La soumission asiatique
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La soumission asiatique
Avocat associĂ© chez Fidal et maĂźtre de confĂ©rences en droit public Ă lâuniversitĂ© dâAmiens
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Le 5 juillet, la CorĂ©e du Sud a rendu publique une vidĂ©o qui pourrait ĂȘtre la premiĂšre montrant celles que lâon a longtemps appelĂ©es par euphĂ©misme « les femmes de rĂ©confort ». Ces femmes Ă©taient, en rĂ©alitĂ©, des esclaves sexuelles exploitĂ©es par lâarmĂ©e japonaise au cours de la seconde guerre mondiale. Selon les historiens, jusquâĂ 200 000 personnes, pour la plupart des CorĂ©ennes mais aussi des Chinoises, des IndonĂ©siennes et des ressortissantes dâautres pays asiatiques, ont Ă©tĂ© enrĂŽlĂ©es de force dans les bordels de lâarmĂ©e impĂ©riale.
Cette question empoisonne les relations entre SĂ©oul et Tokyo depuis des dĂ©cennies, nombre de Sud-CorĂ©ens y voyant le symbole des abus et violences commis par le Japon durant sa domination coloniale, de 1910 Ă 1945. Seules des photographies de cet Ă©pisode Ă©taient connues jusquâĂ aujourdâhui. Lâextrait vidĂ©o, qui aurait Ă©tĂ© tournĂ© par un soldat amĂ©ricain en 1944, a Ă©tĂ© dĂ©couvert par des universitaires corĂ©ens aprĂšs deux ans de recherche dans les archives amĂ©ricaines.
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Articles détaillés : Japonais#Politesse et Keigo .
Article dĂ©taillĂ©Â : Onsen#Ătiquette .
Article détaillé : Cadeaux japonais .
â (en) BoyĂ© Lafayette De Mente , Etiquette Guide to Japan : Know the rules that make the difference , Tuttle Publishing , 2001 , 132 p. ( ISBN 978-0-8048-3417-9 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 15 .
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â « Ce quâil ne faut pas faire avec les baguettes » [ archive ] , sur Nippon.com , 25 juillet 2022 (consultĂ© le 20 aoĂ»t 2022 ) .
â Revenir plus haut enâŻ: a et b David Michaud, Japon, 365 us et coutumes , Ăditions du ChĂȘne, 2010 ( ISBN 978-2-8123-0269-5 ) .
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â Revenir plus haut enâŻ: a b et c (en) « Visiting temples and shrines » [ archive ] , sur www.japan-guide.com (consultĂ© le 27 novembre 2020 ) .
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Les rÚgles de politesse dans la culture japonaise sont essentiellement inspirées du shintoïsme et de la culture chinoise [ 1 ] . Elles forment un ensemble de codes stricts dont le sens profond cÚde le pas sur l'importance du respect des maniÚres.
Roland Barthes Ă©crit ainsi : « Si je dis lĂ -bas que la politesse est une religion, je fais entendre qu'il y a en elle quelque chose de sacrĂ©Â ; l'expression doit ĂȘtre dĂ©voyĂ©e de façon Ă suggĂ©rer que la religion n'est lĂ -bas qu'une politesse, ou mieux encore : que la religion a Ă©tĂ© remplacĂ©e par la politesse [ 2 ] . »
Au Japon, le terme gĂ©nĂ©ral reigi ( 瀌ć ? ) est employĂ© pour signifier « politesse, courtoisie, Ă©tiquette ».
Le salut ( o-jigi ) est probablement l'attribut de l'Ă©tiquette japonaise qui est le plus connu hors des frontiĂšres du Japon (le o est honorifique mais ne peut pas ĂȘtre enlevĂ© pour ce mot). Il est considĂ©rĂ© comme extrĂȘmement important au Japon, et bien que les enfants commencent Ă apprendre le salut Ă un trĂšs jeune Ăąge, son importance est telle que les sociĂ©tĂ©s font habituellement suivre Ă leurs salariĂ©s des entraĂźnements pour saluer correctement. Les saluts simples sont exĂ©cutĂ©s avec le dos droit et les mains sur les cĂŽtĂ©s (pour les garçons et les hommes) ou plaquĂ©es sur les genoux (pour les filles et les femmes), le regard baissĂ©. C'est un mouvement qui part de la taille. GĂ©nĂ©ralement, plus il est long et bas, plus l'Ă©motion et le respect exprimĂ©s sont grands.
Il existe trois types principaux : informels, formels et trĂšs formels. Pour les premiers, il suffit d'exĂ©cuter un angle de quinze degrĂ©s avec le buste ou un simple mouvement brusque de la tĂȘte vers l'avant. Les saluts formels nĂ©cessitent un angle de trente degrĂ©s. Enfin, les saluts trĂšs formels sont plus bas.
Le protocole associé au salut, incluant la longueur et la profondeur du mouvement, ainsi que la réponse afférente, est particuliÚrement compliqué. Par exemple, si l'autre personne maintient son salut plus longtemps que prévu (généralement entre deux et trois secondes), il est poli de saluer encore, jusqu'à ce que l'autre reçoive un autre salut en retour [pas clair] [incompréhensible] . Cela conduit souvent à un long échange de saluts progressivement plus courts.
D'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, un subalterne salue plus longtemps, plus profondĂ©ment et plus frĂ©quemment qu'un supĂ©rieur. Ce dernier s'adressant Ă quelqu'un hiĂ©rarchiquement infĂ©rieur baissera seulement la tĂȘte lĂ©gĂšrement, alors que d'autres peuvent ne pas saluer du tout et le subalterne inclinera alors lĂ©gĂšrement le buste vers l'avant Ă partir de la taille.
Dans le cas d'un salut d'excuse, le mouvement se veut plus profond et dure plus longtemps que les autres types de salut. Ils ont tendance Ă se rĂ©pĂ©ter durant les excuses, gĂ©nĂ©ralement avec le buste Ă environ 45 degrĂ©s avec la tĂȘte baissĂ©e et pour une durĂ©e Ă©quivalente Ă compter jusqu'Ă trois, parfois mĂȘme plus long encore. La profondeur, la frĂ©quence et la durĂ©e du salut augmentent avec la sincĂ©ritĂ© de l'excuse et la sĂ©vĂ©ritĂ© de l'offense.
Occasionnellement, pour des excuses et des supplications, les gens s'accroupissent comme sujud [rĂ©f. nĂ©cessaire] pour montrer sa soumission absolue et son extrĂȘme regret. Cela s'appelle dogeza . MĂȘme si dogeza Ă©tait autrefois considĂ©rĂ© comme trĂšs formel, il est plus particuliĂšrement considĂ©rĂ© de nos jours comme du mĂ©pris envers soi-mĂȘme et il est donc moins utilisĂ© dans la vie de tous les jours. Le salut de remerciement suit les mĂȘmes considĂ©rations. Dans des cas extrĂȘmes de gravitĂ©, un salut Ă genoux est accompli ; ce salut est parfois si bas que le front touche le sol. Cela s'appelle saikeirei , littĂ©ralement « salut le plus respectueux ».
Pour traiter avec des Ă©trangers, beaucoup de Japonais serreront la main. Mais depuis que beaucoup de non-Japonais sont familiers avec la coutume du salut, cela amĂšne Ă combiner un salut et une poignĂ©e de main, ce qui n'est pas des plus pratiques Ă effectuer. Pour une telle combinaison, les saluts peuvent ĂȘtre associĂ©s Ă une poignĂ©e de main, ou exĂ©cutĂ©s avant ou aprĂšs cette derniĂšre. Habituellement, dans une certaine exiguĂŻtĂ©, comme lors d'une combinaison de salut et de poignĂ©e de main, les gens se tournent lĂ©gĂšrement vers un cĂŽtĂ© (Ă gauche le plus souvent) pour Ă©viter de se cogner la tĂȘte.
Le keigo ( æŹèȘ ? , littĂ©ralement « langage du respect » ) est l'ensemble du systĂšme de politesse de la langue japonaise . Ă la diffĂ©rence d'autres langues qui expriment la politesse par des moyens essentiellement lexicaux (vocabulaire), le japonais l'exprime Ă©galement par des moyens grammaticaux.
La politesse en japonais se classe globalement en trois catégories :
Les chaussures doivent ĂȘtre retirĂ©es lorsque l'on entre dans un bĂątiment japonais disposant d'un genkan , c'est-Ă -dire dans la quasi-totalitĂ© des maisons, appartements et temples. Il est possible alors de porter des chaussons , sauf sur les tatamis qui doivent ĂȘtre foulĂ©s seulement pieds nus ou en chaussettes [ 3 ] . Il existe Ă©galement des chaussons de toilettes qui doivent ĂȘtre utilisĂ©s dans les toilettes japonaises [ 3 ] .
Comme les foyers japonais sont plutĂŽt petits, les rencontres se font traditionnellement au restaurant et dans d'autres Ă©tablissements. Cependant, se retrouver Ă la maison n'est pas impossible, et les hĂŽtes se montreront avec le temps souvent trĂšs accueillants.
Plus gĂ©nĂ©ralement, comme dans beaucoup d'autres cultures, l'invitĂ© est prioritaire. Il ou elle aura la meilleure place pour s'asseoir, recevra les meilleures nourritures et boissons, et gĂ©nĂ©ralement s'y rapporte [pas clair] . Les hĂŽtes japonais dĂ©ploient des efforts incroyables permettant Ă l'invitĂ© de se reposer. Au contraire des diffĂ©rentes hospitalitĂ©s occidentales dans lesquelles l'hĂŽte montre une apparence tranquille avec ses invitĂ©s, ou peut encourager ceux-ci « à se sentir chez soi » ou « à faire comme chez soi ». Les Japonais, et surtout les Ă©pouses, dans le cas d'un couple homme-femme, montreront souvent une grande activitĂ©, manifestant par cet empressement le souhait de prendre en compte le bien-ĂȘtre des invitĂ©s.
Le bain est un Ă©lĂ©ment important du quotidien au Japon. Il sert Ă se dĂ©tendre une fois propre. On doit se laver avant d'entrer dans la baignoire ou furo . On est habituellement assis sur un petit tabouret, sur lequel on se lavera grĂące Ă un petit robinet ou Ă une douche situĂ©e dans la mĂȘme piĂšce que la baignoire. Une fois savonnĂ© et frottĂ©, on prĂ©lĂšve de l'eau de la baignoire avec un rĂ©cipient dĂ©diĂ© pour se rincer. Entrer sans se laver dans le bain, ou s'y rincer, sont une forme d'impolitesse ressentie comme trĂšs choquante, qui a d'ailleurs conduit ponctuellement certains bains publics Ă interdire leur accĂšs aux Ă©trangers.
La baignoire traditionnelle est carrée et assez profonde pour que l'eau couvre les épaules mais demande que celui qui prend le bain s'assoie avec les genoux relevés contre la poitrine. La forme de la baignoire est plus petite et plus profonde que celle connue en Occident, avec toutefois des évolutions récentes rapprochant les deux types. Normalement, l'eau du bain est conservée pendant plusieurs jours. Elle est réchauffée avant chaque utilisation par un systÚme intégré. Un couvercle recouvre la baignoire pour maintenir la température de l'eau lorsqu'elle n'est pas utilisée et pour éviter l'évaporation. Tout résidu corporel est enlevé de l'eau aprÚs le bain.
Dans certaines maisons possĂ©dant de petites baignoires, les membres de la famille se baignent un par un Ă son tour, par ordre d'ainesse (?), traditionnellement commençant par l'homme le plus vieux ou la personne la plus ĂągĂ©e de l'habitation (la grand-mĂšre peut se baigner avant le pĂšre de la maison). Dans l'Ă©ventualitĂ© de la prĂ©sence d'invitĂ©s, ils ont la prioritĂ© [rĂ©f. nĂ©cessaire] . Dans les endroits oĂč les baignoires sont plus grandes, il n'est pas rare pour les membres de la famille de se baigner ensemble. Par exemple, un ou les deux parents se baigneront avec les bĂ©bĂ©s et enfants en bas Ăąge. MĂȘme lorsque ceux-ci sont plus grands, ils peuvent encore partager le bain avec un de leurs parents.
Les baignoires sont trÚs courantes dans les maisons japonaises récentes mais il y a encore beaucoup de petits et vieux appartements en ville qui n'en sont pas pourvus, ce qui fait que l'on trouve facilement des bains publics appelés sento . Dans la plupart des cas, les bains sont séparés par sexe et les clients se baignent nus, beaucoup utilisant un petit gant pour couvrir les parties génitales, qu'il est impoli d'exposer de façon trop ostentatoire. Les hÎtels, les maisons de pachinko et autres salles de jeux peuvent posséder un sento pour leurs clients.
Les clients des auberges traditionnelles japonaises, ryokan , se verront offrir un bain dans un furo , aussi bien dans un endroit municipal avec des périodes établies à l'avance ou que dans un endroit privé.
Onsen se traduit par « ruisseau brulant ». Ce sont des bains, parfois situĂ©s Ă l'extĂ©rieur, qui utilisent l'eau naturellement chaude (gĂ©othermie). Des onsen plus importants ont des bassins pour les hommes et pour les femmes, et les visiteurs se baignent normalement nus. De mĂȘme que pour les bains Ă la maison, tous les clients de sento et de onsen doivent se rincer Ă©nergiquement avant d'entrer dans les bains communs. Beaucoup d'endroits n'acceptent pas les clients avec des tatouages qui sont traditionnellement tabous, faisant rĂ©fĂ©rence aux activitĂ©s yakuzas .
De nombreux codes sont Ă respecter lors des repas (surtout au restaurant ou dans un lieu public), notamment avec l'utilisation des baguettes , par exemple [ 4 ]Â :
Au dĂ©but du repas, la formule Ă©quivalente au « bon appĂ©tit » français est itadakimasu ( ăăă ăăŸă ? ) , qui signifie « je reçois humblement » (non sans analogie avec un bĂ©nĂ©dicitĂ© ). Toutefois, c'est la personne qui commence Ă manger qui prononce cette phrase. On utilise Ă©galement l'expression française, japonisĂ©e en bonapeti ( ăăăă㣠? ) [rĂ©f. nĂ©cessaire] .
Il est trÚs apprécié de manger un plat de riz jusqu'au dernier grain [ 5 ] .
Il est peu poli de se servir Ă boire soi-mĂȘme. La pratique courante est de servir son voisin (mĂȘme si son verre est dĂ©jĂ quasiment plein) ; le voisin comprendra immĂ©diatement qu'il est souhaitable qu'il remplisse votre verre Ă son tour. Donc, si l'on vous sert Ă boire, vĂ©rifiez bien que les verres du convive qui vous sert ne sont pas vides, et remplissez-les au besoin.
Quand une personne nous sert à boire, la politesse voudrait que le verre soit tenu de cette maniÚre : on lui tend le verre avec la main droite, tout en le maintenant par-dessous du bout des doigts serrés de la main gauche ouverte [ 5 ] .
En revanche, il y a des gestes à table qui paraissent normaux dans la culture japonaise et qu'on ne fait généralement pas dans la politesse occidentale [ 6 ] :
Au restaurant, contrairement Ă la France oĂč l' Ă©tiquette traditionnelle voudrait que le convive ne remercie pas le serveur et feigne de l'ignorer, il est d'usage au Japon de remercier d'une trĂšs discrĂšte inclinaison de la tĂȘte vers l'avant, ou en tapant deux ou trois fois sur la table avec son index.
Enfin, lorsqu'on n'a pas prĂ©parĂ© soi-mĂȘme le repas ou la collation, on se lĂšve de table ou on quitte le restaurant en annonçant GochisĆsama deshita ( ăăĄăăăăŸă§ăă ? , littĂ©ralement : « C'Ă©tait un festin. » ) .
Lorsqu'on quitte un endroit familier (la maison ou le bureau par exemple), il convient de prévenir avec le neutre Itte kimasu , ou dans sa forme polie, Mairimasu (« J'y vais »). Ce à quoi l'interlocuteur répondra généralement Itte rashai (« Vas-y »).
Au retour, on préviendra de son arrivée par un Tada ima (« Juste à l'instant »), ce à quoi l'interlocuteur constatera O kaeri nasai (« Tu reviens »).
Beaucoup de personnes demandent aux invitĂ©s d'ouvrir un cadeau, mais s'ils ne le font pas, les Japonais rĂ©sisteront Ă l'envie de demander s'ils peuvent ouvrir le cadeau. Ătant donnĂ© que l'acte d'accepter un cadeau peut engendrer un sentiment d'obligation non remplie de la part du receveur, les cadeaux sont parfois refusĂ©s en fonction de la situation. De plus, un cadeau acceptĂ© avec les deux mains est une marque de politesse, le prendre avec une main (si cela n'est pas justifiĂ©) pourrait ĂȘtre mal vu.
Il existe deux saisons au Japon appelées o-seibo et o-chƫgen . L'une est pour l'hiver et l'autre pour l'été. Les cadeaux sont donnés à ceux avec qui il existe un lien relationnel, tout particuliÚrement les gens qui ont aidé le donneur de cadeau.
Il est impoli de se prĂ©senter Ă la maison de quelqu'un sans prĂ©sent. En japonais, c'est appelĂ© tebura (« mains vides »). Un cadeau est communĂ©ment apportĂ© dans un sac en papier (de prĂ©fĂ©rence un sac du magasin oĂč le prĂ©sent a Ă©tĂ© achetĂ©),
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