Le docteur connaît le remède

Le docteur connaît le remède




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Le docteur connaît le remède
Merci de lire Medisite.fr ! Pour permettre à toute une rédaction de continuer à vous proposer des contenus accessibles gratuitement, soutenez-nous en acceptant le dépôt des cookies Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Medisite > Santé A-Z > Maladies > Maladies infectieuses > Coronavirus > Coronavirus : 7 remèdes naturels pour récupérer plus vite
Vous avez eu la Covid-19 et vous avez du mal à vous rétablir ? Malgré les jours qui passent, certains symptômes persistent ? Voici 7 solutions naturelles qui peuvent vous aider à récupérer, avec les conseils de la naturopathe Béatrice Svitone.
Planet Publishing,
Entreprise de presse en ligne, numéro d'agrément CPPAP 0621 W 93940
Pratique Contact Plan du site Protection des données Préférences cookies CGU Newsletters Annonceurs Flux RSS
Tous droits réservés - Groupe Erold 2022
Publié par Pauline Capmas-Delarue , le 10/11/2020 à 15:29
On parle beaucoup des astuces qui aident à se prémunir de la Covid-19 . Mais que faire lorsqu’on a déjà été infecté par le coronavirus , et que l’on a du mal à récupérer ? Béatrice Svitone , naturopathe à Vincennes, nous dévoile sept remèdes naturels, pour se remettre rapidement sur pied. Découvrez-les dans ce diaporama.
Plus de 1,8 millions de Français ont déjà contracté le nouveau coronavirus. Parmi eux, un certain nombre souffre de symptômes persistants , plusieurs semaines à plusieurs mois après l’infection. Souvent désemparés, et ne pouvant être rassurés par le corps médical qui connaît encore trop peu ce virus, ces patients partagent leur vécu sur les réseaux sociaux, avec les hashtags #apresJ20 , #apresJ60 ou #apresJ200.
Des associations de patients ont également été créées, comme l’Association Covid Long France, qui milite pour davantage de reconnaissance et une meilleure prise en charge des patients atteints de Covid-19 persistant .
Pour le Dr Pierre Tattevin, infectiologue au CHU de Rennes interrogé par France Culture , "c'est à partir du deuxième mois où on commence à se préoccuper de la possibilité d'un long Covid", même s’il n’y a pas encore de "définition internationale qui fait consensus". D’après ce que le médecin a pu observer, la fatigue et l’essoufflement sont les principaux signes qui perdurent.
"Il y a des gens qui restent très fatigués longtemps après. Même des gens qui étaient très dynamiques avant et très actifs. Et puis il y a l'essoufflement" , explique le spécialiste. Certains patients, contaminés pendant la première vague, en souffrent encore sept mois plus tard.
L’infectiologue reconnaît qu’à l’heure actuelle, nous manquons encore de connaissances quant à cette forme de Covid-19 : "on a beaucoup de choses à découvrir encore". Il précise néanmoins que la plupart des examens médicaux réalisés sur ces patients (scanners thoraciques, échographies du cœur, prises de sang…) ont donné des résultats normaux , ce qui est "rassurant".
Toutefois, cet enchaînement "d’examens normaux" peut s’avérer déroutant pour les patients, puisque leurs symptômes sont bien là. "Donc on les fait de moins en moins (ça ne nous a pas fait avancer beaucoup pour les hypothèses) et on essaie surtout d'accompagner les symptômes des patients et de les traiter" , précise le Dr Tattevin. "Le covid phase aigu et le covid long , ce sont vraiment deux maladies très différentes".
Riche en antioxydants, la spiruline booste le système immunitaire. Elle renforce les défenses de l’organisme et aide à retrouver la forme. En outre, elle contribue à réguler la glycémie et à réduire le taux de lipides dans le sang. 
Plante très utilisée par la médecine traditionnelle chinoise, l’astragale aide à prévenir les affections des voies respiratoires et stimule le système immunitaire. Elle peut être prise en synergie avec la spiruline. "Attention néanmoins, elle comporte quelques contre-indications et ne doit donc être prise que sur les conseils d'un expert" (pharmacien ou naturopathe, par exemple), met en garde Béatrice Svitone. 
La nigelle, ou cumin noire, est indiquée contre les problèmes respiratoires, biliaires et urinaires. Elle possède notamment des propriétés antioxydantes, diurétiques, digestives et anti-infectieuse ; et elle stimule le système immunitaire. 
“La quercetine’est un polyphénol de la classe des flavonoïdes, aux capacités antioxydantes et anti-inflammatoires”, détaille la naturopathe. On en trouve dans plusieurs plantes, comme le ginkgo ou le millepertuis, ou dans des aliments tels que les câpres et la livèche. “Associée au cumin noir (nigelle), qui est immuno-régulateur, elle protège des infections pulmonaires”.
“Le cassis est un excellent antioxydant”, explique Béatrice Svitone. Il contribue également à réduire la fatigue et les inflammations. Vous pouvez le trouver sous forme de macérat de bourgeons, pour une utilisation en gemmothérapie. 
Nato, tempé, yaourt, pickles, levain, tamari, shoyu, kéfir… les aliments lacto-fermentés sont riches en probiotiques, bons pour la flore intestinale et donc pour le système immunitaire.
Plusieurs études ont montré qu’une carence en vitamine D augmente les risques de souffrir d’une forme sévère de Covid-19. Or, “80 % de la population est carencée”, souligne la naturopathe Béatrice Svitone, qui conseille donc une supplémentation pour se prémunir du coronavirus - ou mieux récupérer. 
"Attention néanmoins, un surdosage de vitamine D n'est pas sans conséquence, il ne faut donc se supplémenter qu'en cas de carence avérée, et sur les conseils d'un expert", met en garde la spécialiste. 
Merci à Béatrice Svitone, naturopathe à Vincennes. 
Radiographie du coronavirus : que sait-on des symptômes persistants ?, France Culture, 6 novembre 2020. 
Recevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de Medisite.
Votre adresse mail est collectée par Medisite.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus .
Covid-19 : les symptômes neurologiques peuvent durer 18 mois
Cure thermale : 12 pathologies qui permettent une prise en charge
Covid-19 : vers une huitième vague à la rentrée ?




 Photographer:Patrice Lucenet/plprod - Fotolia




+ récents
+ commentés
+ partagés


Herbes médicinales, huiles essentielles voire rites ancestraux : les remèdes de grand-mère naturels ne sont pas sans intérêt. A certaines conditions.
Tombées en désuétude avec l’essor de l’industrie pharmaceutique, les préparations à base d’herbes médicinales reviennent en force en réaction aux scandales sanitaires, par refus du «tout-industriel» et du «tout-chimique», mais aussi par envie d’un retour aux sources et au «Do it yourself», source de satisfaction à trouver soi-même une solution écologique et économique.
Ce retour de la créativité s’observe dans des domaines aussi variés que la santé, la beauté, les tâches domestiques, etc. «Avec la venue de mon bébé, j’avais envie d’un environnement plus sain», résume une jeune maman sur un forum. Conséquence, les sites consacrés aux remèdes de grand-mère sont légion, auxquels viennent s’ajouter de nouveaux livres sur le sujet, édités chaque année, des magazines spécialisés, des féminins qui y vont tous de leur petite recette et même la naissance d’ateliers d’initiation aux herbes médicinales, à défaut de pouvoir acquérir un vrai diplôme d’herboriste, supprimé en France en 1941 et jamais rétabli alors que ce métier est reconnu dans d’autres pays d’Europe!
Pourtant, les herbes médicinales ne sont pas toujours inoffensives. «Les questions portant sur les plantes représentent 6 % de nos appels, estime le Dr Jean-Marc Sapori, praticien hospitalier responsable du centre antipoison des Hospices civils de Lyon. Or, si leurs principes actifs sont à l’origine de l’élaboration de nombreux médicaments, les plantes peuvent être aussi responsables d’effets secondaires.» Ainsi, les amandes amères que l’on trouve dans les noyaux des fruits sont parfois consommées pour leurs vertus anticancéreuses (ou en cuisine, pour agrémenter une confiture d’abricots). Or elles contiennent des substances dérivées du cyanure libérées en présence d’une enzyme, présente dans les cellules cancéreuses mais pas seulement puisque les centres antipoison rapportent des cas d’intoxication, notamment chez l’enfant. D’ailleurs, les données sur les doses toxiques d’amandes amères ne sont pas simples à interpréter.
Plus étonnant, nous avons une progression d’appels liés à des rituels ancestraux de désenvoûtement
Dr Jean-Marc Sapori, praticien hospitalier responsable du centre antipoison des Hospices civils de Lyon
«Les mauvaises utilisations d’ huiles essentielles font également l’objet d’appels réguliers. Plus étonnant, nous avons une progression d’appels liés à des rituels ancestraux de désenvoûtement au cours desquels les victimes absorbent par exemple des métaux lourds (tels que le plomb), sources d’intoxications aiguës ou chroniques», poursuit le Dr Sapori. Attention encore aux vieux remèdes intéressants pour la recherche, mais pas forcément judicieux en pratique. Exemple: autrefois utilisé en prévention des infections sexuellement transmissibles, le jus de citron, testé depuis en laboratoire, présente bien un certain pouvoir d’inactivation sur le virus du sida. Pour autant, rien ne dit qu’il en est de même quand il est injecté dans le vagin et que cette pratique est sans risque! Mettre du jus de citron à la place d’un préservatif - dont l’efficacité est, elle, incontestable - c’est prendre le gros risque de ne pas être protégé.
Enfin, avec certaines pratiques farfelues, il n’y a même pas un fond de vérité. «Sucer le venin en cas de morsure de serpent, mettre de l’antipuce à un enfant pour en finir avec ses poux, c’est carrément dangereux. Boire du lait en cas d’empoisonnement, c’est inefficace», insiste le Dr Magali Oliva-Labadie, responsable médical du centre antipoison du CHU de Bordeaux.
Ce n’est pas parce qu’une personne dit l’avoir testé avec succès que c’est vrai !
Dr Magali Oliva-Labadie, responsable médical du centre antipoison du CHU de Bordeaux.
«Ces remèdes bidons posent d’ailleurs la question de la fiabilité des sources: ce n’est pas parce qu’une personne dit l’avoir testé avec succès que c’est vrai! Ce n’est pas non plus parce qu’un escargot en mange que c’est comestible. Et ce n’est pas parce que ça a poussé à la troisième lune ou que c’est naturel que c’est sans danger, sinon, les champignons hallucinogènes seraient inoffensifs!», poursuit le Dr Oliva-Labadie. Avant de prendre n’importe quoi, il est indispensable de vérifier les sources et de croiser l’information avec des livres spécialisés, l’avis d’un phytothérapeute, l’appel à un centre antipoison, etc.: si elles abondent toutes dans le même sens, alors, c’est rassurant.
«De toute façon, quand on débute, autant s’en tenir aux remèdes faciles à préparer et qui font l’unanimité», conseille le Dr Jacques Labescat, médecin phytothérapeute, auteur de nombreux livres, dont Potions magiques de médecins oubliés (Éd. Anfortas) et auteur du blog www.soignerparlesplantes.fr .
De façon générale, on se sert des parties aériennes d’une plante pour faire une infusion (une cuillerée à soupe que l’on laisse infuser, hors du feu, dix minutes, dans l’équivalent d’une tasse d’eau portée à ébullition). Avec les parties souterraines ou solides d’une plante, on fait plutôt des décoctions (racines, écorces, etc. sont plongées dans une eau froide portée à ébullition et laissés de 2 à 10 min sur le feu). Bien utilisé, cela fait souvent… du bien.
L'amour est beau quand vous avez quelqu'un pour le partager
Johnson Kings Finley le 20/12/2018 à 15:22
Bonjour, je suis Johnson Kings Finley de Southport Liverpool, Angleterre. Je témoigne au sujet du Dr White, le grand herboriste. Il a guéri toutes sortes de maladies. Il a guéri mon virus du VIH / sida de 8 ans, bien que je sois allé À travers différents sites Web, j'ai vu différents témoignages sur différents lanceurs de sorts et herboristes. J'étais comme: "Beaucoup de gens ont le remède contre le VIH, pourquoi les gens en souffrent-ils encore?" J'y ai pensé, puis j'ai contacté le Dr White par courrier électronique (drwhitethivhealer@gmail.com), je ne le croyais pas tellement, je voulais juste lui donner un Trèves, il a répondu à mon courrier et avait besoin d'informations sur moi et demandez-moi aussi de faire un paiement pour le médicament. il l'a préparé (CURE) et me l'a envoyé via un service de messagerie. J'ai pris le médicament qu'il lui avait prescrit et je suis passé au contrôle deux semaines après avoir terminé le traitement. J'ai été testé séronégatif pour le VIH, si vous êtes séropositif. votre temps pas plus. Contactez-le via: drwhitethehivhealer@gmail.com ou 2349091844595 Je vous garantis que vous serez le prochain à donner un témoignage sur ce grand guérisseur quand vous le contactez. Vous pouvez m'ajouter sur facebook: Johnson Kings Finley Ou écrivez-moi sur: johnsonkingsfinley@gmail.com
Bonjour, contactez Dr. White, un grand herboriste africain pour vos problèmes de santé. Il a aidé à guérir mon virus de l'hépatite B de nombreuses années après que mes médecins aient dit qu'il était impossible pour moi de retrouver une vie saine. est: drwhitethehivhealer@gmail.com ou Watsapp lui 2349091844595. Je suis audacieux de dire qu'il a guérir de l'hépatite B parce que je suis un témoignage laissant et lui donner aussi le permis de montrer mon avant et après les résultats à tout le monde parce que je n'ai pas honte de mon passé. Méfie-toi des imitations parce que j'ai vu l'enfer avant de rencontrer White. Boakye est mon nom de Jordanie saveboakye1@gmail.com
Les informations recueillies font l’objet d’un traitement informatique destiné à nous permettre de gérer votre compte.
Sauf avis contraire de votre part, vos coordonnées pourront être conservées par Société du Figaro et utilisées à des fins de prospection commerciale.
Conformément à la loi « Informatique et libertés » du 6 janvier 1978, vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification et d’opposition que vous pouvez exercer en nous écrivant à
serviceclientweb@lefigaro.fr.


C'est d'abord dans l'appréciation portée sur la situation qu'il faut saisir la capacité à définir les maux et à prescrire les remèdes. Revue d'Histoire Moderne et Contemporaine, 2018, Nadège Sougy (Cairn.info)
Le rapport parvient à formuler des questions et à poser un diagnostic, mais il ne prescrit aucun remède. Europarl
On peut, par exemple, faire, dans un premier temps, de l'opératoire en prescrivant un remède après avoir soigneusement identifié le symptôme. Journal du Droit des Jeunes, 2016, Hélène Cornière (Cairn.info)
Ainsi, le jour même, j'écrivis au conservateur des forêts une lettre fort polie pour lui indiquer le mal et lui prescrire le remède. Jean Anthelme Brillat-Savarin (1755-1826)
Il serait souhaitable de construire un cadre intégré pour analyser les clusters, diagnostiquer leurs faiblesses, prescrire des remèdes. Entreprises et histoire, 2010, Thierry Weil (Cairn.info)
Presque toutes les maladies peuvent être traitées, pourvu que nous appelions le médecin pour qu'il fasse un diagnostic et prescrive le remède approprié. Ecologie & Politique, 2012, Bernard London, Christophe David (Cairn.info)
Néanmoins, avant d'atteindre ces extrémités, les publicistes prescrivent des remèdes plus lénifiants. Dix-septième siècle, 2016 (Cairn.info)
C'est pourquoi le risque est repéré et traduit dans une grille gestionnaire qui découpe, établit des causalités, prescrit les remèdes et les comportements sains. Marché et organisations, 2021, Pierre-Yves Gomez (Cairn.info)
Pour rétablir ma réputation, je prescrivis un remède quelconque à un cheval demi-fourbu, et je repartis vite dans ma charrette avant qu'on eût pu éprouver l'effet de ma singulière ordonnance. Raymond Aimery de Montesquiou-Fezensac (1784-1867)
Vous êtes un homme économe, je le sais, et j'ai eu égard à votre désir en prescrivant des remèdes peu coûteux. Lucie Des Ages (1845-1914)
Il n'est plus le docteur qui mène le traitement et prescrit le remède. Revue française de psychanalyse, 2011, Vincent de Gaulejac (Cairn.info)
Comme souvent dans une construction juridique, il faut poser un diagnostic avant d'envisager de prescrire des remèdes. Informations sociales, 2006, Hubert Bosse-Platière (Cairn.info)
Une autorisation complète permet par ailleurs aux médecins, comme pour tout médicament, de prescrire un remède hors des recommandations. Ouest-France, 23/08/2021
Certains médecins aussi sont spécialisés en phytothérapie et prescrivent des remèdes et médicaments à base de plantes, en surveillant leurs interactions. Ça m'intéresse, 19/03/2021, « Les médecines alternatives sont-elles efficaces ? »
Il prescrivit quelques remèdes, et je l'entendis marcher et sortir. Céleste de Chabrillan (1824-1909)
Ils prescrivirent les remèdes d'usage et se retirèrent sans donner grand espoir, la maladie avait une intensité effrayante. George Sand (1804-1876)
Ce faisant, les experts décryptaient les maux de la démocratie et prescrivaient les remèdes qui doivent leur être apportés. Actes de la recherche en sciences sociales, 2017, Hélène Combes, Gabriel Vommaro (Cairn.info)
Le docteur ne répondait pas ; il prescrivait les remèdes d'autrefois, des bains, des tisanes, du calme. Jules Claretie (1840-1913)
Ces exemples proviennent de sites partenaires externes. Ils sont
sélectionnés automatiquement et ne font pas l’objet d’une relecture par
les équipes du Robert.
En savoir plus.
Cookies Settings Accept All Cookies
Que vous soyez ou non partis en vacances cet été, je vous invite à voyager aux quatre coins du monde avec ce top 10 des mots venus d’ailleurs.
By clicking “Accept All Cookies”, you agree to the storing of cookies on your device to enhance site navigation, analyze site usage, and assist in our marketing efforts.

Publié
le 08/02/2021 à 10:47 , Mis à jour le 08/02/2021 à 10:47
Résultats des élections législatives par département
Résultats des élections législatives par ville
Résultats des élections législatives par région
Suivez l’actu en temps réel avec l’application Le Figaro
Vous avez choisi de refuser les cookies
Accepter les cookies ou abonnez vous pour 1€
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le dramaturge n’était pas tendre avec les docteurs. Mais s’il était encore parmi nous, se demande l’agrégée de lettres Marianne Boilait, que lui inspireraient les soignants en blouse blanche que la crise sanitaire a placés au centre de l’attention médiatique?
Marianne Boilait est normalienne et agrégée de Lettres.
Molière aurait été à son aise pour faire la satire de notre époque! Si les vices sont universels et atemporels, la crise du Covid-19 l’aurait spécialement inspiré. Dans son Panthéon, il doit bien en rire. Trois cent cinquante ans après, son Monsieur Purgon est toujours là, sûr de lui, prêt à faire des ravages. Molière a écrit des pièces
Kendra est toujours dans le business
Deux c'est encore mieux
Salope française par tous les trous

Report Page