La voisine est chaude et il offre son aide
đ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đđ»đđ»đđ»
La voisine est chaude et il offre son aide
ACCUEIL
ANIMAUX
FUN
COOL
FAIL
CHOC
WTF
ENFOIRES
ABRUTIS
FAN DE MINECRAFT ?
Login/Register
Veuillez vous connecter pour laisser un commentaire.
Contact
Site de rencontre
© 2015 Pandaclip, aucune reproduction autorisée
Vu la tĂȘte qu'elle a fait, elle a pas du apprĂ©cier .... Bien fait pour elle, elle y rĂ©flĂ©chira la prochaine fois ... B*tch !!!
Why bitch ?, je trouve au contraire que le geste du livreur est plein d'affection sans arriÚre pensée, bande de vieux cochons !
lol "52" c'était "bitch" purée j'essayais de traduire "b*tch" avec une étoile je ne comprenais pas !! tsss
Ben ça sent surtout la gonzesse qu'a voulu jouer Ă l'allumeuse sauf que le livreur Ă©tait plus entreprenant qu'elle l'aurait pensĂ©, et donc comme j'ai dit, vu la tĂȘte qu'elle a fait au moment oĂč il lui touche la foufe, elle a pas du apprĂ©cier ....
Donc, rien que pour le fait d'ouvrir à un livreur en tenue sexy comme ça, c'est une bi*tch ....
Franchement,c'est un fake,mĂȘme si elle le cherche,le type lui touche la chatte voir lui colle un doigt et la fille fait mine de serrer les jambes,en temps normal,le type se serai retrouver avec les burnes partagĂ©es en deux surtout que c'est qui qui filme? Son mec? A moins qu'il soit voyeur,un type vient toucher la chatte de ma femme,je lĂąche tout et lui colle une praline dans sa face.
Ha jeune fille, tu as voulu jouer la pĂ©tasse mais regarde ce qui tâarrive. Faut pas qu'aprĂšs qu'elle vienne se plaindre.
Oui , c'est une crevette : tout est bon sauf la tĂȘte ...
Petite conne va
Vous allez me traiter de pute mais sa doit ĂȘtre marrant quand sa t arrive
Options
Favoris
Signaler
Article + 76 commentaires
Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
Vous aimez le site, affichez les pubs :)
Dimanche 2 juin 2013 pendant un barbecue en Belgique, Alex a eu la visite de sa voisine. Elle semble vouloir aller Ă la maison communale voir le coffre, mais le voisin lui rĂ©pond qu'elle est fermĂ©e le dimanche. La vieille dame ne comprend pas et commence Ă s'Ă©nerver et Ă insulter Alex et les autres personnes de Crapule. "Allez au diable !" "Nous irons de votre part", "Nom de dieu j'aurais votre peau !", "Salopard que vous ĂȘtes ! Vous ĂȘtes la pire crapule qui existe au monde", "Si vous ĂȘtes un chien ! Pire qu'un chien, un chien ne parle pas comme ça", "Vous ĂȘtes armĂ©nien, de la pire espĂšce", "Retournez dans votre pays". Cette vieille dame semble ĂȘtre atteinte de dĂ©mence.
Options
Favoris
Signaler
Article + 76 commentaires
Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
Vous aimez le site, affichez les pubs :)
Dimanche 2 juin 2013 pendant un barbecue en Belgique, Alex a eu la visite de sa voisine. Elle semble vouloir aller Ă la maison communale voir le coffre, mais le voisin lui rĂ©pond qu'elle est fermĂ©e le dimanche. La vieille dame ne comprend pas et commence Ă s'Ă©nerver et Ă insulter Alex et les autres personnes de Crapule. "Allez au diable !" "Nous irons de votre part", "Nom de dieu j'aurais votre peau !", "Salopard que vous ĂȘtes ! Vous ĂȘtes la pire crapule qui existe au monde", "Si vous ĂȘtes un chien ! Pire qu'un chien, un chien ne parle pas comme ça", "Vous ĂȘtes armĂ©nien, de la pire espĂšce", "Retournez dans votre pays". Cette vieille dame semble ĂȘtre atteinte de dĂ©mence.
le bonheur, grĂące Ă ma voisine de 82 ansÂ
Il y a deux ans, il mâest arrivĂ© une belle histoire. Jâavais envie de vous la faire partager. AprĂšs avoir emmenĂ© les enfants Ă lâĂ©cole et sorti le chien, jâentre comme chaque matin dans mon bureau. Quel plaisir de travailler chez soi. Mon rituel matinal commence: jâallume mon ordinateur, jâouvre grand les rideaux, je jette un oeil dehors et quand je lĂšve les yeux, jâaperçois la voisine dâen face derriĂšre sa fenĂȘtre. FidĂšle au poste, comme tous les jours. La vieille dame semble ĂȘtre installĂ©e derriĂšre une table de travail ou un bureau. Jâignore ce quâelle fait, mais elle fait partie de mon paysage. Chaque jour, je la vois, affairĂ©e, la tĂȘte baissĂ©e sur son ouvrage mystĂ©rieux. Puis je me mets a travail, tic tic tic ticâŠQuelquefois, quand je relĂšve la tĂȘte pour rĂ©flĂ©chir ou me dĂ©gourdir le cou, il arrive que nos regards se croisent. Et je rĂ©alise alors que moi aussi, je fais partie de son paysage. Cette dame vit toute seule, je crois. Elle est trĂšs ĂągĂ©e et se dĂ©place avec un dĂ©ambulateur. Elle doit avoir de lâasthme car elle a Ă©normĂ©ment de mal Ă respirer et happe lâair Ă chaque pas, comme si elle Ă©touffait. Hier, je lâai croisĂ©e Ă la pharmacie, et jâai rĂ©alisĂ© que je nâavais jamais Ă©changĂ© un seul mot avec elle. La voir marcher et respirer avec tant de difficultĂ©s mâa fait beaucoup de peine. Et soudain je me suis senti coupable. Comment ai-je pu vivre aussi longtemps en face de cette pauvre femme sans jamais lui proposer de lâaider? Je me rends presque tous les jours dans les magasins du coin de la rue. Ăa me prend 5 minutes alors que pour elle, câest un vĂ©ritable calvaire. Je pourrais peut-ĂȘtre lui faire ses courses? Je me promets de lâaborder dĂšs notre prochaine rencontre. Coup du hasard ou non, nous nous sommes rencontrĂ©s dĂšs le lendemain, en bas de chez moi. Jâai alors sautĂ© sur lâoccasion. Je lui ai demandĂ© si elle vivait seule et si je pouvais lui rendre service. Je lui expliquai que jâĂ©tais tous les jours chez moi et quâelle pouvait facilement mâappeler si elle avait besoin de quelque chose. Elle me confirma quâelle vivait seule. Elle Ă©tait veuve et ses enfants habitaient trĂšs loin. âMais je ne mâennuie jamais!â, me dit-elle avec malice. Elle travaillait pour une maison dâĂ©dition, elle corrigeait des manuels scolaires (Ă son bureau, derriĂšre sa fenĂȘtre). Elle me raconta quâelle Ă©tait quelquefois un peu gĂȘnĂ©e de rencontrer mon regard quand elle regardait dehors, depuis son bureau. On sâest mis Ă rire. Je lui donnai mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Elle saisit mon bout de papier dâune main tremblante et me regarda avec des yeux remplis de gratitude et dâĂ©motion. Elle me remercia du fond du coeur et trouva ma proposition extrĂȘmement gentille. Dans ces quelques secondes, jâai rĂ©alisĂ© Ă quel point les petits bonheurs sont simples. Offrir de lâaide Ă sa voisine. Tout simplement. Quel idiot je suis de ne pas lâavoir fait plus tĂŽt. On se quitta enchantĂ©s, lâun et lâautre. Le soir mĂȘme, alors que jâavais racontĂ© cette histoire Ă ma femme et Ă mes enfants, le tĂ©lĂ©phone sonna. CâĂ©tait la vieille dame.âTout va bien, tout va bien! lança-t-elle, ne vous inquiĂ©tez pas. Je voulais juste vous demander de passer me voir ce soir, je voudrais vous donner quelque chose!â. Impatients, nous nous rendĂźmes vite chez elle aprĂšs le repas. Elle ouvrit sa porte et vit notre petite famille emmitouflĂ©e dans nos Ă©charpes en ce beau soir de dĂ©cembre. âJe voulais vous donner un petit cadeau, pour vous remercier! Câest pas grand chose, mais ça me fait tellement plaisir!â Et elle tendit deux petits paquets Ă nos deux enfants. Deux petites bougies en forme de PĂšre NoĂ«l. Elle en profita pour nous apprendre âune bonne nouvelleâannonça- t-elle. Le centre mĂ©dical pour asthmatiques lui avait Ă©crit: son cas avait Ă©tĂ© jugĂ© suffisamment alarmant pour lâhospitaliser rapidement. âIls ont enfin une place pour moi!â Je pars dans quelques jours! LâidĂ©e dâaller sĂ©journer dans ce lieu avec tous les soins Ă portĂ©e de main lui faisait un effet fou! On aurait dit quâelle partait pour une croisiĂšre aux CaraĂŻbes. Le temps passa. Le matin, quand je levais la tĂȘte de mon clavier, je mâĂ©tais habituĂ© aux rideaux fermĂ©s de sa fenĂȘtre. Un jour de fĂ©vrier, je du mâabsenter pour la journĂ©e. En rentrant le soir, ma femme me raconta quâelle avait reçu la visite dâun homme. âQuand jâai ouvert la porte, lâinconnu sâest prĂ©sentĂ©â, mâexpliqua-t-elle âBonjour madame, vous ne me connaissez pas. Je suis le fils de madame DuprĂ©, votre voisine dâen face.â Je me laissai tomber sur le fauteuil pour Ă©couter la suite. Lâhomme avait ajoutĂ© âMa mĂšre est morte. Nous lâavons enterrĂ©e hier. Avant de sâĂ©teindre, elle mâa demandĂ© de venir vous remercier de lui avoir proposer votre aide. Elle Ă©tait si contente de savoir quâil y avait encore des gens bien sur terre. Ăa lâavait Ă©normĂ©ment touchĂ©e. Encore merciâ Bizarrement, cette nouvelle ne mâattrista pas du tout. Elle me remplit mĂȘme dâune joie immense. DĂ©sormais, madame DuprĂ© nâavait plus besoin de son dĂ©ambulateur, ni dâoxygĂšne. Et moi, jâavais eu la conviction dâavoir Ă©tĂ© âquelquâun de bien sur cette terreâ. Quel bonheur. Merci Ă vous, madame DuprĂ©.
Mamies aigries Salut Rillettes, Votre grand-mÚre m'a l'air aigrie et la façon dont elle vous traite est inadmissible. Qu'on soit jeune, vieux, malade ou grabataire, on n'a pas le droit de manquer de respect aux gens qui nous entourent. Je comprend que vous soyez décourgée d'aider quelqu'un avec une grand-mÚre aussi difficile. Mais essayez de ne pas VOUS oublier. Aider sa grand-mÚre c'est trÚs noble, mais vous avez aussi votre propre vie. Ne vous laissez pas bouffer! J'ai aidé ma voisine parce que je la trouvait sympa. Si ça avait été une vieille sorciÚre, je ne l'aurait surement pas fait. Si votre grand-mÚre est décue par sa vie ou par je ne sais quoi, elle n'a pas le droit de vous en rendre victime. Essayez de ne pas vous rendre coupable de son malheur. Y a-t-il autour de vous des gens qui peuvent vous relayer? Parlez-en autour de vous, à votre médecin par exemple. Il n'y a rien de honteux à ne pas supporter quelqu'un comme ça! Si vous avez envie d'aider les gens autour de vous c'est une trÚs belle qualité, ne laissez pas éteindre cette petite flamme! Bon courage. Actarus
j'aide ma grand-mĂšre tous les jours, je veille sur elle, je ne travaille pas et elle m'emploi pour m'aider a pauer mon permi, cela dit le moindre sous qu'elle me verse lui est intĂ©gralement remboursĂ©. Mais, depuis le dĂ©cĂšs de mon pĂšre elle me traite comme un chien elle m'insulte avant elle ne me disait jamasi merci ou bonjour, mais la elle me parle plus et m'engueule quand je veux lui parler. Elle s'est dĂ©barrassĂ©e du carnet de chĂšque pour me payer et quand on lui en parle ça ne l'inquiette pas du tout c'est ce qui me fait dire qu'elle l'a fait exprĂšs. Aider les autres je voulais le faire, je voulais ĂȘtre infirmiĂšre mais la...m'occuper d'elle ça me bouffe la vie elle me dĂ©truit je m'en rend malade, comme quoi s'occuper des gens oui mais pas sous le mĂȘme toit pas 24h sur24. A vrai dire la j'en ai tellment marre il me faudra beaucoup de temps pour proposer mon aide a quelqu'un au quotidien.
elle est Ă©teinte elle m'a dĂ©goutĂ©e de l'aide aux gens, avec ma mĂšre on s'occupe d'elle, moi le semaine elle le WE mais ça n'empĂȘche que ça m'en rend malade. La elle est a l'hĂŽpital, emmenĂ©e ce matin j'ai qu'une envie c'est qu'il l'a garde je ne veux plus m'occuper d'elle mais j'ai pas le choix on peut pas la mettre en maison de retraite pour diffĂ©rentes raison bien valables.
Il y a deux ans, il mâest arrivĂ© une belle histoire. Jâavais envie de vous la faire partager. AprĂšs avoir emmenĂ© les enfants Ă lâĂ©cole et sorti le chien, jâentre comme chaque matin dans mon bureau. Quel plaisir de travailler chez soi. Mon rituel matinal commence: jâallume mon ordinateur, jâouvre grand les rideaux, je jette un oeil dehors et quand je lĂšve les yeux, jâaperçois la voisine dâen face derriĂšre sa fenĂȘtre. FidĂšle au poste, comme tous les jours. La vieille dame semble ĂȘtre installĂ©e derriĂšre une table de travail ou un bureau. Jâignore ce quâelle fait, mais elle fait partie de mon paysage. Chaque jour, je la vois, affairĂ©e, la tĂȘte baissĂ©e sur son ouvrage mystĂ©rieux. Puis je me mets a travail, tic tic tic ticâŠQuelquefois, quand je relĂšve la tĂȘte pour rĂ©flĂ©chir ou me dĂ©gourdir le cou, il arrive que nos regards se croisent. Et je rĂ©alise alors que moi aussi, je fais partie de son paysage. Cette dame vit toute seule, je crois. Elle est trĂšs ĂągĂ©e et se dĂ©place avec un dĂ©ambulateur. Elle doit avoir de lâasthme car elle a Ă©normĂ©ment de mal Ă respirer et happe lâair Ă chaque pas, comme si elle Ă©touffait. Hier, je lâai croisĂ©e Ă la pharmacie, et jâai rĂ©alisĂ© que je nâavais jamais Ă©changĂ© un seul mot avec elle. La voir marcher et respirer avec tant de difficultĂ©s mâa fait beaucoup de peine. Et soudain je me suis senti coupable. Comment ai-je pu vivre aussi longtemps en face de cette pauvre femme sans jamais lui proposer de lâaider? Je me rends presque tous les jours dans les magasins du coin de la rue. Ăa me prend 5 minutes alors que pour elle, câest un vĂ©ritable calvaire. Je pourrais peut-ĂȘtre lui faire ses courses? Je me promets de lâaborder dĂšs notre prochaine rencontre. Coup du hasard ou non, nous nous sommes rencontrĂ©s dĂšs le lendemain, en bas de chez moi. Jâai alors sautĂ© sur lâoccasion. Je lui ai demandĂ© si elle vivait seule et si je pouvais lui rendre service. Je lui expliquai que jâĂ©tais tous les jours chez moi et quâelle pouvait facilement mâappeler si elle avait besoin de quelque chose. Elle me confirma quâelle vivait seule. Elle Ă©tait veuve et ses enfants habitaient trĂšs loin. âMais je ne mâennuie jamais!â, me dit-elle avec malice. Elle travaillait pour une maison dâĂ©dition, elle corrigeait des manuels scolaires (Ă son bureau, derriĂšre sa fenĂȘtre). Elle me raconta quâelle Ă©tait quelquefois un peu gĂȘnĂ©e de rencontrer mon regard quand elle regardait dehors, depuis son bureau. On sâest mis Ă rire. Je lui donnai mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Elle saisit mon bout de papier dâune main tremblante et me regarda avec des yeux remplis de gratitude et dâĂ©motion. Elle me remercia du fond du coeur et trouva ma proposition extrĂȘmement gentille. Dans ces quelques secondes, jâai rĂ©alisĂ© Ă quel point les petits bonheurs sont simples. Offrir de lâaide Ă sa voisine. Tout simplement. Quel idiot je suis de ne pas lâavoir fait plus tĂŽt. On se quitta enchantĂ©s, lâun et lâautre. Le soir mĂȘme, alors que jâavais racontĂ© cette histoire Ă ma femme et Ă mes enfants, le tĂ©lĂ©phone sonna. CâĂ©tait la vieille dame.âTout va bien, tout va bien! lança-t-elle, ne vous inquiĂ©tez pas. Je voulais juste vous demander de passer me voir ce soir, je voudrais vous donner quelque chose!â. Impatients, nous nous rendĂźmes vite chez elle aprĂšs le repas. Elle ouvrit sa porte et vit notre petite famille emmitouflĂ©e dans nos Ă©charpes en ce beau soir de dĂ©cembre. âJe voulais vous donner un petit cadeau, pour vous remercier! Câest pas grand chose, mais ça me fait tellement plaisir!â Et elle tendit deux petits paquets Ă nos deux enfants. Deux petites bougies en forme de PĂšre NoĂ«l. Elle en profita pour nous apprendre âune bonne nouvelleâannonça- t-elle. Le centre mĂ©dical pour asthmatiques lui avait Ă©crit: son cas avait Ă©tĂ© jugĂ© suffisamment alarmant pour lâhospitaliser rapidement. âIls ont enfin une place pour moi!â Je pars dans quelques jours! LâidĂ©e dâaller sĂ©journer dans ce lieu avec tous les soins Ă portĂ©e de main lui faisait un effet fou! On aurait dit quâelle partait pour une croisiĂšre aux CaraĂŻbes. Le temps passa. Le matin, quand je levais la tĂȘte de mon clavier, je mâĂ©tais habituĂ© aux rideaux fermĂ©s de sa fenĂȘtre. Un jour de fĂ©vrier, je du mâabsenter pour la journĂ©e. En rentrant le soir, ma femme me raconta quâelle avait reçu la visite dâun homme. âQuand jâai ouvert la porte, lâinconnu sâest prĂ©sentĂ©â, mâexpliqua-t-elle âBonjour madame, vous ne me connaissez pas. Je suis le fils de madame DuprĂ©, votre voisine dâen face.â Je me laissai tomber sur le fauteuil pour Ă©couter la suite. Lâhomme avait ajoutĂ© âMa mĂšre est morte. Nous lâavons enterrĂ©e hier. Avant de sâĂ©teindre, elle mâa demandĂ© de venir vous remercier de lui avoir proposer votre aide. Elle Ă©tait si contente de savoir quâil y avait encore des gens bien sur terre. Ăa lâavait Ă©normĂ©ment touchĂ©e. Encore merciâ Bizarrement, cette nouvelle ne mâattrista pas du tout. Elle me remplit mĂȘme dâune joie immense. DĂ©sormais, madame DuprĂ© nâavait plus besoin de son dĂ©ambulateur, ni dâoxygĂšne. Et moi, jâavais eu la conviction dâavoir Ă©tĂ© âquelquâun de bien sur cette terreâ. Quel bonheur. Merci Ă vous, madame DuprĂ©. Emouvant Je t'ai lue les larmes aux yeux Actarus. S'il y avait plus de gens comme toi, le monde serait nettement plus heureux! Bon chemin Ă toi! amicalement Fortitude
Il y a deux ans, il mâest arrivĂ© une belle histoire. Jâavais envie de vous la faire partager. AprĂšs avoir emmenĂ© les enfants Ă lâĂ©cole et sorti le chien, jâentre comme chaque matin dans mon bureau. Quel plaisir de travailler chez soi. Mon rituel matinal commence: jâallume mon ordinateur, jâouvre grand les rideaux, je jette un oeil dehors et quand je lĂšve les yeux, jâaperçois la voisine dâen face derriĂšre sa fenĂȘtre. FidĂšle au poste, comme tous les jours. La vieille dame semble ĂȘtre installĂ©e derriĂšre une table de travail ou un bureau. Jâignore ce quâelle fait, mais elle fait partie de mon paysage. Chaque jour, je la vois, affairĂ©e, la tĂȘte baissĂ©e sur son ouvrage mystĂ©rieux. Puis je me mets a travail, tic tic tic ticâŠQuelquefois, quand je relĂšve la tĂȘte pour rĂ©flĂ©chir ou me dĂ©gourdir le cou, il arrive que nos regards se croisent. Et je rĂ©alise alors que moi aussi, je fais partie de son paysage. Cette dame vit toute seule, je crois. Elle est trĂšs ĂągĂ©e et se dĂ©place avec un dĂ©ambulateur. Elle doit avoir de lâasthme car elle a Ă©normĂ©ment de mal Ă respirer et happe lâair Ă chaque pas, comme si elle Ă©touffait. Hier, je lâai croisĂ©e Ă la pharmacie, et jâai rĂ©alisĂ© que je nâavais jamais Ă©changĂ© un seul mot avec elle. La voir marcher et respirer avec tant de difficultĂ©s mâa fait beaucoup de peine. Et soudain je me suis senti coupable. Comment ai-je pu vivre aussi longtemps en face de cette pauvre femme sans jamais lui proposer de lâaider? Je me rends presque tous les jours dans les magasins du coin de la rue. Ăa me prend 5 minutes alors que pour elle, câest un vĂ©ritable calvaire. Je pourrais peut-ĂȘtre lui faire ses courses? Je me promets de lâaborder dĂšs notre prochaine rencontre. Coup du hasard ou non, nous nous sommes rencontrĂ©s dĂšs le lendemain, e
La petite soeur et l'amie sucent la bite d'un mec chanceux
Flic chaud punit une jeune fille et sa mĂšre
Petite asiatique vicieuse taille une pipe Ă l'inspecteur