La vieille dame a du bon temps
⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻
La vieille dame a du bon temps
Paroles de la chanson
La Vieille Dame par
Il Etait Une Fois
Elle est arrivée
Au crépuscule de sa vie
Elle boit son tilleul
Avant de se mettre au lit
Demain matin comme chaque matin
Elle ira prier pour celui
Qu'elle a tant aimé
Jusqu'à la tombée de sa nuit à lui
Pendant ce temps là la voisine
Prépara la cuisine
Quand elle reviendra
Elles boiront du chocolat
Mais moi le destin
Crépuscule de chaque vie
Je sais que demain
Elle sera au paradis
Elle ne se réveillera pas
Et c'est bien mieux comme ça
Elle va s'endormir
Partir sans faire de bruit
Vers lui
Allons nous en doucement
Car son mari l'attend
Quand elle le rejoindra
Ils boiront du chocolat
Elle est arrivée
Au crépuscule de vie
Mais l'eau est éternelle
Bonsoir bonsoir bonne nuit
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)
Les plus grands succès de Il Etait Une Fois
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
0-9
Les cookies assurent le bon fonctionnement de nos services. En utilisant ces derniers, vous acceptez l'utilisation des cookies. En savoir plus.
RECHERCHEZ VOS CHANSONS ET VOS ARTISTES
Paroles.net
Paroles Il Etait Une Fois
Paroles La Vieille Dame
Cet article date de plus de huit ans.
Tombeuse du Milan (0-2), la Juventus compte désormais dix points d’avance en tête de la Série A. La Vielle Dame se dirige de plus vers un 30e Scdutetto.
Carlos Tevez (Juventus Turin) (GIUSEPPE CACACE / AFP)
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.
Saisissez votre adresse mail pour recevoir l’essentiel de l’actualité tous les matins
s'abonner
France Télévisions utilise votre adresse email afin de vous adresser des newsletters.
Pour exercer vos droits, contactez-nous.
Notre politique de confidentialité
Contactez-nous
Notre compte Twitter (nouvel onglet)
Notre compte Facebook (nouvel onglet)
Notre compte Instagram (nouvel onglet)
Notre compte Youtube (nouvel onglet)
Qui fera tomber la Ville Dame ? Si l’AS Roma y est parvenue en Coupe d’Italie et Galatsaray en Ligue des Champions, la Juventus n’a plus perdu en Série A depuis le 20 octobre dernier et ce n'est pas le Milan qui a pu espérer réaliser l'exploit. Rarement dangereux les Milanais ont subi la loi d'une Juve intraitable qui a réussi à faire fructifier ses temps forts pour emporter une victoire finalement facile.
Après vingt minutes de jeu, Llorente et Tevez se sont déjà mis en évidence, tout comme Lichsteiner qui oblige Abbiati à réaliser une parade décisive. Mais bizarrement, ces deux occasions sonnent le glas des offensives turinoises pour un bon moment. Le Milan au contraire retrouve de la verve. Pazzini, Montolivo mais aussi Kaka inquiètent Buffon sans pouvoir toutefois ouvrir le score. Et le sang-froid de la Juventus va comme souvent faire la différence. Fernando Llorente ouvre le score juste avant la pause sur un centre en retrait parfait de Carlos Tevez. Chahutée la Vieille Dame rentre pourtant aux vestiaires avec l'avantage au score.
La deuxième période est un peu différente avec un Milan qui croit de moins en moins en ses chances. Surtout quand Carlos Tevez décide de faire parler son talent. Esseulé à 25 mètres des buts d'Abbiati, l'Argentin expédie une frappe supruissante sous la barre pour permettre à son équipe de doubler la mise. La Vielle Dame a dit la messe. La Serie A devrait suivre dans quelques mois.
Prolongez votre lecture autour de ce sujet
Franceinfo sélectionne chaque jour des contenus issus de médias audiovisuels publics européens, membres de l’Eurovision. Ces contenus sont publiés en anglais ou en français.
Soyez alerté (e) en temps réel avec l'application franceinfo :
traduction Félix Frank et E. Alsleben
Dernière modification il y a 6 ans par Le ciel est par dessus le toit
Une veuve avait deux filles, l’une belle et active, l’autre laide et paresseuse. Mais elle aimait bien plus la fillette paresseuse et laide, comme étant sa propre fille, que l’autre qui devait faire tout l’ouvrage et qui était la Cendrillon du logis. La pauvre enfant devait se mettre tous les jours sur la grande route, près d’un puits, et filer sans relâche, au point que le sang lui coulait des doigts.
Il arriva qu’une fois, comme sa quenouille était couverte de sang et qu’elle se penchait pour se laver, celle-ci lui glissa de la main et tomba au fond du puits. La pauvrette fondit en larmes, et courut chez sa belle-mère à qui elle conta son malheur ; mais cette femme la gronda rudement et se montra sans pitié. Enfin, elle lui dit :
« Si tu as laissé tomber ta quenouille, va la chercher. »
La jeune fille s’en retourna donc auprès du puits, mais elle ne savait que faire ; et, dans son angoisse, elle sauta par-dessus le bord, pour chercher la quenouille.
Lorsqu’elle revint à elle après le premier étourdissement, elle se vit sur une belle prairie, où il faisait un beau soleil et où il y avait des milliers de fleurs. Elle traversa la prairie et arriva près d’un four qui était rempli de pains ; et le pain criait :
« Ah ! retire-moi, retire-moi ! Autrement, je brûlerais, car il y a longtemps que je suis cuit. »
Vite, elle se mit au travail, et retira tout. Puis elle continua son chemin, et trouva un pommier chargé de pommes ; et il criait :
« Ah ! secoue-moi, secoue-moi ! Mes pommes sont toutes mûres. »
Alors elle secoua l’arbre et les pommes tombèrent comme grêle, jusqu’à ce qu’il n’y en eût plus une ; puis elle s’en alla.
Enfin, elle rencontra une petite maison, d’où semblait la guetter une vieille femme ; mais comme celle-ci avait de longues dents, elle eut peur et voulut se sauver. La vieille femme lui dit alors :
« Ne crains rien, chère enfant, reste chez moi, et si tu veux faire avec soin tout l’ouvrage de la maison, tu auras du bon temps ; mais il faut prendre garde de bien secouer mon édredon, jusqu’à ce que les plumes s’envolent : alors il neige par le monde ; car je suis la dame Hollé [1] . »
La vieille parlait si doucement que la jeune fille accepta d’entrer à son service. Elle faisait tout à souhait et secouait toujours l’édredon de toutes ses forces ; mais aussi avait-elle une vie des plus agréables, point de mauvaises paroles, et chaque jour de la friture et du rôti.
Il y avait déjà quelque temps qu’elle était chez la dame Hollé, lorsqu’elle devint triste jusqu’au fond du cœur ; et quoiqu’elle fût mille fois mieux là que dans la maison de sa belle-mère, elle mourait d’envie de revoir son ancien logis ; enfin elle dit à la vieille :
« J’ai le mal du pays, et si bien que je me trouve ici, je ne puis y rester plus longtemps. »
« Il me plait que tu désires retourner chez toi ; et, puisque tu m’as servie fidèlement, je veux t’y ramener moi-même. »
Puis elle la prit par la main pour la conduire sous une grande porte, qui s’ouvrit ; et lorsque la jeune fille fut juste au-dessous, une pluie d’or abondante en tomba, et l’or resta attaché à elle, de sorte qu’elle en était couverte entièrement.
« Tu auras cela, parce que tu as été appliquée, » dit la dame Hollé ; et elle lui donna aussi la quenouille qui était tombée dans le puits. Ensuite la porte se referma et la jeune fille se trouva de nouveau sur la terre, près de la maison maternelle ; et quand elle entra dans la cour, le coq était perché sur la margelle du puits et chantait :
« Kikeriki, kikeriki !
Notre vierge d’or est ici. »
Alors, elle s’en fut chez sa mère, et comme elle arrivait couverte d’or, elle se trouva la bienvenue.
Quand la mère eut appris comment cette richesse lui était échue, elle voulut procurer le même bonheur à sa laide et paresseuse fille. Il fallut qu’elle se mit aussi à filer auprès du puits ; et pour que la quenouille fût ensanglantée, elle se piqua le doigt et s’égratigna la main aux épines de la haie ; puis elle jeta la quenouille dans le puits, et y sauta elle-même après elle.
Comme sa sœur, elle arriva à la belle prairie et prit les mêmes chemins. Lorsqu’elle atteignit le four, le pain criait :
« Oh ! Retire-moi, retire-moi ! Autrement je brûlerais, car il y a longtemps que je suis cuit. »
« Je n’ai pas envie de me salir ! » Et elle continua sa route.
Bientôt elle trouva le pommier, qui s’écria :
« Oh ! Secoue-moi, secoue-moi ! Mes pommes sont toute mûres. »
« Oui ! N’est-ce pas ? Pour qu’une pomme me tombe sur la tête ! » Et elle s’en alla plus loin.
En arrivant devant le logis de la dame Hollé, elle n’eut pas peur, car elle avait déjà entendu parler de ses grandes dents, et s’y mit tout de suite en service. Le premier jour, elle se contraignit à être appliquée et fit tout comme le lui disait la dame Hollé, car elle pensait à l’or qui lui en reviendrait. Le second jour, elle commença à faire la paresseuse ; le troisième, ce fut encore pis ; elle ne voulait plus se lever de bon matin, faisait fort mal le lit de la dame Hollé et ne le secouait pas pour en faire voler les plumes. La dame Hollé fut bientôt fatiguée d’elle et lui donna son congé. La paresseuse en fut ravie, pensant que la pluie d’or allait venir à présent. La bonne dame la conduisit comme l’autre sous la grande porte, et quand elle se trouva juste au-dessous, au lieu de l’or qu’elle attendait, un chaudron de poix lui fut versé sur la tête.
« Tu as maintenant la récompense de tes services, »
dit la dame Hollé en fermant la porte.
C’est ainsi que la paresseuse s’en retourna toute couverte
de poix ; et quand le coq, perché sur le puits, l’eut
aperçue, il chanta :
La poix ne voulut jamais s’en aller, et la paresseuse
fut obligée de la garder aussi longtemps qu’elle vécut.
www.dicocitations.com needs to review the security of your connection before
proceeding.
Did you know 43% of cyber attacks target small businesses?
Requests from malicious bots can pose as legitimate traffic. Occasionally, you may see this page while the site ensures that the connection is secure.
Performance & security by
Cloudflare
Massage et sexe avec Lily Carter
Une servant sexy veut goûter
Couple amateur baise dans un cercle