L'ami de mon frère me fait soupirer

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L'ami de mon frère me fait soupirer

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Les histoires de Victor Le Pieux



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Humiliations, bizutages et chantages
Je m’appelle Julie, je vis à la campagne pas loin de Cruas dans l’Ardèche. C’est un coin tranquille et calme… trop calme. Je m’ennuie terriblement chaque jour, et je ne peux même pas me distraire en surfant sur internet, on est en zone blanche.
Le plus souvent j’occupe mes journées en me baladant avec mes trois meilleures amies. On se promène au milieu des prés, des chèvres et des vaches et on bavarde. C’est agréable, mais c’est aussi très chiant. Et puis j’ai l’impression de faire tache parmi elles. C’est des filles simples qui ont des plans d’avenir tout tracés. L’une veut reprendre la boulangerie de son papa, une autre souhaite travailler à la ferme familiale, et la dernière est un juste un peu simple (mais gentille.).
Moi je rêve d’aller en ville, à PARIS ! de poursuivre mes études et de devenir une patronne. J’ai de l’ambition, et des envies d’ailleurs. Des envies qui vont se réaliser ; à la fin du mois d’août, je pars à la capitale pour étudier en fac… Tout serait parfait sauf que j’ai la trouille. J’ai bien conscience d’être une cul-terreuse, une petite ardéchoise qui ne connaît rien à la vie en ville. Alors chaque fois que mon frère revient je l’assaille de questions.
Mon frère, c’est Marc, lui aussi fait ses études à Paris. Il passe un doctorat ! Alors je lui demande comment s’habillent les filles dans son université, combien de fois il faut faire la bise, si c’est bien vu de dire qu’on vient de la campagne… il y a tellement de choses que j’ignore… Je sais que je l’agace avec mes questions, mais c’est le seul mec à qui je peux les poser. Les garçons du coin sont encore plus pécore que les filles ; une fois, je suis sortie avec un de ces garçons de la campagne et ça s’est mal passé. Je me souviens qu’on s’embrassait et qu’il voulait aller plus loin, alors je lui ai demandé :
— Non, jamais je mettrais un truc comme ça, c’est pour les pédés.
— Mais je risque de tomber enceinte.
— Bah et alors ? Les vaches font bien des veaux, et tant mieux. »
Inutile de dire que j’ai mal pris d’être comparée à une vache. De toute façon à la campagne, les femmes c’est juste censé s’occuper de la maison. Je n’avais aucune envie de rester avec des bouffons pareils.
Pour en revenir à mon frère, il est justement de retour de Paris. Hier, on a festonné pour fêter son arrivée et aujourd’hui Maman est partie à la ville où elle travaille comme coiffeuse. Du coup dès le petit déjeuner je questionne mon frère :
« Et tu as des petites amies là-bas ?
— Oh oui ! Tu sais, en ville c’est très différent d’ici. Coucher c’est courant, c’est même comme ça qu’on se fait des réseaux.
— Oui, on se fait des relations qui seront utiles plus tard. C’est pour ça, il faut pas hésiter à coucher…
— Sérieux ? (je rougissais un peu), mais tu es sorti avec plusieurs filles alors ? Genre trois ?
— Ahahaha ! T’es loin du compte. En fac, on baise comme jamais, on est rarement avec la même fille d’un mois sur l’autre. Depuis le début de l’année, je suis sorti avec au moins huit gonzesses. Et c’est sans compter les coups d’un soir…
— Eh bien oui. Tu vois il y a des fêtes organisées chaque semaine, et si tu ne veux pas passer pour le dernier des ringards, il faut coucher avec des filles à ces soirées.
— Mais ces filles, c’est des putes ?
— Mais non ! c’est des étudiantes aussi… Tu sais, à Paris c’est pas comme ici, les filles sont pas coincées. Elles savent que baiser ça fait partie du cursus. Ça leur permet de se faire des relations, et de l’expérience.
— Pour les relations, c’est simple. Un garçon va avoir du mal à refuser de partager son travail avec une fille avec qui il a couché. C’est important parce qu’il faut publier des articles dans des journaux scientifiques, et ça permet à certaines filles d’ajouter leur nom en signature.
— C’est simple, tu sais, ici, une fille qui couche avec tout le monde c’est mal vu.
C’était pour ça aussi que je ne veux pas coucher avec des garçons, j’aurais trop honte d’aller acheter des préservatifs ou des pilules à la pharmacie.
« En ville, une fille qui couche beaucoup, souvent ça veut dire que c’est un bon coup. Enfin… c’est plus compliqué que ça, on en parle entre mecs, on se donne les bons tuyaux… On discute pour savoir celle qui est la meilleure pour faire bander un mec, de celle qui suce le mieux… » 
Je rougis encore plus en entendant mon frère expliquer comment les garçons voient les filles à la fac. Moi qui pensais qu’en université c’était l’intelligence qui comptait, je me trompais lourdement. C’était tout le contraire, c’était la beauté et le physique qui vous assuraient un avenir. Mon frère poursuivait :
« Et les filles dont on dit du bien, on cherche à coucher avec. C’est un genre de cercle vertueux. Plus une fille assure au lit, plus elle a des prétendants potentiels, et plus elle peut choisir judicieusement avec qui baiser… Celui qui est intelligent, beau et riche par exemple. » 
Je reste silencieuse le temps de réfléchir à tout ça. Car ce qu’il me dit m’inquiète beaucoup, alors je demande :
« Mais… si les garçons disent d’une fille que c’est un mauvais coup alors…
— C’est embêtant pour elle, personne ne voudra travailler avec elle, parce que personne ne sera intéressé à coucher avec elle. Alors elle aura de moins bons résultats et, au final, elle risque d’échouer à son diplôme.
— Mais c’est horrible ! On va se moquer de moi ! J’ai jamais couché avec personne !
— T’es sérieuse ?! C’est embêtant ça… Enfin tu sais quand même sucer ? »
Je suis affreusement embarrassée par la question de mon frère, non seulement c’est une question intime, mais en plus je dois avouer mon inexpérience quasi totale.
« Non… mais j’ai déjà embrassé un mec.
— Ma pauvre, tu vas être bien dépaysée là-bas…
— Je ne peux pas rater mes études ! Je veux pas revenir ici en ayant été recalée !
— T’en fais pas… Tu as quand même tes chances, tu n’es pas idiote.
— Non ! Non ! Non ! Je veux pas prendre de risque, il faut que j’apprenne à plaire aux garçons. »
Mon frère me regarde attentivement, il se caresse le menton comme s’il est en pleine réflexion, puis il lâche un soupir et déclare :
Je me jette dans ses bras : « T’es le meilleur grand frère du monde ! » Je le sers fort fort fort pendant deux bonnes minutes avant de relâcher mon étreinte.
— Oui, je veux savoir de quelle façon tu te perçois.
— Euh… Alors je suis blonde, j’ai des yeux verts, je mesure un mètre soixante-dix, je chausse du quarante. Euh… je suis blanche, je suis Ardéchoise. Voilà.
— C’est très mauvais. C’est pas du tout comme ça que les garçons vont te voir. Déjà il faut te rendre sexy. À chaque caractéristique physique trouve-toi une qualité sensuelle, et ensuite insiste sur euh… les parties plus… intimes.
— Tes seins, tes fesses, ta chatte.
Mon visage prend une couleur pivoine, j’ai honte de parler de ces choses-là à mon frère, mais c’était nécessaire si je veux avoir une chance à Paris.
– Ok… Alors, j’ai les cheveux blonds comme les prés, mon visage est sensuel, fin et doux, et j’ai un petit nez mutin. Si on regarde mes yeux attentivement, on devine que je suis douce et docile. J’ai de gros seins, presque comme des pastèques, avec ça il y a de quoi me palucher. Mes jambes sont galbées, et mes fesses ont la forme d’un cœur. Quant à ma chatte… euh… qu’est-ce que je peux dire ?
— Comment elle est rasée, est-ce qu’elle mouille facilement, ce genre de chose.
— Oh… » je baissais la tête n’osant même plus regarder mon frère dans les yeux. « Ma chatte n’est pas rasée, et je mouille normalement, je pense. 
— Ça ne va pas du tout ! Il va falloir que tu t’épiles, toutes les étudiantes ont une chatte bien entretenue, c’est un minimum. Bon, comme tu es ma sœur, je vais te dire ce que les garçons préfèrent : c’est le ticket de métro.
— Un ticket de métro ? Quel rapport avec ma euh… chatte.
— T’es vraiment pas à la page. Ticket de métro, ça veut dire, rasé en rectangle et de la taille d’un ticket de métro… Tiens… » il me tend un ticket. « Tu vas aller dans la salle de bain et tu ne ressortiras que quand ta chatte aura la même taille que ça. »
Je vais dans la salle de bain j’ai l’impression d’être une souillon, je vais faire des coquineries pendant que mon frère attend en sachant ce que je m’apprête à faire. Une fois dans la salle de bain, je retire ma jupe à fleurs puis ma petite culotte blanche. Je regarde mon petit minou qui était couvert de poil dru… c’est vrai que les garçons ne doivent pas trouver ça bien excitant, j’aurais eu l’air vraiment sotte si un garçon de la ville voyait ça.
C’est alors que j’ai un gros doute, et si je ratais ? Si je rase mal ma petite chatte qu’elle ne ressemble plus à rien ! J’aurais l’air encore plus ridicule ! Je passe la tête par la porte et cri :
« Marc, tu peux venir une seconde ? »
Je l’entends arriver et je me rhabille avant qu’il n’entre. Puis, je lui fais part de mes doutes :
« Si je rate ! Si ça a une forme moche ! J’aurais l’air d’une vraie idiote. Je sais pas quoi faire !
— Tu n’es vraiment pas dégourdie. Mais c’est vrai que tu n’as jamais été doué de tes dix doigts… Bon, pour cette fois je vais t’aider, mais la prochaine fois, tu devras te débrouiller toute seule.
— Ouais…. Bon… qu’est-ce que tu attends ?
— Eh bien, je veux bien te raser la chatoune, mais je ne vais pas retirer tes vêtements à ta place. T’es une grande fille maintenant, non ? Tu sais te déshabiller toute seule.»
Mince ! Je suis vraiment idiote, je n’ai pas réalisé que je vais devoir me mettre presque toute nue devant mon grand frère. Tout un coup, j’hésite, je peux tenter de me raser la chatte toute seule… Mais déjà qu’il me pense nunuche, si en plus il pense que je suis girouette, il risque d’arrêter de me conseiller.
Je retire ma fine jupette à imprimé à fleurs, puis ma petite culotte. Je vois que mon frère rougit lui aussi, mais il réussit à garder une expression relativement neutre. Il faut dire que lui, il a l’habitude de voir des minous à Paris…
« Écarte les jambes, que je m’approche. »
Je m’assois sur la baignoire et ouvre mes cuisses, il peut maintenant voir ma petite fente. Malgré la honte que j’ai de demander à mon frère de m’aider à cet endroit, je me sens un peu excitée. C’est la première fois qu’un homme me voit aussi nue…
« Dis-moi, tu prétendais que tu mouillais normalement, mais j’ai l’impression que t’es une vraie petite dévergondée. »
Je ne réponds rien, le liquide qui s’écoule de mon abricot parle à ma place. Mon frère secoue la bombe à raser et presse le bouton déclencheur, la mousse jaillit de la bombe et se répand sur mes poils de foufoune. Le contact est doux, mais un peu frais et je frémis. Puis, avec le rasoir, il commence à raser les bords, faisant tomber de bonnes quantités de poils. Il est vraiment doué à raser des chattes, peut-être qu’il pratique ça sur certaines de ses petites amies. Il sort ensuite un petit ciseau du placard à pharmacie et se met à couper. Je vois ma toison fondre peu à peu. Ce qui était il y a dix minutes une forêt vierge se transforme en piste d’atterrissage. Il donne le dernier coup de ciseau, puis avec un gant de toilette il caresse ma petite chatte pour retirer toute la mousse. Je ne peux m’empêcher de pousser un petit gémissement à me faire caresser ainsi.
« Un peu de sérieux, Julie ! Je ne fais pas ça pour te donner du plaisir, mais pour que tu sois présentable quand tu arriveras à Paris. »
Je suis vraiment embarrassée… Il doit penser que je me comporte comme une petite salope pour ne pas savoir se retenir quand mon propre frère me touche, en tout cas il aborde une mine sévère… Je baisse les yeux, un peu honteuse et constate avec ravissement le résultat de son rasage. J’ai vraiment une chatte de femme, quelque chose qui donnerait une sacrée trique à tous les garçons qui la verront. Je pose ma main dessus pour la caresser et sentir le poil coupé ras… c’était si doux et mignon.
Oups, j’ai oublié que mon grand frère est là, en train de me regarder me caresser.
À nouveau j’enlace mon grand frère. Mais cette fois, alors que son corps est collé contre le mien, je sens qu’une grosse bosse s’est formée au niveau de son entrejambe. Je relâche mon grand frère, intimidée de produire cet effet.
« Alors, c’est bon ? Je suis assez canon pour les mecs de la ville ?
— Pour le bas, ça va. Maintenant, je voudrais voir le haut.
Évidemment que je lui fais confiance. Je ne réponds même pas à sa question et je retire mon t-shirt. Dessous j’avais un soutif beige que je déclipse. Mes deux gros seins plantureux sont maintenant pleinement visibles… et je suis complètement à poil devant mon frère.
« Alors qu’est-ce que tu en penses ? demandé-je.
— Ça ne va pas. D’abord tes vêtements… il faudra tout changer. Comme tu n’as pas besoin de Wonderbra, et c’est tant mieux, tu vas acheter de la lingerie, des soutiens-gorge en dentelle, et des strings. Quand tu porteras un chemisier, tu feras bien attention à avoir un décolleté plongeant. Pour ta jupe, elle ne doit pas tomber plus bas que tes cuisses, sinon tu auras vraiment l’air de débarquer de la province. »
Ou la la ! Moi qui étais atrocement gênée quand je portais un bikini à la plage… Il fallait donc que je montre tous mes atouts aux garçons qui étudieront avec moi… Et même aux profs !
Marc continuait : « Il faudra ajouter quelque chose d’autre pour te faire remarquer, qu’on veuille te déshabiller…
— Un piercing sur un téton par exemple, ce sera sensuel. Et tu devrais te faire un tatouage aussi, ça montrera que tu es fière de ton corps.
— Oui, si tu ne veux pas passer pour une grue. Mais si tu ne veux pas suivre mes conseils, je peux m’arrêter là.
— Autre chose, tu as honte de ton corps ?
— Alors pourquoi mets-tu une main devant ta chatte et l’autre devant tes nichons ? »
C’est vrai ! Je ne m’en suis même pas rendu compte. C’est un genre de réflexe, c’est la première fois que je suis toute nue devant un homme, et c’est d’autant plus gênant que cet homme, c’est mon frère. Je retire vite mes mains de devant ma foufoune et ma paire de nibards.
« Très bien, mais je vois bien que tu n’es pas à l’aise, tu es trop pudique. Ce que tu vas faire, c’est que tu vas rester nue chaque fois que maman sera absente, ça te donnera plus de confiance en toi. Maintenant, viens avec moi. »
Je le suis alors qu’il entre dans la chambre de notre mère, il fouille dans l’armoire et en sort une boîte à chaussure. Il l’ouvre, et dedans se trouve un gros objet oblong, cela ressemblait un peu à… une bite ?
« C’est le gode de notre petite maman, expliqua Marc. Je sais depuis longtemps qu’elle le cache là. Mais ce n’est pas pour dévoiler ses honteux petits secrets que je te le montre, ce que tu vas faire, c’est t’entraîner à sucer ce gode. Il fait plus de vingt centimètres, si tu arrives à le mettre entièrement dans ta bouche, tu devrais être capable de faire des gorges profondes à presque tous les mecs.
Et dire que maman s’enfonce ça dans la chatte ! J’y crois pas !
« Pas si énorme que ça… allez, prend-le. »
Je m’en saisis et commence à le faire entrer lentement dans ma bouche. Je réalise un peu tard que j’aurais dû le laver avant. Si ça se trouve, il y avait encore de la mouille de maman dessus. Mais c’est trop tard, j’ai déjà bien essuyé le chibre en métal avec ma langue, et je ne veux pas que mon frère ait une nouvelle occasion de me considérer comme une oie blanche.
Après de nombreux essais, et malgré toute ma bonne volonté, j’arrive au maximum de mes capacités quand le gode cogne contre ma gorge, je suis incapable d’aller plus loin.
— Allons ! Sois pas une mauviette, toutes les filles un peu débrouillardes en sont capable… et je suis sûr que toi aussi. »
Mais j’avais beau faire des efforts, impossible ! Je trouvais le métal trop dur pour ma gorge et je m’en plaignais à mon frère : 
« C’est pas juste, je suis sûre que si c’était un vrai pénis je pourrais l’avaler, mais là c’est du métal… j’ai peur de me faire mal. »
Mon frère soupire, exaspéré que je me montre aussi obtuse. Puis devant mes piètres résultats, il finit par m’accorder une faveur.
« Aller, on va voir si c’est une excuse bidon, tu vas sucer une vraie bite. Comme ça on verra bien si c’est la matière qui te gêne. »
Mon Dieu ! Il veut que je lui suce la queue ! Ce sera le premier pénis sur lequel je poserai les lèvres, je devrais être humiliée que ce soit la queue de mon frère et non celui d’un petit-ami classique, mais en fait je suis trop excitée. Il est tellement plus expérimenté que moi et tellement sûr de lui que je suis impatiente de pouvoir goûter à son chibre. Avec son membre, nul doute que je vais apprendre quantité de nouvelles choses. D’ailleurs mon frère entame déjà une nouvelle leçon :
« Au passage, je vais t’enseigner à utiliser ta langue. Approche et mets-toi à niveau. »
Pendant que je me mets à genoux devant lui, il retire son boxer. Sa queue se dresse devant moi, elle est plus grosse que le gode de maman ! Un vrai chibre d’homme, je suis impressionnée, il a vraiment dû combler un tas de femmes avec ça, et maintenant c’est mon tour. Il n’a même pas besoin de le dire que j’ouvre la bouche et gobe son gros morceau.
« Tourne avec ta langue autour, n’hésite pas à bien saliver. »
J’exécute ses ordres à la lettre, apprenant à sucer comme une reine.
« Pense que c’est une glace, essaie de me faire fondre. Passe ta langue sur mon gland aussi, je veux te sentir tout autour de ma bite. »
Je suis une étudiante docile, ma langue est comme un serpent, se lovant autour de sa queue.
« Maintenant, fais un va-et-vient avec ta tête, tout en continuant tes mouvements de langue. Fais comme si tu me baisais avec ta bouche. » 
Cette fois, malgré tout ma bonne volonté, j’ai plus de mal, c’est difficile de tout coordonner !
« Fais un effort ! » crie-t-il. Mais malgré sa remontrance, je n’y arrive pas plus. Alors il me prend l’arrière du crâne et commence à exercer les va-et-vient lui-même. Quand il parlait de baiser avec la bouche je comprends ce qu’il voulait dire… j’ai l’impression qu’il me fourre la gueule. C’est assez humiliant, ma tête devient un jouet entre ses mains et je ne peux pas parler, juste subir. Mais c’est une bonne leçon, et je comprends que faire une pipe c’est bien plus compliqué que je ne le croyais et que ça demande des efforts, j’étais loin du compte quand je pensais qu’il fallait simplement mettre la queue dans la bouche.
« Là, je t’aide pour les va-et-vient, concentre-toi sur ta langue. »
J’obéis à sa commande, j’ai un peu de mal à retenir la salive de me couler le long de la bouche, je sens que je ne dois pas avoir fière allure avec la bave qui tombe sur mes seins. Quand il arrête de me tenir la tête, je continue le mouvement de moi-même sur la même cadence que quand il m’y contraignait. Je commence à prendre le pli, à être capable de sucer tout en hochant la tête.
« C’est bien, maintenant, tu vas enfoncer ta bouche encore plus en avant jusqu’à ce que toute ma bite soit à l’intérieur. »
Je prends mon temps, et j’y parviens peu à peu. Centimètre par centimètre, j’avance.
Lorsque tu penses que ta femme est fidèle
Un dîner avec le copain de ma fille se termine en sexe sauvage
Papa connard se tape la copine de son fils

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