La tl une clope un canap et une suceuse : le paradis

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Frozen ,
November 19, 2011 in Le Jardin de la Poésie



j'ai ecrit ces lignes apres avoir lounguement regarder la clope que j'ai abondonné sur un cendrié , je regardais les formes multiples que la fumée formait, a un moment donnait j'ai cru voir celle que j'ai tant cheri, bonne lecture

Ma clope qui dégage cette fumée qui prend le chemin des plus hauts, avec ses mouvements qui m’offrent d’autres visons, des silhouettes, qui défilent comme dans un défilé de mode,est ce une obsession ou une nostalgie d’un temps déjà lointain, d’un passé qu’il y a lontemps que j’ai vécu, est ce des formes qui s’imposent sur mon imaginaire ou bien le contraire, elles n’existent que par ma débordante imagination.,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,?????

Je suis confus, je me sens entre ses formes perdus, je la cherche celle qui m’a toujours plut, je la retrouve dans sa plus belle forme. Sa fumée est une fumée qui un sens a une altitude définie, à l’infini, elle est enveloppée par cet air qui va sans se poser trop de questionS l’adopté. Invisible elle l’est, mais encore et encore je la respire, dans ce cœur implantée, a tout jamais, je la sens toujours au fin fond de mes poumons, elle élargie les veines là ou réside ma raison.

Je la sens comme un corps qui glisse le long de ma gorge en caressant et non en piquant, j’aime son allure quand elle envahie mon corps, je me sens pris par elle sans vouloir trop résister et loin de moi de lui tout céder. Je ne la vois mais elle est là, comme cet âme qui est en moi.

’…Et voilà pourquoi je ne réveillonnerai plus jamais’’, dernière phrase écrite par Guy de Maupassant dans son livre Boule de suif ‘’Mademoiselle Fifi’’, en décrivant la personne comme un chat de gouttière car elle est devenue si maigre, elle l’agace car elle le guette, elle se cache pour le voir ; le soir, rien que pour lui baiser la main. Des dires de méchant aussi de malveillant d’une personne qui ne ressent, si l’expression, le passage , la fin est lu isolement, du reste du grand récit, du livre, de l’histoire intégrale.

Entre la noblesse et la faiblesse, ce trait que j’ai déjà décris, si fragile et si sensible, une interface entre deux corps qui sont inversés, qui ne se ressemblent pas et ils ne se ressembleront jamais, mais qui se collent sans jamais se mélanger.

Est-ce la faiblesse qui attribut a l’autre le titre de la noblesse, est ce le fait que c’est l’un qui colle a l’autre que cet autre repousse sans jamais le réussir, est-ce une défaite pour lui car tout deux en même temps ils cohabitent et coexistent. L’amalgame est là, il existe, avec toutes les joies du monde aussi ses drames, même si pour l’autre est un vrai dilemme, pour celui qui colle, c’est un véritable problème.

La vie ne peut être une des jeux d’artifices, ce n’est guère toujours une du couché du soleil et douce brise de l’aurore, pas celle des beaux paysages et loin d’un admirable Renoir, cette vie en tableau si profond, avec du claire et du sombre qui font de toute vie un classique, tout vécu, amère ou mielleux ne peut rendre la personne que riche.

Chemin droit ou en zig zag, peut importe car je finirai, et je le sais, abattu en dépassant la moitié du virage, limite de mes ambitions pour rejoindre tout mirage, courir derrière les chimère n’est guère moi, aussi, souffrir pour trouver la joie, mourir en prenant avec moi ma foi, c’est seulement cette fois, que je me rend compte, que je suis vraiment le seul qui n’a glissé au contact de vos parois

Marre de toi lecteur, toi le lâcheur, le petit lécheur, qui vient comme tout voleur, a lire ce qu’il est déposé, par moi dans ces lieux ou je suis le seul donneur,….marre de toi et de ta lâcheté, car je ne sens dans ton intellect aucune propreté, le silence est une option de sagesse mais aussi une de cruauté.

Ni pour les uns ni pour les autres je ne changerai, même si on me opte la vie, beau ver celui des arabes que dans le sens il dit : mon coup s’est incliné suite a ma pendaison, car dans mon vivant, guère il ne l’a été J’aime.

Ma clope qui dégage cette fumée qui prend le chemin des plus hauts, avec ses mouvements qui m’offrent d’autres visons, des silhouettes, qui défilent comme dans un défilé de mode,est ce une obsession ou une nostalgie d’un temps déjà lointain, d’un passé qu’il y a lontemps que j’ai vécu, est ce des formes qui s’imposent sur mon imaginaire ou bien le contraire, elles n’existent que par ma débordante imagination.,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,?????

Je suis confus, je me sens entre ses formes perdus, je la cherche celle qui m’a toujours plut, je la retrouve dans sa plus belle forme. Sa fumée est une fumée qui un sens a une altitude définie, à l’infini, elle est enveloppée par cet air qui va sans se poser trop de questionS l’adopté. Invisible elle l’est, mais encore et encore je la respire, dans ce cœur implantée, a tout jamais, je la sens toujours au fin fond de mes poumons, elle élargie les veines là ou réside ma raison.

Je la sens comme un corps qui glisse le long de ma gorge en caressant et non en piquant, j’aime son allure quand elle envahie mon corps, je me sens pris par elle sans vouloir trop résister et loin de moi de lui tout céder. Je ne la vois mais elle est là, comme cet âme qui est en moi.

’…Et voilà pourquoi je ne réveillonnerai plus jamais’’, dernière phrase écrite par Guy de Maupassant dans son livre Boule de suif ‘’Mademoiselle Fifi’’, en décrivant la personne comme un chat de gouttière car elle est devenue si maigre, elle l’agace car elle le guette, elle se cache pour le voir ; le soir, rien que pour lui baiser la main. Des dires de méchant aussi de malveillant d’une personne qui ne ressent, si l’expression, le passage , la fin est lu isolement, du reste du grand récit, du livre, de l’histoire intégrale.

Entre la noblesse et la faiblesse, ce trait que j’ai déjà décris, si fragile et si sensible, une interface entre deux corps qui sont inversés, qui ne se ressemblent pas et ils ne se ressembleront jamais, mais qui se collent sans jamais se mélanger.

Est-ce la faiblesse qui attribut a l’autre le titre de la noblesse, est ce le fait que c’est l’un qui colle a l’autre que cet autre repousse sans jamais le réussir, est-ce une défaite pour lui car tout deux en même temps ils cohabitent et coexistent. L’amalgame est là, il existe, avec toutes les joies du monde aussi ses drames, même si pour l’autre est un vrai dilemme, pour celui qui colle, c’est un véritable problème.

La vie ne peut être une des jeux d’artifices, ce n’est guère toujours une du couché du soleil et douce brise de l’aurore, pas celle des beaux paysages et loin d’un admirable Renoir, cette vie en tableau si profond, avec du claire et du sombre qui font de toute vie un classique, tout vécu, amère ou mielleux ne peut rendre la personne que riche.

Chemin droit ou en zig zag, peut importe car je finirai, et je le sais, abattu en dépassant la moitié du virage, limite de mes ambitions pour rejoindre tout mirage, courir derrière les chimère n’est guère moi, aussi, souffrir pour trouver la joie, mourir en prenant avec moi ma foi, c’est seulement cette fois, que je me rend compte, que je suis vraiment le seul qui n’a glissé au contact de vos parois

Marre de toi lecteur, toi le lâcheur, le petit lécheur, qui vient comme tout voleur, a lire ce qu’il est déposé, par moi dans ces lieux ou je suis le seul donneur,….marre de toi et de ta lâcheté, car je ne sens dans ton intellect aucune propreté, le silence est une option de sagesse mais aussi une de cruauté.

Ni pour les uns ni pour les autres je ne changerai, même si on me opte la vie, beau ver celui des arabes que dans le sens il dit : mon coup s’est incliné suite a ma pendaison, car dans mon vivant, guère il ne l’a été J’aime.

L'écriture est l’échappatoire idéal pour apaiser les maux de l'âme, et tu écris bien; mais pourquoi t'adresser ainsi aux gens qui te lisent?
oui car celui qui ecrit encaisse pas mal de la part de ses lecteurs, il est victime des prejugés, des jugements, de touts sans pour autant pouvoir s'expliquer,

on l'est dans la pensée des gens faut assumer mais pas tjrs qu'on assume des choses, moi je l'ecrit,

j'aime bcp tes interventions, rare sont celles qui ne sont superficielle comme toi , si je parle de ma propre experience, la majorité, la vie m'a gaté que des connes lol

Ma clope qui dégage cette fumée qui prend le chemin des plus hauts, avec ses mouvements qui m’offrent d’autres visons, des silhouettes, qui défilent comme dans un défilé de mode,est ce une obsession ou une nostalgie d’un temps déjà lointain, d’un passé qu’il y a lontemps que j’ai vécu, est ce des formes qui s’imposent sur mon imaginaire ou bien le contraire, elles n’existent que par ma débordante imagination.,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,?????

Je suis confus, je me sens entre ses formes perdus, je la cherche celle qui m’a toujours plut, je la retrouve dans sa plus belle forme. Sa fumée est une fumée qui un sens a une altitude définie, à l’infini, elle est enveloppée par cet air qui va sans se poser trop de questionS l’adopté. Invisible elle l’est, mais encore et encore je la respire, dans ce cœur implantée, a tout jamais, je la sens toujours au fin fond de mes poumons, elle élargie les veines là ou réside ma raison.

Je la sens comme un corps qui glisse le long de ma gorge en caressant et non en piquant, j’aime son allure quand elle envahie mon corps, je me sens pris par elle sans vouloir trop résister et loin de moi de lui tout céder. Je ne la vois mais elle est là, comme cet âme qui est en moi.

’…Et voilà pourquoi je ne réveillonnerai plus jamais’’, dernière phrase écrite par Guy de Maupassant dans son livre Boule de suif ‘’Mademoiselle Fifi’’, en décrivant la personne comme un chat de gouttière car elle est devenue si maigre, elle l’agace car elle le guette, elle se cache pour le voir ; le soir, rien que pour lui baiser la main. Des dires de méchant aussi de malveillant d’une personne qui ne ressent, si l’expression, le passage , la fin est lu isolement, du reste du grand récit, du livre, de l’histoire intégrale.

Entre la noblesse et la faiblesse, ce trait que j’ai déjà décris, si fragile et si sensible, une interface entre deux corps qui sont inversés, qui ne se ressemblent pas et ils ne se ressembleront jamais, mais qui se collent sans jamais se mélanger.

Est-ce la faiblesse qui attribut a l’autre le titre de la noblesse, est ce le fait que c’est l’un qui colle a l’autre que cet autre repousse sans jamais le réussir, est-ce une défaite pour lui car tout deux en même temps ils cohabitent et coexistent. L’amalgame est là, il existe, avec toutes les joies du monde aussi ses drames, même si pour l’autre est un vrai dilemme, pour celui qui colle, c’est un véritable problème.

La vie ne peut être une des jeux d’artifices, ce n’est guère toujours une du couché du soleil et douce brise de l’aurore, pas celle des beaux paysages et loin d’un admirable Renoir, cette vie en tableau si profond, avec du claire et du sombre qui font de toute vie un classique, tout vécu, amère ou mielleux ne peut rendre la personne que riche.

Chemin droit ou en zig zag, peut importe car je finirai, et je le sais, abattu en dépassant la moitié du virage, limite de mes ambitions pour rejoindre tout mirage, courir derrière les chimère n’est guère moi, aussi, souffrir pour trouver la joie, mourir en prenant avec moi ma foi, c’est seulement cette fois, que je me rend compte, que je suis vraiment le seul qui n’a glissé au contact de vos parois

Marre de toi lecteur, toi le lâcheur, le petit lécheur, qui vient comme tout voleur, a lire ce qu’il est déposé, par moi dans ces lieux ou je suis le seul donneur,….marre de toi et de ta lâcheté, car je ne sens dans ton intellect aucune propreté, le silence est une option de sagesse mais aussi une de cruauté.

Ni pour les uns ni pour les autres je ne changerai, même si on me opte la vie, beau ver celui des arabes que dans le sens il dit : mon coup s’est incliné suite a ma pendaison, car dans mon vivant, guère il ne l’a été J’aime.

Ma clope qui dégage cette fumée qui prend le chemin des plus hauts, avec ses mouvements qui m’offrent d’autres visons, des silhouettes, qui défilent comme dans un défilé de mode,est ce une obsession ou une nostalgie d’un temps déjà lointain, d’un passé qu’il y a lontemps que j’ai vécu, est ce des formes qui s’imposent sur mon imaginaire ou bien le contraire, elles n’existent que par ma débordante imagination.,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,?????

Je suis confus, je me sens entre ses formes perdus, je la cherche celle qui m’a toujours plut, je la retrouve dans sa plus belle forme. Sa fumée est une fumée qui un sens a une altitude définie, à l’infini, elle est enveloppée par cet air qui va sans se poser trop de questionS l’adopté. Invisible elle l’est, mais encore et encore je la respire, dans ce cœur implantée, a tout jamais, je la sens toujours au fin fond de mes poumons, elle élargie les veines là ou réside ma raison.

Je la sens comme un corps qui glisse le long de ma gorge en caressant et non en piquant, j’aime son allure quand elle envahie mon corps, je me sens pris par elle sans vouloir trop résister et loin de moi de lui tout céder. Je ne la vois mais elle est là, comme cet âme qui est en moi.

’…Et voilà pourquoi je ne réveillonnerai plus jamais’’, dernière phrase écrite par Guy de Maupassant dans son livre Boule de suif ‘’Mademoiselle Fifi’’, en décrivant la personne comme un chat de gouttière car elle est devenue si maigre, elle l’agace car elle le guette, elle se cache pour le voir ; le soir, rien que pour lui baiser la main. Des dires de méchant aussi de malveillant d’une personne qui ne ressent, si l’expression, le passage , la fin est lu isolement, du reste du grand récit, du livre, de l’histoire intégrale.

Entre la noblesse et la faiblesse, ce trait que j’ai déjà décris, si fragile et si sensible, une interface entre deux corps qui sont inversés, qui ne se ressemblent pas et ils ne se ressembleront jamais, mais qui se collent sans jamais se mélanger.

Est-ce la faiblesse qui attribut a l’autre le titre de la noblesse, est ce le fait que c’est l’un qui colle a l’autre que cet autre repousse sans jamais le réussir, est-ce une défaite pour lui car tout deux en même temps ils cohabitent et coexistent. L’amalgame est là, il existe, avec toutes les joies du monde aussi ses drames, même si pour l’autre est un vrai dilemme, pour celui qui colle, c’est un véritable problème.

La vie ne peut être une des jeux d’artifices, ce n’est guère toujours une du couché du soleil et douce brise de l’aurore, pas celle des beaux paysages et loin d’un admirable Renoir, cette vie en tableau si profond, avec du claire et du sombre qui font de toute vie un classique, tout vécu, amère ou mielleux ne peut rendre la personne que riche.

Chemin droit ou en zig zag, peut importe car je finirai, et je le sais, abattu en dépassant la moitié du virage, limite de mes ambitions pour rejoindre tout mirage, courir derrière les chimère n’est guère moi, aussi, souffrir pour trouver la joie, mourir en prenant avec moi ma foi, c’est seulement cette fois, que je me rend compte, que je suis vraiment le seul qui n’a glissé au contact de vos parois

Marre de toi lecteur, toi le lâcheur, le petit lécheur, qui vient comme tout voleur, a lire ce qu’il est déposé, par moi dans ces lieux ou je suis le seul donneur,….marre de toi et de ta lâcheté, car je ne sens dans ton intellect aucune propreté, le silence est une option de sagesse mais aussi une de cruauté.

Ni pour les uns ni pour les autres je ne changerai, même si on me opte la vie, beau ver celui des arabes que dans le sens il dit : mon coup s’est incliné suite a ma pendaison, car dans mon vivant, guère il ne l’a été J’aime.

toi on attend toujours quel est ton probleme celui dans ton autre topic

disant que j'en ai aucun, je voulais juste me faire remarqué vu que le forum est trop frequenté, disant que c t pas de la manipulation mais juste une gymnasique, j'espere que ma franchise ne va me causer des prejugés. lolllllllllllll

lollllllllllllllllllllllllllllllllllll k'bala anta

non j'etais claire, je ne changerai pour personne :d

on l'est dans la pensée des gens faut assumer mais pas tjrs qu'on assume des choses, moi je l'ecrit,

j'aime bcp tes interventions, rare sont celles qui ne sont superficielle comme toi , si je parle de ma propre experience, la majorité, la vie m'a gaté que des connes lol

Je te comprends, mais je pense que tu devrais te dire aussi qu'il y en a sûrement qui te lisent et apprécient ce que tu écris sans forcément se manifester. Le partage est bien plus savoureux et agréable quand il se fait sans contraintes fixées et écrire est un art qui requiert aussi la tolérance de l'auteur.

Continue à écrire, tu le fais si bien.

Continue à écrire, tu le fais si bien.

je t dit j'ai je ne sais combien d'ecrits, lolllllllllllllllllllllll,

Ma clope qui dégage cette fumée qui prend le chemin des plus hauts, avec ses mouvements qui m’offrent d’autres visons, des silhouettes, qui défilent comme dans un défilé de mode,est ce une obsession ou une nostalgie d’un temps déjà lointain, d’un passé qu’il y a lontemps que j’ai vécu, est ce des formes qui s’imposent sur mon imaginaire ou bien le contraire, elles n’existent que par ma débordante imagination.,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,?????

Je suis confus, je me sens entre ses formes perdus, je la cherche celle qui m’a toujours plut, je la retrouve dans sa plus belle forme. Sa fumée est une fumée qui un sens a une altitude définie, à l’infini, elle est enveloppée par cet air qui va sans se poser trop de questionS l’adopté. Invisible elle l’est, mais encore et encore je la respire, dans ce cœur implantée, a tout jamais, je la sens toujours au fin fond de mes poumons, elle élargie les veines là ou réside ma raison.

Je la sens comme un corps qui glisse le long de ma gorge en caressant et non en piquant, j’aime son allure quand elle envahie mon corps, je me sens pris par elle sans vouloir trop résister et loin de moi de lui tout céder. Je ne la vois mais elle est là, comme cet âme qui est en moi.

’…Et voilà pourquoi je ne réveillonnerai plus jamais’’, dernière phrase écrite par Guy de Maupassant dans son livre Boule de suif ‘’Mademoiselle Fifi’’, en décrivant la personne comme un chat de gouttière car elle est devenue si maigre, elle l’agace car elle le guette, elle se cache pour le voir ; le soir, rien que pour lui baiser la main. Des dires de méchant aussi de malveillant d’une personne qui ne ressent, si l’expression, le passage , la fin est lu isolement, du reste du grand récit, du livre, de l’histoire intégrale.

Entre la noblesse et la faiblesse, ce trait que j’ai déjà décris, si fragile et si sensible, une interface entre deux corps qui sont inversés, qui ne se ressemblent pas et ils ne se ressembleront jamais, mais qui s
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