La tête dans l'oreiller

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La tête dans l'oreiller
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La tête dans l`Oreiller Dossier pédagogique PDF

Dossier pédagogique
Hanoumat Compagnie, Brigitte Davy & Le Pied d’Oscar, Christophe Traineau
3 boulevard Daviers
Daviers – 49100
49100 Angers
Tél. 02 41 39 78 50 Courriel : administration@hanoumat.com
Pourquoi ce spectacle ?
Des propositions d’apprentissages
scolaires autour de la création :
-
Thématique littéraire, poétique et philosophique
-
Thématique artistique (arts visuels, musique)
Des propositions d’ateliers de pratique
artistique en danse
Hanoumat Compagnie, Brigitte Davy & Le Pied d’Oscar, Christophe Traineau
3 boulevard Daviers
Daviers – 49100
49100 Angers
Tél. 02 41 39 78 50 Courriel : administration@hanoumat.com
Pourquoi ce spectacle
Pour qui ?
Ce spectacle s’adresse au tout public à partir de 3 ans jusqu’à 10 ans,
soit les cycles 1 et 2 en séances scolaires
Il allie :
La danse contemporaine
La scénographie et le travail sur l’objet
La musique
La lumière
Une lecture du développement physiologique et psychologique de
la personne
Le propos ?
La chambre, pièce de vie, d’intimité, de liberté… La chambre, lieu du
sommeil, du rêve, de l’amour… La chambre, havre de paix, de détente, de
réflexion… C’est dans cet endroit clos où la réalité semble se réinventer
que le décor est planté.
A l’aide d’objets familiers (couettes, matelas, oreillers, lampes…), le duo
d’interprètes crée un imaginaire autour de ce nid aussi douillet que
ludique. De la transformation et déformation d’objets, en passant par un
travail sur l’anatomie et le travestissement, jusqu’au rapprochement des
corps et au jeu amoureux, cette danse pour deux questionne notre propre
identité et notre vision de cet univers secret.
Après les deux versions de « Dis… tu laisses la lumière dans le couloir ! »,
Brigitte Davy et Christophe Traineau, respectivement chorégraphes
d’Hanoumat Cie et du Pied d’Oscar, continuent à explorer l’intime, en
se concentrant sur un travail chorégraphique et musical ouvert à
l’imagination des petits comme des grands.
Telle une proposition où le regard des autres est mis à contribution, « La
tête dans l’oreiller » se pose comme une invitation à la rêverie et au
voyage dans son propre vécu.
Hanoumat Compagnie, Brigitte Davy & Le Pied d’Oscar, Christophe Traineau
3 boulevard Daviers
Daviers – 49100
49100 Angers
Tél. 02 41 39 78 50 Courriel : administration@hanoumat.com
Les thématiques
- Littéraires, poétiques et philosophiques : l’intimité, fille ou garçon,
l’amour, la transformation, la déformation, le rêve et le cauchemar
- Scientifiques : les sens tels que la vision et le toucher, l’anatomie et la
physiologie du corps humain, la sexualité
- Artistiques : en arts plastiques et arts visuels autour de la
scénographie proposée dans le spectacle, d’artistes proposant des œuvres
sur la chambre et l’intimité du corps humain, et, bien sûr, en danse
Comment ?
Un danseur et une danseuse évoluent dans un espace scénique
délimité par des espaces rectangulaires définis par des couettes, ainsi que
des espaces lumineux donnant une intimité douce.
Ils sont manipulateurs d’objets que nous avons dans notre chambre
quotidiennement et jouent l’interaction entre le mouvement dansé
et ces objets : couettes, oreillers, tissus, costume, matelas.
Ils jouent avec l’objet et en détournent la fonction première pour laisser
place à l’imagination.
Ex : La couette devient cachette et recouvre le haut du corps, dévoilant
un corps étrange où seules les jambes sont reconnaissables (hommenuage, homme-aigrette…).
Ils jouent sur l’anatomie et la différence du corps garçon ou fille,
donnant à voir des extraits ou des parties de ces corps.
Ils se rencontrent et donnent à comprendre le lien fraternel, amical et
aussi amoureux, ce que chacun rencontre au cours de sa vie : danse
proche, danse de contact.
Ces propositions permettent l’éveil de l’imaginaire de chacun et
une approche de la vie intime de l’enfant seul, et de l’enfant par
rapport aux autres enfants et aux adultes.
Hanoumat Compagnie, Brigitte Davy & Le Pied d’Oscar, Christophe Traineau
3 boulevard Daviers
Daviers – 49100
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Tél. 02 41 39 78 50 Courriel : administration@hanoumat.com
Des propositions d’apprentissages scolaires
Historiques et thématiques de réflexion autour de :
La chambre à coucher :
Qu’est-ce qu’une chambre à coucher ? Pour les adultes, pour les enfants ?
A quoi ça sert ?
Les éléments de la chambre à coucher : les énumérer, définir leur fonction
et utilisation
La chambre à coucher à travers l’histoire :
De la pièce commune à la chambre à coucher puis à la chambre
individuelle.
Relation avec le milieu socio-économique
« Dans les sociétés comme celle de la France du XVIII et XIX siècle,
l'intérêt de la chambre d'enfant est apparu tardivement : en effet, une fois
terminé l'office de la nourrice, l'enfant des classes aisées était la plupart
du temps placé en pensionnat. Concernant les berceaux, Viollet-le-Duc
note que celui-ci était placé dans la ruelle. Une décennie plus tard, entre
la future épouse et l'enfant, la jeune fille de bonne famille ne s'imaginait
pas sans la possession et l'appropriation d'une chambre personnelle
satisfaisant une bonne part des conditions de son épanouissement : la
« chambre de jeune fille » temple de sa vie privée avec « Le petit oratoire
d'angle, la cage de l'oiseau, le vase de fleurs, le papier qui imite la toile de
Jouy, le secrétaire qui renferme l'album et la collection de lettres intimes,
au besoin la bibliothèque [...] ».
En France, la chambre conjugale d'un prolétaire selon une image d'Épinal.
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En France au moins, la chambre à coucher individuelle est apparue peu à
peu comme une quasi-norme architecturale au cours du XIX siècle : elle
cesse d'être considérée comme un luxe et répond à de nouveaux
impératifs, notamment hygiénistes (importance accordée à la respiration
et à l'oxygène et donc élimination de toute promiscuité et possession
d'espaces individuels d'un volume adéquat). Bien que des inconvénients
soient évoqués concernant la sexualité, sans parler de préjugés
concernant l'eau, la chambre est également considérée comme favorable
à l'hygiène du corps maintenant libéré (provisoirement) du regard
d'autrui. Les nécessaires de toilette font partie du mobilier usuel,
complété selon le standing et l'époque par une baignoire mobile ; les
ménages plus modestes se contentant du rustique baquet ou s'équipant à
la fin du XIX siècle du tub, métallique et pratique.
En ville :
L'architecture urbaine, essentiellement vétuste, se prêtant mal aux
radicales transformations, la nécessité de chambres a motivé, non loin des
idées des utopistes et de leurs cités idéales, la promotion à partir du
milieu du XIX siècle en France, d'une maison-modèle reproductible à
l'envi sur des terrains de la périphérie. Le deuxième étage de ce pavillon
était voué aux chambres, au-dessus de la cuisine et salle principale, et en
dessous du grenier. Leur coût devait les rendre accessibles aux ouvriers ;
ce statut et rôle de propriétaire étant de surcroît considéré comme
stabilisant et tranquillisant du point de vue des revendications de classe.
Une initiative des plus constructives et des plus imitées fut celle
développée à Mulhouse durant le Second empire, aboutissant en 1895 au
total de 1240 maisons, soit 10% de la population.
En campagne :
Depuis la ville, ses quartiers pavillonnaires et ses lotissements de
banlieue, la disposition d'une chambre se diffuse lentement jusqu'aux
campagnes les plus isolées, selon les voies de communication et
l'enrichissement de la paysannerie. L'intimité conjugale ne se satisfait plus
comme dans un premier temps, celui de la « génération des parents », de
« l'adjonction de rideaux, de tentures, voire de l'édification de cloisons »,
mais seules les fermes françaises les plus riches comportent à l'aube du
XX siècle une vraie chambre. À partir de cette situation, l'innovation va
s'étendre tout au long du siècle, avec une phase plus intense entre les
deux guerres mondiales, par la création d'au moins une chambre dans
toute ferme, quelle que soit son importance. Il subsistera cependant en fin
de siècle, ici et là, d'antiques habitations rurales à salle commune où seuls
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la télévision
d'époque.
et
l'équipement
électrique
trahissent
le
changement
Les visites - gravure de Ernst
Nachfolger, Allemagne 1877.
Keil's
La notion d'intimité a fluctué elle-même au sein de la chambre à coucher,
souvent sans distinction de milieu ou de classe sociale. L'évolution des mœurs
sur l'ensemble d'une culture se traduit par un consensus sur ce qui est autorisé
dans une chambre, à commencer par la possibilité ou non d'y pénétrer. La
relation à l'autre, quand cet autre peut être un autre membre de la famille (i.e.
aïeul), un domestique, un ami, est subtile et susceptible d'évolutions rapides,
provoquant des changements d'habitudes. Par exemple, même quand la
chambre est close l'essentiel du temps, une naissance ou au contraire une agonie
peuvent faire tomber barrières symboliques et conventions : le voisin à peine
salué peut dans ces circonstances rendre hommage à la jeune mère ou participer
à la veille du mourant. En cas de décès, la chambre pouvait être apprêtée selon
le rite religieux et devenait la chambre mortuaire.
Comme espace personnel, la place donnée à sa chambre par son occupant dans
sa propre vie est variable, surtout s'il dispose de loisir, et l'entourage proche,
comme la tradition, s'adapte généralement à cette liberté. D'un côté, l'habitude
des maîtresses de maison de fermer à clé la chambre, d’un autre, à la manière
des rois, de nombreux personnages, artistes notamment, recevaient tous leurs
visiteurs autour de leur lit, la chambre étant alors conçue comme un salon. À
l'opposé, dans l'essai qu'elle publie en 1929 - Une chambre à soi - Virginia Woolf
définit comme condition sine qua non la possession d'une chambre personnelle,
lieu protégé de toute perturbation et dérangement, pour le développement de la
vocation littéraire des femmes, une fois celles-ci libérées des charges
domestiques et soucis professionnels.
S'il est un élément ambivalent dans la chambre à coucher, c'est bien la fenêtre,
au moins en certains lieux et époques. En effet, ce qui en sort, peut aussi bien y
rentrer, que ce soit froid, chaleur, regards, voire personne mal intentionnée, et il
est difficile d'en avoir les avantages sans les inconvénients, par exemple de voir
sans être vu. Après les volets de bois, l'emploi de papier huilé ou de textile léger,
les panneaux de verre fixes ou mobiles procurèrent un net confort surtout à
partir du XV siècle. Ces questions intervinrent dans l'orientation habituelle des
chambres par rapport à la rue, avec ces nuisances mais avec son animation. « Il
semble que les chambres les plus appréciées étaient côté rue et non côté cour »,
particulièrement par les femmes, pour peu qu'elles soient confinées dans l'espace
domestique : « La fenêtre est en effet le grand divertissement et la grande
attraction, merveilleusement ouverte comme elle l'est sur la rue. ».
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Le Lit
Dans une pièce commune pour toute la famille au départ (chaleur,
commodité),
puis séparation des enfants et des adultes.
Composition du lit : matelas, couette, oreillers …
Exemples de lit : le lit à baldaquin, le lit breton (placard)
La vie dans la chambre
- le sommeil : un tiers de la vie, le repos :
les phases du sommeil, son importance, régénération des cellules du corps
et construction de la future personne adulte
- rencontre avec soi-même, avec son corps : habillage, déshabillage, la
peau, le corps, le toucher
- les loisirs : jeux, lectures, musique, ordinateur, télévision ?, les devoirs
d’école
- rencontre avec l’autre : père, mère / frères, sœurs/ couple amoureux,
le câlin
- les bruits : à l’extérieur de la maison, dans le reste de la maison, dans
sa chambre (de l’extérieur vers le proche)
La décoration de la chambre
-
comment est décorée ta chambre ?
Décore ta chambre idéale
Ton imaginaire quand tu es :
dans ta chambre
dans ton lit
- Rêverie : le rêve, le cauchemar, la pensée libre et vagabonde,
l’absurde
Saisir la différence entre ces différents mots
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Lectures diverses autour de ces thèmes de textes et de poésie.
Exemple de livres : « La poétique de la rêverie » et « L’air et les songes »
de Bachelard, poèmes d’Eluard, de Jacques Prévert, Becket…
Est-ce que la pensée, l’état dans lesquels on se trouve (somnolence,
fatigue, rêverie, détente, sommeil, volonté …) peuvent transformer parfois
la réalité et comment ?
- Déformations visuelles / sonores/ tactiles
Ce que tu imagines le jour, la nuit
En plein jour, ou dans la nuit, est-ce pareil ?
Exemple : si tu te touches le bras le jour ou la nuit, quelles sont tes
sensations ?
-
Les peurs, les visions
Dans le noir, dans la nuit
Dans les moments où tu es seul
-
Jeux imaginaires avec les objets de la chambre :
La cabane avec la couette
Les oreillers-têtes de bonhomme
Le lit-cachette
Les vêtements détournés de leur utilisation habituelle
Notre corps, notre intimité, notre vie intime
-
Anatomie du corps du garçon, de la fille
Ce qui est pareil, ce qui est différent
- Ce que tu fais et aimes faire avec ton corps et particulièrement dans la
chambre :
Sauter / danser / se déguiser / se transformer / s’allonger / s’asseoir / se
détendre / se prélasser / se laisser aller / ne penser à rien / se gratter / se
frotter / s’étirer / se toucher / caresser sa peau / écouter les bruits du
corps …
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Thématique artistique :
Arts Plastiques, Arts Visuels :
Autour du spectacle « La Tête dans l’oreiller »
-
Repérer la scénographie du spectacle, le décor, les accessoires
-
Eléments graphiques principaux dans le spectacle :
Plans verticaux, lignes droites, différents espaces de jeux, espaces
ouverts / fermés
Plans transversaux ou horizontaux qui délimitent l’aire globale de jeu des
danseurs et des spectateurs, les espaces de jeux des danseurs, espaces
ouverts/fermés/plus réduits
La chambre à coucher dans l’art
- Etude de différents peintres et artistes qui ont travaillé sur la chambre à
coucher
Gravures, peintures
« Voyage autour de ma chambre » gravure de B. Guillaume (XVIIIe)
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« La chambre rouge » Félix Vallotton - 1898.
« La chambre » de Van Gogh, février 1888- mars 1889 à Arles
Aquarelle : « La chambre » de Jérémie Iordanoff, peinture abstraite, art
contemporain
Huile sur toile
contemporain
: « Chambres avec vues » de Yo Coquelin, art
Huile sur toile : « L’homme à l’enfant endormi » d’Edouard Pignon, 1970
Littérature
Xavier de Maistre, Voyage autour de ma chambre, première édition
Chambéry - 1794, Jules Tardieu, Paris 1862.
Gaston Leroux, Le mystère de la chambre jaune, 1912. Roman policier.
Virginia Woolf Une chambre à soi
Proposition d’ateliers de création avec les enfants :
Production de texte :
Ce que font les enfants dans leur chambre, prendre des notes, écrire un
texte
Raconter ses rêves et les dessiner
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Daviers – 49100
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Production plastiques :
A partir de tableaux :
Ex : La Chambre de Van Gogh
Reconstituer une chambre, celle de Van Gogh ou la sienne, par collages
d’éléments coupés dans des catalogues
Reproduction à la peinture d’une des parties du tableau,
du tableau dans son ensemble
A partir de l’affiche du spectacle
La regarder, la décrire, l’étudier
Décrire le contenu de l’affiche, la composition, les couleurs
Jouer avec les lignes droites et les courbes, avec les couleurs
Isoler les différentes parties ou « couches » de l’affiche, en choisir
une, la colorer
Dessiner la silhouette d’un enfant dans une forme corporelle qu’il
choisit en en faisant le contour : grandeur nature, à une autre
échelle.
Idem avec plusieurs enfants en contact et donc « emmêlés ».
Inventer une autre affiche pour le spectacle (et nous l’envoyer !!)
Musique du spectacle
Ecouter la bande son du spectacle. Définir les différents univers, les
différents moments.
Reconnaître les instruments (accordéon, clarinette, batterie,
piano…),
les sons (bruits de corps, de la maison…)
les ambiances ou « décor sonore »
Inventer un décor sonore par rapport à une idée, une pensée, une
histoire
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Propositions d’ateliers chorégraphiques
-
Ateliers sur les fondamentaux de la danse contemporaine
-
Ateliers liés au spectacle
¤ A partir des objets de la chambre à coucher
La couette
La poser sur le corps, sous le corps
En restant sur place / en se déplaçant
La poser autour de soi, comme un habit
En action :
La jeter / lancer / faire tourner autour de soi / la glisser sur son corps,
sur le sol/ la déployer
La placer sur le corps de l’autre, seul / à deux
L’oreiller
L’oreiller posé au sol
.
S’approcher / s’éloigner de l’oreiller
. Circuler autour de plusieurs oreillers disposés au sol, trouver
différents types de déplacements
. S’arrêter près d’un oreiller et poser une partie du corps sur l’oreiller,
changer de partie du corps, poser tout le corps (de différentes façons)
. Choisir un oreiller et se poser de différentes façons dessus :
choisir 3 poses, passer de l’une à l’autre en trouvant les relais et la
qualité (saccadée, rapide, fluide)
.
Chuter sur l’oreiller
Hanoumat Compagnie, Brigitte Davy & Le Pied d’Oscar, Christophe Traineau
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Daviers – 49100
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L’oreiller, objet inducteur de mouvement
Enfant seul :
. En déplacement, lancer l’oreiller devant soi et chuter dessus en
glissant dans un élan (glissade)
.
Prendre l’oreiller et le poser sur différentes parties de son corps
. Le faire circuler autour de soi, près, loin (grands mouvements
fluides)
.
Le lancer en l’air, le laisser tomber, le rattraper
.
Le balancer, sentir l’élan, se laisser emporter par l’élan
.
Jongler avec l’oreiller, en le manipulant par ses côtés (
Pousser sa résistance
Une traînée à gros seins se fait détruire le cul
Deux campagnards chanceux

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