Le glory hole en version gay

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Le glory hole en version gay
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NB : La gĂ©rontophilie existe. Ce rĂ©cit, Ă  peine romancĂ©, s'est imposĂ© comme tĂ©moignage de l'expĂ©rience d'un ami. Aussi outrĂ© qu'il puisse paraĂźtre, il est malgrĂ© tout en deçà de la rĂ©alitĂ© vĂ©cue. Car c'est Ă  11 ans, oui, Ă  11 ans ! que ce jeune Normand a compris son attirance homosexuelle pour les vĂ©nĂ©rables vieillards qui hantent les toilettes publiques. Ses parents, instruits de la chose, ont tout fait pour l'en dĂ©tourner. Il n'a pas cĂ©dĂ© pour autant, menacĂ© de se suicider si l'on y mettait un obstacle. À 18 ans il s'est enfui et a rejoint la capitale. Il s'est immĂ©diatement maquĂ© avec un vieux de 73 ans. Ils ont respectivement, Ă  l'heure oĂč je conte cette histoire, 29 et 84 ans. Il suce encore son partenaire mais il ne se fait plus baiser car le viagra a ses limites. Leur relation, faite d'amour, les conserve l'un avec l'autre. Il n'en veut pas Ă  son grand-pĂšre, mĂȘme si son exhibition a bouleversĂ© son existence.
Dix-sept ans, c'est l'Ăąge idĂ©al quand on est accro Ă  la bite et qu'on sort Ă  peine de l'enfance. On excite les jeunes et les vieux, on se prend rarement un rĂąteau. Moi je prĂ©fĂšre les vieux aux jeunes, une perversion que j'assume et que je partage avec peu. Comment cela m'est-il venu, c'est ce ce que vais vous expliquer au risque de vous choquer peut-ĂȘtre, mais cela je l'assume aussi. Laissez-moi me dĂ©crire d'abord.

Je suis un minet assez beau. Mon visage s'éclaire de grands yeux, bleus, frangés de longs cils. Ma bouche rose et bien ourlée s'ouvre sur des dents éclatantes. Ma silhouette mince, peu musclée, demeure pour l'instant imberbe, à l'exception de mon pubis doté d'une toison drue et noire de la couleur de mes cheveux qui m'arrivent jusqu'aux épaules. Sous mon pubis, une grosse tige contraste avec la sveltesse de mon corps. Ma bite, contrairement à lui, a atteint toute sa plénitude et ce, dÚs l'ùge de 14 ans, mais j'ignore encore ce détail du développement morphologique. Je suis persuadé que ma queue va encore grandir jusqu'à mes vingt ans, l'ùge adulte. Tel est en gros, l'aspect physique. Psychiquement je suis mature, je sais ce que je suis et pourquoi.

Depuis mes 13 ans je suis gay et je le dois à mon grand-pÚre. Je vis chez lui depuis cinq ans car, à la suite de leur divorce, mes parents m'ont confié à lui pour démarrer une autre vie. J'avais refusé de les suivre, leurs deux familles recomposées ne m'inspirant aucun attrait. Je les vois pendant les vacances, ma mÚre, mon pÚre, en alternance. Mon adolescence, donc, s'est passée sous le toit de mon cher aïeul. Il est le pÚre de mon pÚre et ne lui ressemble pas beaucoup. J'ai pour lui une grande affection, il me la rend en proportion. Veuf depuis de longues années, il a en moi un compagnon jeune et rempli de gaieté. Sans moi, il serait seul, bien seul, étant brouillé avec son fils depuis ce malheureux divorce. Mais pour son bonheur je suis là.

Comment s'est produit notre inceste ? Il m'a surpris Ă  me branler devant la glace, dans la salle d'eau. AprĂšs trois secondes de surprise, voyant mon extrĂȘme confusion, il s'est repris et il a dit :

— Ne sois pas honteux, mon chĂ©ri, ce que tu fais est trĂšs normal, tous les ados en passent par lĂ , et mĂȘme souvent les adultes.

Ma honte disparut aussitÎt. La réflexion de mon aïeul sur la masturbation adulte légitimant ainsi la mienne, m'Îta toute culpabilité. Il reprit d'un ton plus léger :

— Dis-moi, la nature t'a gĂątĂ©, ta queue est plus grosse que la mienne.

Je considĂ©rai mon grand-pĂšre car je n'en croyais pas un mot. Grand et mince, le visage ridĂ© bien que dotĂ© d'un certain charme, je ne l'avais jamais vu comme vieux. Il portait ses 62 ans avec finesse et Ă©lĂ©gance, dĂ©gageant une virilitĂ© accentuĂ©e par sa pilositĂ© fournie car il avait tous ses cheveux. ÉpargnĂ© par la calvitie, il semblait plus jeune que mon pĂšre, Ă  demi chauve depuis longtemps et guettĂ© par l'obĂ©sitĂ©. Fort de ce constat je lui dis :

— Tu te moques de moi, Grand-pĂšre, je sais que le ne suis qu'un enfant. Ta quĂ©quette est sĂ»rement plus grosse. Tu es un adulte et je sais que les adultes ont un gros sexe.

— Ce que tu ne sais pas, mon Karl, c'est que ta quĂ©quette, comme tu l'appelles, me semble bien avoir atteint sa dimension dĂ©finitive.

— Ça, je suis persuadĂ© que non et que la tienne est bien plus grosse. Tu ne veux pas me la montrer ?

— Non, Karl, ce ne serait pas bien.

— S'il te plaüt, Grand-pùre, s'il te plaüt. Juste une fois pour comparer.

Mon aïeul sembla hésiter, puis aprÚs avoir dit "Pourquoi pas ?", il déboutonna sa braguette. Son sexe, posé sur ses couilles, gisait, plus petit que le mien. Ainsi mon grand-pÚre disait vrai. Mais à mon immense surprise, il se mit bientÎt à gonfler pour atteindre des proportions qui me laissÚrent muet, incrédule. Un énorme pénis violet, long d'au moins 22cm, se mit à palpiter soudain, à tressaillir, à se dresser, libérant un gland monstrueux. Pris d'une pulsion irrésistible j'y portai aussitÎt la main et m'agenouillai devant lui.

— Non, mon petit Karl, ne fais pas ça. Une drĂŽle d'idĂ©e que j'ai eue lĂ , on n'est pas sorti de l'auberge !

Il regrettait sans aucun doute, mais pour moi il Ă©tait trop tard, et rien n'aurait pu m'arrĂȘter. Il me fallait toucher ce sexe pour m'assurer que mes yeux ne me trompaient pas, car mon grand-pĂšre m'avait menti. Je croyais tout ce qu'il disait, or il venait de m'affirmer que ma bite Ă©tait la plus grosse. Pourquoi ce mensonge Ă©honté ? Je lui demandai la raison.

— Parce qu'un gros sexe ça fascine et ça fait bander tous les mĂąles, qu'ils soient homos ou hĂ©tĂ©ros. Les homos veulent se la prendre et les hĂ©tĂ©ros la mater. La frontiĂšre est souvent si mince que des messieurs ont basculĂ© aprĂšs des annĂ©es de mariage, il a suffi d'une occasion ! Quant Ă  moi, Ă  l'Ăąge de dix ans, j'Ă©tais aussi curieux que toi. J'Ă©piais le sexe de mon pĂšre. Je l'avais dĂ©couvert si gros que je dĂ©sirais le toucher, le toucher, pas plus. Qu'aurais-je pu imaginer d'autre ? Mais ce fantasme a disparu au moment de la pubertĂ© et n'a jamais rĂ©apparu. À l'Ă©poque je ne pensais pas que ma bite surpasserait la sienne. Toi aussi tu m'as espionnĂ© par le vasistas des toilettes. Heureusement que je me mĂ©fiais, tu n'as jamais pu voir ma queue.

— Pourquoi me l'as-tu montrĂ©e alors ?

— Parce que je te croyais hĂ©tĂ©ro et aussi, pourquoi le cacher ? À force de vivre comme un moine, de dompter ma sexualitĂ©, j'ai craquĂ© en voyant ta bite. La mienne s'est rappelĂ©e Ă  moi et chose imprĂ©vue, j'ai bandĂ©. Si ma queue Ă©tait restĂ©e flasque, on n'en serait pas oĂč on en est. Ta curiositĂ© satisfaite, chacun aurait remisĂ© sa bite et les choses seraient comme avant. Tu n'aurais Ă©tĂ© simplement qu'un petit pubĂšre qui mate, comme tous les garçons de 13 ans. Au lieu de quoi tu veux me sucer ! Maintenant lĂąche-moi, tu me fais mal.

Mais je ne lùchai pas l'affaire. Comme attirés par un aimant, mes doigts encerclÚrent sa hampe et je commençai à branler. Il se tut et ferma les yeux. Je lui retroussai son prépuce, enfournai le gland découvert. Il ouvrit les yeux, effaré.

— Karl, que fais-tu ? ArrĂȘte ! ArrĂȘte !

Il tùcha de se retirer mais je l'empoignai par les couilles. Il cria mais je le tenais et là il fut à ma merci. Avec une science qui m'étonna tant elle était inattendue, je le pompai voracement, savamment, comme un vide-couilles. C'était pourtant la premiÚre fois que j'avais une bite en bouche. Vaincu, mon papy se taisait, mais alors que venait l'orgasme il poussa un gémissement. AussitÎt, quittant sa grosse bite, je lui présentai mon derriÚre. Trop tard, il venait de juter. Je vis s'écouler sa semence, sans jet, fluide comme une source, et je tentai de l'avaler. Il me repoussa, indigné.

— Non, non, Karl, est-ce que tu es fou ? Je ne suis pas un pĂ©dophile. J'ai une une faiblesse, je l'admets, mais tu m'as pratiquement violĂ©. C'est fini, tu m'entends, fini. Ça ne se produira plus jamais, ou je te renvoie chez ton pĂšre !

Il rangea son énorme chibre et s'éloigna, épouvanté. Fini pour lui mais pas pour moi. Ma queue voulait sa récompense. En quatre secousses je l'obtins. Une cataracte de sperme explosa hors de mon méat. Je n'avais pas eu, loin s'en faut, cette satisfaction ultime : avoir un gros zob dans mon cul, mais je connaissais désormais mon orientation sexuelle. J'aimais charnellement les vieux, je ne banderais que pour eux.

Vous narrer ce qui arriva au cours des deux mois qui suivirent serait avouer ma frustration. La menace de mon papy, retourner vivre chez mon pÚre, m'avait clairement intimidé, mais n'avait entamé en rien ma crapulerie adolescente. Je me promenais la queue raide devant mon grand-pÚre atterré, espérant, indécent, lubrique, exciter sa vieille libido. Vieille, enfin, entendons-nous bien. Ce qui m'excitait chez Papy, c'étaient ce visage buriné et ces gros testicules pendants qui annoncent la décrépitude. Pourtant il bandait comme un dieu. J'eus par la suite mille occasions de vérifier, chez les vieillards, cette bandaison priapique qui, associée au poids des couilles, leur confÚre un charme viril souvent absent chez les plus jeunes.

Certes Grand-pĂšre n'Ă©tait pas vieux, Ă©tant seulement sexagĂ©naire. Il rĂ©sista stoĂŻquement Ă  mes avances rĂ©itĂ©rĂ©es et je me rĂ©signai enfin. Pour autant ma perversitĂ©, qu'on appelle gĂ©rontophilie, avait encore un avenir. J'allai dans les toilettes publiques. Quand je repĂ©rais un pisseur, de prĂ©fĂ©rence octogĂ©naire, je m'approchais la queue en l'air, le rejoignais dans l'urinoir. Mes 14 ans plaidaient pour moi. Ma petite frimousse juvĂ©nile, mes cheveux longs sur mes Ă©paules, me donnaient un air androgyne et n'inspiraient aucune crainte. Je me branlais prĂšs du vieillard, et puis lui saisissant la bite, je le masturbais en mĂȘme temps. Rares Ă©taient ceux qui rĂ©sistaient. La descente sur terre d'un ange leur devenait rĂ©alitĂ©.

L'un d'entre eux me plaisait beaucoup. Pensionnaire d'une maison de retraite, il venait pisser fréquemment, sans doute à cause de sa prostate. Je me serrais tout contre lui et je lui reluquais la queue. Nous causùmes un peu et j'appris qu'il était tout seul, sans famille. Personne ne lui rendait visite. Dans cette maison de retraite il vivait seul, abandonné. J'obtins son numéro de chambre, je le visiterais, promis. DÚs le lendemain j'y étais. La chambre, meublée d'un grand lit, d'une petite table et d'une chaise, offrait un confort minimum. Nous nous assßmes cÎte à cÎte sur le lit soigneusement bordé. J'ouvris tranquillement sa braguette et avalai son pénis mou.

Quelle sensation dĂ©licieuse que de sentir ce caoutchouc durcir dans ma petite bouche. Le film "Gerontophilia" Ă©tant prĂ©sent Ă  ma mĂ©moire, je savais comment opĂ©rer. Il me fallait ĂȘtre gentil, ne pas lui Ă©craser les couilles comme j'avais fait avec Papy. Comme son sexe pointait Ă  peine, je le reversai sur le dos et il gagna cinq centimĂštres. Je m'installai entre ses jambes et entrepris de le sucer. BientĂŽt son pĂ©nis s'Ă©paissit sans s'allonger outre mesure. Il Ă©tait trĂšs gros et trĂšs court, mais j'Ă©prouvai un grand plaisir car il me remplissait la bouche. Du liquide sĂ©minal coulait lentement sans discontinuer. Je m'en repaissais les muqueuses pensant bien que quand il jouirait, il expulserait peu de sperme. Mais je me trompais sur ce point. Ma succion lente et dĂ©licate lui avait, vingt minutes durant, accumulĂ© du jus de couille, et il Ă©jacula soudain trois grosses rasades de foutre que j'avalai avec dĂ©lice. Pas si mal, pour un vieux pĂ©pĂ©. Je l'embrassai avec la langue et lui promis de revenir.

Mes incursions dans les toilettes se poursuivirent avec succÚs au cours des deux années suivantes. Arrivé à l'ùge de 15 ans, j'avais déjà à mon actif un tableau de chasse impressionnant dont je tenais le compte exact : j'avais branlé 406 vieux et en avais sucé 312 dans les chiottes prÚs de l'urinoir. Un glory hole, dans la paroi qui séparait deux de ces chiottes, facilitait l'opération. Par un normal effet d'aubaine, la rumeur s'était répandue qu'un vide-couilles y sévissait et les clients y affluaient, informés par mon graffiti : JE SUCE CHAQUE APRÈS-MIDI DE 17h à 18h . Cet horaire, juste aprÚs la classe, me convenait parfaitement. Je m'installais sur l'abattant et je guettais les arrivées. Quand un jeune présentait sa queue, je faisais mine de ne rien voir. S'il insistait, je lui repoussais son engin. Furieux il quittait la cabine, donnait un coup de pied dans ma porte en me traitant de sale tarlouze.

Pourtant, un manque me tracassait. Je rĂȘvais d'une petite orgie avec deux vieillards bien bandants. Pendant que j'en pomperais un, l'autre m'enfilerait par derriĂšre. Car j'Ă©tais toujours vierge du cul, ce qui peut vous sembler Ă©trange. En fait, l'Ă©troitesse des chiottes, leur manque de confidentialitĂ©, avaient empĂȘchĂ© ce fantasme de devenir rĂ©alitĂ©. Il me taraudait maintenant, j'en rĂȘvais le jour et la nuit et, comme la vie est bien faite, une occasion se prĂ©senta. Un aprĂšs-midi, dans le chiotte oĂč j'avais pompĂ© un petit vieux, celui-ci, abaissant la tĂȘte, me demanda Ă  travers le trou oĂč il avait pointĂ© sa bite :

— Tu ne veux pas venir chez moi ? J'habite Ă  quelques kilomĂštre, ma voiture est garĂ©e tout prĂšs.

— Je veux bien, Ă  une condition. C'est que vous recrutiez un autre homme, j'ai trĂšs envie d'un plan Ă  trois. Il faut qu'il ait au moins votre Ăąge, mĂȘme plus vieux si c'est possible, et qu'il bande comme un taureau. Sinon ça ne m'intĂ©resse pas.

— Je vais faire tout mon possible. On se retrouve ici demain ?

— Non, je ne serai pas disponible. Mais dans huit jours, lundi prochain. Entre temps, je pars en vacances.

— D'accord, dit-il, Ă  lundi prochain. Je t'aurai trouvĂ© l'oiseau rare.

Que cette semaine me parut longue entre mon pÚre, sa nouvelle femme et les deux garçons de celle-ci. Comme ils étaient niais tous les quatre ! Les garçons, 16 et 19 ans, me regardaient, condescendants. La longue chevelure noire qui me descendait aux épaules leur semblait de trÚs mauvais goût et suscitait leurs railleries.

— Quand est-ce que tu vas la couper ? Tu as vraiment l'air d'une pĂ©dale !

— Quand vous serez un peu moins cons. Ça veut dire pas avant longtemps !

Telles étaient nos conversations. La semaine se traßnait, sinistre, mais une fois seul dans ma chambre, pensant au lundi qui venait, je me consolais de mon mieux en astiquant ma jolie bite, car elle ne me servait qu'à cela. Je détestais me faire sucer et la pénétration active, ce ne serait jamais mon truc étant passif jusqu'à la moelle. Le lundi arriva enfin et je m'installai dans le chiotte avec une grande fébrilité. Le vieux arriva peu aprÚs. il me dit par le glory hole :

— Je t'ai trouvĂ© ce que tu cherchais. Le troisiĂšme a 80 ans et donc deux ans de plus que moi, il nous attend dans ma voiture. Moi c'est Émile, lui c'est Joseph. C'est un ami de longue date, il est vieux mais encore bien vert, il est ravi de te connaĂźtre.

Moi aussi j'étais impatient. Assis au fond de la voiture, je détaillai son cou puissant, sa nuque auréolée de blanc et surtout ses larges épaules. Le conducteur à ses cÎtés, et dont j'avais sucé l'engin, était un petit vieux fluet pourvu d'une bite sympathique : 17cm environ, encore bandait-il à demi. Cela ne me dérangeait pas. Qu'elle soit raide ou à demi-molle, ma bouche s'en accommodait. Pour mon cul, il fallait du dur.

Arrivés à destination, nous entrùmes dans la maison et rejoignßmes vite la chambre. "Déshabille-toi," me dit l'aßné. Son ton était bref, impérieux. Quand je fus à poil devant lui, il fit ce simple commentaire :

— Belle bite, beau cul ! Quel ñge as-tu ?

— Quinze ans. J'en aurai seize en fĂ©vrier, je suis verseau.

— Comme toutes les putes, ou du moins comme la plupart. Est-ce que tu aimes les gros braquemarts ?

À son tour il se dĂ©vĂȘtit tranquillement, avec mĂ©thode. Son torse d'abord apparut, couvert de poils longs et blanchĂątres. Quand il baissa son vaste slip, je pus contempler la merveille : une grosse queue dĂ©goulinait sur des testicules gĂ©ants entiĂšrement dĂ©pourvus de poils. Il s'Ă©tait rasĂ© pour me plaire, car sur son ventre une toison, plus noire que celle de son torse, le recouvrait jusqu'au nombril. Sa carrure restait athlĂ©tique en dĂ©pit de ses 80 ans.

— Approche, mets-toi à genoux. Fais-moi durcir avec ta langue.

Je lui obéis aussitÎt. Son ton macho me ravissait, comme la violence avec laquelle il se carra entre mes dents.

Voilà qui ne m'aurait pas déplu. Un vieillard me prenait en main, forçait sa bite dans mon gosier. Cramponné à ma chevelure, il s'en servait pour m'arrimer étroitement à son gros gland et me traiter comme un esclave. Je me retrouvais un ilote comme au temps de la Sparte antique, quand les sages prenaient leur plaisir avec des gosses à peine pubÚres. Ces temps-là étaient révolus, moi je les faisais revivre, donnant ma jeunesse, ma beauté à un homme plein d'une autorité virile et consacrée par le grand ùge. La GrÚce homosexuelle d'alors, d'un point de vue civilisationnel, me paraissait indépassable.

Cependant l'autre petit vieux s'était déloqué sans rien dire. Son corps contrastait fortement avec celui de son comparse tant ses épaules étaient tombantes. Son ventre avachi, presque glabre, s'appuyait sur des jambes en X. Il était vraiment décrépit et ma perversion, stimulée par ce spectacle si navrant accrut l'érection de mon sexe. Il se branlait frénétiquement, pour une fois sa queue était raide. Le vieil hétéro qu'il était, veuf depuis de longues années, réagissait en pur homo, comme l'avait prédit mon grand-pÚre. Joseph me dit : "Tourne ton cul !" Je me hùtai de pivoter afin de lui offrir mon fion.

— Émile, file-moi la margarine. Maintenant, mets-toi devant lui !

Le vieux prit place devant ma bouche et je happai son dard brûlant. Joseph cueillit avec son pouce une noisette de matiÚre grasse et me l'enfouit dans le trou du cul. Ce viol de mon intimidé me causa une contraction et m'arracha un petit cri.

— DĂ©tends-toi, arrĂȘte de gueuler. Si tu ne la fermes pas, je cogne.

Je criai et il me frappa. Comment expliquer cette extase d'ĂȘtre battu et enculĂ© tout en ayant une bite en bouche ? Joseph poussa et je gueulai. Une grĂȘle de coups s'abattit sur ma tĂȘte et sur mes Ă©paules. Je pompai Emile goulĂ»ment, avec une telle aviditĂ© qu'il dit Ă  Joseph en riant :

C'est ainsi que, violĂ©, battu, j'ouvris mon cul Ă  ce gros chibre dont j'avais tellement rĂȘvĂ©. Fruit d'or avait fait son effet. La pine de Joseph, bien roide, se mouvait sans difficultĂ© dans mon fourreau Ă©troit et sombre, graissĂ© par cette vitamine A3 dont je bĂ©nissais l'existence. Cependant je suçais plus fort, Ă©cartant sans cesse mes cheveux qui se mĂȘlant au dard d'Émile entraient, importuns, dans ma bouche. Je devrais sans doute les couper. Le vieux, dopĂ© par l'inexorable cri que me causait cette jouissance, me pilonnait par le devant. Sa bite avait encore enflĂ© et m'arrivait en fond de gorge, tout comme le chibre de Joseph venait emprunter mon cĂŽlon car il Ă©tait si long, si grand qu'il me pĂ©nĂ©trait les entrailles.

Mais tout ceci aurait une fin. ExtĂ©nuĂ© par le plaisir, je dĂ©chargeai sur les chaussettes du vieil Émile que je suçais comme une lopette que j'Ă©tais. Trente secondes aprĂšs, son nectar atterrit au fond de la bouche, tandis que le jus de Joseph, expulsĂ© Ă  longues saccades, venait tapisser mon cĂŽlon.

Vous dire le nombre de fois que je renouvelai l'expĂ©rience serait sans doute prĂ©somptueux, mais deux ou trois fois par semaine, je donnai du plaisir aux vieux et j'en reçus Ă  perdre haleine. Je suçai, je fus enculĂ©, battu jusqu'Ă  avoir des marques. Émile est mort depuis trois jours, c'est triste mais Joseph me reste. Ça aura durĂ© 22 mois, j'ai 17 ans et continue Ă  me donner Ă  des vieillards car je ne pourrais jouir avec d'autres. Grand-pĂšre ne se doute de rien, cet Ă©pisode de notre vie ne fut qu'une brĂšve aventure. Pourtant elle m'a beaucoup marquĂ© et inflĂ©chi toute ma vie. Qu'il en soit bĂ©ni pour cela.



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