Le Maître utilise une bougie sur son esclave

Le Maître utilise une bougie sur son esclave




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Le Maître utilise une bougie sur son esclave
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Cette histoire se passe fin des années '90, époque où pour avoir une aventure teintée de BDSM il fallait encore utiliser le téléphone pour obtenir accès à une ligne ICQ pour son ordinateur ; c’était les balbutiements de l’Internet, mais à l’époque les chats se faisaient en direct sans beaucoup de garde-fou et d’interdits et, généralement, il y avait un ordi pour toute la famille et il se trouvait au salon ! Temps héroïques !
© Tous droits réservés. Jerome3140.

Comme vous l’aviez exigé dans votre mail, je suis ce samedi derrière mon ordi dès 8 heures du matin. Ma mère vient de quitter la maison et je suis donc tout nu dans ma chambre, mon collier au cou et ma cordelette serrée à mes couilles. Je me suis mis à genoux sur ma règle en métal, mains sur la tête en attendant que vous preniez contact avec moi, votre humble esclave.

Quand j’ai vu apparaître votre nom dans le salon de conversation, j’ai directement pris en privé contact avec vous et vous m’avez pris en main maître durant presque 6 heures dont je commence le rapport juste après que ma mère, par son arrivée, ne mette fin à la session que vous m’avez imposée, maître.
Mais commençons par le début !

Maître, j’ai été assez surpris quand d’entrée de jeu vous m’avez puni sévèrement ce matin. En effet, je me faisais un réel plaisir à prendre contact avec vous, mon maître, mais vous n’avez pas du tout apprécié, car un esclave doit attendre le bon vouloir de son maître et je n’avais pas comme la sous-merde que je suis à prendre les choses en main et vous contacter.

Les 50 claques que j’ai dû me donner avec la grande cuillère en bois de maman, au rythme que vous m’imposiez, maître, en écrivant sur l’écran les chiffres et les nombres de 1 à 50. Je dois avouer, maître, qu’à la fin je ne pouvais plus suivre votre cadence.

Comme je vous l’avais confié, je ne pourrais pas vous mentir de peur que vous me rejetiez. Cette faiblesse de ma part m’a valu que jusqu’à midi environ, vous m’avez obligé de rester à genoux sur ma règle en fer.

Quand vous m’avez demandé si dans la salle de bain il y avait une toilette, je ne comprenais pas du tout où vous vouliez en venir. Et encore moins quand vous m’avez expliqué que si jamais on se rencontrait réellement, je devais avoir suivi à la lettre vos instructions.

Alors, grâce à la petite imprimante très lente que j’ai reçue de mon parrain, j’ai pu imprimer vos ordres et je me suis rendu dans la salle d’eau. J’ai fermé la porte à clé et j’ai dévissé le pommeau de la douche, j’ai enduit mon cul avec du dentifrice – je n’avais rien d’autre sous la main - et je me suis mis le tuyau de la douche dans le cul.

La première intromission me semblait douloureuse et cela piquait un peu à cause du dentifrice, mais j’étais tellement excité et je bandais très fort. Quand j’ai senti que tout allait lâcher, je me suis sur le pot et mes intestins se sont vidés. Comme vous l’aviez exigé, maître, j’ai fait cela trois fois jusqu’à ce que plus rien ne sorte.

Si j’ai bien suivi, je viens de vivre, de pratiquer, mon premier lavement, et si jamais on se rencontre, mon trou de balle devra être aussi propre que maintenant. J’avais fortement envie de me branler, mais quand je suis revenu toujours tout nu dans ma chambre, vous étiez déjà en ligne pour demander mes impressions et quand je vous ai dit que j’avais aimé, vous m’avez ordonné de tout vous raconter dans mon rapport (ce que je viens de faire) et nous sommes passés aux autres choses sérieuses et je recevais déjà d’autres instructions à imprimer et à exécuter.

Mais alors j’ai lu que vous vouliez d’abord, en direct si je puis dire, que je fasse des exercices sous vos ordres immédiats. Vous écriviez : debout, assis, couché, extension des jambes, dix pompes, puis debout. dix fois, d’abord tout nu comme vous l’écriviez, maître.

Puis 15 fois avec des pinces à linge à chaque téton et puis encore 20 fois avec les pinces, mais surtout avec le manche du tournevis dans mon cul. À la fin, j’étais crevé maître, mais j’étais heureux, maître, de vous avoir fait plaisir. Et quand pour le final vous avez exigé de moi qu’en plus du manche j’enfonce aussi une bougie dans mon cul j’étais excité, je bandais à fond et j’ai joui sans toucher ma bite.

Quand je vous l’ai avoué, vous étiez furieux et j’ai dû me donner 50 claques sur les fesses avec ma ceinture et me mettre dans mon coin, sur la règle en fer toujours les pinces aux tétons et le manche et la bougie dans mon cul pendant une demi-heure.

Après cette demi-heure, vous avez repris contact avec moi et vous m’avez enfin, oserais-je dire, puni comme je l’espérais depuis 8 heures ce matin. Je vous explique : comme vous savez que j’ai un penchant pour tout ce qui touche l’humiliation j’ai toujours rêvé de devoir me raser complètement le corps et surtout le pubis et d’être obligé d’aller comme cela aux cours, à la natation, à la gym ou sous la douche après le sport.

Cela m’a fait rêver bien souvent, mais je n’ai jamais osé le faire moi-même. Je trouve bien plus humiliant que vous m’ordonniez, que vous m’imposiez, de me raser le corps : les aisselles, au-dessous de mon nombril, mon pubis, mes couilles et mon cul (bien que là il n’y ait pas encore de nombreux poils).

Mais sous vos ordres précis, maître, cela m’a excité un max même si je venais de jouir moins d’une heure avant. Vous m’avez fait commencer par mes aisselles et cette crème à raser froide et le tranchant de la lame m’ont à la fois provoqué de la chair de poule et une belle émotion, mais ce n’était rien en comparaison avec cette lame de rasoir que vous m’avez obligé à mettre à sec dans les poils de mon pubis. Ma bite se pressait contre mon ventre tellement j’étais excité. Je dois avouer que j’ai eu mal, mais c’était tellement troublant et enivrant que j’en mouillais un max.

Merci, maître, de m’avoir autorisé à quitter la conversation quand on a sonné à la porte ; c’était le facteur, un jeune remplaçant, et lorsqu’il m’a vu uniquement vêtu d’un slip il m’a regardé de la tête aux pieds et sur ses lèvres je voyais un sourire moqueur et je pense que j’ai rougi, maître. Ensuite vous m’avez ordonné d’aller chercher dans la cuisine une série de choses : une assiette profonde, du sel, du poivre, et de la bouffe pour chien ou chat. Et comme nous avons un chat…

Je suis revenu dans ma chambre j’ai dû remettre mes attributs : m’enfoncer le manche dans mon cul, mettre des pinces à linge à mes tétons et les autres à la peau de mes couilles. Une fois prêt, j’ai dû me mettre à genoux et vider la boîte de nourriture pour chat dans l’assiette qui allait me servir de gamelle. Après y avoir ajouté du sel et du poivre et avant de devoir manger sans l’aide de mes mains, vous m’avez obligé de pisser dans l’assiette. J’ai d’abord encore tout mélangé avec mes doigts et si nécessaire de les frotter sur mon torse et mes fesses.

Dois-je vous dire maître qu’au début j’avais des hauts le cœur et chaque fois que je vous l’écrivais sur l’écran vous me menaciez de 100 coups sur mes fesses et je vous avoue que c’est en pleurant que j’ai mangé cette bouffe de merde pour esclave en formation. Heureusement, après cela vous m’avez autorisé de passer par la salle de bain pour me rincer le corps.

Avec tout cela il était près de 14 heures et quand j’ai entendu ma mère rentrer, j’ai coupé mon ordinateur sans avoir pris le temps de vous saluer et vous remercier maître. Je n’ai pu me rebrancher que vers 16 heures ce samedi et vous étiez absent du salon de conversation.

Mais en vous attendant, je savais ce que je devais faire en plus de faire mes devoirs et mes leçons. Ainsi la première demi-heure je dois aller dans mon coin et me mettre sur la règle en fer et porte les pinces aux tétons et le manche dans mon cul. Ensuite je dois m’occuper avec les devoirs scolaires et durant les 10 dernières minutes je dois me tanner les fesses, les cuisses et aussi les mollets avec ma ceinture.

Ce n’est que vers 21 heures que vous êtes apparus dans le salon un très court instant pour m’annoncer que demain dimanche vous ne seriez disponible qu’une heure le matin et que l’après-midi vous ne seriez pas au rendez-vous j’étais très déçu ; je me sentais abandonné. Heureusement que vous m’avez questionné pour savoir si je n’avais pas un ami ou un cousin avec qui je fricotais et qui pourrait prendre le relais, j’ai directement pensé à mon cousin Charles.

Encore fallait-il qu’il soit seul à la maison ! Avec votre accord je lui ai téléphoné ; ses parents seront absents demain jusque tard dans la soirée quant à son frère, il devrait avoir quitté la maison vers 14 heures pour aller au foot et ensuite aller au cinéma. Il ne me restait plus, maître, qu’une fois sur place de convaincre mon cousin de s’occuper de l’esclave que je suis.

Ce dimanche matin, dès 10 heures je vous attendais à genoux sur ma règle et quad vous avez pris contact je ne sentais plus mes genoux. Vous m’avez demandé de me faire un lavement pour que j’en prenne l’habitude et ensuite vous m’avez soumis à une double pénétration et il était à peine midi quand vous avez arrêté ma séance de soumission, maître.
Après votre départ, j’ai fait tout ce que vous m’aviez dit de faire avant de quitter la maison : nettoyer ma chambre et la salle de bain, terminer mes devoirs, mais surtout refaire encore une fois tous les exercices d’obéissance que vous m’aviez imposés.

Et donc, ce dimanche, vers 14 heures je me suis rendu chez mon cousin Charles, qui est de six mois mon cadet, comme vous l’avez exigé maître. Je vous avais confié hier que nous avions déjà joué à touche-pipi quand nous avions 12 ans environ et que dernièrement, au moment où j’étais à la recherche d’un maître, nous avions repris nos petits attouchements quand ses parents et son frère Étienne âgé de 19 ans ne sont pas présents.

Bien que nous soyons en hiver, ce n’est vêtu que d’un short de sport très échancré bien trop large pour moi, d’un polo et d’une paire d’espadrilles que je me suis rendu chez lui. Je n’avais pas mis mon collier, mais j’avais ma cordelette aux couilles et sur mon épaule, je portais mon sac avec tous les jouets, comme vous appelez cela maître, que vous m’avez imposé de prendre avec moi.

Avec le vent glacial qui soufflait, ma queue et mes couilles étaient gelées et bien souvent j’avais l’impression que tout le monde pouvait les voir. Si, pour une raison quelconque je me faisais contrôler maintenant, je pense que je mourrais de honte, maître, pas uniquement pour le contenu du sac, mais aussi pour cette tenue vraiment humiliante.

Ce qui est étonnant, c’est qu’en arrivant chez mon oncle et ma tante, c’est mon cousin Étienne qui a ouvert la porte et il ne paraissait pas plus surpris que cela, bien qu’il avait un sourire moqueur sur ses lèvres quand il m’a fait la bise.

Par contre, quand je suis rentré dans la chambre de Charles qui se trouve dans les mansardes, il n’a pas pu s’empêcher de se foutre de ma gueule, mais je ne pouvais pas lui dire que cela m’avait été imposé de me présenter ainsi chez lui.

On s’est assis tous deux sur le lit et comme on le fait d’habitude, on s’est fait la bise à notre manière quand nous sommes seuls. C’est-à-dire que l’on s’embrasse longuement sur la bouche et en même temps on passe une main sur la bite de l’autre. Et généralement en moins de deux on a chacun la bite bien dure. S’il a senti ma cordelette je n’en sais rien en tout cas il n’a pas réagi !

Ensuite, vous m’avez ordonné, maître, de demander à mon cousin de me punir de 25 coups de ceinture comme ceux que je dois m’infliger à chaque fois que je rentre dans ma chambre, mais hélas, je n’ai pas pu réaliser immédiatement. J’explique.

Quand enfin on a entendu son frère quitter la maison, je me suis mis à poil et Charles en a fait autant et, de mon sac, j’ai immédiatement sorti ma ceinture et je l’ai mise entre ses mains et j’ai dit qu’il devait me frapper parce que j’avais fait des bêtises à la maison.

À ce moment-là, il a vu la cordelette. Je pensais qu’il allait faire un commentaire, mais à ma grande surprise et sans hésitation il m’a fessé, mais pas trop fortement, et il m’a asséné bien plus que les 25 claques qu’il devait me donner. Moi j’étais bien dur et lui n’était pas en reste.

Pendant que je me remettais de ma correction, Charles a vidé mon sac sur son lit et il n’en croyait pas ses yeux quand il a vu les capotes, le lubrifiant, le collier, la corde, les bougies, la règle en fer, le tournevis et les pinces à linge que mon maître m’avait fait mettre ce matin.

Quand il m’a demandé ce que je foutais avec tout ce matos, je n’ai pas osé lui dire que j’étais soumis à un maître, à vous maître, et c’est le moment qu’il a choisi pour faire une remarque sur ma cordelette et quand il m’a dit qu’il en portait souvent une aussi et que cela l’excitait ce qui le faisait mieux bander. Nous étions, maître, sur la même longueur d’onde.

Encore fallait-il lui faire comprendre, lui faire admettre, mais surtout lui faire exécuter tous les ordres que vous m’aviez fait noter sur une feuille de papier ! Aussi, pour le mettre sur la voie, j’ai mis moi-même mon collier autour de mon cou et là, l’apprenti maître Charles s’est mis en mouvement.

Avec tout cela, il était déjà 16 heures et nous venions à peine de démarrer. Charles s’est précipité sur les pinces à linge et après en avoir fixé une à chaque téton, il a fixé les 10 autres à la peau de mon sac à couilles et je me suis mis à bander ferme.

Ensuite, il a vite fait de trouver des allumettes et bien vite la cire des bougies me coulait dessus. D’abord sur mon torse – un court instant seulement – puis sur mes couilles et ma queue et bien que cela me fasse mal je dois avouer que j’aimais maître. Il a laissé fondre toute une bougie sur mon corps et quand elle s’est éteinte, il m’a demandé ce que je faisais normalement avec le tournevis et quand je lui ai dit que je le fourrais dans mon trou de balle, il a ri, mais il me l’a quand même fiché dans mon cul.

Comme vous m’aviez fait faire mon premier lavement ce matin, je savais qu’il n’y aurait pas de saloperies dans mon cul. Puis, maître j’ai osé lui demander s’il ne voulait pas prendre la place du manche du tournevis et c’est à ce moment-là que tout a basculé pour moi.

Tout à coup, alors qu’on croyait qu’il était au foot et ensuite au cinéma, Étienne a fait irruption dans la chambre. Je ne savais pas où me mettre et sa première remarque m’a foutu en l’air :

— Ainsi mon frère et mon petit cousin entretiennent des relations très spéciales ! Et le comble, mon frérot, mon vide-couille joue les maîtres ! Je vais vous casser tous les deux.
Et quand son copain Antoine est apparu dans la chambre un Polaroïd à la main je savais qu’on était foutu ! Moi, comme j’étais nu, à genoux, mains sur la tête et le corps plein de cire de bougies, j’étais comme pétrifié. Je ne pouvais pas bouger, j’étais tétanisé de peur, de honte de désespoir. Si ma mère ou mes copains me voyaient ainsi sur les photos instantanées qu’Antoine faisait de moi, surtout de moi.

Bien que Charles fût aussi à poil, il était moins l’objet de remarques et Antoine ne faisait pas de photos de lui. Non, j’étais le centre d’intérêt principal à cause de tous mes attributs, mais aussi parce que j’étais complètement rasé. Antoine, sur les indications d’Étienne a bien fait une dizaine de photos de moi, dans toutes les positions, et je me suis mis à pleurer ; ma vie était foutue !

Aussi longtemps que j’avais un cyber maître pour me guider, je trouvais cela excitant et en même temps cela me donnait confiance en moi. Mais ici, surpris par mon cousin et par son ami je n’ai même pas dû avouer mes fantasmes puisqu’ils les observaient, en direct avec leurs propres yeux, les démons de turpitudes qui m’habitent.

Une fois les photos faites et développées, j’ai dû suivre Étienne dans sa chambre, mais avant cela j’ai assisté encore à la mise à mort de Charles par son frère et Antoine :

— Alors, petite frappe, on joue à ce que l’on n’est pas ! Est-ce que tu as au moins dit à Milan que tu es mon vide-couille, que tu me suces quand j’en ai envie et que parfois quand je suis très excité tu bois ma pisse et que bientôt ton cul sera aussi à moi ?

— À genoux et viens boire à ta source de jouvence !

Charles s’exécute et avance à quatre pattes jusqu’entre les jambes de son frère.

— Ouvre ma braguette et tu sais ce que tu as à faire.

Sans rien dire, Charles obéit, et une fois les boutons ouverts, il sort la queue de son frère, la met contre ses lèvres et Étienne lui pisse directement dans la bouche et moi, je me mets à bander ferme, et pendant ce temps Étienne interroge son frère :

Et Charles acquiesce de la tête. Moi, je suis tellement excité que je suis absorbé par ce que je vois et quand il s’est vidé dans la bouche de son frère, Étienne lui dit :

— Je sais que tu as toujours eu un petit faible pour mon ami Antoine, puisque tu me l’as avoué. Et bien aujourd’hui, je t’offre à lui, pendant que moi je vais enfin pouvoir, pour la première fois, bien m’amuser avec notre cousin Milan.

M’attrapant par mon collier, c’est à quatre pattes que j’ai dû le suivre et nous sommes descendus d’un étage. Dans sa chambre, je n’en menais pas large. Il m’a fait allonger de tout mon long par terre et, après avoir ôté le tournevis de mon cul, il me l’a mis en bouche pour le lécher et à coups de pieds il m’a fait disparaître sous son lit ; il ne voulait plus me voir, il n’avait pas besoin de moi, il devait s’organiser, il a quitté la chambre.

Je suis bien resté une demi-heure ainsi et quand il est revenu, il m’a fait mettre à genoux, mains sur la tête. Il était suivi par son ami et son frère qui avait subi quelques changements : son corps était complètement rasé comme le mien, et dans son cul on lui avait planté une carotte. Quand il est passé devant moi, ses fesses étaient écarlates et pourtant je n’avais rien entendu. On voyait qu’il avait pleuré.

— Alors, ta petite promenade dans le jardin pour te botter le cul et pour faire de toi un tout jeune et petit garçon t’a plu ?

— Remercie aussi ton frère et explique !

— Merci maître, je ne vous appellerai plus par votre prénom sauf en présence de mes parents ; c’est la seule exception.

A dit Étienne pendant qu’il m’enlevait le tournevis de la bouche et me le fichait dans le cul. Charles qui était à genoux comme moi est venu se mettre devant moi, il m’a pris dans ses bras et sans une seule hésitation, a mis ses lèvres contre les miennes et m’a embrassé avec fougue. J’ai senti sa langue violer ma bouche et j’en ai fait autant. Maître, nous nous sommes tous deux mis à bander.

Antoine et Étienne s’amusaient bien et ont fait encore quelques photos puis ils se sont mis à branler nos culs, celui de Charles avec la carotte, et le mien avec le manche et ce n’est que lorsque nous avions joui tous les deux en nous embrassant et en nous faisant tringler le cul que les deux amis se sont arrêtés.

Il y avait du jus partout : le mien par terre et sur le ventre de Charles, et le sien sur mon torse et aussi au sol mélangé au mien. Alors nos maîtres vicieux nous ont fait lécher la bite de l’autre, mais aussi notre propre sperme sur le corps de l’autre. Quant à ce qui était tombé au sol, nous avons dû tout lécher ensemble.

Puis Antoine a emmené Charles au grenier. Je me suis retrouvé seul avec Étienne et ce que je craignais déjà est arrivé. Il m’a fait mettre à quatre pattes sur son lit, il s’est foutu à poil, sa queue me paraissait énorme, il s’est mis derrière, je sentais son gland frotter contre mon petit trou vierge et d’un coup sec il franchissait mon sphincter et il s’est enfoncé en moi jusqu’à ce que ses couilles frappent contre les miennes.

Bien que depuis vous m’avez pris sous votre protection, maître, j’ai déjà pas mal entraîné ma rondelle et bien qu’Étienne vienne de me tringler longuement,
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