La voisine me grimpe sur la bite
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La voisine me grimpe sur la bite
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Publié le 6 février 2016 par Hilarion
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La petite goutte commença Ă me chatouiller. Je baissai les yeux et rentrai le menton pour lâapercevoir, juste Ă la naissance de mes seins, en plein milieu. Elle brillait sous le soleil caniculaire et tremblait un peu. AmusĂ©e, je guettai le moment oĂč elle allait se transformer en une petite coulĂ©e. Je mâobligeai Ă demeurer parfaitement immobile pour ne pas hĂąter lâĂ©vĂ©nement.
La goutte frĂ©mit lĂ©gĂšrement puis, soudain, comme si elle venait de crever la minuscule poche qui la tenait enfermĂ©e, se rĂ©pandit sur mon buste pour aller sâĂ©garer dans mon duvet.
Sous ce soleil Ă©touffant, je transpirais abondamment. Nonchalamment Ă©tendue sur mon transat, je mâoffrais un bain de soleil en ce dĂ©but dâaprĂšs-midi dâun mois de juillet caniculaire.
Quoique petit, mon jardin offrait suffisamment de place pour y Ă©tendre deux ou trois fauteuils et mĂȘme y placer une petite table pour y faire des dĂźnettes ou y prendre lâapĂ©ritif ou des rafraĂźchissements dont je faisais dâailleurs une consommation effrĂ©nĂ©e.
Jâavais mis mon petit bikini turquoise afin dâexposer un maximum de peau Ă lâastre bienfaisant.
Difficile de tenir plus dâune demi-heure avant de me prĂ©cipiter dans la douche pour me dĂ©barrasser de toute cette transpiration et me rafraĂźchir.
Pas question de lĂ©zarder nue ou mĂȘme en monokini ! La proximitĂ© de voisins Ă la discrĂ©tion douteuse mâen empĂȘchait. Jâavais dâailleurs placĂ© une sorte de palissade, un tantinet vĂ©tuste mais nâoffrant aucune fissure, de telle sorte que mes voisins dâen face, ceux du rez-de-chaussĂ©e, nâaient pas vue sur nos allers et venues ni sur nos sĂ©ances de bronzette.
Mais impossible de ne pas ĂȘtre aperçues des balcons situĂ©s sur les façades arriĂšre de mes vis-Ă -vis.
Le deuxiÚme étage était habité par un couple de personnes ùgées et ne se montrait jamais par ces grandes chaleurs.
Au troisiĂšme, en revanche, deux Ă©tudiants assez gouailleurs ne manquaient aucune occasion de laisser plonger leurs regards, sans vergogne, vers notre jardinet oĂč, avec Caroline, ma tendre amie, nous nous tenions aussi souvent que possible. Pour lâheure, les rideaux Ă©taient tirĂ©s : ils Ă©taient absents⊠Ouf !
Au premier Ă©tage sâavançait un joli balconnet richement fleuri et avec beaucoup de goĂ»t. Y apparaissait frĂ©quemment une dame dâune quarantaine dâannĂ©es, Ă©panouie, lâair sensuel et bien dans sa peau. Une beautĂ© !
Elle accordait Ă ses gĂ©raniums un soin tout particulier, les arrosant souvent, trĂšs souvent, un peu trop souvent mâavait-il semblĂ© ! Avec Caroline, nous nous Ă©tions persuadĂ©es que la dame avait trouvĂ© lĂ un excellent prĂ©texte Ă se trouver sur son balcon, comme par hasard, au moment prĂ©cis oĂč nous faisions sieste ou bronzette.
Plus amusĂ©es quâirritĂ©es, nous avions fini par nous habituer Ă la prĂ©sence et aux regards coulĂ©s de la dame qui semblait avoir de plus en plus de mal Ă dissimuler son Ă©moi. Ă lâĂ©vidence, notre situation la troublait. Nous demeurions fort discrĂštes pourtant, nous interdisant tout Ă©panchement, tout dĂ©bordement intempestif. Ainsi exposĂ©es Ă la vue de nos voisins, et de la dame en particulier, nous Ă©vitions de jouer les provocatrices, rĂ©servant Ă lâintimitĂ© de notre chambre ou du salon â rideaux soigneusement clos ! â nos Ă©bats amoureux.
La dame du premier Ă©tait, Ă cet Ă©gard, la mieux lotie ! Elle bĂ©nĂ©ficiait en effet dâun angle de vue tel que, de son balcon, elle pouvait plonger son regard directement dans notre salle de sĂ©jour dont lui Ă©tait alors rĂ©vĂ©lĂ©e une grande partie, du moins lorsque les rideaux Ă©taient ouverts.
Le soleil semblait redoubler dâardeur et ma peau, toute couverte de petites perles de transpiration, Ă©tait Ă nouveau brĂ»lante. Je nâallais plus pouvoir tenir bien longtemps !
Je me mis Ă regretter lâabsence de Caroâ, retenue bien loin en raison de ses activitĂ©s professionnelles qui nous mangeaient bien trop souvent week-ends ou jours de congĂ©. Ah, si elle avait Ă©tĂ© lĂ !⊠Je me laissai aller Ă imaginer sa main posĂ©e sur la mienne, discrĂštement. Puis le doux regard que nous Ă©changerions en cet instant mĂȘme, la montĂ©e du dĂ©sir que nous aurions lu dans nos prunelles dĂ©jĂ avides. Le lĂ©ger frĂ©missement complice qui nous aurait fait nous lever et nous diriger, sans un mot, vers le salon oĂč, aprĂšs avoir rapidement tirĂ© les rideaux, nous nous serions abandonnĂ©es dans les bras lâune de lâautre. Je sentais presque la douceur humide et brĂ»lante de ses lĂšvres Ă©crasant les miennes, sa langue dans ma bouche, nos mains parcourant nos corps enfiĂ©vrĂ©s⊠Ouh ! Je sentis sâĂ©veiller le doux pĂ©tillement du plaisir dans mon ventre. Il allait falloir que je me calme : je commençais Ă mâexciter pour de bon.
Jâentrouvris les yeux et jetai un bref regard vers la petite table sur laquelle Ă©taient posĂ©s verre et bouteille. Vides ! Plus une goutte de jus de pamplemousse. Bon ! je mâaccordai encore deux minutes avant de rentrer me mettre au frais. Le temps de penser encore un peu Ă Caroâ⊠à ses mains sur mon corps, me parcourant toute, griffant mes cuisses de ses ongles acĂ©rĂ©s, pĂ©trissant mes seins dĂ©jĂ implorants, me lĂ©chantâŠ
Tiens ! et si⊠était-âelleâ Ă son balcon ? Jâentrouvris une paupiĂšre prudente afin de mâen assurer. Bingo !⊠âElle â Ă©tait bien lĂ , trĂŽnant au milieu de ses gĂ©raniums reconnaissants de ses bons soins. Me croyant assoupie, elle nâessayait mĂȘme pas de se donner une quelconque contenance, et Ă travers le filtre de mes cils, je voyais bien quâelle me âmataitâ tout bonnement.
Jâen conçus une certaine fiertĂ©. BĂątie comme elle lâĂ©tait, cette belle femme ne devait pas rencontrer de difficultĂ©s Ă se trouver un amant, voire une maĂźtresse. Je me posai dâailleurs la question de savoir si nous nâavions pas affaire Ă une pure lesbienne. La maniĂšre dont elle me regardait laissait peu de doutes sur la question. Ă moins quâil ne sâagisse dâune de ces nombreuses hĂ©tĂ©ros soudainement trĂšs envieuses de tenter lâexpĂ©rience qui consiste Ă âfaire lâamour, une fois en passant â une seule fois, bien entendu ! â avec une femmeâ.
Passablement excitĂ©e par la brĂšve Ă©vocation que je venais de faire de mon amie Caroline, je dĂ©cidai, sur un coup de tĂȘte, dâĂ©pater quelque peu notre voyeuse.
Faisant semblant que jâĂ©tais en effet assoupie, je commençai par mâĂ©tirer de tout mon long, comme au rĂ©veil, prenant bien soin de faire durer, me cambrant au maximum, bombant le torse et creusant le bassin, les coudes relevĂ©s, poings aux oreilles. Comme par inadvertance, jâĂ©cartai les cuisses.
Vu sa taille, mon bikini ne dissimulait pas grand-chose, et je mâamusai Ă imaginer la rĂ©action de la dame.
Me relĂąchant, jâentrouvris Ă nouveau les paupiĂšres et je faillis Ă©clater de rire en constatant le trouble, bien tangible, de notre voyeuse : hĂ©bĂ©tĂ©e, la bouche ouverte comme sur un âohâ suspendu et figĂ©, les yeux Ă©carquillĂ©s, elle serrait les cuisses comme prise dâune envie irrĂ©pressible dâuriner.
Faisant mine de lâignorer, je me redressai vivement et pĂ©nĂ©trai dans le salon tout baignĂ© de soleil. Je pris bien garde de laisser les rideaux ouverts, sachant que la dame pourrait ainsi poursuivre tranquillement son observation.
Elle voulait voir ?⊠Elle allait voir !
Je commençai par me retirer quelques instants Ă la cuisine pour aller vider un grand verre de jus de pamplemousse, jâen avais besoin.
Lorsque je revins dans le salon, elle était toujours là , prisonniÚre de sa curiosité lubrique.
Je mâallongeai sur le divan et me mis presque aussitĂŽt Ă me caresser. La chose me fut dâautant plus aisĂ©e que pĂ©tillait encore en mon ventre lâexcitation que jâavais si bien amorcĂ©e en Ă©voquant ma tendre Caroâ.
Le divan Ă©tait disposĂ© de telle sorte que, de lĂ oĂč elle se trouvait, la dame ne devait rien perdre de mes mouvements : jâĂ©tais face Ă elle, pile dans lâaxe.
AprĂšs mâĂȘtre dĂ©barrassĂ©e de mon bikini, je me mis Ă parcourir tout mon corps avec une lenteur calculĂ©e, ondoyant, me tortillant, sans avoir Ă feindre, tant lâexcitation me gagnait, alimentĂ©e aussi bien par les souvenirs des rĂ©centes caresses de ma Caroâ que par le regard de la dame que je devinais rivĂ© Ă mes formes.
Les cuisses Ă prĂ©sent bien Ă©cartĂ©es, je posai les mains, disposĂ©es en serres dâoiseau, sur mes genoux, et remontai vers ma vulve en me griffant la chair. Je frissonnai de plaisir. Je me mis ensuite Ă me pĂ©trir les seins en grands mouvements tournants, puis Ă mâĂ©tirer les bouts en geignant ; mon bassin amorça sa danse lascive.
Je revins Ă ma vulve et, mâemparant de mes lĂšvres, je les Ă©tirai en les Ă©cartant pour bien exhiber mon entrĂ©e rose, dĂ©jĂ toute perlĂ©e, Ă la dame lĂ en face qui⊠au fait, câest vrai, oĂč en-Ă©tait-elle ? Je lâavais presque oubliĂ©e, tant le plaisir sâĂ©tait emparĂ© de mon esprit.
Je faillis crier de surprise au vu des deux gros cercles noirs qui masquaient les yeux de la dame. Elle mâobservait Ă la jumelle cette salope ! Sans vergogne et⊠oh, non ! mais⊠je rĂȘve ! elle tient sa paire de jumelles dâune seule main, lâautre Ă©tant occupĂ©e Ă je ne sais quoi, masquĂ©e par les gĂ©raniums.
Je suis sĂ»re quâelle me fixe le minou. Oh et puis zut !⊠quâelle en profite, tiens ! Oh, mais câest que ça mâexcite, cette situation !
Attends, ma cocotte, je vais te faire voir quelque chose ! Je me levai dâun petit bond, disparus dans la cuisine et en revins quelques instants plus tard munie dâun gros cube de glace encore fumant et qui me collait un peu aux doigts. Je mâĂ©tendis Ă nouveau sur le divan et entrepris de me passer le cube sur les lĂšvres. Se forma aussitĂŽt un petit filet dâeau glacĂ©e que je laissai descendre le long de mon cou, ce qui me procura une dĂ©licieuse sensation de fraĂźcheur. Me cambrant alors, je me mis Ă promener le glaçon fondant sur les pointes de mes seins qui rĂ©agirent en se dressant davantage encore, galvanisĂ©s par le froid. Je promenai ensuite le glaçon sur ma poitrine qui frissonna de plaisir et qui se mit Ă rĂ©pandre ce dĂ©lectable fourmillement que jâapprĂ©cie tant.
Observant toujours les rĂ©actions de ma voisine, je laissai ensuite descendre ce qui restait du glaçon vers mon nombril oĂč il sâattarda un peu, puis sur ma vulve que je me mis Ă parcourir en un geste ample et ralenti. Je titillai lâentrĂ©e de mon vagin qui se contracta sous la dĂ©licieuse agression du froid.
Allez, viens ma cochonne, reluque-moi bien, contemple mon minou baveux, regarde-le bien ce sexe qui ruisselle, qui va bientĂŽt⊠Lui offrirais-je le spectacle dâun orgasme ? Je⊠à vrai dire⊠je ne crois pas que jâaie encore le choix ! Ooooh, mmmh, que câest bon⊠je suis au palier, lĂ , je⊠regarde bien, remplis-toi les mirettes, tu va voir comment jeâŠ
DĂ©laissant le glaçon qui, rĂ©duit Ă une larme mourante et tiĂšde, acheva sa course sur le haut de ma cuisse, jâentrepris de me masturber rĂ©solument, Ă©cartant les cuisses Ă lâĂ©querre, me pĂ©trissant un sein et me labourant lâentrĂ©e du vagin au moyen de deux, puis de trois doigts. Le plaisir montait, en vagues successives, me faisant bourdonner les tempes. Le souffle court, les joues en feu, je me contenais Ă grand peine : mon bassin tressautait de plus en plus fort, ma tĂȘte roulait de droite Ă gauche, je ne pus rĂ©primer de petits gĂ©missements de plaisir, la vague montait, sâĂ©largissant, je mâaffolai.
Oooh !⊠oooh !⊠que câest bon ! Je me laissai revenir un peu, diffĂ©rant lâorgasme qui sâannonçait majeur. Je savourai la plĂ©nitude de mon plaisir qui sembla rouler au fond de moi un long moment pour repartir de plus belle. Je me mis Ă applaudir des cuisses, excitĂ©e comme une puce. Le divan couinait comiquement, mes petits jappements lui faisant Ă©cho, je nâallais plus tenir bien longtemps !
Retirant soudain mes doigts de mon antre ruisselant, je les portai Ă ma bouche et, fixant rĂ©solument ma voisine qui devait me voir en gros plan, je suçai lentement et longuement mes doigts poisseux, me dĂ©lectant du goĂ»t de mon jus, achevant ainsi de mâaffoler sous son regard qui contribuait largement Ă mon excitation.
RĂ©pondant enfin Ă lâappel impĂ©rieux de mon sexe enflammĂ©, je tapotai mon mont de VĂ©nus, titillai un moment mon clitoris qui me sembla Ă©mettre des ondes Ă©lectriques qui se rĂ©pandaient dans tout mon corps ; puis, nây tenant plus, je replongeai quatre doigts dans mon vagin et me mis Ă me laminer sauvagement. Quelques spasmes mâĂ©branlĂšrent aussitĂŽt ; je me laissai aller enfin et lâorgasme survint presque immĂ©diatement, ravageur, engloutissant, dĂ©licieux.
Je mis quelques instants pour revenir Ă la rĂ©alitĂ©, pour calmer les battements de mon cĆur, pour laisser se disperser les milliers dâĂ©toiles filantes, pour reprendre une respiration normaleâŠ
Je jetai un rapide regard vers lâextĂ©rieur : sur le balcon dâen face, les gĂ©raniums semblaient ravis, rouges de plaisir, on en jurerait. Mais la dame avait disparu.
Tiens !⊠elle a tiré ses rideaux !
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Ăcrit parÂ
Claudia FERREIRA DA SILVA
Publié le 21/11/2016 à 14h28, mis à jour le 21/11/2016 à 15h12
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