L'argentine Muriel montre sa souplesse
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L'argentine Muriel montre sa souplesse
Publié le 11 sept. 2017 à 0:24 Mis à jour le 11 sept. 2017 à 1:00
Inflation, hausse des taux dâintĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, lâexpertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă prendre les meilleures dĂ©cisions.
Un incendie est en cours depuis dĂ©but juillet, dans les silos Ă grains du port de Beyrouth. CausĂ© par la fermentation des stocks de grains sur le site et par de fortes tempĂ©ratures, lâincendie est difficile Ă maĂźtriser. La moindre intervention risque de causer plus de dĂ©gĂąts que les flammes, les silos Ă©tant sur le point de sâeffondrer. Une situation qui ravive le traumatisme de lâexplosion meurtriĂšre du 4 aoĂ»t 2020.
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Les DRH sont-ils en train de prendre leur revanche ? Notre dossier ci-contre montre en tout cas leur satisfaction Ă se sentir enfin entendus. Mais au-delĂ de l'actualitĂ©, ce sont des questions quant Ă l'avenir du travail qui se posent d'une façon rĂ©currente : Quel va ĂȘtre l'impact de l'intelligence artificielle sur notre quotidien professionnel ? L'obsolescence de nos compĂ©tences va-t-elle s'accentuer ? Quid du bureau traditionnel face aux Fab Lab et aux organisations modulaires ? Finirons-nous tous free-lance ?
Pour l'heure, peu de rĂ©ponses. Battant en brĂšche les idĂ©es prĂ©conçues sur l'intelligence artificielle, une rĂ©cente Ă© tude de Capgemini cherche Ă rassurer. Quant au cabinet Uside, qui poursuit son enquĂȘte nationale sur le travailen 2040, il n'avance qu'une seule certitude : chacun devra comptersur ses capacitĂ©s adaptatives et sa souplesse comportementale ! Pour entendre des propos enfin affirmatifs, il faut traverser la Manche. Lynda Gratton, professeure de comportement et d'organisation Ă la London Business School, estime que c'est principalement l'allongement de la durĂ©e de vie qui devrait bouleverser du tout au tout notre rapport au travail. La Britannique, qui entrevoit d'ores et dĂ©jĂ la fin de la triade « études-vie professionnelle-retraite », affirme que chacun va devenir le designer de vies personnelles et professionnelles toujours plus imbriquĂ©es. A l'Ă©couter et Ă la lire, nous alternerons bientĂŽt des pĂ©riodes de travail, de formation, de crĂ©ation de son propre emploi, de congĂ© sabbatique avant de revenir, plus tard, Ă une forme de travail plus classique ou bien de se lancer, forts de nos expĂ©riences multiples, cette fois dans l'intrapreneuriat ou l'entrepreneuriat social. Cette conception - formalisĂ©e dans « The 100-Year Life » (Bloomsbury) - suppose une belle Ă©nergie. Trop peut-ĂȘtre pour une seule et mĂȘme personne, se demande-t-on de ce cĂŽtĂ©-ci de la Manche, oĂč questionset incertitudes se multiplient.
Tous droits réservés - Les Echos 2022
Serait-ce la naissance dâun genre littĂ©raire ? Comme on se dit sagement quâen cette matiĂšre on nâinvente jamais rien, ou alors une fois par siĂšcle, on se doute quâil doit bien y avoir des prĂ©cĂ©dents, mĂȘme si celui qui nous vient le plus naturellement Ă lâesprit, JĂ©rĂŽme Lindon de Jean Echenoz, est assez rĂ©cent (Ă©ditions de Minuit, 2001), ainsi que les Ă©vocations de la figure Jean-Marc Roberts, patron de Stock, par Philippe Claudel et Jean-Marc Parisis. Bizarre tout de mĂȘme que dâautres titres plus anciens ne sâimposent pas spontanĂ©ment Ă notre mĂ©moire. A croire que lâhommage de lâauteur Ă son Ă©diteur disparu est lâexception et non la rĂšgle. Peut-ĂȘtre que cela ne se fait pas. Faut-il y voir une marque dâingratitude ou la confirmation que dans ce couple, lâamitiĂ© ne serait que de façade, circonstancielle.
Un bon moyen dâen juger serait que lâhommage ait lieu du vivant de lâĂ©diteur, ce qui ne manquerait pas de le mettre dans lâembarras, mais tant pis. SĂ»r que J.B. Pontalis ne lâaurait pas permis. Disparu il y a un an, le jour de ses 89 ans, il fait aujourdâhui lâobjet dâun tir croisĂ©. Or les deux Ă©crivains qui y paient leur dette à son endroit y rĂ©cusent tant lâidĂ©e que, celui qui fut Ă©galement leur ami, nâĂ©tait pas un pĂšre de substitution que leur dĂ©nĂ©gation a force dâaveu.
Lâun et lâautre ont Ă©tĂ© parmi les auteurs les plus assidus de la collection « Lâun et lâautre », Ă©clatante tentative de renouvellement de lâart de la biographie sous la forme de vies brĂšves en miroir avec lâauteur, que J.B. Pontalis dirigeait chez Gallimard. Christian Garcin lui a donnĂ© quatre textes, et Jean-Michel DelacomptĂ©e, sept. Tant lâĂ©diteur que lâami sont au centre de JibĂ© (59 pages, 7 euros, arlĂ©a) que le premier des deux consacre Ă Pontalis. Dans ce vagabondage Ă©crit au fil des pensĂ©es, que lâon devine sensible mais sans complaisance, Ă©mouvant mais dĂ©nuĂ© de la moindre miĂšvrerie, gouvernĂ© par lâesprit de la divagation, tout tourne autour dâ un tableau dâEmile Friant qui figure dâailleurs en couverture. DâoĂč vient quâen le contemplant sur les cimaises de lâancien musĂ©e Fabre Ă Montpellier, il soit aussitĂŽt renvoyĂ© Ă son souvenir radieux ?
Cela ne sâexplique pas. Le fait est quâil parvenait sans mal Ă convoquer sa figure Ă partir de ce tableau. La vision des Lutteurs lui fit surtout comprendre quâune commune hantise de la disparition et de lâapparition le liait secrĂštement Ă son Ă©diteur depuis vingt ans que durait leur amitiĂ© affectueuse. Pas un autre pĂšre, il insiste, mais un ami cher en qui il reconnaĂźt toutefois quâil a vu au dĂ©but le reflet dâun homme dont Pontalis fut lâintime Ă la crĂ©ation des Temps modernes , et que le jeune Garcin nâĂ©tait pas loin dâidolĂątrer : Jean-Paul Sartre. Il Ă©tait lâhomme qui a vu lâhomme, mais cette illusion nâeut quâun temps.
De tous les livres non pas Ă©ditĂ©s mais Ă©crits par J.B. Pontalis mĂȘme, puisquâil prit goĂ»t Ă sa propre Ă©criture littĂ©raire (et non plus seulement psychanalytique) vers la fin sa vie, FrĂšre du prĂ©cĂ©dent est celui qui a le plus marquĂ© Christian Garcin, un livre dans lequel il Ă©voquait un frĂšre encombrant avec qui il entretenait des rapports conflictuels. Câest aussi le cas de Jean-Michel DelacomptĂ©e qui le reconnaĂźt dans Ecrire pour quelquâun (170 pages, 15,90 euros, Gallimard). Ce qui laisserait accroire que leur relation Ă©tait plus fraternelle que paternelle, lâĂąge importe peu. Or cette poignante mĂ©ditation sur la mĂ©moire est largement consacrĂ©e Ă la figure de son vrai pĂšre, et cette juxtaposition des deux images nâen est que plus troublante. Le portrait nâen est que plus fin : Giacometti lâeut-il sculptĂ© en pied quâil lâeut intitulĂ© « Lâhomme qui charme ». Tout en sourires, courtoisie et intelligence.
A-t-on rĂȘvĂ© Ă©diteur plus attentif et prĂ©venant ? Pontalis Ă©tait Ă lâĂ©coute comme dâautres sont aux aguets. Il y faut une vraie gĂ©nĂ©rositĂ©, dâautant que la sienne, flottante, limbique, Ă©tait exempte de la moindre brutalitĂ©. DelacomptĂ©e Ă©taient sĂ©parĂ©s par leurs origines et leur Ă©ducation Pontalis (lâun fils dâun reprĂ©sentant en librairie vivant en banlieue parisienne, lâautre fils de grands bourgeois industriels) ; mais ils se retrouvaient justement dans une mĂȘme aversion pour les frontiĂšres, quâelles fussent frontiĂšres de classes ou de castes. Rebelle aux catĂ©gories convenues, aux diktats des choix binaires et aux genres littĂ©raires tranchĂ©s, lâĂ©diteur favorisa Ă travers sa collection des rĂ©cits en miroir gouvernĂ©s par une vision littĂ©raire des choses dâune grande souplesse « et quâon ne saurait perdre sans y perdre tout un art de vivre ». Une vraie libertĂ© dans lâĂ©criture. Elle Ă©tait indispensable Ă DelacomptĂ©e, dont on nâa pas oubliĂ© les magnifiques tombeaux de Bossuet, Racine ou Saint-Simon, pour mettre Ă nu son obsession dans cet autre tombeau pour son pĂšre et pour J.B. Pontalis :
«âŠÂ lâĂ©trange et douloureuse survie en nous de ce quâon souffert les dĂ©funts, comme si le temps nâexistait pas, et qui va plus loin, plus profond, que la simple mĂ©moire. Car on ne se souvient pas seulement : on continue de ressentir. (âŠ) Lâindividu a disparu, sa trace matĂ©rielle demeure. Ce quâont souffert les aĂźnĂ©s nous Ă©treint dĂšs quâon y songe, comme sâils vivaient et souffraient maintenant. Ils nâont pas disparu : ils sont lĂ . Preuve en est lâexpĂ©rience commune, quand il sâavĂšre impossible de parler dâeux sans que la respiration se crispe, que la voix se brise, et quâĂ©clatent les sanglots. Cet indicible qui nous submerge, câest le temps qui ne sâefface pas ».
Le titre du livre de Jean-Michel DelacomptĂ©e le crie et le murmure : ce nâest pas vrai, on nâĂ©crit pas pour soi, on Ă©crit pour les autres et mĂȘme, pour quelquâun. Au fond, la vie de leur Pontalis ressemble Ă lâesprit qui anime les vies de sa collection (Christian Bobin en est lâincontestĂ© best-seller) ainsi quâil lâavait dĂ©fini, « telles que la mĂ©moire les invente, que notre imagination les recrĂ©e, quâune passion les anime ». Ce sera le dernier livre publiĂ© sous cette livrĂ©e bleu nuit, il nây en aura pas dâautre selon le voeu de son fondateur. Cela nâaurait pas de sens tant elle lui ressemblait. Elle se devait de disparaĂźtre avec lu i.
A propos, « Il nây a que la Patagonie qui convienne Ă mon immense tristesse » est une phrase du Cendrars de la Prose du TranssibĂ©rien, citĂ©e par Christian Garcin et que Jean-Michel DelacomptĂ©e aurait pu reprendre. Dâun ami disparu aussi, on peut se dire veuf, ou orphelin.
(« Sous le ciel » photo Ryan McGinnis ; « JB Pontalis » photo Mélanie Gribinski)
@clopine
merci de me mettre dans votre palmares ,mĂȘme si je ne suis pas aussi erudite que vous le dites,mais parisienne et partageuse oui.
Vous auriez pu faire mention,pour completer vos regrets de ces grands commentateurs disparus qui apportaient de lâintelligent et du neuf au blog et qui semblent avoir declarĂ© forfait devant lâinflation des echanges du niveau cour de recreation qui lâont envahi:CP et ses filles,Lavande,Sapience malivole ,ML(eh oui) et bien sur Montaigne Ă cheval ,dont nous avons tous un souvenir admiratif
Oniséphore, JC, voulez-vous rentrer, vos culottes sont toutes mouillées et vous allez encore attraper froid.
Tais-toi, vieille estrasse en sursis, fiancé de la Camarde, scénariste de quatriÚme zone, plumitif insane. (Jambon)
Câest saignant, lĂ , Barozzi. Vous ne pouvez pas laisser ça en lâĂ©tat. Si vous voulez, jâorganise une rencontre lĂ -bas dessus, chez nous, sur notre prĂ©. En hiver, ça manque dâanimations.
BĂ ve.
CP et ses filles,Lavande,Sapience malivole ,ML(eh oui) et bien sur Montaigne Ă cheval ,dont nous avons tous un souvenir admiratif (DHH)
Encore une qui fait dans la nostalgie nĂ©crophile. Mais dieu quâelles sont connes, quâelles sont connes !
Encore une qui fait dans la nostalgie nĂ©crophile. Mais dieu quâelles sont connes, quâelles sont connes ! (Anthime-Armand DuprĂ© de Saint-Vallier)
Merdre ! Jâai encore oubliĂ© de remettre le truc en place !
courageux lâOnĂ©pasifort, il use de la tactique des couards et des pleutres, il change de pseudo
Mais dans le cerveau il peut pas y avoir de vertĂšbres ! Y a que⊠des arachnoĂŻdes, je crois, et puis le reste je sais pasâŠ
on nâattend plus que bouguereau qui signera BITURE
courageux lâOnĂ©pasifort, il use de la tactique des couards et des pleutres, il change de pseudo (Curiosa)
Et câest pas la premiĂšre fois, ma grosse poule. Si tu savais qui se cache derriĂšre un paquet de respectables pseudos de ce blog, tu aurais peur. Je suis le roi des squatteurs. Plus moyen de se fier Ă qui que ce soit.
Mais dans le cerveau il peut pas y avoir de vertĂšbres ! (Sergio)
Oui mais, ça, Curiosa, elle sait pas, elle confond le cerveau avec le coccyx. Ce que câest que dâavoir quittĂ© lâĂ©cole aprĂšs le CE1
la patagonie vous va si bien quâil serait vraiment regrettable que vous raccommodiez votre coeur avec un y -la (seule) voyelle qui manque au nom dâAssouline
 » CP et ses filles,Lavande,Sapience malivole ,ML(eh oui) et bien sur Montaigne à cheval ,dont nous avons tous un souvenir admiratif »
Le pire câ est quâ ils nâ ont rien demandĂ© Ă personne pour ĂȘtre citĂ©!
lâintelligence de Sergio et dâOnĂ©pasifort : confondre vertĂšbres et vertĂ©brĂ©s , ils ont lâair malin
ChĂšre Curiosa, sachez que je suis de tout coeur avec vous. Ce gros Jambon est rĂ©pugnant (dâailleurs pourri Ă coeur). Et misogyne, pour couronner le tout. Et puis cette HAINE rĂ©cucurrente de hyĂšne, contre tous et contre tout, ce racisme anti-vieux, pouah ! ptuah ! Pffffouh !
souvenir admiratif ⊠critique :
faut pas prendre votre caddie pour un sac de luxe
Colombet, il nây a que la Patagonie qui conviendrait Ă ton immense connerie.
A tout bientĂŽt,
Yop La (BOUM!).
Immense tristesse patagone, nous apprenons Ă lâinstant la mort de lâun de nos plus fidĂšles commentateurs. NĂ©cro !
Jean Brun, commentateur de génie
Il Ă©tait Ă©lĂ©gant, rĂ©servĂ© et souriant â avec cet air dâen avoir une bien bonne Ă raconter. Chez ce gĂ©nie du commentaire, il y avait un cĂŽtĂ© farceur qui faisait dire Ă son ami JC : «Il est bien plus quâun pince sans rire, câest un humoristeâŠÂ» Lâun de ses auteurs prĂ©fĂ©rĂ©s Ă©tait Sacha Guitry, et tout au long de son Ćuvre, Jean Brun ne cessera de rĂ©concilier thĂ©Ăątre et littĂ©rature. Sâil y a une chose Ă retenir de lui, du moins de celui qui sâĂ©tait allĂ©gĂ© en vieillissant, câest cet amour des planches que son cabinet dâaisance au fond du jardin rĂ©-enchantait. Dâailleurs, il chĂ©rissait lâidĂ©e de troupe, tournant avec la mĂȘme famille de commentateurs : Jambrun, John Brown, OnisĂ©phore de PrĂ©bois, Colette sur son pliantâŠ
Autant de sublime variations de son immense talent dont la perte brutale nous laisse totalement anéantis de douleur.
Le pire câ est quâ ils nâ ont rien demandĂ© Ă personne pour ĂȘtre citĂ©! (A part CP)
Ah mais que si ! Pour ce qui est des Ă©changes cour de rĂ©crĂ©, le CP, Ă ses heures, il se posait pas quâun peu lĂ .
« Prenons la Une ! les femmes dans le monde
qui garde ici la hune
Les pompes funĂšbres de Grasse informent les populations que les obsĂšques dudit nâauront pas lieu avant une grosse semaine. Le temps de dĂ©coller tous les petits morceaux du plafond.
Autant de sublime variations de son immense talent dont la perte brutale nous laisse totalement anéantis de douleur. (Jacques Barozzi)
Oui, câest bien vrai, mon bon Barozzi. Dâailleurs nous le pleurons tous. Et vous, câest pour quand ? Mes amitiĂ©s Ă vĂŽtâ maritorne. A un de ces jours aux AllĂ©es, avant la triste Ă©chĂ©ance, sâentend.
et pire que cela, Jacques, il prend comme nouveau pseudo un prĂ©nom fĂ©minin (MarlĂšne), lui qui crache sur les femmes de ce blog⊠câest un SALOPARD, un vrai de vrai, la HONTE de ce blog
Curiosa dit: 3 mars 2014 Ă 15 h 01 min
vertÚbres et vertébrés
Masques et bergamasques⊠Mais alors moi, mon affaire, câest surtout les vertices, parce que ça, câest comme le dobermann, ça bouffe !
Mes amitiĂ©s Ă vĂŽtâ maritorne. (mĂ©zigue)
A vĂŽt gitorne, veux-je dire. Avec ces histoires de genres, je mây perds complĂštement.
Onépasifort : cuit cuit cuit cuit cuit cuit cuit
vous avez peur que le ciel ne vous tombe sur la tĂȘte? ne craignez rien : vous pouvez travailler sans filet : nous viendrons tendre les nĂŽtres
Onépasifort : bibiche aux abois, plouf dans le marigogot
âŠ
âŠcâest clair,âŠil y en Ă quâune, câest la lune,âŠ
âŠet la vie dans les terriers, des lapins, des fouines, du vison,âŠ
âŠles poules, les singes, les pandas,âŠ
âŠ
âŠmais, attend, dâabord la vĂ©gĂ©tation luxuriante,âŠ
âŠmais, ou est passĂ© le bĂ©ton,âŠĂ terriers,âŠaux intĂ©rĂȘts dâun naturel,âŠetc,âŠ
âŠ
Bon, jâarrĂȘte, moi. Jâai ma biographie par Gueniffey Ă finir. A plus.
à bout se souffle, cuit cuit cuit, Onépasifort abandonne, comme bouguereau ; salut les mecs
Ăa change du panda, renato, câest plus distinguĂ© et ça change aussi de la truite !
plaider pour lâinvention dâune nouvelle langue critique , sans inflation de âintelligent, Ă©lĂ©gant, et autres boxstory ne me semble pas plus judicieux que de gloser de « plaisir de lire »et autres dĂ©sirs phallusâoâcratiques
Et alors câest la route pour aller au bout du monde ? Mais ils sont personne dessusâŠ
Sois sage, Onésiphore, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais Bougboug ; il descend ; le voici :
Une atmosphĂšre inculte enveloppe la ville,
Il montre aux uns sa croupe, aux autres son zizi.
Pendant que Curiosa ignoble hyĂšne vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va faire quelques pipes dans la fĂȘte servile,
Bouguereau, donne-moi le gode ; viens par ici,
Loin dâeux. Vois se pencher lâinnommable Clopine,
Sur les balcons du fiel, fabriquant sa terrine ;
Surgir du fond du Bray un gode Ă©tincelant ;
Lâappendice marbrĂ© la fend comme une hache,
Et, comme un long soupir arrivant de lâOrient,
Entends, JC, entends le Barozzi qui marche.
Charles Beau Delair dit: 3 mars 2014 Ă 17 h 18 min
Surgir du fond du Bray un gode Ă©tincelant
Comme dirait le grand Charles, fautoufairessoimĂȘmici, bon Dieu de merde* !
avant de vous pendre au cou de vos idoles pour venir sur ce blog gloser heidegger et son caddie, souvenez-vous que Freud commença avec de anguilles et non un ordi http://www.laviedesidees.fr/Anthropologie-des-techniques.html
⊠et il nâa pas rĂ©ussi un beau tricot⊠enfin, peu importeâŠ
Ainsi lâemploi dâune peau pour la confection des tambours sâexplique parce que le processus de rĂ©gĂ©nĂ©ration chez cet animal renvoie Ă lâimmortalitĂ©, qualitĂ© Ă lâaune de laquelle, par contraste, le passage des vivants Ă lâĂ©tat de mort est provoquĂ© lors des rites funĂ©raires. Dans le mĂȘme ordre dâidĂ©es, la fabrication du piĂšge Ă anguille vise Ă accroitre la vitalitĂ© dâanimaux eux-mĂȘmes associĂ©s Ă lâidĂ©e de croissance (p. 54). Le fait que les paquets sacrĂ©s utilisĂ©s pour les initiations mĂȘlent, quant Ă eux, des poinçons
sur le poinçon en typographie , cherchez
car comme on dit , il y a anguille sous roche et non anguille sous pierre , parce que « sous pierre » ça ferait potage, et mĂȘme potache et cuistre
il y a anguille sous roche et non anguille sous pierre , parce que « sous pierre » ça ferait potage
pochouse..potage, tu mâas lâair dedans renfield
ha câest bien..seul un dessin de reiser conviendrait
Tiens, renfield dĂ©couvre les travaux de Marius Schneider⊠avec beaucoup de retard, câest vrai, mais mieux vaut tard que jamaisâŠ
holala..à toi aussi ne convient que le mont foudji et 1000 vierges décapitées..faut cqui faut
Pine à la rime trop féminine, vit ou zob sonne mieux, vindieu !
« seul un dessin de reiser conviendrait »
Et pour la traduction en anglais de Shakespeare, tu vois qui, le boug, et quid de lâallemand ?
bouguereau dit: 3 mars 2014 Ă 18 h 08 min
RECOUILLEMENT
ha câest bien..seul un dessin de reiser conviendrait
Y sait dessiner le scotch Reiser ? Le chatterton celui des explosifsâŠ
non Moravagine nâet pas un fĂ©minin made in/by RdL
RECOUILLEMENT (Charles Beau Delair)
Câest proprement â enfin, salement, en tout cas positivement sublime.
zob Ă part avec ma mob câest dur a faire rimer
zob Ă part avec ma mob câest dur a faire rimer
encore un qui nâa pas de talent et qui nâest pas sob (ni nob)
Dussollier déclare au « Monde » à propos du cinéaste Resnais : « Un homme curieux, facétieux, ouvert à tout »
Pierre Arditi à la télé : »il nous faisait rire, il était comme un gamin, il avait retrouvé son enfance. »
Ca fait un peu Ă©trange et ça dĂ©gage un malaise ces dĂ©clarations de comĂ©diens Ă propos dâun Resnais vieillissant « rigolo », tournant des films qui nâĂ©taient plus au niveau de » Muriel » ou de « Hiroshima » ni au niveau de » Providence » .ces comĂ©diens interviennent sur les chaines tĂ©lĂ© pour faire le portrait dâun homm
Profitons d'une beauté d'Honduras
Blonde aux gros seins et un black
Jeune chaudasse séduit un taxi