La vénézuélienne Verónica Rodríguez

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Parallèlement, le Café Borély a accueilli la Vénézuélienne Veronica Garcia Rodriguez. Georgiana Viou, la chef de La Piscine, participe pour la deuxième fois au Refugee Food Festival. Pour elle, cet événement est « un moyen de voyager sans bouger de chez soi » avant d’ajouter « il y a différentes façons de faire et différents produits, c’est hyper instructif ». Polenta à base de gari « qui est comme une semoule de manioc » ou encore egussi, « une préparation à la graine de courge mixée avec de la purée d’oignons ».
Le voyage gustatif passe par le langage avant tout contact avec nos papilles. Le menu imaginé par le Nigérian Anthony Atoba n’est toutefois pas inconnu de la chef : « J’ai grandi au Bénin et il est parti sur des plats similaires à certains plats béninois. ».
Hier midi, la chaleur est montée en cuisine. « Tony » s’active aux côtés de la chef et de deux autres cuisiniers. Rebelote ce midi et ce soir pour les curieux qui n’ont pas eu le temps de découvrir les mets nigérians.
La cuisine, un langage universel Pour Jérôme Raffaelli, le co-organisateur du Refugee Food Festival à Marseille, pas question de jouer sur le pathos. La prise de contact avec les réfugiés est simple : « On ne cherche pas à savoir ce qui les a amenés là, ce qui nous intéresse c’est la nourriture ».
Ce festival international, financé dans 14 villes par le Haut Commissaire des Réfugiés de l’ONU, a atterri à Marseille grâce aux porteurs du projet, Kevin Yau et Jérôme Raffaelli, pour des raisons familiales. Les parents du premier sont réfugiés du Cambodge et les grands-parents du second sont arrivés d’Italie par bateau à Marseille. « [Ils ont] eu une envie très forte de montrer une image positive et festive autour de ce sujet d’actualité qu’est celui des réfugiés. ». Le voyage n’est pas fini puisqu’il reste des repas irakiens, syriens, soudanais, éthiopiens et vénézuéliens à déguster.
Plus d'infos sur refugeefoodfestival.com

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AFP






le 19.10.2018 à 09h23





Lecture 4 min.




L'obscurité gagne le théâtre, le premier violon donne le la, les autres musiciens accordent leur instrument, un trésor qu'ils ont fait suivre à travers toute l'Amérique du sud, de Caracas à Buenos Aires.
Comme des millions de Vénézuéliens, ces musiciens ont choisi l'exil pour échapper à la crise économique qui frappe le pays pétrolier gouverné par Nicolas Maduro.
A Buenos Aires, ils ont formé la Latin Vox Machine, un ensemble qui a donné en octobre son premier concert.
"Cet orchestre est spécial, car quand on joue ensemble, c'est un peu comme si, durant un moment, nous étions au Venezuela. Une énergie inonde les lieux. Nous venons de la même maison, nous sommes tous frères. Cela influe beaucoup au moment de jouer", dit la violoncelliste Veronica Rodriguez, 22 ans.
Elle a quitté le Venezuela fin 2017. Elle pensait aller à Paris, où elle avait été présélectionnée pour entrer au conservatoire, mais elle n'a pas pu se payer le billet d'avion.
Encouragée par un ami musicien, elle a quitté sa ville de Maracay, dans le centre du Venezuela, direction Manaus, au Brésil, où elle a pris un vol pour Buenos Aires.
En arrivant, elle a commencé à gagner sa vie en s'occupant de personnes âgées. Désormais elle donne des cours de musique dans une école.
Parmi les musiciens exilés, beaucoup jouent dans les stations de métro de la capitale argentine.
Sur les quais de la station Jujuy, dans le centre, Fedosky Suarez interprète au violon des morceaux de Vivaldi. De l'autre côté des voies, César Pérez lui répond avec un hautbois.
Les voyageurs applaudissent. "Tu as changé ma journée", dit un homme en déposant un billet dans l'étui du violon, ouvert sur le sol.
"J'ai commencé à entendre dans le métro des musiciens de grande qualité", raconte Omar Zambrano, un Vénézuélien arrivé en Argentine quelques années plus tôt. Il s'est ensuite rendu compte que c'était des compatriotes et a fondé avec eux la Latin Vox Machine.
"Nous avons commencé à nous réunir, et nous nous sommes rendus compte que nous étions nombreux. Alors on a eu l'idée de cet orchestre", explique ce pianiste de 36 ans, qui travaille dans la production audiovisuelle.
Ils ont ensuite croisé le chemin du chef d'orchestre sud-coréen Jooyong Ahn, installé à Buenos Aires depuis 2016, après avoir fait carrière aux Etats-Unis.
"Tous ces musiciens sont incroyables. Mon objectif et ma mission, c'est que ces jeunes musiciens deviennent professionnels", confie le chef de 66 ans, bénévole, qui souhaite que l'orchestre ne dépende pas de financements publics, alors que l'Argentine est en crise.
Pour le premier concert, le 9 octobre au Teatro del Globo de Buenos Aires, les dons ont afflué.
"Je suis profondément ému", explique Omar Zambrano. "Tu cesses d'être un individu, pour être un groupe de personnes animées par le même objectif : faire de la musique, de l'art et continuer de transformer des vies".
Jaime Nieto, 34 ans, serre contre lui l'étui dans lequel il range sa flûte. Il est parti il y a six mois du Venezuela où il dirigeait un orchestre d'enfants.
"Notre instrument fait partie des choses les plus précieuses. Pendant le voyage, le passeport et l'instrument, c'était le plus important. C'est un prolongement de nous-mêmes, nous donnerions notre vie pour lui. Je venais avec l'idée de faire de la musique. J'ai réussi et j'en suis heureux", dit le flûtiste.
La porte de l'orchestre est ouverte. Jocelyn Zambrano, un violoniste de 32 ans, est arrivé en août. Il travaille comme pâtissier, mais a joué lors du premier concert.
Au total, ils sont 90 musiciens, la plupart vénézuéliens, mais il y a aussi trois Argentins, un Chilien et un Colombien. "Pas question de devenir un ghetto", dit Omar Zambrano en guise de mise au point.
Jooyong est dans la même démarche. "Je voudrais unir la culture vénézuélienne avec l'argentine et donner naissance à un orchestre unique", dit-il.


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