L’assistante cochonne qui amadoue son patron avec ses pleurs et ses baisers langoureux

L’assistante cochonne qui amadoue son patron avec ses pleurs et ses baisers langoureux




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































L’assistante cochonne qui amadoue son patron avec ses pleurs et ses baisers langoureux

Suivez-nous sur les réseaux sociaux

Facebook
Twitter
LinkedIn
RSS



Accueil Gouvernance Actualités Citigroup toilette les bonus de ses dirigeants pour amadouer ses actionnaires


Par
Julien Beauvieux



le 08/04/2016

L'AGEFI Quotidien / Edition de 7H

Citigroup affiche un profit de 17,2 milliards de dollars, son plus haut niveau depuis 2006.


Par
Julien Beauvieux



le 31/03/2016

L'AGEFI Quotidien / Edition de 7H

La limitation des rémunérations variables à 100% du salaire est entrée en vigueur en 2014.


le 25/03/2016

L'AGEFI Quotidien / Edition de 7H



Par
Amélie Laurin




le 21/03/2016

L'AGEFI Quotidien / Edition de 7H


A lire aussi

Jeanne Asseraf-Bitton devient responsable de la recherche & stratégie chez BFT IM LE CARNET Kepler Cheuvreux renforce ses équipes 289 millions



Par Soraya Haquani
Soraya Haquani




le 24/03/2016

L'AGEFI Hebdo


Sur le même sujet

UBS se distingue avec des bonus en hausse Bruxelles va adapter les règles de bonus pour les petites banques


A lire aussi

Jeanne Asseraf-Bitton devient responsable de la recherche & stratégie chez BFT IM LE CARNET Kepler Cheuvreux renforce ses équipes 289 millions



Par
Julien Beauvieux



le 04/04/2016

L'AGEFI Quotidien / Edition de 7H

L’Esma estime que les petits gérants ou ceux ayant des activités peu complexes peuvent être dispensés des limitations de bonus.
Le bonus de Michael Corbat a du mal à passer. Alors que se profile l’assemblée générale de Citigroup le 26 avril, la banque a revu le mode de calcul d’une partie des bonus différés de son directeur général et d’autres cadres dirigeants pour calmer l’inquiétude de certains actionnaires. Le nouveau modèle, qui ne modifie pas l’enveloppe globale attribuée au titre de l’exercice 2015, limitera en outre les émoluments des dirigeants si le rendement absolu des actions est négatif pendant trois ans.
Compte tenu de la performance de Citigroup, et notamment d’un profit de 17,2 milliards de dollars, à son plus haut niveau depuis 2006, Michael Corbat a vu sa rémunération augmenter de 27% l’an dernier, à 16,5 millions. Ce montant comprend un salaire fixe de 1,5 million ainsi qu’un bonus en cash non différé de 6 millions, les 9 millions restants se composant à parts égales entre un bonus différé en actions et un programme lié à la performance du titre (PSU).
Déterminé à chaque exercice par le Comité de rémunération, le PSU est converti pendant une période transitoire de trois ans en un nombre d’actions. A l’échéance, ce portefeuille de titres est susceptible de gonfler à 150% ou de tomber à 0% en fonction d’une grille comparant les performances de la banque à celles de huit pairs. Il est alors converti selon la dernière moyenne à 20 jours disponible du prix de l’action Citigroup, puis distribué aux bénéficiaires en cash.
«Le programme de Citigroup est en fin de compte discrétionnaire et la décision d’octroyer à Michael Corbat sa plus forte rémunération à date n’est pas justifiée étant donné la performance en retrait de l’action» , estime l'agence de conseil en vote ISS. Faisant fi du durcissement de la grille du PSU, qui ne prévoit désormais une enveloppe gonflée à 150% que si les performances de Citigroup la placent dans le premier quartile, le cabinet Glass Lewis a aussi recommandé de voter contre cette enveloppe.
Malgré un second semestre chaotique, les banques américaines ont globalement eu un bon exercice 2015 qui a induit une inflation des bonus. Le patron de JPMorgan, Jamie Dimon, a bénéficié d’un bond de 35% de sa rémunération, à 27 millions de dollars, contre une hausse de 23% pour Brian Moynihan chez Bank of America. Les rémunérations des patrons de Morgan Stanley et Goldman Sachs, James Gorman et Lloyd Blankfein, ont elles baissé de 6,7% et 4,2%.
Le nouveau directeur général de Credit Suisse, Tidjane Thiam, a perçu 18,9 millions de francs suisses (17,3 millions d'euros) au titre de l'exercice 2015, indique le rapport annuel de la banque. Arrivé en juillet, le directeur général a reçu une rémunération de 4,57 millions de francs pour son poste et des primes de 14,3 millions, sous forme d'actions, en guise de compensation de primes qu'il aurait dû percevoir de son précédent employeur, l'assureur britannique Prudential. La rémunération fixe s'est élevée à 1,71 million de francs. La part variable liée à la performance s'est chiffrée à 2,86 millions de francs. En 2014, Brady Dougan, l'ancien directeur général de Credit Suisse, avait gagné 9,7 millions de francs.
Les nouvelles règles de rémunération des gérants d’actifs ont été publiées en fin de semaine dernière par l'Autorité européenne des marchés financiers (Esma). Dans le sillage de l’entrée en vigueur de la directive Ucits 5, le 18 mars, l’autorité devait en effet fournir au deuxième trimestre ses recommandations, qui s’imposeront aux régulateurs nationaux et aux sociétés de gestion à compter du 1er janvier prochain.
«Les recommandations assureront une application convergente de ces dispositions et offriront une orientation sur la gouvernance de la rémunération, les exigences en matière d’alignement des risques ainsi que sur leur publicité» , indique l’Esma.
L’autorité a également procédé pour l’occasion à une révision du cadre des recommandations publiées en juillet 2013 concernant les rémunérations des gérants d’actifs, telles que les prévoit la directive AIFM.
Parmi les recommandations figure notamment le versement différé de 40% à 60% des rémunérations variables «selon l’impact que peut avoir le membre de l’équipe sur le profil de risque des fonds» . Les recommandations ajoutent par ailleurs que ce «personnel identifié» devra recevoir au moins 50% de son bonus sous forme d’instruments financiers. Ce seuil minimum devra s’appliquer de la même manière entre la partie différée du bonus et la partie versée immédiatement.
Alors que l’EBA et le Royaume-Uni s’opposent sur la possibilité d’exonération totale d’une limitation similaire sur les bonus bancaires, l’Esma s’est par ailleurs saisie du sujet de la proportionnalité. L’institution, qui estime que les petits gérants ou ceux ayant des activités peu complexes peuvent être dispensés de ces limitations, n’a pour l’heure pas intégré de dérogation dans ses recommandations, comme le prévoient pourtant Ucits et AIFM.
« L’Esma considère que ces scénarios [de non-application des recommandations] devraient demeurer possibles dans certaines situations, et suggère dans une lettre aux institutions européennes qu’une clarification législative sur cette éventualité serait bénéfique à toutes les parties » , indique l’autorité. L’Esma estime que des dérogations seraient également judicieuses pour les très faibles bonus.


Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Pour soutenir le travail de notre rédaction, nous et nos partenaires utilisons des cookies pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal. Le traitement de certaines données personnelles (telles que les adresses IP, les données de navigation, d'utilisation ou de géolocalisation, les identifiants uniques ou les interactions avec les réseaux sociaux) nous permet de financer l'information disponible sur notre site et d'améliorer notre offre via l'analyse et la mesure d'audience ainsi que l'affichage et la mesure de performance des publicités et/ou des contenus personnalisés.
Cliquez sur "Accepter" pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre charte cookies .
a été déféré, hier à 11 heures, devant le parquet de Melun et écroué pour avoir tiré, mardi,
sur son employeur, à Brie-Comte-Robert. L'homme, originaire d'Ozoir-la-Ferrière et âgé de 28
ans, est poursuivi pour tentative d'homicide volontaire.
Mardi peu après 7 heures, cet employé
de la société de vernissage de bois Lindolaq 77, implantée dans la zone d'activités du Tuboeuf,
tire à bout portant sur son patron. La victime, Lindolso Gonçalves, âgée de 43 ans, réussi à
dévier le pistolet à grenaille, mais il est tout de même légèrement blessé au cuir chevelu et
au bras. Un différend opposait les deux hommes depuis plusieurs semaines.
travail répétés, l'employé avait écopé d'une mise à pied de huit jours pour ces manquements.
Ne supportant pas cette décision, Schneider s'est rendu sur son lieu de travail avec une arme
Profitez des avantages de l’offre numérique


Abonnés










Le message d'alerte des usagers agenais a été reçu 5 sur 5 par le PDG de la SNCF…
photo Michel Labonne





Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous pour en profiter à partir de 1€/mois, sans engagement

Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous.

S'abonner



Oui, je veux suivre les réponses
Non, ça ne m'intéresse pas


La NR des
Pyrénées

S'abonner à la newsletter quotidienne

Mentions légales
Données personnelles
Cookies
Publicité
Charte de modération
Contactez-nous
Plan du site

Nous et nos partenaires stockons et accédons à des informations non sensibles sur votre appareil, comme des cookies ou l'identifiant unique de votre appareil, et traitons vos données à caractère personnel comme votre adresse IP ou un identifiant cookie, pour des traitements de données comme l'affichage de publicités personnalisées, la mesure des préférences de nos visiteurs, etc.
Vous pouvez faire un choix ici et modifier vos préférences à tout moment dans notre Politique de confidentialité sur ce site web.
Certains partenaires ne demandent pas votre consentement pour traiter vos données et s'appuient sur leur intérêt commercial légitime. Vous pouvez vous opposer à ces traitements de données en cliquant sur «En savoir plus».
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement et/ou vos intérêts légitimes:
Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit, données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal"
Guillaume Pépy a été interpellé directement par les usagers sur les problèmes d'horaires entre Toulouse et Agen. Et de premières solutions sont tombées… Miracle.
Depuis décembre, les usagers de la SNCF tirent à boulets rouges sur la compagnie ferroviaire. En cause les horaires, les horaires, toujours les horaires. Le torchon brûle sur la ligne Toulouse/Agen, et une poignée d'irréductibles multiplie non présentation des titres de transport, manifestations en gares, interpellation des élus et… culot.
Et force est de constater que cette dernière technique est la bonne. Car à l'occasion de la venue à Toulouse du PDG Guillaume Pépy, les représentants des usagers en colère l'ont directement informé de leurs difficultés quotidiennes, surtout ceux qui utilisent le train « jusqu'à deux heures par jour » dans leurs trajets domicile/travail.
« Guillaume Pépy est venu mercredi pour la LGV, mais j'ai pris la parole sur nos problèmes d'horaires quotidiens, explique Emmanuel Zaibak (association Autab). Le PDG de la SNCF a alors reconnu que l'axe Bordeaux/Toulouse connaissait les plus graves problèmes en France, au regard des travaux sur la ligne et sur le cadencement des trains. Il a reconnu que les horaires ne convenaient pas, et qu'ils seraient revus pour 2013, ce que nous savions déjà. Sauf que le lendemain
Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?

Candy C se fait prendre correctement
Granny with huge tits takes big dick - Free xxx sex porn video streaming
Une vraie princesse s’offre un moment de plaisir solitaire

Report Page