La vie secrète d'Indiens cochons

La vie secrète d'Indiens cochons




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La vie secrète d'Indiens cochons

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Le capybara est le plus gros animal mammifère rongeur du monde. Il a un air lourd du fait qu’il n’a pas de queue. En fait il ressemble à un cochon d’Inde géant.
Le museau du mâle est garni d’une glande qui secrète un liquide odorant qui lui sert à marquer son territoire. Il vit dans les forêts d’Amérique du Sud, et près de points d’eau, il est semi-aquatique. La forêt et l’eau sont indispensables pour sa survie.
Le capybara vit en bande menée par un mâle dominant. Sa seule défense contre les prédateurs est la fuite dans l’eau. Il peut y passer plusieurs heures. Il se nourrit d’herbages et de plantes aquatiques qu’il trouve au bord de l’eau.
En avril, mai et juin, le temps de l’accouplement est arrivé. L’Accouplement du capybara a lieu dans l’eau. La gestation dure de 120 à 160 jours et la mère a habituellement 4 petits. Cependant il arrive qu’elle en ait jusqu’à 8.
Pendant une quinzaine de semaines la mère allaitera son bébé, mais il peut très bien manger seul à sa naissance. Toutes les femelles de la bande aident à l’éducation des nouveaux venus.
Les principaux prédateurs des capybaras sont les caïmans, l’aigle, le jaguar et autres animaux sauvages carnivores.
La durée de vie du capybara est de dix ans dans la nature.
Pour les fermiers du Pérou, d’Equateur et de Bolivie, les cuyes sont des animaux de boucherie très rentables, qui se contentent de peu, sont faciles d’entretien et rapportent assez d’argent pour nourrir une famille. Ils sont aussi beaucoup plus rentables et nutritifs que les bovins.
Il faut savoir que pour toutes ces raisons, l’élevage des cuyes ne date pas d’hier (voir l’article sur la domestication dans la rubrique “Origines et Histoire”). En effet, toujours aujourd’hui, beaucoup de familles élèvent toujours des cuyes dans leur cuisine, et ceux-ci sont logés dans des cuyeros(sortes de petis enclos en terre cuite, souvent en forme de chateau) et se nourrissent des restes de légumes, d’alfalfa et d’épluchures. Un cuy andin doit produire 1 kg de viande à l’âge de 4 mois, et environ 4 kg à l’âge adulte !
On estime que 36 millions de cuyes sont consommés chaque année. Plusieurs races ont été développées :
En Amérique Latine, les fermiers font aussi la distinction entre différentes sous-catégories de cuyes : le “bracoïde” et le “brevilineo” qui présentent leurs propres caractéristiques.
Les cuyes de races sont parfois croisés avec des cuyes ordinaires, ce qui donne des cuyes mestizos. Les cuyes andins peuvent avoir des couleurs et des types de poils différents, comme nos cobayes de compagnie européens, mais ce n’est pas un critère important, car ne l’oublions pas, ce sont des animaux destinés à la consommation.
De ce fait, on élève surtout des cuyes de couleur claire (généralement blancs, roux ou crême), dont la chair a un aspect plus plaisant à l’oeil. Cependant, les cuyes de couleur foncée sont aussi utilisés, mais plutôt dans les rituels et les cérémonies (sacrifices), par les curanderos dans la médecine populaire et les offrandes traditionnelles. Il arrive parfois qu’on les consomme, mais seulement “pour ne plus souffrir d’arthrite”. Lorsque des cuyes andins présentent des caractéristiques amusantes, ils sont alors vendus en tant qu’animal de compagnie ou réservés comme mascottes pour les enfants du village.
Pourquoi les sud-américains mangent toujours du cuy ? Tout d’abord, il faut savoir que dans les Andes, les seuls animaux que l’on peut domestiquer sont les camelidés de la même famille que les lamas (guanacos, alpacas, vigognes…) et les cochons d’Inde (cuyes). Les camelidés sont utilisés pour le poil, le lait et le transport… et les cuyes devinrent donc une des première source de protéines pour les sud-américains depuis de nombreux sièces.
Ensuite, le cuy est une des meilleures viandes qui existe. La viande de cuy contient plus de protéines (21%) que le boeuf (17,5%), le porc (14,5%) ou le poulet (18,3%) et est beaucoup moins grasse ! Pendant longtemps, les sud-américains n’ont donc eu que le cuy comme principale source de protéines. Aujourd’hui encore la consommation de cuy est très ancrée dans leur culture.
Les cuys européens sont aujourd’hui plus connus sous le nom de “cobayes géants” ou”cobayes géants européens”. Ils proviennent pour la plupart d’élevages allemands, hollandais et belges. A la naissance, les cobayes géants pèsent environ 100 à 150 g de plus que les cobayes ! Les jeunes cuyes atteignent déjà le poids d’1 kg à l’âge de 2 mois et demi à 4 mois ! Ils continuent de grandir jusqu’à l’âge de 2 ans, c’est à dire beaucoup plus tard qu’un cobaye normal. Ils prennent facilement 400 g entre l’âge d’un an et de deux ans ! Leur ossature est beaucoup plus massive, tout comme leur poil, qui serait plus rêche. En France, les plus gros cuyes pèsent environ 3 kg, et ceux de la variété “Cuye Cobayos” peuvent mesurer jusqu’à 50 cm de long et atteindre un poids maximal de 4.65 kg !
Curieusement, on retrouve des cas fréquents de polydactylie chez les cuyes (présence de doigts surnuméraires) comme on peut le voir sur la photo ci-contre, où on peut compter 6 ou 7 doigts à chaque main au lieu de 5. Malgré le fait que cette particularité ne soit pas un critère sélectionné par les éleveurs, elle n’est pas du tout gênante, car les doigts ne sont pas “flottants”, mais bien attachés à la main et fonctionnels (pas de risque de blessure, de nécrose, etc…).
Il semblerait que les cuyes soient plus craintifs et “rustiques” que les cobayes (plus “rudes”), et que leur espérance de vie ne dépasse pas les 4 ans. Ils seraient aussi moins prolifiques.
Pourquoi les cuyes européens sont-ils plus petits que les cuyes andins ? Premièrement, il faut prendre en compte le facteur climatique : dans les régions andines, en pleine montagne, les températures peuvent être beaucoup plus froides qu’en Europe, et les écarts de températures entre le jour et la nuit beaucoup plus grands. Les animaux les plus gros sont donc les plus résistants car ils sont plus aptes à conserver la chaleur. Ensuite, il ne faut pas non plus oublier que les fermes à cuyes produisent ces animaux à grande échelle. Ainsi, il est plus facile de sélectionner des grands cuyes au sein d’un groupe de 10 000 individus que dans un petit élevage ! Pour finir, cuyes andins et cuyes européens ne recoivent pas la même alimentation.
Carole Kühne (plus connue sous le pseudo de Crolle), éleveuse de cobayes en Belgique, se souviendra toujours de sa première rencontre avec un cuy : “c’était lors d’une petite expo à Bruxelles, il y a deux ans. Lorsque je me suis approchée de ce cobaye à la taille impressionnante, il a hurlé et s’est agrippé aux barreaux de la cage ! Ca m’a vraiment fait mal au coeur ! C’est à croire que les cuyes se souviennent qu’ils ont au départ été élevés pour la consommation humaine…”
Comme l’a constaté Carole, le cuy est un animal très peureux. C’est qu’à l’origine ce n’est pas un animal de compagnie, il est encore très sauvage. C’est également l’avis de Virginie Votquenne, éleveuse de cuyes en Belgique depuis 2 ans : “les cuyes sont aussi gentils que les cobayes, mais il faut plus de patience pour les apprivoiser. Leur nervosité s’explique aussi par le fait que les éleveurs allemands et hollandais – d’où la majorité des cuyes européens sont originaires – maintiennent leurs cuyes dans des grands enclos où ils ne sont guère manipulés. Ils ne sont donc pas habitués aux humains.”
Le cuy vivrait donc moins longtemps que le cobaye ordinaire : au départ, ils n’ont pas été élevés pour vivre longtemps (… mais pour être mangés…) ! “Mais s’ils ont une vie sans stress, je suis sûre qu’on peut garder des cuyes presque aussi longtemps que des cobayes”, explique Virginie.
Dernier détail, et pas des moindres, il semblerait que, selon Virginie, le cuy crie beaucoup et pour pas grand chose… Le bruit qu’ils émettent est en rapport avec leur taille : de vrais cochons qu’on égorge ! Leurs ronronnements sont assez forts aussi.
Pourquoi choisir un cuy plutôt qu’un cobaye ordinaire ? “Je trouve le cuy fort intéressant et très étrange”, affirme Virginie. “Quand j’ai vu mon premier cuy lors d’une exposition, j’ai tout de suite craqué.” Carole reste plus réservée : “élever des cuyes ne me tente pas. J’ai du mal à me faire à leur caractère. Et il me faudrait beaucoup plus de place car ils ont besoin de très grandes cages.”
Beaucoup de particuliers qui aiment et connaissent bien les cochons d’Inde aimeraient avoir des cuyes. Hélas à moins de contacter directement des éleveurs allemands et hollandais et de se rendre sur place, il faut compter un délai d’attente très long, car il y a encore très peu d’éleveurs proposant des cuyes en France et même en Belgique. Par ailleurs, ils ne possèdent pas un nombre suffisant de cuyes pour avoir en permanence des jeunes disponibles à la vente. Il n’y a qu’à se fier aux dires de Virginie : “j’ai énormément de demandes. Le délai d’attente pour avoir un cuy varie entre quelque mois et 1 an, selon les exigences (couleur, longueur du poils, etc…).”
Si l’on sait que le Cochon d’Inde fait partie de la famille des Cobayes, remontant à l’ère tertiaire, ses origines précises restent à ce jour incertaines. Les premiers Cochons d’Inde ont été rencontrés par les Européens en 1530, lorsque les soldats espagnols ont atteint le Chili et le Pérou. Ils étaient alors élevés par les Incas pour leur alimentation. Ils étaient d’ailleurs fortement appréciés, à tel point que des Cochons d’Inde momifiés ont été retrouvés dans des sépultures, laissant supposer qu’ils constituaient des offrandes aux défunts.
Le Cochon d’Inde est arrivé en Europe au XVIIIe siècle, importé par des explorateurs hollandais. C’est à ce moment qu’il est devenu un animal de compagnie, statut qu’il occupe aujourd’hui plus que jamais.
Les différentes variétés de Cochons d’Inde peuvent être réparties en trois grandes catégories, en fonction de leur pelage : les variétés à poils lisses, à poils longs et à poils durs. On trouve également des Cochons d’Inde dits nus, les Skinny et les Baldwin, mais ceux-ci demeurent relativement rares.
Le Cochon d’Inde est un animal délicat. Il nécessite une attention toute particulière et ne convient guère aux très jeunes enfants, qui risqueraient de se montrer trop brutaux et bruyants pour lui. Le Cochon d’Inde est vulnérable, puisqu’il ne sait pas se défendre, et ne griffe et mord que très rarement.
Le maître idéal pour un Cobaye est une personne attentionnée, qui dispose de suffisamment d’espace pour aménager à l’animal un endroit au calme dans la maison. En outre, mieux vaut avoir suffisamment de temps au quotidien à consacrer à ses soins, car outre son alimentation, le Cochon d’Inde a besoin d’une cage propre, nettoyée plusieurs fois par semaine, ainsi que d’instants de partage et de jeu.
Comme chez la plupart des rongeurs, le mâle et la femelle Cochon d’Inde ne présentent que très peu de différences, que ce soit au niveau du caractère ou de l’aspect physique. Le mâle est juste légèrement plus gros que la femelle.
À la naissance, le Cobaye est très petit. Il ne pèse que 100 g environ, mais possède déjà un joli pelage.
C’est autour de 5 à 6 semaines qu’il est à même de rejoindre sa famille d’adoption, moment auquel son sevrage est achevé et son système immunitaire est suffisamment développé.
Le Cochon d’Inde est considéré comme âgé vers 5 ans. C’est alors que certaines pathologies sont plus susceptibles de se manifester et de venir compromettre le bien-être de l’animal.
Quelques disparités peuvent se manifester d’une race à l’autre, mais celles-ci restent minimes. Il est rare de voir un Cobaye dépasser le poids de 1,2 kg, pour une longueur située entre 20 et 40 cm.
Le Cochon d’Inde communique par de petits bruits, qui ne manquent généralement pas d’amuser enfants et adultes.
Espèce diurne, il est docile et se laisse facilement manipuler. Attention cependant à le saisir et à le tenir correctement.
Le Cobaye est un animal de compagnie très sociable. Il aime l’interaction avec ses maîtres et apprécie fortement la présence de congénères. Il est même beaucoup plus heureux s’il a la possibilité de vivre avec au moins un compagnon. Néanmoins, mieux vaut veiller à adopter des animaux de sexe identique ou à les faire stériliser, sous peine de devoir assumer des portées régulières.
Exclusivement herbivore, le Cochon d’Inde se nourrit de verdure. Sa ration journalière se compose essentiellement de foin. Cet aliment offre de nombreux apports à l’animal, en plus de lui assurer une parfaite usure des dents, qui ont la particularité de pousser de manière continue.
Les légumes font également partie intégrante de la nourriture du Cochon d’Inde. Carottes, céleris, panais ou brocolis sont des mets qu’il affectionne, et qui doivent lui être proposés en alternance avec d’autres végétaux au quotidien.
Les granulés pour rongeurs peuvent venir compléter sa ration journalière, mais ne doivent en aucun cas être servis comme aliment principal.
Le Cochon d’Inde est un animal à la santé fragile. Il est notamment sensible du cœur. C’est pourquoi il est primordial de lui fournir un environnement calme.
Vulnérable au niveau de la peau, il est susceptible de développer différentes maladies cutanées. Il doit donc vivre dans un milieu sain, avec une cage nettoyée régulièrement. Enfin, cystites, pneumonies, carences en vitamine C ou encore méningites sont des pathologies qui touchent particulièrement les Cochons d’Inde. Il est important de veiller au bien-être de son petit compagnon en lui procurant des conditions de vie optimales. Pensez à complémenter sa ration avec de La vitamine C pour éviter les risques de carence.
Le Cobaye atteint la majorité sexuelle à 2 mois pour la femelle et à 3 mois pour le mâle. Il est alors capable de se reproduire tout au long de l’année. Les femelles ne connaissent pas de périodes de chaleurs comme d’autres espèces.
Attention chez la femelle il ne faut pas la faire reproduire après ses 11 -12 mois. La raison de cela est anatomique : son bassin est flexible jusqu’à cet âge, après ses os se soudent rendant risquée la mise -bas. Si une première portée a eu lieu avant ses 11 mois, vous pourrez la faire reproduire ultérieurement, mais dans le cas contraire il est recommandé de ne pas le faire.
Le Cochon d’Inde peut mettre au monde entre 2 et 4 portées par an, chacune comptant de 1 à 6 petits.
Il existe une grande diversité de couleurs chez le Cochon d’Inde. Noir, crème, chocolat, beige, rouge ou encore doré… en fonction de la race, les Cobayes peuvent présenter un pelage très varié.
Souris, rat, hamster, cochon d’Inde… Vous pensez déjà tout connaître des rongeurs ? Détrompez-vous ! Il existe une multitude d’espèces méconnues qui méritent pourtant le détour. Dans ce petit recueil des rongeurs aux noms les plus étranges, vous serez surpris de découvrir les anecdotes qui les entourent. De quoi paraître brillant lors de votre prochain dîner mondain !
L’agouti nous vient tout droit d’Amérique centrale et ressemble tout simplement à un gros cochon d’Inde. Friand des graines de petit palmier, il a pour habitude d’en manger une partie et d’en enterrer l’autre. Ainsi, sans le savoir, il est devenu indispensable à la vie de cette espèce végétale et contribue à sa conservation ! Sa fourrure très douce varie entre le brun doré et le roux selon la zone du corps, et par analogie, » agouti » est le nom donné à la couleur du pelage de nombreux animaux.
Selon la légende, cuy (prononcez » koui « ) est le nom qu’aurait donné Christophe Colomb à ce rongeur après l’avoir entendu couiner. Il s’agit d’une espèce de cochon d’Inde géant, qui est malheureusement consommé par les populations d’Amérique du Sud. En Europe, il est en revanche accueilli comme animal de compagnie et sa méfiance se transforme vite en tendresse. Sa petite – mais rare – particularité est qu’il peut naître polydactile, c’est-à-dire avec plus de doigts aux pattes que nécessaire !
Parce qu’il n’est pas toujours nécessaire de chercher midi à quatorze heures, le chien de prairie se nomme ainsi car son cri s’apparente à un aboiement et que son habitat principal est la prairie ! En réalité, il ressemble beaucoup à la marmotte. Considéré comme un nuisible depuis plus d’un siècle, sa population décroît rapidement. Pourtant, grâce à la terre qu’il retourne en creusant son terrier, il rend les herbes plus riches en minéraux.
Voici le plus gros rongeur du monde ! Il peut peser jusqu’à 65 kg et mesurer 135 cm de long. Son nom vient de » capivara » qui signifie » seigneur des herbes » chez les indiens Guaranis. Certains l’appellent aussi » cabiai » ou encore » carpincho « . Et ce n’est pas fini : sa vie semi-aquatique, à la manière des hippopotames, lui a valu le petit nom latin d’ » hydrochère « .
Encore un drôle de nom qui s’explique : le mot » octodon » vient de ses dents qui ont la forme d’un huit, » octo » en latin. L’espèce octodon degus, appelée couramment dègue du Chili dans les animaleries, fait partie des nouveaux animaux de compagnie très en vogue. Dans son habitat naturel – les montagnes chiliennes – l’octodon peut vivre jusqu’à 1200 mètres d’altitude.
On ne parle pas ici de fraises, mais bien d’une espèce de rongeurs. Après le capybara et le castor, il est le troisième plus gros rongeur du monde, et il n’est pas rare de le confondre avec un lièvre voire même avec un kangourou ! Il sait d’ailleurs bondir jusqu’à deux mètres de hauteur et peut aussi sprinter à plus de 50 km/h.
Campagnol est le nom donné à un ensemble de petits rongeurs de couleur brune et à la queue raccourcie, autrefois englobés sous le terme » rat des champs « . Pour la petite histoire, c’est en 1758 que Buffon emploie pour la première fois ce nom, dérivé de campagne, dans son Histoire naturelle. Mais ce n’est qu’au milieu du XIXe siècle que le terme apparaît dans le dictionnaire pour le distinguer du mulot et de la souris.
Le cuy (prononcez kouï) est une race de cochons d’Inde très recherchée. Il est deux à trois fois plus gros que nos cobayes domestiques !
À la naissance, ils pèsent 100 à 150 g de plus que les cobayes » normaux « . Et ils atteignent déjà un poids de 1 kg entre 2 mois et demi et 4 mois ! Ils continuent de grandir jusqu’à l’âge de 2 ans, c’est-à-dire beaucoup plus tard qu’un cobaye ordinaire. Leur ossature est beaucoup plus massive, et leur poil serait plus rêche.
En France, les plus gros cuyes pèsent environ 3 kg, et ceux de la race Cuye Cobayos peuvent mesurer jusqu’à 50 cm de long et atteindre un poids maximal de 4,65 kg !
On trouve parmi eux des cas fréquents de polydactylie (présence de doigts surnuméraires). Cette particularité n’est pas gênante, car les doigts ne sont pas » flottants « , mais bien attachés à la main et fonctionnels (pas de risque de blessure, de nécrose, etc.). Il semblerait que les cuyes soient plus craintifs et » rustiques » que les traditionnels cobayes. Il ne faut pas oublier que ce ne sont pas encore des animaux » de compagnie « , et qu’ils sont encore assez sauvages pour la plupart.
Leur nervosité s’expliquerait aussi par le fait que les éleveurs allemands et hollandais – qui diffusent la majorité des cuyes européens – maintiennent leurs cuyes dans des grands enclos où ils ne sont guère manipulés. Ils ne sont donc pas habitués aux humains. Par ailleurs, leur espérance de vie ne dépasserait pas les 4 ans. Il est vrai qu’au départ les cuyes n’ont pas été élevés pour vivre longtemps, mais pour être mangés !
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Le cochon d’Inde, ou cobaye, est un rongeur câlin et très sociable, qui occupe une place de choix dans nos foyers. Il a donc ses standards, donnés par l’ANEC (Association Nationale des Éleveurs de Cobayes). Différentes races de cochons d’Inde existent, catégorisée par type de poils : les poils lisses, les poi
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