La torture de la chaise

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La torture de la chaise



Ecrit par Lafontaine Alice


dans la catégorie OMG



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Commençons par ces 15 machines, en vidéo :
Le sadisme dont l’Homme est capable n'est plus Ă  prouver. Au cours de l'histoire, nous avons dĂ©veloppĂ© des techniques de torture plus qu’imaginatives pour faire souffrir nos semblables !
Les bourreaux, professionnels du mĂ©tier, s’en sont donnĂ© Ă  cƓur joie pour assouvir leurs pulsions les plus noires, en toute lĂ©gitimitĂ© ! Les guerres, les croisades, l’espionnage, les chĂątiments
 on ne manquera jamais de prĂ©textes pour se faire du mal.
SĂ©lection de 27 mĂ©thodes de tortures Ă  vous retourner le cƓur:
Le condamnĂ© est forcĂ© Ă  s’asseoir sur la pyramide, tirĂ© vers le bas par des cordages et souvent nu. Il ne meurt pas toujours sur le coup. Il pouvait aussi (et surtout) mourir Ă  cause des infections dues aux saletĂ©s qui encrassent la pyramide (jamais nettoyĂ©e).
La poire du pape ou Poire d'angoisse
Cette poire fait Ă©clater l’orifice dans lequel on la place. Soit de maniĂšre anale, pour punir les homosexuels et les femmes soupçonnĂ©es d'avoir eu des rapports sexuels avec le diable.
Ou encore de maniÚre orale, pour exploser le crùne des menteurs et blasphémateurs.
Une cage (ou un seau de bois) contenant un rat Ă©tait positionnĂ©, face ouverte sur le ventre de la victime. Le fond de la cage Ă©tait ensuite chauffĂ© pour que le rat effrayĂ© s’échappe en se frayant un chemin Ă  travers le corps du condamnĂ©.
La victime était attachée au dessus d'une pousse de bambou en pleine croissance, et se faisait lentement empalée. Le bambou n'ayant d'autre choix que de pousser à travers son corps.
Pieds et mains attachés à deux rondins sur pivots, les condamnés étaient écartelés. La machinerie était actionnée par les bourreaux, tendant les cordages jusqu'à la mort du condamné.
Le Taureau d'Airain ou Taureau Sicilien
Le taureau métallique était fabriqué avec une porte sur le cÎté, par laquelle on introduisait la victime et un feu était allumé en dessous, jusqu'à ce que le métal rougisse. Cet instrument de torture, conçut pour donner échos aux hurlements du condamné, servait à faire rÎtir ce dernier dans la GrÚce Antique.
JetĂ©s Ă  l'eau avec les pieds cimentĂ©s, les victimes n'avaient aucune chance de s’en sortir. Cette mĂ©thode revient Ă  la 'mode' avec la Mafia au XXe siĂšcle.
Cette mĂ©thode Ă©tait utilisĂ©e pour maintenir un condamnĂ© Ă©veillĂ©. Si par malheur, il laissait retomber sa tĂȘte, la Fouchette lui perçait la poitrine ou le dessous du menton.
La victime Ă©tait forcĂ©e Ă  s’asseoir sur un pique taillĂ©, empalĂ©e par son propre poids. Il lui faudra 3 jours pour mourir ! C'est notamment le lĂ©gendaire Vlad L'Empaleur dans la Roumanie du XVe siĂšcle, connu pour cette pratique, qui a condamnĂ© un jour 20.000 personnes Ă  ce supplice tout en prenant son repas.
La Torture de la Chaise ou la Chaise de Judas
En plus des piques, le fond de la chaise Ă©tait chauffĂ© pour augmenter la douleur. UtilisĂ© dĂšs le Moyen-Âge et jusqu'au XVIIIe siĂšcle, cet instrument, Ă©tait souvent utilisĂ© pour obtenir des aveux, en faisant souffrir les proches du condamnĂ©.
Pendus et écartelés, voilà le sort des gens accusés de haute trahison à l'encontre du royaume.
La Vierge de Fer est une sorte de prison mĂ©tallique dont les parois sont recouvertes de piques. Une fois Ă  l’intĂ©rieur, la victime est incapable de bouger. L'interrogateur pouvait alors lui poser des questions tout en la blessant Ă  l'aide d’autres piques qu'il passait par des trous conçus Ă  cet effet.
Cet outil servait Ă  broyer progressivement la partie du corps qui y Ă©tait placĂ©, il en existe des versions pour les doigts, les mains, les pieds, la tĂȘte, etc.
SpĂ©cifiquement dĂ©diĂ©e Ă  la gent fĂ©minine, cet instrument Ă©tait gĂ©nĂ©ralement chauffĂ©. Les piques Ă©taient insĂ©rĂ©es dans la poitrine de la victime avant d'ĂȘtre violemment retirĂ©es, arrachant tout au passage.
Des prisonniers de l'Inquisition espagnole étaient placés nus, avec des poids aux pieds, sur ce genre de portique en bois doté de piques métalliques.
Fait de fer ou de bois, ce collier, était mis au cou du condamné et attaché de maniÚre à le forcer à rester dans une position inconfortable.
Forcé à garder la bouche ouverte, la victime se fait simplement arracher la langue avec cet outil infernal.
Utilisé pour déverser divers fluides en fusion comme des métaux, l'huile ou encore de l'eau bouillante
 dans la bouche et les yeux des torturés.
Comme pour Jesus-Christ , la victime est suspendue à une croix, clouée ou attachée, puis laissée là pendant des jours, jusqu'à sa mort.
AttachĂ©e Ă  une grande roue en bois, la victime tournait devant le bourreau qui lui brisait les membres Ă  coups de marteau mĂ©tallique. Ensuite, le torturĂ© est suspendu sur un poteau. Soit on l’abandonnait Ă  son sort, soit on l’achevait avec un coup de marteau au torse.
Ces ciseaux étaient chauffés et utilisés pour couper les parties génitales des hommes qui tentaient d'assassiner le roi.
Le condamné était placé dans une cage juste assez large pour contenir une personne puis abandonné à sa mort. Cette méthode était l'une des plus employées au moyen-ùge.
Bien connue, la guillotine était utilisée pour décapiter les condamnés à mort.
La corde servait Ă  attacher, suspendre, entraver (et j’en passe) les victimes de torture. C’était l’outil de torture par excellence.
Le condamnĂ© devait s'assoir, attachĂ© au fond d'un baquet rempli d'eau d'oĂč seule la tĂȘte dĂ©passait. Pendant plusieurs jours. Son visage recouvert de lait et de miel attirait mouches et insectes qui commençaient Ă  se nourrir sur sa peau. Nourri et maintenu en vie, il pourrissait vivant.
Suspendue par les pieds, les bourreaux commençaient Ă  scier la chair de la victime. Ils ne s'arrĂȘtaient que lorsque le condamnĂ© Ă©tait coupĂ© en deux ou encore jusqu'Ă  ce que l'abdomen soit laissĂ© Ă  l'agonie.

Par Lafontaine Alice
RĂ©dactrice

Depuis mon enfance, l'écriture a toujours été ma passion. Durant mes heures perdues, j'écrivais divers poÚmes et petites histoires. Aujourd'hui, je rédige pour le web et c'est avec amour que je fais ça quotidiennement !
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Le sadisme dont l’Homme est capable n'est plus Ă  prouver. Au cours de notre histoire nous avons donc dĂ©veloppĂ© des techniques de torture plus qu’imaginatives pour faire souffrir nos semblables !

Les bourreaux, professionnels du mĂ©tier, s’en sont donnĂ© Ă  cƓur joie pour assouvir leurs pulsions les plus noires en toute lĂ©gitimitĂ© ! Les guerres, les croisades, l’espionnage, les chĂątiments
 on ne manquera jamais de prĂ©textes pour se faire du mal.

Voici donc pour vous une sĂ©lection de 27 mĂ©thodes de tortures Ă  vous retourner le cƓur :

Le condamnĂ© forcĂ© Ă  s’asseoir sur la pyramide et tirĂ© vers le bas par des cordages et souvent nu, ne meurt pas toujours sur le coup. Il pouvait aussi et surtout mourir Ă  cause des infections dues aux saletĂ©s qui encrassent la pyramide jamais nettoyĂ©e.

La poire du pape ou La poire d'angoisse

Cette poire fait Ă©clater l’orifice dans lequel elle est introduite. Soit de maniĂšre anale pour punir les homosexuels et les femmes soupçonnĂ©es d'avoir eu des rapports sexuels avec le diable.
Ou encore de maniÚre orale pour exploser le crùne des menteurs et blasphémateurs.

Cet instrument, utilisĂ© Ă  partir du Moyen-Âge durant l'inquisition espagnole, Ă©tait munie parfois de piques, qui, par des ressorts ou une vis situĂ©s Ă  l'intĂ©rieur, venait Ă  s'ouvrir et Ă  s'Ă©largir.


Une cage ou un seau de bois contenant un rat Ă©tait positionnĂ©e face ouverte sur le ventre de la victime. Le fond de la cage Ă©tait ensuite chauffĂ© pour que le rat effrayĂ© s’en Ă©chappe en se frayant un chemin Ă  travers le corps du condamnĂ©.

La victime était attachée au dessus d'une pousse de bambou en pleine croissance, se faisait lentement empalée. Le bambou n'ayant d'autre choix que de pousser à travers son corps.

Pieds et mains attachés à deux rondins sur pivots, Les condamnés étaient écartelés. La machinerie était actionnée par les bourreaux, tendant les cordages jusqu'à sa mort.

Le Taureau d'Airain ou Taureau Sicilien

Le taureau mĂ©tallique Ă©tait fabriquĂ© avec une porte sur le cĂŽtĂ©, par laquelle on introduisait la victime et un feu Ă©tait allumĂ© en dessous, jusqu'Ă  faire rougir le mĂ©tal. Cet instrument de torture conçut pour donner Ă©chos aux hurlements du condamnĂ© servait Ă  le faire rĂŽtir Ă  l’intĂ©rieur dans la GrĂšce Antique.

JetĂ©s Ă  l'eau les pieds cimentĂ©s, les victimes n'avaient aucune chance de s’en sortir. Cette mĂ©thode revient Ă  la Mafia du Au XXe siĂšcle.

Cette mĂ©thode Ă©tait utilisĂ©e pour maintenir un condamnĂ© Ă©veillĂ©. Si par malheur, il laissait retomber sa tĂȘte, la Fouchette lui perçait la poitrine ou le dessous du menton.

La victime Ă©tait forcĂ©e de s’asseoir sur un pique taillĂ©, elle s’empalait alors par son propre poids. Il lui faudra 3 jours pour mourir ! C'est notamment le lĂ©gendaire Vlad L'Empaleur dans la Roumanie du XVe siĂšcle, connu pour cette pratique, qui a condamnĂ© un jour 20.000 personnes Ă  ce supplice tout en prenant son repas L'Empaleur.

La Torture de la Chaise ou la Chaise de Judas

En plus des piques, le fond de la chaise se faisait aussi chauffĂ© pour augmenter la douleur. UtilisĂ© dĂšs le Moyen-Âge et jusqu'au XVIIIe siĂšcle, cet instrument, Ă©tait souvent utilisĂ©e pour obtenir des aveux de personnes que l'on forçait Ă  observer d'autres condamnĂ©s s'y faire asseoir.

Pendus, Ă©quarris et Ă©cartelĂ©s, voilĂ  le sort des accusĂ©s de haute trahison Ă  l'encontre du royaume. À l'Ă©poque mĂ©diĂ©vale, ces victimes Ă©taient pendues jusqu'Ă  frĂŽler la mort. Ensuite elles se faisaient tranchĂ©es en plusieurs endroits, vidĂ©e en partie de ses viscĂšres et Ă©masculĂ©es. Finalement, les victimes devaient regarder le tout brĂ»ler et Ă©taient ensuite Ă©cartelĂ©es en 4 parties et dĂ©capitĂ©es.

La Vierge de Fer est une sorte de prison mĂ©tallique dont les parois sont recouvertes de piques. Une fois Ă  l’intĂ©rieur, la victime incapable de bouger. L'interrogateur pouvait alors lui poser des questions tout en la blessant Ă  l'aide d’autres piques qu'il passait par des trous conçus dans la paroi Ă  cet effet.

Cet outil servait Ă  broyer progressivement la partie du corps qui y Ă©tait placĂ©, il en existe des versions pour les doigts, les mains, les pieds, la tĂȘte, etc.

SpĂ©cifiquement dĂ©diĂ©e Ă  la gente fĂ©minine, cet instrument, se faisait gĂ©nĂ©ralement chauffĂ©. Les piques Ă©taient insĂ©rĂ©s dans la poitrine de la victime avant d'ĂȘtre violemment tirĂ©es, arrachant de fros bouts de chaire.

Des prisonniers de l'Inquisition Espagnole se faisaient placer, nus avec des poids au aux pieds, sur ce genre de portique de bois doté de piques métalliques.

Fait de fer ou de bois, ce collier, était mis au cou du condamné et attaché de maniÚre à le forcer à rester dans une position inconfortable

Forcé à garder la bouche ouverte, la victime se fait simplement arracher la langue par cet outil infernal.

Utilisé pour déverser divers fluides en fusion comme des métaux, l'huile ou encore de l'eau bouillante
 dans la bouche et les yeux des torturés.

Comme pour Jesus-Christ , la victime est suspendue à une croix, cloué ou attaché et laissé là pendant des jours jusqu'à sa mort.

AttachĂ© Ă  une grande roue en bois, la victime tournait devant le bourreau qui lui brisait les membres Ă  coups de marteau mĂ©tallique. Ensuite, le torturĂ© attachĂ© Ă  sa roue est suspendu sur un poteau. Ainsi soit on l’abandonnait Ă  sont sort, soit on l’achevait par un coup de marteau au torse.

Ces ciseaux étaient chauffés et utilisés pour couper les parties génitales des hommes ayant tenté d'assassiner le roi.

Le condamné était placé dans une cage juste assez large pour contenir une personne puis abandonné à la mort. Cette méthode était l'une des plus employées au moyen-ùge.

Bien connue, la guillotine était utilisée pour décapiter par sa lame les condamnés à mort.

La corde servait Ă  attacher, suspendre, entraver et j’en passe les victimes de torture. C’était l’outil de torture par excellence.

Un homme et une femme se faisaient attacher nus l'un Ă  l'autre pour ĂȘtre jetĂ©s dans l'eau glaciale de Nantes. C’est durant la RĂ©volution Française que Jean-Baptiste Carrier usait de cette mĂ©thode.

Le condamnĂ© devait s'assoir attachĂ© au fond d'un baquet rempli d'eau d'oĂč seule sa tĂȘte dĂ©passait pendant plusieurs jours. Son visage recouvert de lait et de miel attirait mouches et insectes qui commençaient Ă  se nourrir sur sa peau. Nourri et maintenu en vie, immergĂ© dans cette eau et ses excrĂ©ments, il mourrait, il pourrissait vivant.

Suspendue par les pieds, les bourreaux commençaient Ă  scier dans la chair de la victime. Ils ne s'arrĂȘtaient que lorsque le condamnĂ© est coupĂ© en deux ou encore jusqu'Ă  l'abdomen et laissĂ© ainsi Ă  l'agonie.

Par Lafontaine Alice
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Depuis mon enfance, l'écriture a toujours été ma passion. Durant mes heures perdues, j'écrivais divers poÚmes et petites histoires. Aujourd'hui, je rédige pour le web et c'est avec amour que je fais ça quotidiennement !
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La torture, c’est un truc qui est aussi vieux, si ce n’est plus, que l’écriture ou que la parole. Assez rapidement, on a compris que, pour faire parler quelqu’un qui ne voulait pas parler ou pour dissuader le public de remettre une autoritĂ© en cause, faire subir un chĂątiment au-delĂ  du rĂ©el Ă  quelqu’un en public Ă©tait une mĂ©thode efficace. On s’est dĂ©menĂ© pour inventer des techniques toujours plus cruelles et on a amĂ©liorĂ© peu Ă  peu l’efficacitĂ© de tout ça. Mais, dĂšs la trĂšs haute antiquitĂ©, on trouvait des mĂ©thodes intĂ©ressantes.
L’usage du gril, devenu en cuisine l’instrument que l’on connaĂźt, remonte Ă  l’antiquitĂ©. Le principe Ă©tait le mĂȘme que pour la viande bien cuite : on plaçait une grille et sur la grille un homme et dessous des charbons qui consumaient la chair peu Ă  peu. C’est ce qui est arrivĂ© Ă  Laurent de Rome en 258. Ironiquement, il est devenu le Saint-patron des cuisiniers et des rĂŽtisseurs.
Si la chaise de Judas a Ă©tĂ© l’instrument de torture prĂ©fĂ©rĂ© de l’Inquisition, son utilisation remonte Ă  la Rome ancienne. Le principe Ă©tait
L'innocence parfaite détruite par une queue
Cul béant de brune chaude
Il baise la masseuse

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