Langue exploratrice dévore un clitoris excité

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Langue exploratrice dévore un clitoris excité
Publié par La Rédaction E-Santé , le 11/07/2018 à 09:00
Si les femmes parviennent généralement à l’extase lorsqu’elles se masturbent, c’est bien parce qu’elles connaissent leur corps et la manière précise dont il faut user pour le faire réagir. Lors d’un rapport sexuel, la plupart des partenaires masculins ne sont pas opposés à un petit coup de main! Pendant la pénétration, rien ne vous interdit donc de solliciter vous-même votre clitoris. En plus d’attiser le désir de votre conjoint, vous allez augmenter vos chances d’atteindre la jouissance.
Les doigts, c’est bien, mais la langue, c’est encore mieux! A condition bien sûr que votre partenaire sache s’y prendre et, surtout, fasse preuve de patience. En effet, l’orgasme clitoridien peut mettre du temps à survenir. Pour y parvenir, il faut pratiquer des mouvements réguliers en faisant varier la pression et le rythme. Vous pouvez également tester les vibromasseurs qui s’avèrent très efficaces. Mais ils peuvent, à terme, insensibiliser le clitoris aux stimulations manuelles. Avec modération, donc!
Le plaisir féminin dispose d’une dimension intellectuelle qu’il faut savoir attiser. Le cerveau est un rouage essentiel du plaisir sexuel. Les fantasmes, les pensées érotiques, les sous-entendus sont autant d’outils dont il faut se servir pour accroître le désir. Les jeux coquins au moment des préliminaires peuvent également contribuer à l’intensification de l’orgasme.
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Cet homme que j'ai rencontré il y a peu de temps.

Son sourire timide, son regard intense, sa démarche nonchalante... j'ai craqué !

Ses
mains, toujours très chaudes sont un vrai bonheur lorsqu'elles se
fraient un chemin sous mon chemisier, moi qui suis toujours très
frileuse. Sa bouche, douce, caressante, se fait pressante lorsqu'elle
rencontre la mienne.
Lorsque nous sommes ensemble, nous sortons très peu.

Sa peau, sa bouche, ses mains, sont comme une drogue.

J'ai besoin qu'il soit totalement nu lorsque nous nous retrouvons. C'est très troublant, comme son corps m'attire.

J'ai l'impression d'être affamée lorsque je le vois. J'ai faim de lui.

J'ai toujours envie de goûter à son "Priape". Sa douceur sur ma langue, entre mes lèvres, est un vrai délice.

Et de savoir qu'il aime ça, me rend encore plus folle.

Lui dit que je suis insatiable; il n'a pas tort, car lorsque je suis avec lui, j'en ai toujours envie.

Envie de sa bouche sur la mienne, sur mes seins, dévorant mon intimité.

De ses coups de reins lourds et profonds, qui me remplissent et m'emmènent jusqu'à l'explosion.

Tiens,
je le vois là-bas, il arrive... et déjà une douce et délicieuse chaleur
s'empare de mon corps à cet endroit précis ou il mettra sa langue un
peu plus tard.

Il est là et je le dévore déjà des yeux. Tout mon corps frémit et mon ventre est comme chatouillé par une nuée de papillons. Il me salue, s'excuse du retard et me propose de l'accompagner chez lui. Je me lève d'un bond ! Ai-je été trop démonstrative ?

Le trajet en voiture me semble interminable. Il se concentre sur la circulation mais je ne peux retenir ma main qui glisse sur sa cuisse et remonte jusqu'à son entre-jambe. Le tissu est déjà tendu, formant une bosse que je caresse du bout des doigts. Mon esprit s'enflamme en imaginant ce que je m'apprête à libérer. Nous ne disons déjà plus rien, trop impatients de nous jeter l'un sur l'autre.

Enfin, nous voici arrivés à son immeuble. Il me prend par la main et m'emmène à l'étage où se trouve son appartement. Sa poigne est ferme, son allure tonique. Je dois forcer mon allure pour le suivre mais je jubile. Bientôt, il va être à moi, tout à moi !

A peine la porte franchie et verrouillée, il me plaque contre le mur et m'embrasse avec une force, une intensité, une suavité telles que je sens un frisson parcourir tout mon corps. Je lui rends son baiser avec sensualité, me lovant entre ses bras. Je veux fusionner avec son corps.

Ses mains parcourent le mien, du cou aux épaules, de la poitrine au ventre, jusqu'à mes fesses qu'il empoigne vigoureusement, me soulevant presque du sol. A chaque étape, il défait quelques boutons, la ceinture, une fermeture éclair et me voilà presque entièrement dénudée sans avoir quitté une seule seconde sa bouche et la caresse ardente de sa langue.

Ses mains chaudes ont glissé sous mon chemisier, comme je l'espérais en l'attendant à la terrasse du café, mais bientôt, il les utilise pour ôter mon pantalon et ma petite culotte toute humide. Aussitôt nos lèvres séparées, avant même que j'exprime ma frustration due à leur absence, le voici accroupi, le visage entre mes cuisses et sa langue exploratrice qui glisse sur mes autres lèvres et mon clitoris. Hum ! Il sait me donner du plaisir. Il m'excite comme une folle. Je me tortille contre le mur réagissant à chaque pointe de sa langue. Je n'en peux plus ! Je le veux ! Dans ma bouche pour commencer !

J'éloigne sa tête, je reprends mon souffle quelques instants (et lui aussi) et je le traîne jusqu'à sa chambre en finissant d'enlever les rares vêtements encore sur moi. En quelques secondes, de mes mains expertes, je le déshabille complètement; puis, je le pousse sur le lit avant de me jeter littéralement sur lui, telle une lionne avide de dévorer sa proie.

Ah ! Que c'est bon de retrouver son sexe ! Chaud, dur et doux à la fois ! Je l'aspire dans ma bouche et je salive d'excitation autant que je mouille entre mes jambes. Je le sens glisser sur ma langue, sur mes lèvres; j'aime son goût, sa texture, sa délicatesse. Dire qu'avant lui je me forçais toujours pour faire ça. Aujourd'hui, je ne pourrais plus m'en passer. Et il le sait !

Pendant que je déguste cette fellation, ses doigts viennent me caresser. Il en glisse d'abord un, délicatement, dans mon sexe, parcourant avec sensualité les lèvres, puis s'attardant sur le clitoris avant de s'enfoncer à l'intérieur pour le ressortir tout lubrifié. Sa caresse recommence autour de mon anus cette fois. Il glisse bientôt le doigt lubrifié dans mon orifice étroit et accompagne cette pénétration par une deuxième doigt dans le vagin. Je suis peu coutumière de ces caresses anales et vaginales à la fois mais je dois reconnaître que si c'est lui qui me les donne, je les apprécie sans aucune retenue. Bientôt, le voici qui enfonce deux doigts dans mon sexe, puis aussi un deuxième doigt par derrière.

Je pourrais continuer des heures ma fellation, lécher son membre dressé, happer son gland avec mes lèvres, aspirer ses testicules, et le sentir gémir de désir ... mais il m'a trop excitée avec ses doigts et cette double pénétration. Je brûle ! Je veux qu'il me prenne de toute sa vigueur, qu'il s'enfonce au plus profond de moi. Alors, oubliant toute pudeur et toute mon éducation catholique, telle une chatte en chaleur, je le fixe droit dans le yeux et je me mets à quatre pattes sur le lit. Totalement offerte. Le visage par dessus mon épaule, je laisse échapper entre mes dents un "Prends-moi !" qui tient plus du râle animal que de la femme maîtrisée (presque coincée) que je suis habituellement.

Mon étalon ne se fait pas prier. Il me saisit par les hanches et s'enfonce centimètre par centimètre tout au fond de mon sexe. J'ai l'impression que l'empalement n'en finit pas ! Il est large, les parois de mon vagin sont gonflées, nos deux sexes chauffés à bloc ! Et soudain, commence le va-et-vient. C'est presque trop fort, trop intense, je suis incapable de retenir mes gémissements. Plus il accélère la cadence et la puissance de ses coups de reins, plus mes soupirs se transforment en cris. Je jouis de tout mon soul sous ses coups de pilon ! Pour m'offrir encore plus, je laisse glisser mes mains sur le drap en offrant ma croupe dressée vers le plafond, cambrée à mon maximum. Il avance alors ses pieds presque jusqu'à mes épaules et s'enfonce en moi comme un piston dans son cylindre ! C'est une machine ! C'est trop ! Je n'en finis plus de jouir.

Mais maintenant, j'ai besoin d'un peu de repos, de douceur. Moins de bestialité et plus de sensualité. Je m'allonge en position fœtale ... ce qui ne semble pas le décourager. Il se love contre moi, dans mon dos, et ainsi positionnés, en cuillère, il s'insinue encore en moi. Cette fois-ci, il me caresse avec son sexe plus qu'il ne m'emplit. Ce moment de grande douceur a pour effet de m'exciter à nouveau, de me donner envie de jouir encore. C'est un diable avec moi, il m'envoute, sait déclencher toutes les pulsions que je ne savais même pas posséder au plus profond de moi. Il saisit son sexe et s'en sert tel un pinceau pour caresser mes fesses, mon sexe et même mon anus ...

Ah, je sais où il veut en venir. Ce coït qui m'angoisse un peu mais que je lui réserve pour les grands moments, trop rares, de nos rencontres. Alors oui, je veux m'offrir totalement à lui. Je le guide jusqu'à l'entrée. Je sens la pointe de son gland glisser. Ses mains viennent étreindre mes petits seins, si sensibles, puis l'une d'elle descend pour caresser mon clitoris tandis que son sexe continuer à s'enfoncer dans mon anus. Il est chaud et large mais je ne ressens aucune douleur, au contraire, il déclenche du plaisir. Alors, je pose une main sur ses fesses et c'est moi qui imprime la cadence. Ses mains caressent tout mon corps, des épaules, au ventre, des seins au clitoris. Je sens que je vais jouir une deuxième fois, par derrière, et qu'il n'est, lui aussi, plus très loin de l'orgasme. Aaah ! Ensemble ! Nous jouissons ensemble, nos corps imbriqués. Que du bonheur !

Nous restons emboîtés, emportés par un vertige. La nuit est déjà tombée. Mais nous ne dormirons pas beaucoup. N'oubliez pas : je suis insatiable avec lui !


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récit érotique




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Quand l'Amour, ce désir charnel, déchaîne la puissance créatrice de l'esprit.

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Je travaille a La Défense depuis 25 ans. Je sais ça fait envie mais on ne peut pas prendre tout le monde, il faut être raisonnable.
J'ai rendez vous avec mon chef Jean-Guy K Pinchon IIIrd.
Décrocher le rendez vous n'a pas été une mince affaire, car Jean-Guy se débat toujours avec ses problèmes de remplacement d'assistante. En ce moment Interim Nation lui a envoyé une poupée gonflable parlante.
Sa précédente assistante, la poupée parlante Kiki l'exploratrice a définitivement rendu l'âme, la carte mère ayant fondu à force de prendre des photos compromettantes des collaborateurs de Jean-Guy.
La nouvelle assistante s'appelle Ulla l’exploratrice, elle a la bouche ouverte en permanence, ce n'est pas évident de comprendre quand elle parle, car cela lui donne une diction bizarre. Comme elle a les jambes largement écartées dans son tailleur pantalon, et que ce n'est pas pratique pour les faire tenir sous le bureau, elle a toujours une jambe qui dépasse sur le côté, elle la pose sur son caisson à roulettes. Elle tape moins vite que Kiki parce que ses bras son largement écartés, comme ses jambes, mais elle se débrouille plutôt bien sur PowerPoint. Elle est tout à fait professionnelle, et cela se passe plutôt bien avec Jean-Guy.
"Eu renhez ou hé pourhuoi ?" me demande-t-elle
"C'est personnel, cela concerne ma dérivée professionnelle"
Ulla a l'air un peu blasée. Elle note "Enhor une hémission, hé un chéneau han hrois heumaines" Visiblement il y a un peu de mou dans les équipes de Jean GuyK, il y a la queue pour les démissions. (Il va pouvoir faire des économies de mètres carrés dans la tour de We Feed the World, c'est plutôt une bonne nouvelle).
"Mais Ulla c'est impossible, je dois prendre mon nouveau poste lundi, je ne peux pas attendre trois semaines pour démissionner!"
"Hon halors, hu heu le hoir heu hoir ha honze heures"
"Onze heures ? Mon Dieu mais c'est affreusement tard' 
« BzzzzzzBzzzzzzz ». Ulla est prise de tremblements intempestifs. Tous les trombonnes de son pot à crayon tombent au sol,
« BzzzzzzBzzzzzzz ». Les tremblements s’accentuent, et elle se retrouve en équilibre instable, le nez dans sa corbeille à papiers.
« Heu hon hé mon hagin hibrant qui se het en marche heu haçon himpronptue »
(Je reformule pour être sûre de bien la comprendre) : « Votre vagin vibrant s’est mis en marche de façon impromptue ? Ha OK ! J’ai eu peur pour vous ! Attendez, je vais vous aider à vous redresser, ces jambes écartées en permanence ce n’est pas pratique quand même. Les miennes sont articulées, c’est mieux, de temps en temps je peux les refermer»
« Ha ma pauvre, hi hou haviez heu que j’hendure ! Et hette hiction»
« Ha oui votre bouche ouverte en rond, c’est malcommode. Moi la mienne est mobile, entre deux fellations je peux la refermer, ça repose, sinon j’attrape des crampes »
« Ha hoi heu ne pratique ha le hexe horal, hé sale, hé hontre nature »
« Ha bon ? Jamais de fellations ? »
« Hamais mademoiselle, heu hui peut-hêtre une poupée honflable mais hé mes principes»
Jamais de fellations ! Je suis impressionnée. Quelle droiture !
Cette Ulla est bien sympathique quand même.
 Mamie Dusk est assise dans le grand fauteuil près de la cheminée. Tous ses petits-enfants sont en tailleur auprès d’elle. Il y a là le petit Raymond, le petit Benito, la petite Simone et sa sœur Marcelle. Raymond et Simone sont les enfants de sa fille Myrtille, et Benito et Marcelle ceux de son fils Armand. La mode en matière de prénoms est un éternel recommencement.
(Je précise que Mamie Bredouille est devenue mamie car elle a réussi à concevoir. Après avoir adopté un rôti de porc à la fin des années 2000, elle a eu finalement eu recours à l’insémination artificielle, et est tombé enceinte des œuvre du charcutier qui gardait feu son fils Petit Rôti en nourrice.) 
Les enfants : Mamie Dusk, Mamie Dusk, raconte nous un plan cul !
MD : Non les enfants, aujourd’hui nous allons raconter l’histoire de roule-galette, car vos parents m’ont sermonée, ils trouvent que ce que je vous raconte n’est pas convenable.
Benito : Ha non Mamie Dusk, on s’en branle de roule-galette, c’est ringard, raconte nous plutôt ton plan cul le plus sordide, celui de la Bastille !
Chœur des enfants : Oui, mamie, encore !
MD : Ho non, pas celui-là ! Je veux bien vous raconter un plan cul, mais pas celui-là quand même ! Vous ne voulez pas plutôt un récit de mes virées aux Chandelles ?
Raymond : Non, mamie, ça c’est trop soft, nous on aime les histoires horribles !
Chœur des enfants : Oui, mamie, du gore !
MD : Bon alors mes virées dans un sauna échangiste de Pigalle, les jours ouverts aux hommes seuls, ça c’est du lourd, non ? Vous ne voulez pas que je vous raconte la fois où ça a quasiment tourné au gang-bang ?
Simone : Non, mamie, tu nous l’as raconté mille fois déjà, c’est lassant, nous on veut le plan de la Bastille !
Chœur des enfants : La Bastille, la Bastille !
MD : Bon je vais encore me faire enguirlander par vos parents, hein, vous ne leur répéterez pas, d’accord ? Je vous photocopierai l’histoire de roule-galette, vous l’apprendrez par cœur, et comme ça ça fera plus crédible si jamais ils vous questionnent. OK ?
Chœur des enfants : OUI ! Vas-y mamie Bredouille !
MD : Alors voilà. C’était à mes débuts dans la carrière du sexe. Je n’étais pas encore assez exigeante, ma démarche manquait de fine-tuning. Alors un jeune homme du nom d’Antoine Blois m’avait contactée par Copains d’Avant. Je pensais que nous avions été dans le même lycée ou quelque chose comme ça. Pourtant son visage ne me disait rien.
Simone : Il voulait juste te sauter sans payer tindr, hein Mamie ?
MD : Ma petite Simone, on ne dit pas « sauter », ce n’est pas élégant. On dit « Faire l’amour ». Bref, il m’envoyait mail sur mail, me faisait plein de compliments. Alors j’ai accepté de le recontrer, en terrain neutre, dans un café.
Raymond : Et tu l’as sucé dans les toilettes.
MD : Raymond, on ne dit pas « sucer », on dit « Pratiquer une caresse oro-génitale ». Soit plus précis dans ton vocabulaire, j’ai déjà remarqué ta propension à l’inprécision, c’est même écrit dans ton carnet de classe, d’ailleurs. Bref, pas du tout, nous avons discuté de sa carrière, il travaillait à la Sécurité Sociale ou il était Directeur Adjoint, et nous avons comparé les mérites du public et du privé. Il avait 50 jours de RTT par an, et pouvit les poser à volonté, ce qui m’avait plongé dans des abymes de perplexité, je m’en souviens. A l’époque, je travaillais encore chez We Fuck the World, et j’avais toutes ces réunions de coordination transverse à organiser, je n’arrivais jamais à prendre de congés. C’était difficile, la globalisation était en marche, je traitais avec tous les fuseaux horaires, en particulier avec l’Inde où…
Benito : Mamie tu nous saoules avec tes histoires de bureau démodées, c’est vraiment tellement 2000 ce que tu racontes, aujourd’hui tout a changé puisqu’il n’y a plus du tout de fuel, on est tous petits commerçants ou maraîchers. Allez, accélère !
MD : tu as raison mon petit Benito, je radote, hein ? Bon, enfin c’était une époque exaltante, tous ces emplois à délocaliser, et moi j’étais en première ligne, je coordonnais transversalement les plans de « maximisation des effectifs offshore ». Bref. Donc Antoine Blois était intéressant, il disait des choses comme « Tu dois te faire un max de thunes, mais tu bosses comme un chien, alors que moi quand je serai nommé Directeur je ferai bosser les autres et j’en foutrai pas une rame, c’est ça le secteur public ». Il bougeait beaucoup quand il parlait, il avait l’air assez agité, il se tortillait sur sa chaise. Je trouvais qu’il faisait vieux pour son âge. Il était blond.
Simone : Blond ? Beurk, Mamie, tu ne t’es quand même pas tapé un blond ? C’est répugnant !
MD : On ne dit pas « se taper quelq’un » ma chérie, on dit « Faire l’amour ». Oui je sais c’est contre mes principes, surtout qu’il avait les yeux bleus. Bref, je mets fin à la conversation, je paie mon Coca Zéro, et je me sauve en lançant mon célèbre rire de gorge, au cas où, bien qu’Antoine Blois ne me plaise pas du tout. Mais vous savez on n’est jamais trop prudente en matière de sexe, il faut toujours avoir quelques réserves, quand la bise vient, faute de grives on mange des merles
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Une fellation dure et féroce
Qui a besoin de Sasha

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