L'antibiotisme: programme de destruction de la vie

L'antibiotisme: programme de destruction de la vie

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Introduction

Le terme antibiotisme, construit sur la racine "anti", signifiant contre, et "bio", faisant référence à la vie, désigne un ensemble de pratiques, d'attitudes ou de politiques qui agissent contre la vie ou perturbent les processus biologiques naturels. Cette notion s'oppose directement au probiotisme, qui vise à promouvoir et à soutenir la vie sous toutes ses formes. L'antibiotisme peut se manifester dans divers aspects de l'interaction humaine avec l'environnement, y compris la médecine, l'agriculture, et les technologies, mais également et avant tout dans les interactions quotidiennes et inconscientes de "Mr et Mme tout le monde" souvent sous la forme de pratiques destructrices ou non durables qui ont un impact négatif tant sur leur propre personne que sur les systèmes écologiques.


Définition étendue

L'Antibiotisme se réfère généralement à des actions ou des stratégies qui sont délibérément ou incidentalement nuisibles à l'environnement naturel et à la biodiversité. Ce concept englobe les pratiques qui dégradent l'habitat, polluent les écosystèmes, exterminent les espèces, et perturbent les équilibres écologiques. Il peut également inclure des approches médicales ou technologiques qui suppriment ou altèrent de manière invasive les fonctions biologiques essentielles à la conservation de la vie.


Principes de l'antibiotisme

Intervention invasive :

L'antibiotisme implique souvent des interventions invasives dans les systèmes naturels, telles que l'utilisation excessive de pesticides en agriculture qui tue non seulement les insectes nuisibles mais également les pollinisateurs essentiels comme les abeilles.

Pollution et dégradation :

Les pratiques antibiotiques incluent la pollution de l'eau, de l'air, et des sols avec des substances chimiques nocives, des plastiques, et d'autres déchets industriels qui nuisent à la vie sous toutes ses formes.

Extermination :

Cela peut également référer à des politiques ou des actions qui visent à exterminer des espèces jugées indésirables, souvent sans considération pour les conséquences écologiques à long terme.

Suppression des fonctions naturelles :

Dans le domaine médical, l'antibiotisme peut se manifester par l'usage excessif d'antibiotiques, supprimant non seulement les bactéries pathogènes mais aussi perturbant la flore microbienne naturelle du corps, ce qui peut conduire à des déséquilibres et à des résistances aux médicaments.


Exemples d’application

  • Agriculture : Utilisation intensive de produits chimiques qui tue une large gamme d'organismes vivants et perturbe les équilibres écologiques.
  • Urbanisation : Expansion urbaine non contrôlée qui détruit les habitats naturels et réduit la biodiversité.
  • Industrie Pharmaceutique : Production massive et inappropriée d'antibiotiques contribuant à l'émergence de souches bactériennes résistantes.


Implications de l'antibiotisme

Les implications de l'antibiotisme sont vastes, affectant non seulement la santé environnementale mais aussi la santé publique et la stabilité des écosystèmes globaux. La résistance aux antibiotiques, la perte de biodiversité, et la perturbation des services écosystémiques sont quelques-unes des conséquences graves de ces pratiques. La prise de conscience de ces impacts mène à une critique croissante de l'antibiotisme et à des appels pour une approche plus probiotique(en faveur de la vie) et durable de la gestion de l'environnement et des ressources naturelles.


Le Controle mental, la première cause de l'antibiotisme

L'antibiotisme encapsule des pratiques et des politiques qui nuisent aux systèmes vivants et à la biodiversité. Pour comprendre la connexion entre l'antibiotisme et le contrôle mental exercé par les institutions, il est essentiel de regarder au-delà des implications écologiques et biologiques pour aborder les dimensions socio-culturelles et psychologiques de cette pratique.


Etymologie de gouvernement

-gouverne, du latin gubernare, diriger un navire, contrôler, lui-même venant du grec kubernan. 

-ment, suffixe 1 (le suffixe 2 étant le plus récent, apparu bien après l'apparition du mot gouvernement) venant de l’ablatif mente du nom féminin latin mens, mentis, mental

(esprit, faculté intellectuelle de l'esprit) 

Autrement dit:

 "Gouvernement" signifie "Contrôle mental"

Le Conditionnement institutionnel et l'antibiotisme

Le contrôle mental, dans le contexte de l'antibiotisme, réfère à la manière dont les institutions gouvernementales, médiatiques, scientifiques, culturelles et industrielles façonnent et manipulent les perceptions et les comportements des masses à travers un conditionnement subtil mais profond dès le plus jeune âge. Ce conditionnement est souvent orienté vers la promotion de valeurs et de pratiques qui ne tiennent pas compte de la santé écologique ou de la diversité biologique, mais plutôt des intérêts économiques et de pouvoir .

1. Éducation et médias :

  • Gouvernementale et éducative : Le système éducatif, systématiquement influencé par des politiques gouvernementales, peut promouvoir un curriculum qui marginalise ou ignore les principes écologiques fondamentaux et les enjeux environnementaux actuels. Un tel système éduque les jeunes à être des participants non critiques des pratiques antibiotiques, acceptant passivement la dégradation environnementale comme un effet secondaire nécessaire du progrès industriel.
  • Médias et cinéma : Les médias jouent un rôle crucial dans la formation de l'opinion publique. En diffusant majoritairement des contenus qui glorifient la consommation excessive ainsi que le style de vie anthropocentrique et destructeur. Les médias participent largement à plonger la masse dans l'ignorance, la dissonance cognitive et à diluer la perception des risques écologiques, rendant l'audience non-seulement moins sensible et moins informée sur les impacts de telles pratiques mais en programmant l'individu à la destruction de lui-même et de l'environnement qui l'entoure.

2. Industrie :

  • Les industries, incluant la pharmacie, la chimie, et l'agroalimentaire, dans la majorité des cas, promeuvent l'utilisation de substances chimiques dangereuses, d'antibiotiques, et de pratiques agricoles destructrices en minimisant leurs effets néfastes sur la santé humaine et l'environnement. Cette promotion est facilitée par des campagnes de marketing massives et des collaborations avec des institutions de recherche qui sont parfois biaisées par des financements industriels.


Implications psychologiques de l'antibiotisme

Le lien entre l'antibiotisme et le contrôle mental est également visible dans les impacts psychologiques de ces pratiques sur l'individu et la société :

1. Soumission et conformité :

  • Le conditionnement institutionnel favorise une culture de soumission où les pratiques nocives sont normalisées. Cette conformité est souvent le résultat d'un sentiment d'impuissance cultivé par des narrations qui font sentir aux individus que les défis environnementaux sont insurmontables ou nécessitent des 'solutions' biaisés qui restent dans le cadre des pratiques antibiotiques.

2. Anxiété et paralysie :

  • La constante exposition à des informations négatives concernant l'environnement, sans actions substantielles prises par les autorités, peut mener à une anxiété écologique où les individus se sentent anxieux, coupables et paralysés (état de sidération) par l'ampleur perçue du problème.


Transition vers un probiotisme conscient

Pour aller au-delà du contrôle mental et contrer l'antibiotisme, une transition vers un probiotisme conscient et critique est absolument capital.

Cela implique:

  • Sensibilisation : Introduire et intégrer des principes écologiques et environnementaux robustes dans les curriculums à tous les niveaux d'éducation et des moyens de diffusion de l'information pour développer une compréhension profonde des interdépendances dans les systèmes naturels.
  • Médias responsables : Encourager les médias à adopter et promouvoir des narratives qui valorisent la conservation, la diversité biologique, et les pratiques soutenables non-invasives.
  • Politiques probiotiques : Développer des politiques qui limitent les pratiques destructive dans l'industrie, notamment l'écocide généralisé et la souffrance animale banalisée. Renforcent la réglementation et les régulations sur les substances dangereuses et nuisibles aux écosystèmes.


Conclusion

En définitive, comprendre et démanteler le contrôle mental associé à l'antibiotisme est crucial pour promouvoir une société qui respecte, soutient, et célèbre la vie sous toutes ses formes. Cela nécessite une prise de conscience massive sur les programmes (télé, scolaire, électoraux, gouvernementaux...) instillés au sain de l'imaginaire collectif. Mais également un engagement collectif à réévaluer et réajuster les fondements culturels biaisés, éducatifs comme industriels sur lesquels de nombreuses sociétés de France et de Navarre se sont construites.

L'antibiotisme, n'est pas seulement un concept: il est une réalité.
Il représente les dangers des pratiques qui nuisent à la vie et à la biodiversité. Reconnaître et comprendre ces pratiques est crucial pour pour permettre à chacun de s'orienter consciemment vers des méthodes plus durables et respectueuses de la vie.


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