Le beau-père abuse de l'innocence de sa fille

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margot dasque
Publié le 20/11/2018 à 13:30, mis à jour le 20/11/2018 à 12:07


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Sylvaine P. a choisi de rompre le silence pour "faire avancer les choses". Elle témoigne ce mardi 20 novembre sur France 2 pour raconter son histoire: abus et violences.
Le poids du silence. L'oppression du secret. La brisure intérieure.
Si aujourd'hui Sylvaine P. peut raconter la souffrance de ses années de violence, c'est parce qu'elle a réalisé un impressionnant travail de résilience.
Elle a même accepté de parler de son vécu sur France 2, ce mardi après-midi, dès 13h55 dans l'émission Ça Commence Aujourd'hui .
En cette journée internationale des droits de l'enfant, l'habitante de Vallauris souhaite ouvrir le débat, susciter la réflexion. Abusée par son beau-père de ses neuf ans à ses seize ans, elle fait partie de ces gamins dépossédés de leur innocence. Une enfant privée d'enfance.
Comment vous êtes-vous retrouvée à témoigner dans cette émission?
Comme je travaille je ne regarde pas la télévision à cette heure-ci. Mais ce jour-là, oui. J'ai vu l'appel à témoins qui me concernait. Quand l'étau se resserrait sur le choix des participants, j'ai prévenu mes enfants et à mes sœurs qui étaient entièrement d'accord. Même si à l'âge de 35 ans j'ai divulgué cela auprès des miens, cela restait un secret de famille. Je pensais être seule…
Du coup, vous vous êtes murée dans le silence?
Ça isole, oui. Et il faut dire qu'à cette époque-là, on n'en parlait pas, ça restait cloisonné dans les familles. [silence] Mais on sait que ce n'est pas normal.
Dès le début?
Oui. Mais comme c'est un adulte, il a raison. Il me disait: "On ne va pas te croire, tu es folle…" On est passés par toutes les phases dans cette famille. Il était toxique. Mais ma mère l'était tout autant. Quand elle a eu cet homme dans sa vie, ses enfants n'ont plus compté.
Votre mère savait que votre beau-père abusait de vous?
Elle m'a toujours dit qu'elle n'avait pas su. Ce dont je doute mais ça ne tient qu'à moi. Mais par contre, tout ce que l'on vivait au quotidien, elle le savait. Il avait tellement de raisons d'être détestable: que ce soient les coups, la maltraitance psychique et physique… Elle voyait. On se battait avec des bombes lacrymogènes, des berlingots d'eau de javel qu'elle achetait pour qu'on se défende contre lui.
Ah…
Il pouvait allumer le gaz à quatre heures du matin pour nous asphyxier tous. Comme il pouvait nous mettre dehors à son retour des trois-huit à 4 heures du matin.
Et la police?
Cela arriverait maintenant, bien évidemment on enlèverait les enfants de cette famille et avec raison. Mais à l'époque la police venait chez nous mais ça s'arrêtait là. L'enfant n'était pas écouté… Et d'ailleurs je ne pensais même pas qu'il fallait parler.
Et à vos seize ans, vous vous rebellez…
J'étais à la maison avec mes frères et sœurs. Il m'avait encore menacée: il a pris une bouteille, a voulu me la jeter dessus pour me dire de me taire et là… Je ne sais pas, j'ai saisi le cendrier à côté de moi et l'ai menacé avec. Ce soir-là je suis partie retrouver ma mère à son travail, je lui ai seulement raconté l'épisode de menace et elle m'a dit: "Tu aurais dû le laisser faire". Je suis ensuite revenue à la maison. Et là j'ai commencé à avoir peur. C'est la seule et unique fois que j'ai pris un couteau, je l'ai planqué sous mon oreiller et je me suis dit: "S'il passe la porte de la chambre, je le tue." Il n'est pas venu. Il ne m'a plus jamais touchée. Même si les autres violences ont continué, celles-ci s'étaient stoppées.
Votre mère et cet homme: ils s'aimaient?
J'espère qu'il y avait au moins ça!
Quand est-ce que vous avez parlé des abus que vous avez subis?
À un moment je pensais que je devenais dingue, j'avais déjà mes enfants mais j'avais des états de prostration au quotidien où je revivais toutes ces scènes. J'ai suivi une thérapie avec un professionnel très bien. C'était en 1996. Et au bout d'un an et demi j'ai pensé qu'il fallait que j'affronte mon bourreau. C'était la seule chose que je pouvais faire puisque je ne pouvais aller en justice, mon dossier étant prescrit. Mon thérapeute est venu avec moi, il ne s'est pas présenté comme tel devant mon beau-père bien sûr. Ça a demandé une grande préparation, comme pour une pièce de théâtre: mon thérapeute m'a fait répéter ce que j'allais dire, ce que lui allait dire.
Que se passe-t-il le jour J?
Ça a duré deux heures. Et tout s'est passé exactement comme je l'avais décrit en amont. Il m'a seulement dit: "Tu comprends, tu te promenais devant moi en tricot de corps et en sous-vêtements." Mais moi j'avais neuf ans! Au final, la seule chose que je n'avais pas prévu c'est qu'il passe au-dessus de la table pour sortir de force mon thérapeute. On a pu calmer la situation. Ce que je n'avais pas prévu non plus c'était la lettre qu'il a sorti.
Que disait-elle?
Il a dit: "Vous la lisez, mais elle ne sort pas d'ici". Il faut savoir qu'il gardait tous les enfants du quartier. C'était la lettre d'une maman qui expliquait que sa fille de 4 ans ne viendrait plus chez lui en décrivant les scènes que son enfant lui a raconté. J'ai retrouvé les mêmes choses que j'ai vécues. Le voile est tombé. Je pensais à cette petite fille et je pleurais. Je ne sais pas pourquoi il m'a montré ça.
À partir de là, vous avez raconté votre histoire à vos proches.
Parce que je savais que je n'étais plus seule. J'ai appris que ma sœur aînée était également concernée. J'ai également déposé plainte.
Qu'est devenu cet homme?
Il est décédé aujourd'hui. Les enfants de son quartier avaient été interrogés. Ça a été un tollé général. Il ne sortait plus de chez lui. La peur avait changé de camp. Au moins, ça a été dévoilé: ça s'est su. Mais malgré tout, il a été signalé comme prédateur selon ce que les gendarmes m'ont dit.
Vous n'avez pas eu d'enfance.
Mais je pense que je suis née sous une bonne étoile. On garde le moral. On a été des survivants. On a été des battus. On ne le sera plus jamais. Désormais dans la fratrie on est des battants.
"La toute première fois où cela arrive, on est surpris on ne sait pas ce que c'est. Moi je voulais qu'il m'aime cet homme, c'était un deuxième papa mais je ne voulais pas qu'il m'aime comme ça. En fin de compte il y a le viol mais vous ne pensez pas du tout que cela va arriver une deuxième fois. Et lorsque cela arrive vous vous rendez compte que c'est destructeur. Parce que toutes les conditions sont réunies pour que ça revienne. C'est la répétition qui est difficile derrière. Vous vous retrouvez seule à la maison avec lui et là vous vous mettez dans un coin en vous disant: il ne va plus se rappeler que je suis là. Il m'appelait, je ne répondais pas. Je ne bougeais pas. Alors il hurlait. Et là, j'y vais. Pourquoi? Je ne sais pas... Vous avez peur, c'est l'adulte qui appelle. Et il était terrorisant, c'était une masse. Et puis vous vous dédoublez. Vous êtes là en étant mentalement ailleurs. Et quelle est la chose qui vous dit qu'il faut revenir? Je ne sais pas. Du tout."
L'écriture comme un déclic. C'est en grattant quatre pages instinctivement et en les remettant à son thérapeute que Sylvaine P. a débuté cette démarche: "Il m'a dit: là, il n'y a pas tout. La machine était lancée, dix pages, trente pages..."
Aujourd'hui, son manuscrit est prêt. Mais se faire éditer représente un coût. Alors, pour l'instant, son ouvrage attend. Et si elle a choisi de raconter la violence de son enfance, c'est avant tout pour que "les choses avancent".
Pour que le sujet de l'abus et des violences sexuelles envers les enfants reste abordé. Que les questionnements autour de la prescription restent d'actualité: "Elle ne devrait tomber qu'à la mort du bourreau. Mais sinon: jamais!"
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Kelechukwu Friday Ani risque un long séjour carcéral pour avoir abusé sexuellement de la fille de son épouse âgée de 7 ans. Ces viols répétitifs ont entrainé chez la fillette une déchirure hyménale récente avec saignement léger, une fissure vulvaire inférieure récente ainsi qu’une incapacité temporaire de travail de 10 jours.
C’est une mère meurtrie qui a porté plainte contre son époux. Le nommé Kelechukwu Friday Ani a abusé de sa belle-fillette de 7 ans. Les faits sont d’autant plus graves que l’homme avait fait de la victime son jouet sexuel.
Selon Mame Diarra Guèye, la mère de l’enfant, sa fille lui avait raconté que son beau-père avait abusé d’elle. Mais comme beaucoup de femmes qui tiennent à leur ménage, elle n’avait pas porté crédit aux dires de l’enfant.
Mais voilà que la fille vient lui dire qu’elle ressentait des douleurs au niveau du sexe. Et c’est en la déshabillant qu’elle a vu des taches de sang dans sa culotte et sur son sexe. Pressée de questions, la fillette répond que c’est son « beau -père » qui avait abusé d’elle et plusieurs fois.
Conduite à l’hôpital Philippe Maguilène Senghor, le médecin diagnostiqua une ouverture hyménale récente avec saignement léger, une fissure vulvaire inférieure récente ainsi qu’une incapacité temporaire de travail de 10 jours.
Pour avoir la fille à sa merci, Kelechukwu Friday Ani la menaçait de bastonnades. Pour le dernier acte qui l’a conduit à la police, l’homme s’était introduit dans la chambre de son épouse où dormait l’enfant. Après lui avoir fait des attouchements, il a introduit son doigt dans le vagin tout en la menaçant de représailles au cas où elle le dirait à sa mère . Bien entendu, le beau – père a dégagé en touche, jurant que c’est une histoire crée de toutes pièces par sa femme.
« J’avoue que mon épouse, sa fille et moi partageons la même chambre, mais je n’ai jamais osé toucher à l’enfant. Hier vers les coups de 10 heures, mon épouse m’a demandé la dépense quotidienne. Mais puisque je n’avais rien en poche, je lui ai demandé de m’attendre le temps d’aller régler quelques choses chez un ami au marché Dior. C’est une fois chez ce dernier que j’ai été au courant de l’affaire. C’est la raison pour laquelle j’ai voulu prendre la fuite pour ne pas avoir des problèmes avec ma femme » a tenté de se défendre le mis en cause. Malgré tout, il a été déféré au parquet. Le Témoin
Samedi 07 août, s'est déroulé, devant la brigade de gendarmerie de Keur-Massar le second épisode d'une affaire qui a démarré...
https://youtu.be/b-wfZL6xoZw SOURCE : SENEWEB
https://youtu.be/mi1xCxVshHg SOURCE : SENEWEB
https://youtu.be/YEOZtQ4W34U source : seneweb
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https://youtu.be/LH-M-m6xyJ4 SOURCE : SANSLIMITE.SN
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C’est une mère meurtrie qui a porté plainte contre son époux. Le nommé Kelechukwu Friday Ani a abusé de sa belle-fillette de 7 ans. Les faits sont d’autant plus graves que l’homme ava
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