Le black doit niquer une policère

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Le black doit niquer une policère
Publié
le 02/10/2021 à 21:33 , Mis à jour le 05/10/2021 à 10:44
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L'individu avait également menacé la police dans d'autres vidéos. Interpellé dimanche, il a finalement été relâché ce lundi, écopant d'un simple stage de citoyenneté.
La vidéo fait le tour des réseaux sociaux. Publiée sur Snapchat, un jeune « arabe et musulman banlieusard » comme il se définit dans sa vidéo, s'y filme en train de voler du matériel dans un camion de pompiers de Paris alors que ceux-ci mènent une intervention dans une école à Ablon-sur-Seine dans le Sud-Est de la banlieue parisienne.
L'individu en question publie aussi dans sa vidéo une photo des pompiers en question où, en commentaire, il les insulte de « fils de pute ».
Dans une autre vidéo repérée sur le même réseau social, celui qui se fait appeler Rayan et qui rassemble plusieurs dizaines de milliers d'abonnés sur les réseaux sociaux annonce qu'il va « aller dans le commissariat, Allah Akbar, je vais les niquer », en imitant des tirs d'armes à feu avec son poing.
À voir aussi - Xavier Bertrand veut une peine de prison automatique en cas d'attaque envers les forces de l'ordre
L'individu a été interpellé hier dimanche 3 octobre en fin d'après-midi. Il en a d'ailleurs publié une photo sur les réseaux sociaux sans préciser les détails des échanges avec la police.
La brigade de sapeurs-pompiers de Paris a porté plainte et une enquête a été ouverte au commissariat de Créteil. Selon une source policière, les effets volés dans le VSAV (Véhicule de secours et d'assistance aux victimes) ont été retrouvés immédiatement à proximité.
Selon Valeurs Actuelles et Le Parisien , le jeune a finalement été libéré ce lundi, et écopé d'un simple stage de citoyenneté dans le cadre d'une composition pénale, c'est-à-dire lorsqu'un mis en cause accepte une peine directement proposée par le procureur. Le syndicat des Commissaires de la police nationale a « questionné » la décision : « un stage de citoyenneté (si c'est bien cette décision qui a été prise) est-il adapté en réponse à ces délits de vol, menaces, apologie du terrorisme, contre les pompiers et policiers? »:
Une caricature de justice, le Parquet doit faire appel. Vite, des juges normaux!
Je suggère que tous autant que nous sommes, nous allions dépouiller les véhicules des sapeurs pompiers dans nos villes respectives, puis on revient sur ce forum pour comparer les verdicts prononcés en fonction de notre âge et de notre appartenance éthique. À mon avis on ne sera pas nombreux en stage de citoyenneté !
Dommage que le juge qui a décidé cette peine n’a pas aussi décidé que le stage se ferait dans son service ! Comment un magistrat peut il s’abaisser ainsi ? A moins qu’il ait viré islamo-gauchiste …
Après la diffusion d'une affiche mettant en scène un homme enceint, l'association affirme faire l'objet d'attaques «extrêmement violentes» de la part de «personnalités d'extrême droite».
Les intempéries ont fait cinq morts et au moins vingt blessés. Des averses et orages parfois forts sont attendus encore dans la matinée de vendredi avant que l’activité ne s’atténue progressivement.
L'accusée a reconnu avoir mis le feu «avec un briquet» fin juillet, alors que le risque de feu était maximal dans le département du Gard.
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Il se filme en insultant des pompiers en intervention et en leur volant du matériel
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ON CONNAISSAIT les endroits « chauds » du XVIII e Mais, un peu plus bas, dans le X e , les violences ne sont pas en reste. Lundi soir, dans la cité dite de la Grange-aux-Belles, à proximité du canal Saint-Martin, une interpellation bénigne a tourné à l'émeute. Cinq policiers, en ronde dans le secteur, se sont rapidement retrouvés face à une centaine de jeunes et à leurs jets de pierres. A l'origine du conflit, un banal contrôle routier sur un cyclomotoriste. Alors que le jeune homme, âgé de 17 ans, s'exécute, une jeune fille de 14 ans, assise à proximité sur un banc, se met à narguer les fonctionnaires de police. « Elle nous criait : faut niquer les condés, ils ne doivent plus venir ici, si on se bat avec eux, ça sera comme sur le XVIII e , ils auront peur ! , rapporte un des agents en service. Une centaine de jeunes, alertés par ses cris et ses insultes, se regroupent autour d'elle, prennent part contre les policiers, devenant hostiles à leur encontre. Des parents et éducateurs tentent de calmer leurs ardeurs. En vain. C'est à ce moment que la situation bascule et dégénère gravement. La foule accule le groupe contre un mur, lui porte des coups directs, l'empêche de rejoindre la voiture. Tee-shirts remontés sur le visage, les jeunes se mettent à lancer des canettes et des pierres, donnent des coups de pied sur le véhicule de police.
Les policiers appellent alors du renfort et se servent de leurs gaz lacrymogènes. Dans la cohue, un jeune homme donne un coup de pied dans le ventre d'un des agents, une femme policier. Aveuglée par un retour de lacrymogène, elle est déséquilibrée et chute contre un bac à fleurs en pierre. Au même moment, un autre agent reçoit un violent coup de pied dans le dos. La dispersion de la foule ne se fera qu'à l'arrivée des renforts. Les heurts auront duré moins de vingt minutes. Bilan : deux policiers légèrement blessés, la jeune fille interpellée pour incitation à l'émeute, rébellion et outrage, le véhicule de police défoncé de tous côtés, vitres cassées Les fonctionnaires de police s'inquiètent de la recrudescence de la délinquance dans le secteur. « On parle toujours des problèmes de délinquance des cités de banlieue, mais nous sommes confrontés aux mêmes ici aussi. Ce n'est pas la première fois que cela se passe, constate un policier du X e , on sait bien qu'une intervention dégénère rapidement là-bas, à tel point qu'on nous signifie officieusement de ne pas trop y mettre les pieds. Mais quinze jours, sans y aller, et cela devient une zone dangereuse » Pour les syndicalistes du SGP FO, c'est l'occasion de dénoncer à nouveau l'opération piéton prévue cet été sur les berges du canal Saint-Martin, tout à côté. « Ã?a va être humainement et matériellement impossible à gérer, estime un agent. Déjà, quand c'est piétonnier le dimanche, c'est l'horreur, on est obligés de laisser les voitures et d'être à pied. Pour poursuivre un scooter, c'est pas l'idéal Les jeunes délinquants en profitent. » RUE DE LA GRANGE-AUX-BELLES (X e ), HIER. C'est dans cette cité qu'ont eu lieu lundi soir les affrontements entre une centaine de jeunes et la police.
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« Black lives matter » : black political organizing against systemic racism under Obama
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Accueil Numéros 114 « Black lives matter » : mobilisa...
Les morts répétées de Noir·e·s américain·e·s aux mains de la police, loin d’être des événements isolés et anecdotiques, témoignent d’un système plus large d’oppression raciale. Ce texte propose, d’une part, de montrer comment les vio­lences policières ont constitué le point de départ de la résurgence de la lutte pour l’égalité raciale et révélé que l’Amérique post-raciale d’Obama était un mythe. D’autre part, il montre comment le mouvement Black Lives Matter contribue à la lutte contre le racisme systémique par la déconstruction des stéréotypes racistes et la pro
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