L'amour fait partie du sexe

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Il paraĂźt que faire l’amour est bon pour la santĂ©. Les relations sexuelles ont un effet positif sur le bien-ĂȘtre Ă©motionnel mais aussi sur la forme physique. Le sexe, bon pour le moral et pour le corps ? On fait le point.
Faire l’amour peut avoir un effet bĂ©nĂ©fique sur la santĂ© mentale. Au-delĂ  du sentiment de bonheur liĂ© Ă  l’union des corps, lors du rapport sexuel et plus spĂ©cifiquement de l’orgasme, le corps libĂšre une grande quantitĂ© d’ocytocine.
Également appelĂ©e “hormone de l’amour” ou “hormone du bonheur”, joue un rĂŽle clĂ© dans les rapprochements humains et provoque une contraction de l’urĂštre et de l’utĂ©rus au moment du coĂŻt. L’ocytocine est d’ailleurs Ă©galement sĂ©crĂ©tĂ©e lors de l’accouchement et de l’allaitement.
En plus d’ĂȘtre bonnes pour le moral, les relations sexuelles permettent de rĂ©duire l’anxiĂ©tĂ© et le stress. Comment ? Encore une fois grĂące Ă  l’ocytocine ! “Elle freine la sĂ©crĂ©tion de cortisol – l'hormone du stress -”, explique la Revue MĂ©dicale Suisse.
La libĂ©ration de la sĂ©rotonine, l’hormone impliquĂ©e dans la rĂ©gulation de l’humeur et de l’anxiĂ©tĂ©, procure Ă©galement un sentiment d’apaisement et de bien-ĂȘtre gĂ©nĂ©ral efficace contre le stress et l’angoisse.
La libĂ©ration hormonale au moment du coĂŻt agit comme un anti-douleur naturel. Le corps libĂšre un cocktail d’hormones du plaisir et du bien-ĂȘtre, l’ocytocine, la dopamine et l’endorphine qui aident Ă  attĂ©nuer la douleur.
Selon une Ă©tude baptisĂ©e “Menstrubation” et menĂ©e par la gamme de sex-toy Womanizer et la marque de cups Lunacopine, le plaisir sexuel serait efficace pour calmer les douleurs durant la menstruation. 70% des femmes interrogĂ©es estiment que la masturbation rĂ©guliĂšre a un impact sur l’intensitĂ© des douleurs menstruelles et permettrait de la rĂ©duire.
Faire l’amour favoriserait l’endormissement grĂące au shoote d’hormones libĂ©rĂ©s lors de l’acte sexuel. L'acte sexuel active la production de l’ocytocine et la mĂ©latonine augmente pour notre plus grand bonheur. DĂ©tendus et relĂąchĂ©s, les partenaires bĂ©nĂ©ficient d’un sommeil paisible.
Selon une Ă©tude publiĂ©e dans la revue mĂ©dicale European Urology en 2017, les chercheurs de l’universitĂ© de Boston aux Etats-Unis ont observĂ© une baisse du risque de cancer de la prostate (-20%) chez les hommes qui Ă©jaculaient au moins 21 fois par mois. En s’appuyant sur ces rĂ©sultats, les autoritĂ©s sanitaires britanniques avaient alors encouragĂ© les hommes de plus de 40 ans Ă  Ă©jaculer entre 13 et 21 fois par mois.
Le sexe aurait aussi un impact bĂ©nĂ©fique sur le fonctionnement du cƓur. En effet, lors d’un rapport sexuel le rythme cardiaque augmente ce qui stimule la circulation du sang. Faire l’amour serait donc un bon moyen de stimuler son systĂšme cardiovasculaire et de maintenir une bonne pression artĂ©rielle.
Dans son ouvrage Choisissez votre destin gĂ©nĂ©tique (Ă©d. Fayard) le Professeur Deray, chef du service nĂ©phrologie de La PitiĂ©-SalpĂȘtriĂšre Ă  Paris affirme que “chez les personnes ayant des relations sexuelles au moins une fois par semaine, les taux d’anticorps sont supĂ©rieurs de 30% et l’inflammation dans le sang s’abaisse”.
Selon une Ă©tude menĂ©e par l’UniversitĂ© de Wilkes en Pennsylvanie sur 112 Ă©tudiants en 2004 et relayĂ©e par la National Library of Medicine, la sexualitĂ© aurait effectivement un effet sur le systĂšme immunitaire. Un test salivaire a Ă©tĂ© effectuĂ© afin de dĂ©terminer le taux d’immunoglobuline A, des anticorps prĂ©sents notamment dans les muqueuses des voies respiratoires et digestives qui protĂšgent l'organisme contre les bactĂ©ries et virus. Les recherches ont permis de dĂ©terminer que le groupe qui avait des relations sexuelles une Ă  deux fois par semaine avait le taux d’immunoglobuline A le plus Ă©levĂ©.
Le sexe a aussi des vertus sur la forme physique. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al rĂ©vĂšle qu’à l’issue d’un rapport sexuel de 25 minutes les hommes brulent en moyenne 101 calories contre 69 pour les femmes.
Une dĂ©pense Ă©nergĂ©tique loin de dĂ©passer celle d’une sĂ©ance de sport (un jogging de 30 minutes Ă©quivaut Ă  276 calories pour un homme et 213 pour une femme en moyenne) mais qui permet de joindre l’utile Ă  l’agrĂ©able.
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Plaisir, orgasme, Ă©nergie
 le vrai rĂŽle du pĂ©rinĂ©e dans la sexualitĂ© - © iStock / fizkes






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Si on entend frĂ©quemment qu’un pĂ©rinĂ©e tonique accroĂźt les sensations durant dans la pĂ©nĂ©tration, son rĂŽle est bien plus vaste et prĂ©cieux. EnquĂȘte et conseils pour dĂ©couvrir cet alliĂ© plaisir de notre sexualitĂ©. 
On dit gĂ©nĂ©ralement du pĂ©rinĂ©e qu’il est un muscle et qu’il permet, lorsqu’il est en bonne santĂ©, d’augmenter les sensations lors du coĂŻt. En rĂ©alitĂ©, le pĂ©rinĂ©e est bien plus que ça, et son rĂŽle dans la sexualitĂ© est bien plus large. On pourrait mĂȘme parler de rĂŽles au pluriel puisque le pĂ©rinĂ©e demeure un organe clĂ© de notre vie intime. Ses promesses sont multiples : des rapports Ă©panouissants, une rĂ©appropriation de son plaisir et des orgasmes plus puissants. Et s’il est capable d’autant, c’est parce qu’il travaille de concert avec notre vagin et notre clitoris pendant l’amour, aussi qu’il alimente notre Ă©nergie sexuelle.   
Le pĂ©rinĂ©e se situe au cƓur de notre intimitĂ© et referme le bassin. Contrairement Ă  ce que l’on imagine, ce n’est pas un muscle ou une simple rĂ©union de muscles, mais une vĂ©ritable rĂ©gion au sein de laquelle on trouve de la peau, des viscĂšres, des ligaments, des vaisseaux, des orifices et, Ă©videmment (on y vient), des muscles. « Pour ĂȘtre juste, nous devons dire du pĂ©rinĂ©e qu’il est une zone, exactement comme la tĂȘte ou le pied », prĂ©cise d’emblĂ©e Sabrina, kinĂ© qui partage des posts et des vidĂ©os pĂ©dagogiques sur Instagram sous le pseudo Princesse PĂ©rinĂ©e . 
Au quotidien, le pĂ©rinĂ©e affiche deux rĂŽles majeurs : d’une part il soutient nos organes – sans lui, notre vessie ou encore nos intestins tomberaient par terre –, d’autre part, il est un lieu de passage. Car le pĂ©rinĂ©e n’est pas un bloc, il est « entrecoupé » par l’urĂštre, le vagin et l’anus, qui sont donc tous entourĂ©s par le pĂ©rinĂ©e. Cette double casquette pĂ©rinĂ©ale demande au pĂ©rinĂ©e d’ĂȘtre Ă  la fois solide – pour assurer le fameux soutien –, et souple, pour ĂȘtre capable de crĂ©er du mouvement et accueillir le pĂ©nis ou le sextoy, le nouveau-nĂ© lors de l’accouchement, ou encore l’urine ou les selles quand nous allons aux toilettes. 
DĂšs lors, on voit que le pĂ©rinĂ©e et le vagin ne font qu’un : si l’on dĂ©finit mĂ©dicalement le vagin comme un organe creux, cette cavitĂ© existe parce qu’elle est enveloppĂ©e par une partie du pĂ©rinĂ©e. Ainsi, un pĂ©rinĂ©e en forme participe aux sensations lors de la pĂ©nĂ©tration avec un pĂ©nis, un sextoy ou un doigt. D’autant que lors de l’excitation sexuelle, le vagin se « ballonise » – il ne reste pas lĂ  sans rien faire mais prend la forme d’une poire Ă  l’envers pour recevoir le pĂ©nis et l’enserrer Ă  l’entrĂ©e du vagin.  
Bien entendu, si les discours actuels tendent Ă  la dĂ©construction d’une sexualitĂ© (trop) pĂ©nĂ©trante, la pĂ©nĂ©tration n’est pas nĂ©cessairement une pratique Ă  exclure de nos pratiques : « Ce que l’on cherche Ă  dĂ©construire, c’est le fait d’ĂȘtre Ă  la disposition du pĂ©nis, pas de recevoir le pĂ©nis », recadre Princesse PĂ©rinĂ©e. Partant de lĂ , le pĂ©rinĂ©e octroie Ă  la sexualitĂ© fĂ©minine un caractĂšre actif. Ou plutĂŽt, comme le qualifie la sexothĂ©rapeute Nathalie Giraud Desforges , un caractĂšre « conscient » : « Le pĂ©rinĂ©e est une zone Ă  investir qui, parfois, n’est jamais investie, si bien que la sexualitĂ© n’est pas vĂ©cue de l’intĂ©rieur. Un pĂ©rinĂ©e que l’on investit est un pĂ©rinĂ©e qui nous invite Ă  accueillir le pĂ©nis, le sextoy, le doigt », dĂ©veloppe la spĂ©cialiste. En somme, dĂšs lors que nous prenons conscience de la prĂ©sence de notre pĂ©rinĂ©e et de ses rĂŽles, nous sommes plus actives et impliquĂ©es lors de la pĂ©nĂ©tration, et ce mĂȘme si on se trouve en missionnaire. 
Le pĂ©rinĂ©e ne se contente par ailleurs pas de « constituer » le vagin pour que celui-ci prĂ©sente un intĂ©rĂȘt pĂ©nĂ©tratif. Il intervient Ă©galement dans la fonction sexuelle. GrĂące Ă  ses contractions et dĂ©contractions volontaires ou involontaires, il est aussi une vĂ©ritable « machine de propagations Ă  sensations », nous dit Nathalie Giraud Desforges. 
Ainsi, lors du coĂŻt, et alors que le pĂ©rinĂ©e s’active, les corps spongieux de l’organe clitoridien – les deux pattes « intĂ©rieures » du clitoris – se gorgent de sang. Le sang va ensuite affluer vers le gland du clitoris (sa partie externe) et lui permettre d’entrer en Ă©rection. Exactement comme pour le pĂ©nis. « Cette Ă©rection est parfois discrĂšte, rassure Princesse PĂ©rinĂ©e. Parfois, le gland se tend vers le bas, ou gonfle peu. Mais c’est une Ă©rection quand mĂȘme ! » Selon la kinĂ©sithĂ©rapeute, le cerveau y est aussi pour quelque chose – au-delĂ  de ce phĂ©nomĂšne vasculaire, l’excitation est aussi cĂ©rĂ©brale. Quand nous ressentons du dĂ©sir et que notre imaginaire sexuel se met en selle, alors oui, le clitoris peut lĂ  aussi « bander ». Et c’est le pĂ©rinĂ©e qui se chargera d’accompagner le mouvement d’un point de vue physiologique. 
Le pĂ©rinĂ©e est un « rĂ©vĂ©lateur » de point G , pourrait-on dire. En effet, le clitoris s’étend Ă  l’intĂ©rieur du corps et enfourche le vagin. Pour visualiser le tableau, imaginons que le clitoris est Ă  cheval sur le vagin. Le point de contact clitoris-vagin est donc une zone de plaisir. Mais elle s’exprime grĂące au travail du pĂ©rinĂ©e. 
« Si le pĂ©rinĂ©e se contracte, le clitoris se mobilise aussi. Plus la contraction est forte, plus le clitoris interne descend sur la zone dite du point G », expose la gynĂ©cologue-obstĂ©tricienne Odile Buisson, qui a menĂ© des travaux sur le sujet, dans son ouvrage « Qui a peur du point G ? » (Ă©d. Jean-Claude Gawsewitch), co-Ă©crit avec le mĂ©decin Pierre FoldĂšs. En d’autres mots, et s’il nous fallait lĂ  aussi une image, disons que grĂące aux contractions pĂ©rinĂ©ales, le clitoris fait « à dada » sur le vagin, et qu’à chaque contact entre le cavalier et la monture, clitoris et vagin s’épousent pour un maximum de plaisir interne. 
Lors des rapports sexuels, un pĂ©rinĂ©e tonique se contracte automatiquement, d’autant plus si nous bougeons le bassin pour entrer dans la danse. Pendant l’orgasme, cette fois, les contractions sont dites involontaires : en effet, à l’acmĂ© du plaisir, des contractions musculaires rapides sont observĂ©es dans la rĂ©gion pĂ©rinĂ©ale. 
Si le pĂ©rinĂ©e semble trĂšs bien se dĂ©brouiller tout seul, il va de soi que nous pouvons l’accompagner pour accentuer les sensations vaginales, encourager le sang Ă  gagner les muqueuses et donc le gland du clitoris, rencontrer le point G et intensifier l’orgasme. Mais avant de s’impliquer, Nathalie Giraud Desforges suggĂšre d’abord de prendre conscience des contractions et dĂ©contractions automatiques du pĂ©rinĂ©e, qui tel un papillon ouvre et ferme ses ailes. AprĂšs ça, place aux contractions volontaires. Pour cela, il convient de s’entraĂźner en dehors du lit : « On essaie de rapprocher ses petites lĂšvres et de remonter son sexe », explique Princesse PĂ©rinĂ©e, qui prĂ©cise qu’en cas d’imperception, il est possible de consulter un professionnel de santĂ© le temps d’une sĂ©ance pour dĂ©couvrir son pĂ©rinĂ©e. Idem en cas de douleur : « Ça ne doit jamais faire mal », insiste la kinĂ©. 
Une fois familier, l’exercice peut se rejouer pendant l’amour. Et si on veut faire « plus simple » et soutenir la contraction, on tente d’enserrer le sextoy ou le pĂ©nis, comme si on cherchait Ă  l’absorber. Pour la petite astuce, contracter son pĂ©rinĂ©e peut provoquer l’orgasme et le rendre plus puissant : « On peut contracter puis dĂ©contracter le pĂ©rinĂ©e en rythme, soit en amont de l’orgasme pour imiter les contractions de l’orgasme et tenter de le provoquer, ou bien aprĂšs un orgasme pour le faire durer plus longtemps voire mĂȘme en atteindre un deuxiĂšme », propose LaurĂšne DorlĂ©ac, fondatrice de la sĂ©rie Ă©ducative « Climax » dont la saison 2 , disponible depuis juin dernier, se concentre sur le plaisir fĂ©minin interne. Attention nĂ©anmoins : « Tout est une question de micromouvements. Il faut y aller dans la douceur, pas dans la force », rappelle la sexothĂ©rapeute Nathalie Giraud Desforges. 
« Dans le tantra, le pĂ©rinĂ©e est le chakra de base. On apprend Ă  respirer par le pĂ©rinĂ©e afin que l’énergie de cette zone se dĂ©ploie dans le reste du corps », explique Nathalie Giraud Desforges. Mais comment respirer « par le pĂ©rinĂ©e » ? En respirant « du nez au pĂ©rinĂ©e », pour reprendre les termes du Dr Bernadette de Gasquet, qui nous rappelle qu’une bonne expiration ne revient pas Ă  rentrer « bĂȘtement » le ventre, ou Ă  le relĂącher ; il faut veiller Ă  « remonter » son pĂ©rinĂ©e. A l’inverse, et pour rendre la pratique plus simple, disons que le pĂ©rinĂ©e ne doit pas ĂȘtre Ă©crasĂ© et poussĂ© vers le bas lors de la respiration. 
Au lit, pas la peine de respirer
Un coach baise son Ă©lĂšve
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Une tarte Ă  la crĂšme pour Gigi Spice

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