L'amour anal est son préféré

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L'amour anal est son préféré
Le journaliste préféré des Français ne pouvait que faire son grand retour en radio sur l'antenne de RTL. Harry Roselmack rejoint RTL pour animer une émission historique et emblématique de la station. Chaque samedi, il est aux commandes du « Journal Inattendu » de 12h30 à 13h30. A l'occasion de la braderie annuelle symbolique de la capitale des Flandres, RTL, fidèle partenaire de l'événement, part à la rencontre des Lillois samedi 5 septembre. C'est donc à Lille que Harry Roselmack fera sa grande première ! Dans le studio installé au café La Cloche, il accueillera Martine Aubry, sa première invitée de la saison. Et comme le veut la tradition de cette émission, l'invité, qui endosse le rôle de rédacteur en chef d'un jour, recevra son propre invité. Le maire de Lille a choisi de convier Arnaud Delbarre, le directeur de l'Olympia à Paris, dont elle mènera l'interview. Martine Aubry réagira en direct à l'actualité du jour, participera aux rappels de titres et écoutera les reportages qu'elle aura commandés et auxquels elle aura participé en collaboration avec Franck Antson, le correspondant de RTL dans le Nord. Ensemble ils se sont rendus dans un collège de la banlieue lilloise. Deux chroniqueurs les rejoindront dans le studio RTL. Monique Younès brossera le portrait de l'invitée et dans « la semaine vue par Frank Moulin », le reporter dressera un tour d'horizon de l'actualité de la semaine, illustrations sonores à l'appui.
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Claire Holsteyn, spécialiste de l’adolescence répond sans tabous aux questions que se posent les garçons au sujet du sexe…























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Claire Holsteyn : « A 12 ans, il mesure 3 à 5 cm au repos, et 8 en érection. A l'âge adulte, en moyenne 9 cm au repos et 16 en érection. Le pénis grandit tout au long de la puberté qui finit, chez les garçons, vers 17 ans. Mais ce n'est pas sa taille qui compte (et elle n'a pas de lien direct avec le plaisir donné et reçu), c'est la façon de s'en servir et, comme disaient nos grands-mères, mieux vaut une petite travailleuse qu'une grosse fainéante ! »
C. H. : « Non, c'est plutôt trop tôt ! La majorité sexuelle est à 15 ans , l'âge qui permet d' avoir des relations sexuelles avec la personne de son choix à condition qu'elles soient librement consenties. Ton corps doit être prêt physiologiquement ! La moyenne d'âge de la première fois, 17 ans, n'est qu'une moyenne ; certains le font plus tôt, d'autres plus tard. A chacun son rythme, comme quand, petit, on apprend à marcher. En écoutant parler autour de toi, tu peux penser que tous les autres l'ont déjà fait et te croire en retard, mais méfie-toi de ceux qui parlent beaucoup. Ce ne sont pas ceux qui en font le plus ! Parfois, il vaut mieux attendre un vrai désir , que la fille t'attire vraiment pour que ce soit super. »
C. H. : « Non. Par réflexe, quand le pénis est en érection , l'orifice de la vessie se ferme grâce aux muscles qui l'entourent, et seul le sperme peut sortir . »
C. H. : « Certainement ! Les garçons ont généralement une éjaculation , et donc un orgasme , dès les premières fois. Ils ont en cela une longueur d'avance sur les filles. Ensuite, avec l'expérience, cette courte jouissance s'amplifiera. »
C. H. : « Prends le temps de l'apprivoiser, surmonte ta timidité, prends-lui la main, sois tendre, elle n'attend peut-être que cela ! Et patiente, ce qu'on a désiré longtemps, on l'apprécie d'autant plus. Mais ne lui mets pas la pression pour qu'elle fasse l'amour avec toi, cela risque de gâcher une relation qui pourrait être belle... Et puis tu n'es pas obligé de faire l'amour avec toutes les filles avec qui tu sors !»
C. H. : « C'est un plaisir solitaire qui soulage les tensions et les pulsions, et peut t'aider à mieux connaître comment tu fonctionnes au niveau plaisir et à maîtriser tes orgasmes . La plupart des garçons se caressent le pénis pour se procurer une jouissance, certains occasionnellement, d'autres régulièrement. C'est intime, sans danger, mais ce n'est absolument pas une obligation ! »
C. H. : « C'est fréquent au début et fait partie des petits ratés de l'apprentissage. On n'est pas sûr de soi, stressé par la peur de « débander »... et on éjacule avant d'avoir pénétré sa partenaire, ou tout au début de la pénétration. Peu à peu, tu apprendras à te contrôler, à garder l'érection plus longtemps, et à te retenir pour laisser à ta partenaire le temps de ressentir des sensations. Et son plaisir décuplera le tien ! »
C. H. : « Ce n'est pas grave d'en regarder occasionnellement, la plupart des garçons s'en servent, comme des revues érotiques , pour s'instruire sur le sexe. Mais c'est dommage d'en prendre l'habitude. Si c'est pour toi une drogue, demande-toi pourquoi. Parce que tu ne fais pas l'amour en vrai ? Parce que tu crois avoir besoin d'un prof ? Cela se découvre à deux, et les films ne t'aident pas, car à vouloir faire pareil, tu te prives d'explorer des choses par toi-même. Ces films sont d'ailleurs interdits à la vente aux moins de 18 ans. »
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Sous Androcur pendant des années, elles ont un jour découvert qu'elles avaient un méningiome. "Ne vous inquiétez pas, c'est une tumeur bégnine" leur a-t-on dit. Pourtant, nombre de ces femmes souffrent aujourd'hui de graves séquelles dues à l'opération chirurgicale. Elles témoignent.
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Les inquiétudes autour de l' Androcur, un traitement hormonal soupçonné de provoquer des méningiomes (tumeurs au cerveau) chez les femmes, ne cessent d'augmenter. Bénéficiant d'une autorisation de mise sur le marché (AMM) comme traitement contre l'hirsutisme (pilosité extrême), il est aussi largement prescrit -hors AMM- comme anti-acnéique ou pour des pathologies gynécologiques tels que le syndrome des ovaires polykistiques ou l'endométriose .
Plusieurs victimes commencent à se regrouper notamment via le groupe Facebook "Méningiomes sous ANDROCUR" qui compte près de 209 membres. Quelques-unes d'entre elles ont accepté de nous raconter leur histoire et de témoigner sur les souffrances vécues au quotidien après leur opération.
Marlène, 39 ans : "J'ai pris de l’Androcur pendant 12 ans pour des problèmes de pilosité. Le médecin qui me l’a prescrit ne m’a pas informé des risques. En décembre 2017, j’ai commencé à avoir des troubles de la parole, les mots me manquaient, j'en inversais certains. En l’espace de 2-3 jours ça s’est aggravé. J’ai consulté mon médecin traitant qui m’a dit de me rendre aux Urgences. Je suis partie avec mon sac à main en pensant rentrer chez moi le soir et au final j’ai passé un mois à l’hôpital. Je garde beaucoup de séquelles de l'extraction du méningiome, et j'ai un suivi très rapproché.
Je suis très fatiguée, j’ai des troubles de mémoire et du langage, je fais des crises d'épilepsie.
Je dois donc suivre des séances d’orthophonie, de kinésithérapie et suis sous anti-épileptique. Malheureusement, ce sont des répercussions "invisibles", mais qui sont très handicapantes. Je suis une bosseuse et je me retrouve cloitrée chez moi. Je n’ai même plus le droit de conduire à cause de mon épilepsie . Je n'ai plus le droit d'emprunter et j'ai perdu la capacité de travailler et je doute que cela s’améliore. Tout cela a des conséquences physiques, financières et familiales. J’ai un fils de 5 ans qui n'était pas prêt à voir sa mère passer un mois à l'hôpital. Il en a beaucoup souffert et dès que je ne vais pas bien il s’inquiète. Ma vie est dévastée. Quand je contemple celle que j’avais avant, ça me fait très mal. Je me console en me disant que je vais peut-être aider d’autres femmes. Je veux mettre un coup de pied dans la fourmilière. De toute façon, soit je vais dans cette démarche, soit je déprime car je suis déjà dans une grande tristesse. Il ne faut pas que je me laisse emporter. Mais la chance que j’ai c’est d’être en colère. 
Les femmes et les médecins doivent être informées. Il faudrait que l’information et la notice évoluent, que les médecins arrêtent de le prescrire sans surveillance, voire même qu’ils arrêtent tout court. Certains patients ne sont pas capables de comprendre une information médicale, de s’en souvenir, il faut pouvoir comprendre les dangers d’un médicament. Alors oui, tout le monde ne développera pas un méningiome, mais celle pour qui c’est le cas, cela peut être dramatique. Il ne faut pas que ça puisse arriver. Et quand bien même le patient est informé, est-ce qu’il peut saisir la gravité de la chose et en être responsable ? Bien sûr que non. Ce n’est pas normal de se contenter d’une phrase dans une notice pour informer sur les risques. C’est terrible que tout le monde réagisse quand c’est déjà trop tard."
Coline, 26 ans : " On m’a mise sous Androcur à l’âge de 17 ans après une opération d’un kyste à l’ovaire. J’avais de l’hyperpilosité, de l’ acné et une suspicion de syndrome des ovaires polykystiques . On m’a vendu Androcur comme le médicament 'miracle' pour mettre mes ovaires au repos. Ça a été le cas. Pendant cette période, je n’avais plus de règles , mes problèmes de peau et de pilosité étaient réglés. Fin 2016 j'ai commencé à avoir des vertiges , maux de tête, une grosse fatigue . J’ai fini par tout voir en double car le nerf optique était atteint. Je suis allée aux Urgences, ils m’ont dit de consulter un ophtalmologue. Mon médecin traitant m’a dit que c’était certainement dû à la fatigue alors que je ne pouvais absolument pas conduire ou me déplacer seule. En février 2017 j’ai réussi à avoir un RDV chez un ophtalmologue en urgences. Il a très vite compris qu’il y avait un problème et il m’a prescrit une IRM. J’avais donc un méningiome gros comme une clémentine.
Mon méningiome était prêt à exploser et avait fait bouger mon cerveau.
Visiblement il était là depuis longtemps. Le chirurgien m’a dit que si ça n’avait pas été pris à temps je ne serais peut-être plus là aujourd’hui. Il a tout de suite fait le rapprochement avec mon traitement. Il était extrêmement surpris de par mon âge car il en avait déjà entendu parler mais chez des femmes plus âgées. J’ai été hospitalisée, on m’a donné un traitement à base de cortisone pour faire dégonfler l’œdème que la tumeur avait provoqué et j’ai été opérée 10 jours après. Mon opération a duré 9h, elle comportait beaucoup de risques et c’était vraiment compliqué. À la biopsie le méningiome n'était fait quasiment que de particules d’Androcur.
Mon méningiome était à un grade 2 voire 3 donc il y a un très gros risque de récidive. Je n’ai absolument plus le droit de prendre de traitement hormonal quel qu’il soit pour le reste de ma vie. J’ai une cicatrice douloureuse qui représente environ 80 points de suture. J'ai des maux de tête, mon sourcil droit est paralysé et ne bouge plus depuis l’opération. Tous les 4 mois je passe des IRM. Après l’opération j’étais très en colère et j’avais envie de réagir mais j’étais tellement fatiguée ! Ce que le traitement avait réglé, maintenant c’est amplifié. Mon problème d’acné est démultiplié, mes hirsutismes aussi. Je ne pourrai plus jamais prendre de contraceptif hormonal . C’est un cache-misère qui semble bien sur le moment mais qui ne l’est pas du tout et j’aurais voulu le savoir. 
Il faut alerter les jeunes femmes qui sont sous Androcur car ça n’arrive pas qu’aux femmes après 40 ans. Et il devrait y avoir des examens plus poussés lors des prescriptions. En y repensant, j’en avais parlé à ma gynécologue sur les conseils d’une pharmacienne qui m’avait dit de faire attention à ce médicament. Cela faisait deux ans que je le prenais. Elle m’avait répondu qu’il n’y avait pas d’études sur le sujet, qu’il y avait potentiellement un risque après des dizaines d’années de prise, mais que ce n’était pas avéré et que ça n’arriverait certainement pas à une femme de mon âge. Quand je l’ai appelé pour lui dire que j’avais un méningiome sa défense a été de dire 'ne paniquez pas car de toute façon c’est une tumeur bégnine'. Mais les séquelles de l’opération et le fait qu’il puisse y avoir des récidives ce n’est pas rien ! Avant l’opération on m’avait dit que je risquais de perdre la parole, l’ équilibre , la mémoire . C’est quelque chose de lourd. On touche au cerveau tout de même !"
Nadine, 41 ans : "J'ai pris Androcur pendant un peu plus de 10 ans pour traiter mon endométriose . J’ai eu un curetage complet des organes internes et ma gynécologue voulait éviter une récidive donc mes ovaires ont été mis au repos sous ménopause artificielle. J’ai voulu l'arrêter et passer à une pilule contraceptive mais je ne supportais pas donc j’ai continué l’Androcur. J'ai commencé à ressentir les premiers symptômes en juillet 2016. Quelques vertiges, des nausées... Mais il se passait pas mal de choses dans ma vie donc j’ai mis ça sur le compte de la fatigue. Des migraines se sont installées de manière de plus en plus 'précise' c’est à dire à point localisé. J’avais l’impression qu’on m’arrachait l’œil. Je ne dormais plus , les nausées et vomissements étaient de plus en plus fréquents. Ça passait avec des cachets d’Ibuprofène donc on me disait que ça ne devait pas être si grave. J’ai consulté ophtalmo, dentiste, ORL, ostéopathe, chiropracteur... Mon médecin traitant me disait que j’étais trop stressée et que ça 'bloquait' mes cervicales. Il m’a juste prescrit un scanner des cervicales . Je commençais à culpabiliser. Au bout d'un moment mon chiropracteur s'est inquiété. Il voulait que je passe une IRM. Mais mon médecin traitant refusait. Je souffrais le martyr, il n’était pas à mon écoute, me prescrivait des décontractants musculaires. Dans le même temps, j’avais décidé d’arrêter Androcur pour pouvoir tomber enceinte donc j’ai consulté ma gynécologue. Elle m’a vu en pleine crise et n’a pas trouvé ça normal, elle était très inquiète et c’est elle qui m’a prescrit l’IRM.
Ils ont découvert trois méningiomes. J’ai également appris que j'étais devenue stérile . Donc l’Androcur n’a même pas serv
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