Laissez moi faire je suis médecin

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Couleurs unies: 100% Coton; Gris chiné: 90% Coton, 10% Polyester; Autres couleurs chinées: 50% Coton, 50% Polyester Lavage en machine à froid avec des couleurs identiques, séchage en sèche-linge à basse température

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25.4 x 20.32 x 2.54 cm; 136.08 grammes Date de mise en ligne sur Amazon.fr

:

10 septembre 2021 Fabricant

:

Doktor Geschenkidee Verkleidung Fasching Karneval ASIN

:

B09FXMZBKS Référence constructeur

:

EGFH9SWJG79 Service

:

Homme
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Laissez-moi aller chez un médecin. Inscription amusante sur le haut pour les femmes et les hommes. Le costume de médecin parfait pour le carnaval. Superbe déguisement pour la nuit tombée de la semaine du Cendrillon et le montagne de roses. Tenue vintage cool pour les vacances de Majorque. Le look partenaire et la tenue de groupe pour vous et vos amis, vos amis et vos collègues. Fêtez la fête et buvez de l'alcool jusqu'à ce que vous recherchez. Également le bon vêtement pour la bière dans le jardin de bière, la tente de bière, la fête de protection et la cabane de ski lors de l'après-ski. Ce costume de médecin est un costume amusant de docteur - Idée cadeau pour carnaval.

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Œuvres complètes de Molière , Texte établi par Charles Louandre , Charpentier , 1910 , tome II ( p. 242 - 260 ).
collection Le Médecin malgré lui Molière Charpentier 1910 Paris C tome II Molière - Édition Louandre, 1910, tome 2.djvu Molière - Édition Louandre, 1910, tome 2.djvu/9 242-260 
Sganarelle, Martine, paraissent sur le théâtre en se querellant.
Martine , les mains sur les côtés, parle à M. Robert en le faisant reculer, et à la fin lui donne un soufflet.
Lucas , à Valère, sans voir Martine.
Valère , à Lucas, sans voir Martine.
Martine , rêvant à part, se croyant seule.
Martine , se croyant toujours seule.
Sganarelle , chantant derrière le théâtre.
Sganarelle , entrant sur le théâtre, avec une bouteille à la main, sans apercevoir Valère ni Lucas.
Sganarelle , embrassant sa bouteille.
Sganarelle , se tournant vers Valère, puis vers Lucas.
Sganarelle , présentant sa bouteille à Valère
Andrienne , acte III , scène iii . (Aime Martie.)


Dernière modification il y a 4 mois par CaLéValab


Non, je te dis que je n’en veux rien faire, et que c’est à moi de parler et d’être le maître.

Et je te dis, moi, que je veux que tu vives à ma fantaisie, et que je ne me suis point mariée avec toi pour souffrir tes fredaines !

Oh ! la grande fatigue que d’avoir une femme ! et qu’Aristote a bien raison, quand il dit qu’une femme est pire qu’un démon !

Voyez un peu l’habile homme, avec son benêt d’Aristote.

Oui, habile homme. Trouve-moi un faiseur de fagots qui sache comme moi raisonner des choses, qui ait servi six ans un fameux médecin, et qui ait su dans son jeune âge son rudiment par cœur.

Que maudits soient l’heure et le jour où je m’avisai d’aller dire oui !

Que maudit soit le bec cornu [1] de notaire qui me fit signer ma ruine !

C’est bien à toi, vraiment, à te plaindre de cette affaire !
Devrais-tu être un seul moment sans rendre grâces au ciel
de m’avoir pour ta femme ? et méritais-tu d’épouser une
femme comme moi ?

Il est vrai que tu me fis trop d’honneur, et que j’eus lieu
de me louer la première nuit de mes noces ! Hé ! morbleu !
ne me fais point parler là-dessus : je dirais de certaines
choses…

Baste, laissons là ce chapitre. Il suffit que nous savons ce
que nous savons, et que tu fus bien heureuse de me trouver.

Qu’appelles-tu bien heureuse de te trouver ? Un homme qui me réduit à l’hôpital, un débauché, un traître, qui me mange tout ce que j’ai !…

Tu as menti : j’en bois une partie.

Qui me vend, pièce à pièce, tout ce qui est dans le logis !…

Qui m’a ôté jusqu’au lit que j’avais !…

Enfin qui ne laisse aucun meuble dans toute la maison…

Et qui, du matin jusqu’au soir, ne fait que jouer et que
boire !

Et que veux-tu, pendant ce temps, que je fasse avec ma
famille ?

J’ai quatre pauvres petits enfants sur les bras…

Qui me demandent à toute heure du pain.

Donne-leur le fouet : quand j’ai bien bu et bien mangé,
je veux que tout le monde soit soûl dans ma maison.

Et tu prétends, ivrogne, que les choses aillent toujours de
même ?

Ma femme, allons tout doucement, s’il vous plaît.

Que j’endure éternellement tes insolences et tes débauches ?

Et que je ne sache pas trouver le moyen de te ranger à
ton devoir ?

Ma femme, vous savez que je n’ai pas l’ame endurante,
et que j’ai le bras assez bon.

Ma petite femme, ma mie, votre peau vous démange, à
votre ordinaire.

Je te montrerai bien que je ne te crains nullement.

Ma chère moitié, vous avez envie de me dérober quelque
chose [2] .

Crois-tu que je m’épouvante de tes paroles ?

Doux objet de mes vœux, je vous frotterai les oreilles.

Traître ! insolent ! trompeur ! lâche ! coquin ! pendard !
gueux ! belître ! fripon ! maraud ! voleur ! …

Sganarelle prend un bâton et bat sa femme

Voilà le vrai moyen de vous apaiser [3] .

Holà ! holà ! holà ! Fi ! Qu’est ceci ? Quelle infamie ! Peste
soit le coquin, de battre ainsi sa femme !

Voyez un peu cet impertinent, qui veut empêcher les maris de battre leurs femmes !

Et vous êtes un sot de venir vous fourrer où vous n’avez
que faire.

(Il passe ensuite vers Sganarelle, qui pareillement lui parle toujours en le faisant reculer, le frappe avec le même bâton et le met en fuite.)

Compère, je vous demande pardon de tout mon cœur.
Faites, rossez, battez comme il faut votre femme ; je vous
aiderai si vous le voulez.

Je la veux battre, si je le veux ; et ne la veux pas battre,
si je ne le veux pas.

C’est ma femme et non pas la vôtre.

Et vous êtes un impertinent de vous ingérer des affaires
d’autrui. Apprenez que Cicéron dit qu’entre l’arbre et le
doigt il ne faut point mettre l’écorce.

(Il le chasse ; ensuite il revient vers sa femme et lui dit en lui pressant la main.)

Oh çà ! faisons la paix nous deux. Touche là.

Fi ! c’est une bagatelle. Allons, allons.

Hé bien ! va, je te demande pardon ; mets là ta main.

Je te pardonne ; (bas, à part.) mais tu le paieras.

Tu es une folle de prendre garde à cela : ce sont petites
choses qui sont de temps en temps nécessaires dans l’amitié ;
et cinq ou six coups de bâton, entre gens qui s’aiment, ne
font que ragaillardir l’affection [4] . Va, je m’en vais au bois, et je te promets aujourd’hui plus d’un cent de fagots.

Va, quelque mine que je fasse, je n’oublierai pas mon ressentiment ; et je brûle en moi-même de trouver les moyens
de te punir des coups que tu m’as donnés. Je sais bien qu’une
femme a toujours dans les mains de quoi se venger d’un
mari : mais c’est une punition trop délicate pour mon pendard : je veux une vengeance qui se fasse un peu mieux sentir ; et ce n’est pas contentement pour l’injure que j’ai reçue.

Parguienne ! j’avons pris là tous deux une guèble de commission ; et je ne sais pas, moi, ce que je pensons attraper.

Que veux-tu, mon pauvre nourricier ? il faut bien obéir à
notre maître : et puis, nous avons intérêt, l’un et l’autre, à la santé de sa fille, notre maîtresse ; et sans doute son mariage, différé par sa maladie, nous vaudra quelque récompense. Horace, qui est libéral, a bonne part aux prétentions qu’on peut avoir sur sa personne ; et quoiqu’elle ait fait voir de l’amitié pour un certain Léandre, tu sais bien que son père n’a jamais voulu consentir à le recevoir pour son gendre.

Ne puis-je point trouver quelque invention pour me venger ?

Mais quelle fantaisie s’est-il boutée là dans la tête, puisque les médecins y avont tous pardu leur latin ?

On trouve quelquefois, à force de chercher, ce qu’on ne
trouve pas d’abord ; et souvent en de simples lieux…

Oui, il faut que je me venge à quelque prix que ce soit. Ces coups de bâton me reviennent au cœur, je ne les saurois digérer ; et… (Elle dit tout ceci en rêvant, de sorte que, ne prenant pas garde à ces deux hommes, elle les heurte en se retournant, et leur dit :) Ah ! messieurs, je vous demande pardon ; je ne vous voyois pas, et cherchois dans ma tête quelque chose qui m’embarrasse,

Chacun a ses soins dans le monde, et nous cherchons aussi ce que nous voudrions bien trouver.

Seroit-ce quelque chose où je vous puisse aider ?

Cela se pourroit faire ; et nous tâchons de rencontrer quelque habile homme, quelque médecin particulier qui pût donner quelque soulagement à la fille de notre maître, attaquée d’une maladie qui lui a ôté tout d’un coup l’usage de
la langue. Plusieurs médecins ont déjà épuisé toute leur
science après elle : mais on trouve parfois des gens avec
des secrets admirables, de certains remèdes particuliers, qui
font le plus souvent ce que les autres n’ont su faire ; et c’est
là ce que nous cherchons.

Ah ! que le ciel m’inspire une admirable invention pour
me venger de mon pendard ! (haut.) Vous ne pouviez jamais vous mieux adresser pour rencontrer ce que vous cherchez ; et nous avons un homme, le plus merveilleux homme du
monde pour les maladies désespérées.

Hé ! de grâce, où pouvons-nous le rencontrer ?

Vous le trouverez maintenant vers ce petit lieu que voilà, qui s’amuse à couper du bois.

Qui s’amuse à cueillir des simples, voulez-vous dire ?

Non ; c’est un homme extraordinaire qui se plaît à cela, fantasque, bizarre, quinteux, et que vous ne prendriez jamais pour ce qu’il est. Il va vêtu d’une façon extravagante, affecte quelquefois de paroître ignorant, tient sa science renfermée, et ne fuit rien tant tous les jours que d’exercer les merveilleux talents qu’il a eus du ciel pour la médecine.

C’est une chose admirable que tous les grands hommes ont toujours du caprice, quelque petit grain de folie mêlé à
leur science.

La folie de celui-ci est plus grande qu’on ne peut croire,
car elle va parfois jusqu’à vouloir être battu pour demeurer
d’accord de sa capacité ; et je vous donne avis que vous n’en
viendrez pas à bout, qu’il n’avouera jamais qu’il est médecin, s’il se le met en fantaisie, que vous ne preniez chacun
en bâton, et ne le réduisiez, à force de coups, à vous confesser à la fin ce qu’il vous cachera d’abord. C’est ainsi que nous en usons quand nous avons besoin de lui.

Il est vrai ; mais, après cela, vous verrez qu’il fait des
merveilles.

Il s’appelle Sganarelle. Mais il est aisé à connoître : c’est
un homme qui a une large barbe noire, et qui porte une fraise, avec un habit jaune et vert.

Un habit jaune et vart ! C’est donc le médecin des parroquets ?

Mais est-il bien vrai qu’il soit si habile que vous le dites ?

Comment ! c’est un homme qui fait des miracles. Il y a six mois qu’une femme fut abandonnée de tous les autres médecins ; on la tenoit morte il y avoit déjà six heures, et l’on se disposoit à l’ensevelir, lorsqu’on y fit venir de force l’homme dont nous parlons. Il lui mit, l’ayant vue, une petite goutte de je ne sais quoi dans la bouche ; et, dans le même instant, elle se leva de son lit, et se mit aussitôt à promener dans sa chambre comme si de rien n’eût été.

Il falloit que ce fût quelque goutte d’or potable.

Cela pourroit bien être. Il n’y a pas trois semaines encore qu’un jeune enfant de douze ans tomba du haut du
clocher en bas, et se brisa sur le pavé la tête, les bras, et
les jambes. On n’y eut pas plus tôt amené notre homme, qu’il le frotta par tout le corps d’un certain onguent qu’il sait faire ; et l’enfant aussitôt se leva sur ses pieds, et courut
jouer à la fossette.

Il faut que cet homme-là ait la médecine universelle.

Téligué ! v’là justement l’homme qu’il nous faut. Allons
vite le charcher.

Nous vous remercions du plaisir que vous nous faites.

Mais souvenez-vous bien au moins de l’avertissement que je vous ai donné.

Hé ! morguenne ! laissez-nous faire : s’il ne tient qu’à
battre, la vache est à nous.

Nous sommes bien heureux d’avoir fait cette rencontre ; et j’en conçois, pour moi, la meilleure espérance du monde.

J’entends quelqu’un qui chante, et qui coupe du bois.

La, la, la … Ma foi, c’est assez travaille pour boire un
coup. Prenons un peu d’haleine. (Après avoir bu.) Voilà du bois qui est salé comme tous les diables [5]
Qu’ils sont doux, Bouteille jolie, Qu’ils sont doux Vos petits glouglous !
Mais mon sort feroit bien des jaloux, Si vous étiez toujours remplie. Ah ! bouteille, ma mie, Pourquoi vous videz-vous [6] ?

Allons, morbleu ! il ne faut point engendrer de mélancolie.

Je pense que vous dites vrai, et que j’avons bouté le nez
dessus.

Ah ! petite friponne ! que je t’aime, mon petit bouchon !
(Il chante. Apercevant Valère et Lucas qui l’examinent, il baisse la voix.)

Mais mon sort… feroit… bien des… jaloux,

(Voyant qu’on l’examine de plus près.)

Que diable ! à qui en veulent ces gens-là ?

Le v’là tout craché comme on nous l’a défiguré.

(Ici il pose sa bouteille à terre, et, Valère se baissant pour le saluer comme il croit que c’est à dessein de la prendre, il la
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