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Publié le
06/06/2021 à 09:00 , mis à jour à 20:44






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"J'ai fini par me dire que je méritais ce qui m'arrivait, que j'étais une erreur de la nature"
"Les accompagnateurs passaient leur temps à décrire l'homosexualité comme quelque chose de sale, de pervers, un modèle qui ne correspondrait jamais aux valeurs de l'amour, de la famille"
"Cet événement-là a été insupportable. Et il est impardonnable."

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« "Ils m'ont traité de démon": ces victimes coincées dans l'enfer des "thérapies de conversion" »


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Chaque année, des centaines de Français sont victimes de "thérapies de conversion", censées les "guérir" de leur homosexualité ou de leur transidentité. Témoignages. (illustration)
Cet article a initialement été publié en juin 2021. L'Express le publie à nouveau, à l'occasion de l'examen par l'Assemblée nationale du projet de loi porté notamment par la députée LREM Laurence Vanceunebrock, qui vise à interdire les pratiques prétendant modifier l'orientation sexuelle ou l'identité de genre d'une personne. 

Dans son petit appartement d'Amiens, Gaëlle se sent enfin à l'abri. Et surtout, libre de vivre comme elle l'entend. Née avec un sexe masculin au sein d'une famille chrétienne évangélique , cette jeune femme transgenre revient de loin. "J'ai compris très vite que la revendication de mon identité féminine ne passerait pas auprès de mes parents. Dans leur religion, c'est un péché", résume-t-elle. Pour se protéger, cette étudiante de 20 ans a été obligée de tout quitter, une nuit de mars 2020 - l'appartement familial de banlieue parisienne, sa petite soeur de 16 ans, ses amis de la prépa de maths. Avec un seul but : fuir à tout jamais les "thérapies de conversion" qu'elle subissait de manière hebdomadaire depuis quatre mois. 

D'une traite, Gaëlle raconte la longue descente aux enfers dont elle a été victime. En décembre 2019, alors que ses parents considéraient jusqu'alors sa transidentité comme un "caprice d'adolescent", ils tombent soudainement sur des jupes, robes et accessoires féminins alors cachés dans la valise de leur enfant. "À partir de là, c'était foutu", commente la jeune femme, qui se rappelle "des cris, des coups, des insultes". "Pour mes parents, on m'a assigné un sexe à la naissance, qui est la volonté de Dieu. En remettant cela en question, je ne respectais plus cette volonté". 

Un dimanche, tout bascule. Après la messe habituelle au sein de son église évangélique du nord de la banlieue parisienne, Gaëlle est conduite par sa famille dans une autre structure, située dans une zone industrielle à l'autre bout de la région. La jeune fille y rencontre un pasteur qu'elle ne connaît pas, présenté comme "un ami de la famille". "On m'a expliqué qu'il était là pour m'aider avec mes 'soucis'", se souvient-elle. Une étrange cérémonie commence alors. 

"Il m'a dit que j'étais victime d'une attaque démoniaque. Qu'il fallait chasser l'esprit de femme qui était en moi". L'homme prie, crie, insiste, exhorte Gaëlle à répéter, inlassablement, des phrases destructrices. Apeurée et tétanisée par le stress, elle finit par s'écrouler devant son bourreau. "Au lieu d'y voir un épuisement psychologique total, ils y ont vu un démon en train d'être vaincu", se désespère Gaëlle. À partir de cet instant, elle devra retourner chaque semaine dans le bâtiment. 

À chaque fois, le résultat est le même : l'adolescente, à peine majeure, est prise de panique, enchaîne les crises d'angoisses et les tremblements. "Il n'y a pas de mot pour décrire ce que ça vous fait. Tout ce que je pourrais dire, c'est : détresse", souffle-t-elle, les larmes aux yeux. "J'ai fini par me dire que je méritais ce qui m'arrivait, que j'étais une erreur de la nature". Récemment suivie par une psychologue, la jeune femme commence tout juste à se reconstruire. "Mais je ne comprends pas comment je fais pour être toujours debout", souffle-t-elle. 

Si ces tentatives de "conversion" semblent appartenir à un autre temps, elles sont pourtant encore bien ancrées dans certaines communautés religieuses, et concernent chaque année des dizaines de personnes. "Je vous garantis que cela se passe en ce moment même, et sur notre territoire", assure Laurence Vanceunebrock, députée LREM de l'Allier et co-auteure d'une mission parlementaire sur le sujet en 2019 . Groupes de parole officieux, "exorcismes" sous le manteau, stages de "conversion" qui ne disent pas leurs noms... "Ces 'thérapies' touchent tous les milieux et toutes les religions, sous une multitude de formes", explique la députée. En France, les chiffres restent difficiles à obtenir. Contrairement à d'autres pays européens, il n'existe pas encore de délit spécifique visant les "thérapies de conversion" : impossible donc, pour la justice ou la police, d'établir un suivi statistique de ces pratiques. 

Pour la seule année 2019, l'association Le Refuge affirme que 4,2% des appels téléphoniques reçus sur sa ligne d'écoute concernaient directement des thérapies de conversion - soit neuf à dix appels par mois. Un chiffre en "forte hausse par rapport aux années précédentes", précise Laurence Vanceunebrock, qui, en additionnant l'ensemble des témoignages reçus lors de sa mission parlementaire, faisait état en 2019 d'une "centaine de cas récents" sur le territoire. La députée reçoit encore, "tous les quinze jours au moins", plusieurs récits de victimes. 

Alors que ses deux propositions de loi (déposées en juin 2020 et en mars 2021 ), visant à définir spécifiquement ces "thérapies" dans le code pénal afin d'y apporter une réponse judiciaire adaptée, n'avaient jusqu'à présent pas abouti, la députée s'insurge. "Aujourd'hui, les victimes peuvent porter plainte pour abus de faiblesse, violence volontaire ou homophobie, mais ne seront jamais considérées comme victimes directes de 'thérapies de conversion', puisque cette infraction spécifique n'existe pas", regrette-t-elle. Résultat : certaines victimes peinent à trouver un délit ou un crime correspondant aux violences qu'elles ont subies, et comprennent parfois tardivement que les sévices endurés étaient bel et bien illégaux. 

Le 14 septembre 2021, l'exécutif a finalement annoncé que la proposition de loi déposée en mars 2021 par Laurence Vanceunebrock serait débattue début octobre par les députés. "C'est une première étape pour permettre son aboutissement, mais c'est aussi l'occasion de poursuivre le travail de sensibilisation sur le sujet", a notamment souligné le patron du groupe LREM, Christophe Castaner. La proposition de loi prévoit, entre autres, la création d'un délit spécifique punissable de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende, voire trois ans d'emprisonnement et à 45 000 euros d'amende lorsqu'il s'agit d'un mineur. 

Une "nécessité", pour certaines associations. "Aujourd'hui, il n'y a que des 'bouts de loi', qui ne permettent pas d'interdire clairement ces pratiques sur le terrain", indique Benoit Berthe, porte-parole du collectif de victimes "Rien à guérir" . Sur la seule région parisienne, son équipe assure ainsi depuis le début de l'année avoir repéré "au moins une vingtaine d'individus ou d'associations" qui proposeraient de telles pratiques, ou inciteraient à y participer de manière répétée. 

Pour "ôter les oeillères" du gouvernement - et de la société dans son ensemble - Benoit a décidé de témoigner. Le récit du jeune homme est glaçant. Élevé dans une famille "croyante et pratiquante catholique, mais pas intégriste", il assure avoir eu une enfance "épanouie". Mais à l'âge de 15 ans, son coming-out ne passe pas. "Pour mes parents, l'homosexualité était alors quelque chose qu'on 'attrapait' par de mauvaises influences ou une mauvaise expérience", raconte-t-il. Très vite, Benoit se voit proposer des "stages" durant le week-end ou les vacances scolaires, notamment organisés par la communauté religieuse catholique des Béatitudes, située dans la mouvance du "renouveau charismatique" et reconnue en 2002 de droit pontifical. 

Grandes bâtisses perdues dans la campagne, animateurs "doucereux et accueillants", séances interminables d'enseignement de la Bible, d'adoration du Christ ou d'ateliers... Le trentenaire se rappelle précisément des semaines de vacances ou des week-ends passés durant trois ans avec la communauté. "Personne ne vous parle jamais directement de thérapie de conversion", prévient-il. "Mais les accompagnateurs passaient leur temps à décrire l'homosexualité comme quelque chose de sale, de pervers, un modèle qui ne correspondrait jamais aux valeurs de l'amour, de la famille". 

En séances de confession avec son "père spirituel", les mises en garde se font même plus violentes. L'adolescent d'alors entend ainsi des histoires terrifiantes, détaillant précisément ce que serait la vie sexuelle des personnes LGBT. "C'était rempli de clichés, d'images dégradantes, de fausses idées, pour nous faire comprendre qu'il fallait les éviter à tout prix, que c'était comparable au péché". Un prêtre lui parle par exemple de rapports sexuels violents entre personnes du même sexe, d'homosexuels qui se feraient "recoudre les fesses" après des relations "contre-nature". Des propos choquants, qui laissent des traces. "Aujourd'hui encore, j'ai des rappels de vieilles images que l'on a imposées dans ma tête. Se défaire d'une homophobie intériorisée, c'est un travail très long", avoue Benoît. 

"Pendant des années, je me suis considérée comme 'une sale lesbienne'", abonde Sarah*, aujourd'hui mère de deux enfants. À 16 ans, cette Française d'origine marocaine a été victime, au Maroc, d'une "roqya" - sorte d'exorcisme islamique visant à "guérir" son homosexualité. Pendant plus de sept jours, enfermée, privée de sommeil, de soleil et de nourriture, elle subit les prières et les menaces violentes de quatre hommes, qui se présentent comme des imams et se relaient 24 heures sur 24 pour "chasser le démon" qui aurait pris possession d'elle. Mariée de force à son cousin germain, puis réfugiée en France et divorcée, Sarah raconte la pression religieuse et familiale dont elle a ensuite été victime - cette fois sur le sol français. 

En couple avec une femme depuis plus de sept ans, Sarah a ainsi eu la mauvaise surprise, il y a quatre ans, de voir "débouler" un imam français dans sa cuisine, accompagné de sa mère. "Ils m'ont dit que le diable avait repris possession de moi, et qu'une roqya pouvait être organisée ici, en France", explique-t-elle. Prise de panique, elle menace d'appeler la police, puis exhorte le petit groupe à sortir de chez elle. "Mais si j'avais dit oui, cela s'organisait dans la minute. Dans le Val-d'Oise, comme si c'était normal". Une pratique "courante", selon Yacine Djebelnouar, président de l'association Shams France, spécialisée dans le soutien aux personnes LGBTQI+ d'origine maghrébine. "Si vous tapez sur Google, vous trouverez facilement des noms, des adresses, des pages Facebook qui promettent de vous 'guérir'. Et cela devrait être fermement condamné", regrette-t-il. 

"Ces tentatives de 'conversion' existent encore, partout. Peut-être de manière plus cachée qu'il y a 30 ans, mais c'est bien là", confirme Thomas. Le jeune homme est bien placé pour en parler : élevé dans une famille protestante "où la religion passe avant tout, même avant la loi", il a été victime pendant plusieurs années de différentes séances "d'exorcisme", censées le "soigner" de son homosexualité. En tout, il estime "être passé devant une cinquantaine de personnes", pasteurs ou simples fidèles venus assister à ces scènes d'un autre temps. "Ils m'attrapaient les mains en me traitant de démon, me demandaient si je n'avais pas honte d'habiter un corps d'enfant. Ils me voyaient comme l'incarnation du diable". 

L'une de ces séances l'a particulièrement marqué. Face à une trentaine de personnes réunies dans une église protestante, et alors âgé d'une dizaine d'années, Thomas est pointé du doigt par un pasteur venu du Honduras, spécialisé dans la "déshomosexualisation". "J'ai dû m'avancer, me déshabiller totalement", se souvient-il. "Il m'a jeté du sel au visage, m'a fait boire une sorte d'huile d'olive censée être habitée par le Saint-Esprit. Puis il a demandé à tous ceux qui voulaient me délivrer du mal de faire de même". Pendant de longues minutes, les fidèles s'exécutent, lancent des poignées de sel sur l'enfant nu, exhortent "le démon" à sortir de son corps. "Cet événement-là a été insupportable. Et il est impardonnable", lâche Thomas. 

Pour sortir de ce "cauchemar", il ira jusqu'à mimer des convulsions et des pertes de connaissance. Puis son hétérosexualité. "J'ai joué leur jeu pour que ça s'arrête, avant que tout parte en vrille". Dix ans plus tard, les séquelles restent énormes. Aujourd'hui directeur adjoint d'un magasin de prêt-à-porter, Thomas confie avoir vécu durant des années dans le déni de sa sexualité, avoir traversé des crises de boulimie, puis coupé les ponts avec certains membres de sa famille. "Nous sommes peu à avoir pu finalement nous émanciper, à avoir accepté de témoigner", juge-t-il. Mais le jeune homme est catégorique : la libération de la parole des victimes pourrait déclencher un "raz-de-marée". 


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Tamara et le Démon, œuvre de Constantin Makovski (1889)

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Le Démon ( conte oriental) est un poème composé par Mikhaïl Lermontov entre 1838 et 1841.
Lermontov a travaillé presque toute sa vie à ce poème, dont on connaît huit versions différentes. Il en a débuté l'écriture alors qu'il n'était qu'adolescent, en 1829. C'est lors de son exil dans le Caucase , en 1838, que le poème prend sa forme définitive. Lermontov retouchait toujours Le Démon , lorsqu'il fut tué en duel, en 1841.
Survolant le Caucase, le Démon tombe amoureux de Tamara, une jeune géorgienne qui attend le retour de son fiancé. L'esprit du mal fait tomber ce dernier dans une embuscade, où il perd la vie. Le Pervers poursuit ensuite la jeune fille, qui court s'enfermer dans un monastère. Le Démon parvient à la convaincre qu'il renoncera au mal pour elle. Tamara meurt lorsque le Démon l'embrasse. Un ange enlève la jeune fille à ce moment. Le Démon continue à rôder, "seul et sans espoir", dans l'univers.
Cette œuvre est considérée comme l'un des chefs d'œuvre de la poésie russe, malgré les faiblesses de son sujet, en raison de la richesse exceptionnelle de ses images. Le Démon se distingue aussi par la sincérité et la justesse de son écriture. Fortement romantique, on y reconnaît l'influence de Byron et de Pouchkine . Ce poème a inspiré de nombreux poètes et écrivains russes, notamment Pasternak , et un opéra de Boris von Vietinghoff-Scheel , Tamara .
Extrait du poème et texte de Henri Troyat relatif à Lermontov.
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