La teen Emma Stoned a une grosse envie de baiser

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Barnier : « Lacourt a une grosse envie de bien faire »
Le 03/08/2013 à 11:51 | MAJ à 11:52
Camille Lacourt s'est qualifié pour les demi-finales du 50 mètres dos ce samedi matin, avec le 7e temps des séries. Le Marseillais compte bien sur cette distance pour rebondir après sa 5e place en finale du 100 mètres dos, distance sur laquelle il était co-champion du monde avec Jérémy Stravius, mardi. « Je ne dirais pas qu'il est en confiance, parce que son 100 mètres dos ne peut pas le mettre en confiance, estime son entraîneur, Romain Barnier. Par contre je le sens déterminé, avec une grosse envie de bien faire, une grosse envie de partir de cette compétition avec une médaille, de reprendre un peu la dynamique positive de sa carrière, il est vraiment dans sa compétition. » La demi-finale est programmée à 19h15 ce soir.
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Publié le 29/05/08 à 00h00
— Mis à jour le 29/05/08 à 18h55



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mercredi 07 septembre

Lille Une grosse envie de licencier

SOCIAL Un employé de Sevelnord a été licencié pour avoir uriné sur le parking de l'usine...
«On lui a demandé s'il avait la prostate. Si ça avait été le cas, on aurait pu l'excuser.» Mais non. Du coup, le constructeur automobile Sevelnord, basé à Lieu-Saint-Amand, a licencié, la semaine dernière, un ouvrier de 52 ans coupable d'avoir uriné sur le parking de l'usine. Chaque jour, Sevelnord sort 740 voitures de sa ligne de production. 
Le boulot de cet ouvrier, c'était justement de les ranger sur le parking qui borde l'usine. «Un parking immense où il n'y a pas de sanitaire», décrit Ludovic Bouvier, secrétaire général de la CGT chez Sevelnord. Et au mois d'avril, cet ouvrier qui comptait dix années d'ancienneté sans le moindre problème, a été pris d'une envie pressante.
«Il a pissé entre deux voitures», poursuit prosaïquement Ludovic Bouvier. «Sur la portière et la roue d'une voiture», estime la direction. Un cadre qui passait par là a rédigé un «rapport d'incident». L'ouvrier a été convoqué et licencié pour ne pas avoir respecté le produit de l'entreprise. «Il aurait pu aller se soulager dans la campagne, juste derrière le parking», justifie la direction. Interrogée, cette dernière précise tout de même que le parking mesure 100 hectares. L'ouvrier a décidé de saisir le conseil des prud'hommes pour licenciement abusif.
En juillet 2007, Sevelnord avait accordé une prime de 100 euros à tous les salariés qui n'avaient jamais été absent durant les trois années précédentes, arrêt maladie compris. Les syndicats avaient dénoncé cette décision.

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Maxime Marotte : «Une grosse envie de revanche»



Maxime Marotte : «Une grosse envie de revanche»


L’Alsacien du team BH/Suntour/KMC, qui reprend la compétition ce dimanche à Banyoles en Coupe de Catalogne, veut tourner la page d’une saison 2012 marquée par la déception de la non-sélection olympique. Ce sera sur un 27,5’’ et avec Stéphane Tempier qui arrive à ses côtés. Interview.


Publié le 08/03/2013 16:54 -


par

Julien Nayener



-

5231 lectures -

0 commentaire




Classé dans la categorie: Sport | Voir les autres news dans cette categorie


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Vélo Vert : Maxime, comment s’est passée ton intersaison ?

Maxime Marotte : J’ai bien coupé cet automne. J’en avais besoin, car je n’ai commencé à retrouver un peu de fraîcheur physique que mi-décembre. Début janvier, j’étais prêt pour attaquer le gros bloc de préparation foncière. Tout s’est bien déroulé depuis, en particulier le stage à Calpe avec l’équipe de France où on a accumulé 30 heures de vélo. Je suis dans les temps par rapport à mon programme et soulagé aussi d’avoir résolu d’autres problèmes.

M. M. : Je suis somnambule et outre le fait que ça pouvait perturber Steph’ (Tempier), mon compagnon de chambrée en équipe de France, auquel j’ai déjà fait peur ne le réveillant en pleine nuit (rires), ça altérait considérablement ma récupération. Il fallait que je trouve une solution. Sous les conseils d’un neurologue, j’ai un traitement approprié et ça va mieux désormais. Sur le vélo, je sens aussi la différence.

«Il y avait un truc en trop dans l’équation»

V. V. : Ce peut être l’une des explications à cette saison 2012 qui te laisse forcément un goût d’inachevé. Quelles seraient les autres ?

M. M. : Avec le recul, en analysant tout ça, je pense que tout est parti de l’hiver dernier où j’ai enchaîné les cyclo-cross alors qu’en même temps, j’avais beaucoup de boulot pour mes études. Il y avait un truc en trop dans l’équation. J’ai sans doute trop tapé dedans à cette période et la fatigue accumulée m’a suivi tout au long du printemps.

V. V. : Tu n’as jamais pu renouvelé tes perfs de 2011 où tu avais signé trois podiums en Coupe du Monde...

M. M. : La saison passée, j’ai été régulier entre 8 et 15, mais je n’ai jamais pu reclaquer au moins un gros coup comme je l’espérais. Aux Mondiaux, je me sentais bien mais j’ai laissé beaucoup d’influx au relais par équipes. Je perds le sprint pour l’or face à Braidot, mais j’avais signé le deuxième meilleur temps absolu ce jour-là. Lors de la course en individuels, il me manquait quelque chose.

«Avec Steph’ (Tempier), l’approche de la course va être différente»

V. V. : La déception de ne pas aller aux Jeux de Londres a dû forcément peser également ?

M. M. : Oui, je me suis mis beaucoup de pression pour aller aux Jeux... Je me sens beaucoup plus libéré aujourd’hui, plus détendu, sans le stress olympique. Et je n’ai qu’une envie, claquer à nouveau un top 5 en Coupe du Monde. Je sais que j’en suis capable puisque je l’ai déjà fait.

V. V. : Steph Tempier est arrivé chez BH, c’est plus qu’un coéquipier, c’est un pote... Tu dois être comblé car Michel Hutsebaut nous disait que tu attendais d’avoir un pilote de premier plan à tes côtés...

M. M. : C’est vrai qu’avec Steph’, on se connaît très bien. On peut parler d’autre chose que de vélo. Lui est également toujours prêt à balancer une grosse blague et à détendre l’atmosphère ! Pour moi, son arrivée change pas mal de choses. Je ne dis pas que je ruminais avant les courses, mais bon... C’est normal, le staff était accaparé par la course de Julie (Bresset) juste avant et j’étais un peu seul dans mon coin. Avec Steph’, l’approche de la course sera différente, sans parler des recos où c’est forcément intéressant de rouler avec quelqu’un d’un tel niveau.

«Le 27,5 pouces, parfait compromis»

V. V. : Au niveau matos aussi, il y a du changement puisque tu vas rouler comme la plupart dans le team sur l’Ultimate en 27,5 pouces, équipé des nouvelles roues Mavic. Qu’est-ce que ce standard de roues peut t’apporter en plus ?

M. M. : Avec la configuration des circuits de coupe du Monde aujourd’hui, sur lesquels on voit de plus en plus de pierriers, de franchissements et même de sauts, il est évident que c’est un plus d’avoir des roues plus grandes que des 26’’. Pour autant, le 29’’ n’est pas approprié car sur les relances, il y a clairement un manque de nervosité. On a besoin que ça réponde ! ce qui fait que le 29’’, je le roule parfois à l’entraînement et basta... On parle de parfait compromis pour le 27,5 et je crois que c’est exactement ça. Ce n’est pas un hasard non plus si des gars comme Schurter et Hermida ont adopté ce standard de roues. Pour ma part, les premiers tests que j’ai pu faire avec le vélo ont été très probants.

V. V. : Le team enregistre pas mal de changements au niveau des partenaires, le passage de Continental à Michelin en est un important...

M. M. : Nous allons rouler avec des pneus Michelin cette saison, un très roulant pour le sec, un profil mixte, le mud est en attente. C’est un partenariat intéressant, car on sent chez Michelin une réelle envie de bien faire et d’être à l’écoute. 

«Chez Michelin, on bénéficie aussi du travail des Ravanel»

V. V. : C’était moins le cas avec Conti ?

M. M. : Disons que nous n’étions pas le seul team à être sponso Conti et si Wolfram Kurschat (NDLR : du team Topeak Ergon) avait validé certaines gommes, eh bien ils considéraient que c’était OK. Avec Michelin, il y aura beaucoup plus d’échanges et puis, les produits au départ sont déjà très bons. On bénéficie aussi du travail des Ravanel (qui roulaient Michelin l’année pa
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