de la réussite académique de tous les employés-étudiants à travers la province.


POINT DE VUE / Le 9 août, la directrice générale de l’Institut du tourisme et de l’hôtellerie du Québec*, le partage des pourboires entre les employés de salle (serveuses, hôtesses, etc.) et les employés de cuisine (cuisinier, plongeur, etc.). Elle déclare que les serveurs et serveuses gagnent trop cher et que les cuisiniers ne gagnent pas assez.


POINT DE VUE / François Legault l’a bien compris, le nationalisme québécois est payant politiquement. En cela, il ne se différencie pas de Maurice Duplessis de l’Union nationale auquel on l’a souvent comparé et qui a régné sur le Québec de 1944 à 1959.


POINT DE VUE / Le spectacle Unity Electro Fest du 13 août avec sa musique de plusieurs décibels était beaucoup trop bruyant pour les citoyens de Limoilou, en particulier pour les personnes âgées des résidences pour aînés situées en face du Centre Expo-Cité.


POINT DE VUE / En septembre 2018, un fraudeur qui semblait savoir tout à mon sujet a tenté d’obtenir par Internet des cartes de crédit à mon nom auprès d’une dizaine d’institutions financières mêmes ontariennes.


POINT DE VUE / Les signataires de cette lettre, majoritairement des professeurs universitaires, s’adressent aux membres de la haute direction de l’Université Laval: Sophie D’Amours, Lyne Bouchard, Jean Lemay et Michel J. Tremblay*

Directeur général du Réseau des carrefours jeunesse-emploi Québec

POINT DE VUE / À l’aube de la campagne électorale, les partis s’activent, raffinent leur programme, ciblent des mesures populaires et recrutent des candidats vedettes. Ils auraient tout intérêt à ne pas oublier les citoyens vedettes, les jeunes, à qui on demande d’écrire l’avenir du Québec.


POINT DE VUE / Je ne suis pas jardinier ni horticulteur de profession, mais j’aime les plantes. J’aime ces êtres qui «incarnent le lien le plus étroit et le plus élémentaire que la vie puisse établir avec le monde», selon la formule d’Emanuele Coccia. En amateur, je pratique la botanique et consacre mes soins à un modeste aménagement végétal qui héberge surtout des plantes sauvages. Peut-être que l’état de santé de Larry Hodgson m’interpelle, mais je dois dire que je ne connais pas personnellement le Jardinier paresseux. Si j’ai consulté plusieurs textes qui m’ont été utiles, c’est pourtant ailleurs que je vois la contribution véritable des amis des plantes dont il est l’inspiration et le modèle. 


POINT DE VUE / C’ est devenu un sport national. Décortiquer les propos d’une personnalité publique pour y trouver un bout de phrase qui puisse être interprété péjorativement. En déplorant la plus grande difficulté de recrutement de femmes en politique, Jean-François Gosselin vient de subir un autre de ces plaquages vicieux dans la bande, lui pourtant un joueur de hockey aguerri. 


POINT DE VUE / On dirait bien que nous cheminons tranquillement pas vite vers une fin d’été où nous vivrons le même scénario que l’an dernier, alors que nous étions plongés en pleine campagne pré-électorale fédérale. Pitié, de grâce, laissez-nous finir comme il se doit nos vacances. 


POINT DE VUE / À l’aube des prochaines élections, les sondages augurent bien pour le parti de la CAQ. Il est donc probable que nous serons encore dirigés vers les politiques favorisant l’économie et «les emplois bien payés». C’est le type de programme politique qui a majoritairement eu cours au Québec depuis plus de vingt ans. Ainsi, au temps du régime Charest, le discours portait sur les «vraies affaires» avec le Plan Nord, où le premier ministre rigolait dans la pensée d’y diriger les manifestants dans la rue. 

Candidat du Parti Québécois dans Jean-Talon

POINT DE VUE / Les maisons des aînés sont un beau projet, mais comme pour les CPE, ce sera la crème des milieux de vie pour les chanceux qui y auront une place et les autres attendront en souffrant du manque de soins.


POINT DE VUE / Il y a trente ans est mort le joueur de hockey John Kordic. À ce moment, il jouait pour les Nordiques de Québec. Les circonstances étaient un peu étranges. Il consommait beaucoup de stéroïdes et de drogues dures. Le plus étrange, c’est qu’il est décédé dans un motel sur le boulevard Hamel à Québec, apparemment seul.


POINT DE VUE / Dans un contexte post-pandémique, il y a lieu de s’interroger sur les séquelles collatérales qui risquent d’affecter nos adolescents qui ont vécu la pandémie dans des conditions souvent difficiles. Or, on sait que cette période de la vie contribue à orienter l’être adulte en devenir en constituant un ancrage référentiel. Si pour certains l’adolescence est un tremplin, pour d’autres, elle reflète un moment constitutif d’une vision négative d’un monde qu’ils devront affronter quotidiennement. Freinés dans leur marche, ils devront apprendre à avancer dans l’adversité.


POINT DE VUE / La série de meurtres commis la semaine dernière à Montréal par un individu souffrant de troubles mentaux est immensément triste. Être tué par balle en attendant l’autobus, en se rendant au travail ou en allant jouer avec ses neveux relève d’une grande injustice. Il s’agit de crimes odieux.


POINT DE VUE / Je ne partage pas du tout l’avis de Claude Moreau à l’effet que ce fut «une stupide idée» de la part de Nancy Pelosi de visiter Taïwan. Je ne suis pas prêt à donner le bon Dieu sans confession aux États-Unis qui ont trempé plus souvent qu’autrement dans de sales histoires, mais il faut reconnaître que Xi Jinping joue au conquérant avec Taïwan, comme Vladimir Poutine avec l’Ukraine.


POINT DE VUE / Martine Biron a décidé de faire le saut en politique active lors des prochaines élections. Pour certaines personnes, un journaliste qui prend cette décision souffre d’opportunisme. Je ne vois pas en quoi la décision de Mme Biron sera de l’opportunisme!


POINT DE VUE / Jeune, on me disait: «Sais-tu comment les Américains sont devenus riche? En se mêlant de leurs affaires». Je dois être saprément vieux car je ne me souviens pas d’avoir déjà vu l’application de cette belle phrase.


POINT DE VUE / D’aucuns se demandent pourquoi la trottinette électrique est illégale dans les rues de Québec et Montréal, alors que c’est un moyen de transport rapide et écologique.

Président de la Coalition pour la préservation du Mont-Kaaikop

POINT DE VUE / C’est avec tristesse que nous avons appris, le 14 juillet dernier, le décès de ce grand défenseur de l’aspect social de la foresterie au Québec.

Fellow, Centre de recherches et d'études internationales de l'Université de Montréal (CERIUM)

POINT DE VUE / La crise énergétique qui sévit en Europe peut sembler lointaine, mais elle a des répercussions concrètes, ici même au Québec. 


POINTS DE VUE / Depuis quelques jours les médias nous parlent beaucoup des trottinettes électriques très populaires sur nos routes, interdites, mais tolérées.


POINT DE VUE / Il faut simplement imaginer: un père et une mère qui voient battre et abuser sexuellement leur fille par leurs fils.


POINT DE VUE / Le pape François s’en est retourné à Rome suite à son voyage pénitentiel au Canada.





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Tout d’abord, je ne crois absolument pas qu’en faisant miroiter à la population que chaque Québécois a besoin et sera un jour inscrit à un médecin de famille et encore moins qu’il est raisonnable de penser de voir son médecin de famille en 36 heures pour n’importe quelle raison de consultation que le gouvernement Legault arrivera à ses objectifs qui, disons-le, sont complètement farfelus et utopiques. Le gouvernement ne fait qu’alimenter des attentes irréalistes de la part de la population et contribue à faire régner un faux sentiment de besoins et d’insécurité non nécessaires et injustifiés lorsque quelqu’un se retrouve sans médecin de famille.
Selon moi, le problème n’en est pas un d’accès, mais plutôt d’une mauvaise répartition et gestion des ressources. Il faut tenter de modifier le modèle actuel pour en arriver à orienter le patient au bon endroit, à la bonne personne et au bon moment, plutôt que d’uniquement satisfaire le désir du patient qui veut voir un médecin à tout prix (et souvent son médecin de famille) rapidement pour une condition qui est souvent non urgente et qui peut être même non médicale.
Par exemple, si un patient présente un problème psychologique, il devrait d’abord être orienté vers un travailleur social ou un psychologue avant d’avoir accès à un médecin. Ces professionnels pourraient évaluer la nécessité du patient de voir un médecin et le référer au besoin. Si un patient présente un problème musculo-squelettique simple, il devrait voir un physiothérapeute avant d’avoir accès à un médecin. Un premier tri par des infirmières pourrait être fait dans la plupart des cas de consultations, ce qui diminuerait de beaucoup les consultations médicales non nécessaires.
De plus, la situation actuelle d’inscription d’une clientèle à un médecin de famille unique est désuète et problématique. Elle a bien démontré qu’elle ne fonctionne pas et ne fonctionnera jamais, et crée des frustrations et des insatisfactions autant chez les patients que chez les médecins. La situation est en plus doublement injuste pour une bonne partie de la population qui se retrouve sans médecin de famille. En effet, en plus de ne pas pouvoir prendre un rendez-vous avec un médecin, il est souvent impossible pour les patients dits orphelins de consulter dans les cliniques sans rendez-vous s’ils n’y sont pas déjà inscrits avec un médecin de famille. Trouvez l’erreur! Pas de médecin de famille, donc pas de possibilité d’aller au sans rendez-vous, parce que pas de médecin de famille. Certaines cliniques en viennent à interdire l’accès à un patient qui a été suivi pendant plusieurs années par un médecin à cette même clinique lorsque ce dernier a le culot de prendre sa retraite ou de tomber malade. C’est un fonctionnement archaïque, dans un modèle en silo, où chaque médecin travaille de façon individuelle pour sa clientèle et donne un service comme il peut, comme il est possible de donner quand on est un seul individu sur lequel comptent et s’appuient des centaines, voire des milliers de personnes. Ce modèle en silo, où il faut quasiment signer un contrat de mariage avec les patients, devient une lourde charge à porter, une pression inexplicable d’autant plus que le médecin est toujours coupable d’être malade, en vacances ou absent pour n’importe quelle autre raison valable. Il est alors impensable qu’un patient voit un autre médecin que son médecin de famille. Et pourquoi cela? Le patient et le médecin se trouvent tous deux prisonniers l’un de l’autre. 
Pourquoi ne pourrait-on pas voir un autre médecin que son médecin de famille pour un problème ponctuel, voire pour un épisode de soin complet comme une dépression majeure ou un accident de travail demandant un suivi CNESST? Pourquoi le patient ne pourrait-il pas changer de médecin de famille comme on peut le faire pour un physiothérapeute, un dentiste ou un garagiste? Le patient devrait avoir le choix de changer de médecin si le sien, pour x raisons, n’est pas disponible ou même si, pour une raison ou une autre, la relation thérapeutique n’est pas idéale. Le médecin devrait aussi pouvoir mettre fin à une relation thérapeutique toxique ou si le patient ne respecte pas le plan de traitement, ou si tout simplement le médecin et le patient ne s’entendent pas. Il faut absolument abolir l’inscription de la clientèle à un médecin de famille et rendre disponible un groupe de médecins pour un territoire donné, une population donnée.
Finalement, il faut enlever de la tête des gens que tout le monde a besoin et a le droit d’avoir un médecin de famille, comme si c’était une nécessité et un droit acquis. C’est absolument faux, tout le monde n’a pas besoin d’un médecin de famille. Les jeunes en bonne santé n’ont pas besoin d’avoir un médecin de famille, ils ont la plupart du temps besoin seulement d’une consultation ponctuelle pour un problème ponctuel ou d’un suivi, pour une période de temps donnée, pour ce que l’on appelle un épisode de soin. Ce qui peut très bien être fait par n’importe quel médecin, et non seulement par un seul et unique médecin de famille. Et quand ledit problème sera réglé, ce patient n’aura plus besoin de suivi médical. Ces problèmes ponctuels peuvent être très bien évalués par n’importe quel médecin, ou dans bien des cas par une infirmière praticienne ou par une IPSPL.
Il faut que les jeunes et les adultes en bonne santé arrêtent de prendre des rendez-vous annuels de «check-up», il faut rendre les cliniques de dépistages d’ITSS, de Pap Test et de contraception disponibles à tous et facilement accessibles. Pas besoin de voir un médecin pour le renouvellement d’une médication pour une condition jugée stable (HTA, DLP, Db, hypothyroïdie), un pharmacien ou une infirmière IPSPL ferait tout aussi bien le travail. Les cliniques sans rendez-vous sont remplies de ces cas qui n’ont pas réellement besoin de voir un médecin.
En conclusion, il faut que la population réalise que tout problème n’est pas urgent et qu’il peut être normal d’attendre avant de voir son médecin, tout problème ne nécessitant pas de voir un médecin en 36 heures. Les gens ne sont malheureusement souvent pas capables de juger que leur situation n’est pas urgente et sont de moins en moins patients. Rendre les médecins de famille trop accessibles empirera cette situation, ceci ne ferait qu’augmenter le nombre de consultations non urgentes et non pertinentes. Il faut orienter les gens ailleurs que dans le bureau du médecin si ce n’est pas nécessaire.
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Un médecin Photo : getty images/istockphoto/psphotograph


La pénurie de médecins de famille au Québec
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