La veuve oublie sa peine en vidant une paire de couilles

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Deux salopes qui vident une paire de couilles



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Se faire sucer par deux aussi belles salopes, c'est un peu le rêve de chacun d'entre nous. Lorsque vous verrez cette vidéo porno aux scènes absolument hard et deux chiennes qui veulent vraiment s'amuser et baiser, il se passera forcément quelque chose dans votre pantalon. Elles sont sans gêne, se laissent défoncer tous les trous et vont jusqu'à récupérer le sperme pour se le partager dans deux bouches. Le gars n'a pas à choisir entre ces deux belles cochonnes, elles s'offrent à lui à tour de rôle et il n'a plus qu'à se laisser faire.
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Doubles salopes qui font du bien aux couilles

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Mar 31 Mai 2016 23:42






Drôle de partouze avec des salopes asiatiques qui réclament du jus de couilles

par videos-candaulisme » Mar 31 Mai 2016 23:10

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Deux femmes mures bien salopes se tapent deux jeunes hommes

par videos-candaulisme » Mar 9 Aoû 2016 16:23

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Deux mecs explosent les minous de deux salopes aux gros lolos

par videos-candaulisme » Mar 31 Mai 2016 23:11

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Les deux font la paire

par videos-candaulisme » Jeu 4 Aoû 2016 23:16

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par videos-candaulisme » Mar 31 Mai 2016 23:42
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Résumé : Le petit ami de Claire est détenu par des hommes à qui il doit de l’argent. Si elle veut le sortir de là, Claire va devoir accepter leur offre.
Depuis plusieurs semaines maintenant, Claire était aux anges avec son copain. Elle ne lui avait jamais avoué ce qu’il s’était réellement passé le soir où il l’avait trouvée nue attachée à son lit. Elle n’avait pas le courage de le faire et préférait faire comme si tout cela n’avait été qu’un rêve ; un merveilleux et inoubliable rêve. Toujours est il que depuis cette nuit, Claire prenait un pied d’enfer avec son copain à chaque fois qu’ils faisaient l’amour. Ce dernier n’avait jamais posé de questions concernant son brusque changement de comportement, mais il était ravi des conséquences qu’il avait eu. Mais le copain de Claire avait une fâcheuse habitude ; à chaque fois qu’elle prétendait devoir bosser et qu’il ne pouvait se voir, ce qui, à une certaine époque, arrivait couramment, il se rendait dans des endroits peu fréquentables pour jouer au poker. Et bien que sa fréquence se soit fortement raréfiée depuis la fameuse nuit, cette habitude n’avait pas totalement disparue. Mais un jour, ce qui devait arriver arriva. Claire connaissait bien ses habitudes et avait tenté à de multiples reprises de la lui faire abandonner, mais sans succès. Un soir il arriva chez elle, blême, la mine complètement déconfite. Claire commença à l’interroger sur ce qui l’avait mis dans cet état, mais avant même qu’il ait commencé son explication, elle remarqua que sa montre n’était plus à son poignet et devina d’où il venait.
– J’ai tout perdu. Tout ! Je suis mort !
– Qu’est ce que tu veux dire Xavier ? Qu’as-tu fais ?
– Tu comprends pas ? Je leur dois un paquet de fric et si je leur file pas, il vont me faire la peau !
Le silence se fit. Claire n’avait qu’une envie, le sermonner, lui rappeler qu’elle l’avait prévenu à de nombreuses reprises et qu’il ne pouvait s’en prendre qu’à lui même, mais elle comprit en voyant son regard que cette fois c’était bien plus grave que les fois précédentes. Sans même prendre la peine de se déshabiller, il s’était mis sous les draps et tremblait comme une feuille. Il était clairement en état de choc. Claire vint s’installer à côté de lui.
– Combien leur dois-tu ?
– 5000.
Claire avait préparé une phrase pour le rassurer, mais à l’annonce de cette somme, elle comprit qu’elle était désormais hors de propos. Aucun d’eux ne dormit cette nuit là, mais ils n’échangèrent cependant pas un mot. Toute la nuit, Claire se demanda ce qu’elle pouvait bien faire pour l’aider, puis elle finit par se décider. Dès le lendemain matin, elle irait retirer tout ce qu’elle pourrait puis se rendrait elle même à l’endroit où Xavier jouait pour remettre l’argent et essayer de convaincre l’homme de renoncer à ce qui manquait et de les oublier. Peut-être serait-il raisonnable et qu’il aurait pitié en voyant Claire, les yeux humides, le suppliant d’oublier jusqu’à l’existence de son copain. Du moins c’est ce qu’elle espérait…
Un contrat pour Claire Le lendemain matin, comme prévu, Claire réunit tout ce qu’elle pu, c’est à dire à peu près 3000€, puis se rendit au club fréquenté par son copain. Un gros balèze l’accueillit froidement à l’entrée :
– Tu veux quoi toi ?
– Je viens de la part de Xavier, remettre ce qu’il vous doit.
– Ah fallait le dire tout de suite. Entre.
Claire suivit alors le colosse qui la fit monter deux étages. Puis il stoppa, lui dit d’attendre et frappa à une porte. De l’autre côté, un homme l’invita à entrer, ce qu’il fit. Claire comprit que c’est à cet homme qu’elle aurait affaire. Quelques instants plus tard, le balèze reparut et lui fit signe d’entrer. Elle était nerveuse mais faisait tout pour ne rien laisser paraître. Elle devait être aussi ferme et déterminée que possible. Elle franchit donc la porte et pénétra dans un bureau gigantesque et honteusement luxueux. Elle pensa aussitôt que cet homme là ne devait pas être à quelques centaines d’euros près. Pendant qu’elle tentait de se rassurer de la sorte, elle avançait vers l’homme assis derrière son bureau qui l’observait avec beaucoup d’attention. Elle s’arrêta à environ un mètre du bureau et l’homme brisa le silence :
– Ainsi tu es la copine de Xavier. Dis donc, à le voir jouer je n’aurais jamais imaginer qu’il pouvait avoir autant de chance.
– Euh je vous remercie. Je viens vous remettre l’argent qu’il vous doit.
L’homme saisit l’enveloppe que lui tendit Claire, puis afficha un large sourire dès qu’il l’ouvrit.
– Je n’ai jamais été très doué en maths, mais je crois pouvoir affirmer qu’il en manque un certain nombre.
– Oui je sais. Je vous promets que nous vous rembourserons les 2000 manquant aussi rapidement que nous le pourrons.
– Ah, de toute évidence nous nous trouvons face un problème. Soit c’est un problème de communication entre vous deux, soit c’est Xavier qui ne sait pas compter.
– Que voulez-vous dire ?
– Ce que je veux dire, c’est qu’il ne me doit pas seulement 5000€, il doit également 5000€ à trois de mes associés. Étais-tu seulement au courant de cela ?
Claire n’en revenait pas. En effet, il lui avait bien parlé de 5000€, mais elle en avait déduit qu’il devait 5000€ à une personne, hors il devait 5000€ à quatre personnes, soit 20000€. Mais comment avait-il fait pour devoir autant d’argent ? Claire était morte de honte et n’avait qu’une envie, s’enfuir à toutes jambes. Mais l’homme vit bien dans quel état elle se trouvait et lui fit une proposition :
– Écoute, je te propose quelque chose, comme tu m’es sympathique, je vais téléphoner à mes trois associés pour voir s’il sont d’accord pour passer l’éponge. Je te propose de repasser ce soir à 21h pour que je puisse t’informer de leur décision. Ça te convient ?
Bien qu’il fasse tout pour paraître charmant, Claire se doutait bien que ce n’était pas le genre d’homme à qui l’on pouvait se fier. Mais avait-elle d’autres choix ?
– C’est d’accord. Je repasserai vers 21h.
– Parfait. Ah juste une chose. La prochaine fois que tu dois rentrer dans mon bureau, essaye d’être plus élégante. J’ai une réputation à tenir tu comprends.
Claire n’était pas dupe. Ce qu’il venait de faire était clair : Il lui demandait de venir bien habillée ce soir. Mais pour quelle raison ? En tout cas, les choses étaient claires pour elle désormais; elle ne réglerait pas cette histoire sans passer sous le bureau. En tout cas dans le meilleur des cas… Mais elle ne pouvait pas reculer. Si c’était le prix à payer pour obtenir la paix, elle était prête à le payer !
Ce soir là, comme prévu, elle se présenta devant la porte de l’établissement à 21h. Elle avait suivi la recommandation émise quelques heures plus tôt par le dirigeant et s’était donc parée d’un chemisier blanc à agrafes, légèrement transparent et quelque peu ouvert, d’un pantalon noir un peu moulant et d’une paire de bottines. Ce n’était pas exceptionnel, mais comme elle craignait de devoir les enlever assez rapidement, elle se dit que cela suffirait bien. Le même balèze l’accueillit et sans même dire un mot la conduisit au bureau de son patron. Il frappa deux coups à la porte et sans même attendre une réponse, il ouvrit la porte puis s’en retourna à son poste. Il n’y avait pas de lumière dans la pièce, seule la lampe de bureau était allumée. Claire respira un grand coup, pénétra dans le bureau et referma la porte. L’homme qu’elle avait vu plus tôt dans la journée se tenait à la même place que quand elle l’avait rencontré. Une nouvelle fois, c’est lui qui brisa le silence.
– Bonsoir. Je vois que tu as fais ce que je t’ai demandé. C’est très bien. Je savais qu’on allait s’entendre tous les deux. Néanmoins, en ce qui concerne notre petit différent, les choses ne se sont pas aussi bien passées que je l’espérais.
Claire ne fut pas surprise par cette nouvelle. Elle s’y attendait clairement. La question était, qu’allait-elle donc devoir faire pour régler ce différent.
– Mais nous ne sommes pas des monstres. Vu la charmante négociatrice que Xavier nous a envoyé, nous nous somme dit que nous pouvions surement trouver un arrangement. Qu’en penses-tu ?
– Je suis d’accord.
– Parfait. Comme nous sommes tous réunis ici ce soir, je pense que nous pouvons dès à présent entamer les négociations.
Claire se retourna alors, suivant le regard de l’homme et parvint à distinguer trois chaises occupées, à l’autre bout de la pièce, dans le noir le plus complet. Son cœur s’emballa subitement. Elle n’avait pas imaginé devoir en arriver là. Mais il était bien trop tard pour faire demi tour. Elle tourna de nouveau son regard vers son interlocuteur qui affichait un grand sourire, surement ravi d’avoir enfin réussi à la faire vaciller. Il reprit aussitôt la parole :
– Pour commencer, je te propose de gagner les faveurs de ton auditoire.
Sa main disparut sous son bureau et un petit ‘clic’ se fit entendre. Claire se retourna de nouveau et découvrit ce que l’interrupteur avait déclenché. Un spot venait de s’allumer au milieu de la pièce laissant apparaître une barre verticale. Claire ne jugea pas utile de poser la moindre question. Elle se souvint de la lettre qu’elle avait reçu dans l’après-midi, une lettre provenant à n’en pas douter du mystérieux homme qui lui avait fait passer la plus belle nuit de sa vie quelques semaines plus tôt. Il y était écrit : « Je sais ce que tu as fait ce matin et tu as eu tord ! Mais maintenant il est trop tard pour faire machine arrière. Ce soir, on va te faire une proposition que tu devras accepter. Quoi qu’il te demande, fais-le. Je vais te sortir de là, je te le promets. Mais je ne pourrai rien faire avant 5 jours. Alors d’ici là, tiens le coup ! » Bien qu’elle n’ait passé que quelques instants avec l’auteur de cette lettre, bien qu’elle n’ait même jamais vu son visage, elle faisait entièrement confiance à cet inconnu. Elle se dirigea donc doucement vers la barre tout en essayant de calmer ses tremblements et de se remémorer ce qu’elle avait vu faire dans les films avec de pareilles barres. Elle se mit face à son auditoire qu’elle n’arrivait toujours pas à distinguer à cause du spot qui pointait vers elle. Elle retira alors ses bottines, ferma les yeux, essayant d’imaginer que seul son mystérieux amant l’observait, et entama sa danse.
Elle commença par poser ses mains dans ses cheveux, puis les fit glisser doucement vers le bas, insistant bien sur ses seins. Elle descendit jusqu’à ses chevilles, puis remonta exactement de la même manière. En faisant cela, elle ondulait très légèrement avec son corps. On aurait cru qu’elle avait fait cela toute sa vie ! Puis après avoir tourné quelques secondes autour de sa merveilleuse poitrine, elle entreprit d’enlever les quelques agrafes qui maintenaient son chemisier fermé. Une fois cela fait, elle le retira doucement. A la vue de son 90-C parfaitement rempli, l’un des spectateurs fit entendre un ‘hummmm’ faisant comprendre qu’il appréciait la vue qu’elle lui offrait. Claire colla donc la barre entre ses seins et s’accroupit doucement, en prenant soin de la maintenir où elle se trouvait. Elle se releva ensuite tout en gardant la barre contre elle. Au bruit que faisait le soutien gorge, on voyait bien qu’il n’appréciait pas ce que Claire lui faisait subir. Le principal était que les spectateurs apprécient eux. Puis elle leur fit dos et dégrafa son soutien gorge. L’homme à son bureau se trouvait désormais en face d’elle et assistait au spectacle avec beaucoup d’attention. Claire se rassura en se disant qu’au moins elle ne faisait pas ça pour rien vu qu’ils avaient l’air d’apprécier le spectacle. Elle laissa donc son soutien gorge tomber à ses pieds. Un des trois spectateurs la siffla, visiblement ravi lui aussi. Après avoir de nouveau respiré un grand coup, Claire fit volte face afin de faire découvrir sa poitrine aux trois hommes. Elle entendit l’un d’eux murmurer à l’oreille de son voisin « Ça c’est de la gonzesse ! ». Tandis qu’elle poursuivait sa danse, Claire déboutonna son pantalon puis le fit glisser tout doucement jusqu’à ses chevilles. Elle ne portait désormais plus qu’un simple shorty en dentelle totalement transparent. Claire se mit alors en position accroupie, la barre entre les cuisses. Elle tenait la barre fermement de ses deux mains, les bras tendus au dessus de la tête. Elle débuta alors des mouvements verticaux, à la force des bras, frottant ainsi son sexe contre la barre. Quelques légers gémissements lui échappèrent, mais elle était beaucoup trop concentrée sur ce qu’elle faisait pour y prendre du plaisir. Et le moment qu’elle redoutait le plus approchait. Dans quelques secondes, elle serait nue face à ces hommes et, timide comme elle l’était, cela la dérangeait bientôt plus que de leur faire une fellation. Cependant, elle ne pouvait y échapper et elle le savait bien. Après environ 3 minutes à se frotter contre la barre, elle se redressa donc et posa ses mains quelques centimètres au dessus de ses seins. De nouveau elle les fit glisser le long de son corps doucement, tout doucement, repoussant au maximum le moment ou elles finiraient par atteindre le dernier morceau de tissu masquant son intimité. Mais ce moment arriva. Claire ferma alors les yeux et ne put cacher une grimace au moment où ces doigts passèrent sous la dentelle afin de l’entrainer dans leur mouvement de descente. Une fois le shorty arrivé à ses pieds, elle s’empressa de le retirer, se redressa et cacha son intimité avec ses mains. L’homme installait derrière son bureau intervint aussitôt :
– Je suis désolé, mais il va falloir être un peu plus convaincante que cela. Vu que tu t’es plutôt bien débrouillée jusque là, j’accepte d’oublier ce que je viens de voir et de te laisser encore quelques minutes. Profites-en, je ne serai pas toujours aussi clément.
Claire, pour la première fois de la soirée, perdit alors son calme. Que pouvait-elle bien faire à présent ? Pendant quelques secondes, qui lui parurent durer une éternité, elle resta plantée debout, les mains toujours devant son sexe sans savoir quoi faire. Elle se remémora alors la lettre. Elle devait absolument les satisfaire. Elle entreprit alors de se remettre dans la position précédente, à savoir accroupie, la barre contre son sexe. Comme quelques minutes auparavant, elle se frotta contre la barre. Toutefois, elle craignait de ne pas pouvoir s’en sortir aussi facilement. Mais au bout d’un certain temps, Claire réalisa qu’elle mouillait légèrement, diminuant d’ailleurs légèrement la sensation de brulure que lui procurait la barre lors de ses va-et-vient. Elle fit alors ce qu’elle put pour se détendre, afin d’amplifier le phénomène de lubrification. Puis, ayant jugé que cela suffisait, elle se redressa et fit un pas en arrière. Elle se mit alors à quatre pattes face à la barre et posa un doigt sur celle-ci à l’endroit où elle s’y était frottée. Comme elle l’avait prédit, un léger filet accompagna son doigt lorsqu’elle le retira. Elle l’approcha alors de sa bouche et le lécha. Cela la dégoutait, mais elle était sûre que ça leur plairait. Elle s’approcha alors de la barre et commença à la lécher. Elle faisait de longs et lents mouvements avec sa langue, comparable à des caresses. L’homme derrière son bureau se leva alors. Elle avait réussi son coup !
– Félicitations, lui dit-il. Je suis convaincu et je pense pouvoir affirmer sans me tromper qu’il en est de même pour mes collaborateurs. Tu peux te relever.
Claire s’exécuta et se tourna vers son interlocuteur. Machinalement, elle allait poser ses mains devant son sexe, mais quand elle
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