L'amour tabou c'est toujours de l'amour

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L'amour tabou c'est toujours de l'amour


Comment l’amour parfait de Dieu surpasse la crainte de l’homme





L’amour fraternel : éventualité ou nécessité ? [conclusion] (7/7)





L’amour fraternel et ses implications concrètes (6/7)



Post de Déborah Klopfenstein, 21 ans, étudiante sage-femme à Montbéliard.
Novembre 2012… La rentrée est passée, avec ses nouvelles choses en vue, ses nouveaux projets dans lesquels se lancer et ses nouveaux défis !
Peut-être que certains d’entre vous ont déjà commencé plein de projets et d’activités, et pour d’autres c’est un peu plus flou…
Pour ma part, j’ai toujours aimé être actrice pour Dieu, avoir des engagements, des rêves… Au cours de ces dernières années, Dieu m’a rappelé une chose essentielle qui pourra vous paraître logique. Mais cela m’a montré que dans la réalité, je n’ai pas répondu à ce que Dieu me demandait en premier.
Beaucoup d’entre vous connaissent le passage sur le bon berger dans l’évangile de Jean au chapitre 10. Bien entendu, tout le monde n’est pas appelé à être un berger, mais ce n’est pas de cela précisément que je veux vous parler. Dieu m’a plus travaillée sur le fait d’avoir le « cœur » pour prendre soin des uns et des autres, le « cœur » tout simplement pour aimer l’autre sans faire de différences.
Nous formons un seul corps, et si l’un des membres souffre, le reste du corps souffre aussi. Si quelqu’un est dans la difficulté ou s’éloigne, n’est-il pas de notre devoir d’être là pour lui ?
Pour mieux illustrer ce que je veux partager avec vous, je vais raconter un peu mon vécu personnel. Ces dernières années, j’ai souvent été marquée par l’attitude de certains chrétiens : comment peut-on réagir de manière choquante, si l’on dit qu’on appartient à Christ ? Pourquoi un tel manque de soutien, et même parfois des paroles décourageantes lorsqu’on veut s’engager pour Dieu et qu’on appartient à la même famille ? Comment peut-on se dire chrétien et ne pas vouloir vivre sa vie pour Christ ?
Dans cette attitude un peu de révolte, Dieu m’a fait comprendre avec patience, que je ne considérais sans doute pas ces personnes comme des exemples ; mais en ayant ce jugement critique vis-à-vis d’eux, est-ce que j’étais moi-même un exemple ? Qui suis-je pour juger et condamner ? C’est difficile de ne pas être dans cet état d’esprit. Même en faisant des efforts, on y glisse si rapidement.
Avoir un cœur de « bon berger », c’est avoir un cœur pour chacun. Jésus ne « sélectionnait » pas ses brebis. Il aime et désire que chacune le suive et avance avec lui. Et si l’une se perd, il est prêt à la chercher là où elle est, sans la condamner, mais en la prenant telle qu’elle est.
Dieu nous demande avant toute chose d’aimer. Aimer sans juger, ni condamner, être là pour son prochain quel que soit l’endroit où il en est dans sa foi. Aimer même si nous sommes en désaccord. L’amour est patient, c’est lui qui donne la force nécessaire pour continuer à avancer et travailler ensemble malgré les divergences. Nous devons prier pour être remplis de cet amour.
Un jour, je discutais avec un ami plus jeune dans la foi, et je lui disais : « Je suis triste par rapport à l’attitude de certaines personnes, je ne les comprends pas. » Il m’a répondu : « Moi ce qui m’étonne, c’est qu’avant d’affirmer cela, tu devrais dire en premier que tu les aimes. »
Quelle belle claque ! Heureusement que Dieu est là pour nous guider et nous reprendre là où nous en avons besoin. Bien entendu, il y aura toujours des attitudes qui vont nous révolter, mais ce n’est pas ça qui fait changer les cœurs et les mentalités. Aimer et dire les choses dans l’amour est un sacré défi. Nous sommes appelés à annoncer l’Évangile (un message d’amour) et à former des disciples. Les gens auxquels nous témoignons et les personnes que nous formons, nous devons les aimer avant tout.
Nous pouvons avoir beaucoup d’engagements, mais si nous ne les respectons pas avec amour et dans l’amour sans sélectionner les gens, nous passons à côté de ce à quoi Dieu nous appelle en premier : aimer sans condition…
Il est dit que la plus grande des choses, c’est l’amour ( 1 Co. 13.13 ) ; c’est de l’amour que sont nées la foi et l’espérance… C’est par amour que Jésus est mort sur la croix pour nous afin de nous donner cette espérance nouvelle. Soyons des témoins, des témoins de cet amour.
Une nouvelle année vient de commencer pour chacun, et j’aimerais juste vous laisser une phrase comme un défi : Soyons des rébellutionnaires de l’amour .
Déborah, 21 ans, est étudiante sage-femme à Montbéliard.
Merci de nous lancer un défi si grand. Cet article tombe à point.
… et l’amour doit être l’élément qui motive nos pensées, nos paroles et nos actes. contaminons ceux qui nous entourent avec l’amour que Christ dépose dans nos coeurs! :-D
merci déborah, sois bénie
Cet article tombe à point pour moi aussi. La claque que je me prend. ^^ Merci !
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Publié le 11/04/2019 à 10h29

-
Mise à jour le 11/12/2019 à 15h51

par Magali Quent


- Lecture en 5 min


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09/05/2019 18:30



Répondre


Il y a 10 ans, en cherchant du muguet, un homme a sifflé et je l'ai vu, presque nu, se masturber ! Cela m'a rappelé toute mon enfance depuis mes 8 ans alors qu'un homme se masturbait à côté de moi alors que je jouais à la poupée sur un banc et ensuite, j'en ai vu des dizaines... de ce fait j'ai un vif dégoût de l'homme dorénavant ! I faut qu'on parle aussi des exhibitionnistes !

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Le coït n’a rien d’un passage obligé. Avoir des rapports aussi souvent ou aussi rarement qu’on le veut est une affaire personnelle. Et l’épanouissement sexuel n’est pas uniquement assujetti à deux corps qui s’emboîtent. À la condition que ce soit un désir partagé par le couple, il peut être aussi riche sous l’effet de caresses complices où le cheminement du plaisir sensuel et émotionnel s’émancipe alors de la performance physique parfois délicate, angoissante ou douloureuse… comme il se libère de la quête d’un orgasme coïtal qui lui non plus n’est pas une obligation.
La routine peut émousser le désir mais le stress anéantir la relation sexuelle. Chez l’homme, il spasme les artères et peut à lui seul entraver l’érection. Chez certains, cet incident peut tourner à l’obsession et induire un stress ajouté ne faisant qu’empirer la situation. D’autant que l’homme culpabilise aussi de frustrer sa compagne. Chez la femme, le stress du rapport, qu’il soit généré par sa propre histoire ou par ses complexes corporels, limite la lubrification et peut même contracter les muscles entourant le vagin et son entrée, rendant la pénétration impossible. S’en suit alors une conduite d‘évitement des rapports que l’homme attribuera à tort à ses érections moins vaillantes… C’est ainsi que le stress peut générer un blocage total de part et d’autre. Pire que la routine!
La pulsion sexuelle est aussi puissante chez l’un que chez l’autre. Mais chez l’homme, elle est visible alors que chez la femme, elle tempête à l’intérieur… Une femme a autant "besoin" de faire l’amour qu’un homme mais si lui s’en glorifie, elle a tendance à le taire, encore écrasée par le poids de la morale, cantonnant son désir au devoir conjugal et à la procréation. C’est d’ailleurs aussi pourquoi on pense à tort que les femmes ne peuvent faire l’amour que par amour.
La dimension psychologique est primordiale car il existe dans le cerveau des zones liées à la fonction sexuelle. Une grosse contrariété – personnelle ou professionnelle - et c’est tout l’enchaînement des réactions biochimiques qui en est bouleversé. En quelques secondes, l’érection retombe, la lubrification disparaît. Le désir peut être là mais momentanément, il n’y a plus de courroie de transmission. Reste que déficits hormonaux (des femmes et des hommes), problèmes métaboliques (surpoids, diabète…), organiques (vessie, coeur…) sont autant de freins!
En priorité les antidépresseurs qui font baisser la libido chez tous et altèrent la capacité érectile de l’homme. Certains neuroleptiques, anti-épileptiques, antiparkinsoniens peuvent également avoir des effets secondaires chez l’homme et la femme. Les médicaments contre l’hypertension et le cholestérol aussi. Mais quand on les prend, c’est qu’il y a une pathologie. Et, notamment en cas d’hypertension artérielle, ce n’est pas depuis que les médicaments sont pris que le trouble s’est installé mais depuis qu’il y a hypertension… Nuance! Mais il ne faut pas hésiter à demander à son médecin s’il n’existe pas d’autres classes de médicaments et ne surtout pas surstresser en lisant la liste des effets secondaires sur les notices!
Pas du tout, mais cette période de déséquilibre hormonal et psychologique nécessite un moment d’adaptation. On fait l’amour pour le plaisir ou concevoir des enfants. Or, là, le temps des bébés est terminé, le corps moins lisse devient source de gêne et la chute des œstrogènes rend les rapports parfois inconfortables. Alors beaucoup de femmes se demandent quelle est désormais la promesse. Et font souvent l’erreur de penser: "Si je ne suis plus créatrice de bébés, il faut que je sois créatrice de désir et de plaisir, sinon ça signifie que je suis vieille." Une sacrée pression ne servant qu’à démontrer sa valeur individuelle alors que désir et plaisir nécessitent d’être en paix, tendre avec soi-même et son partenaire pour réinventer une relation intime qui ne soit pas basée sur l’obligation et la performance mais la complicité et le jeu. Une fois cette nouvelle donne admise de part et d’autre, le feu d’artifice est prêt à redémarrer!
Après une hypertrophie bénigne de la prostate (adénome), il existe un risque important que l’éjaculation disparaisse et soit rétrograde vers la vessie. Mais les capacités érectiles sont rarement touchées. Après un cancer de la prostate, la fonction érectile est souvent diminuée mais peut se rétablir dans les deux-trois ans et il n’y a plus d’éjaculation. Mais il peut parfaitement y avoir orgasme sans éjaculation! Et les troubles masculins ne sont pas tous liés à la prostate. Il faudrait surtout que les hommes n’attendent pas deux ans pour consulter et bénéficier ainsi d’une prise en charge adaptée avant d’aggraver leur mal-être vis-à-vis d’eux-mêmes et de leur partenaire…
La sexualité, c’est comme le vélo: ça ne s’oublie pas mais on reste imprégné des expériences passées et des craintes associées. Si l’abstinence résulte d’une déstabilisation de l’image de soi, la reprise s’avère complexe car il faut alors oser considérer la rencontre charnelle comme enthousiasmante et non comme une épreuve. Et surtout accueillir son propre désir avec bienveillance et curiosité et non le réfréner par peur de l’échec. Car pour les femmes comme pour les hommes, moins il y a de rapports, plus le désir s’estompe jusqu’à disparaître. C’est un mécanisme psychologique qui permet d’éviter la frustration. Il est en effet et plus facile de ne rien faire qu’avoir peur de faire. Et cette abstinence installée parce qu’on doute de soi finit aussi par nourrir suspicion et colère… Renouer avec la sexualité, c’est retrouver confiance en soi et en l’autre. Et pour ça, il faut accepter son droit au désir.
Merci à Catherine Blanc, psychanalyste, psychothérapeute et sexologue et au Dr Antoine Faix, urologue, andrologue, sexologue, responsable du Comité d’andrologie et de médecine sexuelle de l’AFU.
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Qu’est-ce que l’amour, sinon un lien fort d’amitié, le désir et les sentiments en plus ? Est-ce réducteur de penser ainsi ? Evidemment, on ne désire pas tout le monde et on ne tombe pas amoureux tous les matins. Mais il y a une chose qui peut parfois se glisser l’air de rien dans une relation amicale et tout bouleverser, c’est la fameuse ambiguïté. Elle n’est pas obligatoire, et de très belles relations amicales existent et sont platoniques, heureusement ! Mais parfois les choses dérapent, et deux amis, deux meilleurs amis, se retrouvent confrontés à un dilemme : celui de l’attirance physique. Ils n’ont rien vu venir, ont cédé à une pulsion, à la tentation, et hop, c’est le dérapage. Après une soirée arrosée ou une soirée confidences, une envie, un manque, le regard sur l’autre qui change et les amis deviennent amants. C’est le cas de Juliette qui nous livre son témoignage : J’ai fait l’amour avec mon meilleur ami. Comment l’a-t-elle vécu ? Quelles sont les conséquences sur sa relation aujourd’hui ?
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