La souffre douleur de la classe

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Bonjours a tous , je m'appelle Romain , j'ai 16 ans et je vais de suite vous expliquez mon problème . Je sais qu'il y a des sujets similaires a celui-la mais en créer un sera , je pense , une meilleure solution pour avoir des réponses claires . Je suis actuellement au lycée en classe de seconde et je suis comme qui dirait le souffre douleur de ma classe , enfin de quelque personnes . Ils m'insultent , me frappent ( juste des petites gifles pas non plus des poings dans la figure ^^'' ) et m'embêtent , alors que je ne leur ai absolument rien fait de mal . Je ne sais pas quel est leur problème avec moi , ils aiment bien m'emmerder ou je ne sais quoi peut-être . ça deviens vraiment agaçant et j'en ai marre ! . Je suis quelqu'un de normal , qui a quelques amis , sans problèmes quelconque , mais ces deux-trois personnes de ma classe ont trouver le moyen de me mettre le moral a 0 a cause de leurs méchancetés envers moi . Je ne sais pas quoi faire . Parfois je voudrais leur foncer dessus mais je n'ose pas , par peur de me faire battre et donc être encore plus une victime , qui est , si je puis le dire , déjà le cas . Je n'ai jamais eu auparavant de problème comme cela jusqu'à maintenant . Je vais vous donnez un exemple de se qu'ils peuvent faire pour m'embêter : le plus souvent c'est lorsqu'un professeur s'absente pour 2 minutes en plein cours , je ne fais rien , je ne parle ni ne regarde personne , et d'un coup , un des emmerdeurs commence a m'insulter , alors je lui renvoie une insulte ( toute simple je le précise) et son amie commence lui aussi a m'insulter , puis a me lancer sa trousse , a se lever , prendre mon sac et le lancer , et c'est souvent ça le plus qu'ils font pour m'emmerder . Je vous remercie d'avoir lu et j'espère que vous allez sincèrement m'aider car j'en ai vraiment ra_le_bol . Merci !
S'il vous plait , je sais que mon sujet est long , mais j'aimerais avoir de l'aide 🙁 , merci d'avance .
Déjà pourquoi ils te martyrisent? Tu est premier de la classe? Timide? Tu n'a pas confiance en toi? Après te fait pas d'illusion, la seul façon de gagner le respect des autre lorsqu'on est souffre douleurs c'est de changer, mais c'est long et sa demande beaucoup d'effort.
Tu dois aller en parler au directeur ou au CPE de ton lycée. Il faut vraiment que tu prennes conscience que ce qui se passe ce n'est pas normal. Tu ne t'en rend peut etre pas compte pour l'instant mais je crois que cette situation te ronge et a des consequences sur ton etat psychologique. Tu vas pas a l'ecole pour te faire insulter et encore moins te faire taper dessus. Réagis et si ça persiste, va au commissariat de police, avant que ça n'aille plus loin.
Rentre-leur dedans quand ils te provoquent. En plus, si tu le fais devant tout le monde, tu auras des témoins des vacheries qu'ils t'ont faites, pour expliquer à l'administration ce qui s'est passé. Et va voir le CPE et ton prof principal.
ils vont rigoler au commissariat.. c'est pas pour des trousses lancées, quelques moqueries et des ptites gifles qu'ils vont faire grand chose. ils sont préoccupés par d'autres problèmes les poulets :/
Les assistantes social et les infirmière sont en général de bon conseil, mais j'ai peur qu'en parler au directeur et aux pions... honnêtement j'ai peur que sa t'enfonce bien plus.
Morgan341 : Je ne suis pas le premier de la classe mais assez proche , j'ai pas confiance en moi ça c'est sur ^^'' , mais ce n'est pas pour autant qu'ils ont le droit de m'emmerder , je ne leur ai rien FAIT ! Jamais insulté ou quelque chose du genre ..... Je ne comprend pas . ccilya : je ne pense pas que ça aille jusqu'à aller au commissariat , c'est sûr ça m'atteins psychologiquement car chaque matin je me demande : " est ce qui vont m'emmerder aujourd'hui , ou me laisser tranquille ? " car parfois ils ne me font rien .... Je ne sais pas comment réagir , si je vais en parler au CPE , je pense que ça va aggraver les choses , tu sais dans quel monde nous vivons maintenant , c'est soit je montre que c'est moi le plus fort , soit je fais rien ....
Moi aussi je pense que si j'en parle au CPE ou autre , je vais m'enfoncer encore plus ....
T'oublies juste un detail, ils sont trois et toi t'es tout seul. Alors question "plus fort" c'est vite reglé. Tu sais ce genre de ptit cons ils ont aucune raison à donner pour faire ce qu'ils font. C'est totalement gratuit. Apres tu sais pas jusqu'où ils pourraient allé. C'est à toi de voir ce que tu veux faire, maintenant et surtout ce que tu ne veux plus.
y'a l'option du rookie : aller leur parler tout simplement, leur demander leurs motivations, leur demander de cesser de t'importuner. s'il y a récidive, en parler au CPE et compagnie.
C'est ce que je me dis aussi : aller leur parler et mettre tout ça au clair , mais vu leur âge mental , j'ai peur qu'ils rigolent a mon nez , se foutent de moi , et me prennent encore plus pour une victime .
C'est ce que je me dis aussi : aller leur parler et mettre tout ça au clair , mais vu leur âge mental , j'ai peur qu'ils rigolent a mon nez , se foutent de moi , et me prennent encore plus pour une victime .

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Harcèlement "Ma fille a été le souffre douleur de sa classe" : une Clermontoise témoigne
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À l’occasion de la journée nationale contre le harcèlement scolaire, l’Institut des métiers de Clermont-Ferrand a donné la parole à Caroline, maman d’une jeune victime.



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Elle n’a rien oublié du calvaire qu’a enduré sa fille toutes ces années. De ce jour où elle découvre par hasard le quotidien fait de souffrance et d’humiliation de sa petite Ziha, âgée de 13 ans au collège de Ceyrat.
Devant les élèves de l’Institut des métiers, silencieux et saisis, Caroline, devenue référente départementale de l’association « Les souffre-douleurs à l’école » se replonge dans ses souvenirs intacts, douloureux et glaçants.
Les larmes aux yeux, elle énumère les vexations que subissait sa fille. Les insultes, les coups, partout, tout le temps. « Arrivée en cours d’année scolaire, elle était leur souffre-douleur. Dans les escaliers, la classe, la cour, ma fille a été un défouloir . Feutres plantés dans la cuisse, insultes, appel au suicide, elle a tout vécu. » Faite de haine et de bêtise, la scolarité de Ziha est une descente aux enfers. « Elle se faisait voler ses affaires, et pour ne pas m’inquiéter, elle me disait qu’elles les avaient perdues et je la disputais. » En silence, elle endure et peu à peu lâche prise.
« Une élève de sa classe m’a dit un jour que ses camarades avaient jeté ses baskets à la poubelle, alors j’ai compris que quelque chose de grave se passait pour Ziha. »
Les plaintes au commissariat et aux équipes éducatives n’y auront strictement rien changé. « On me disait que j’étais une mère querelleuse, que ma fille était incapable de s’intégrer . Qu’il fallait laisser les enfants régler leurs histoires entre eux. » Sa fille sombre malgré le changement d’établissement. Traumatisée, le mal est fait. Tous les enfants lui font peur et sont une menace potentielle. Ziha s’est réfugiée dans la nourriture, a pris 20 kilos en un an, les consultations de spécialistes ne la soulageront pas. S’enchaînent alors les fugues incessantes, les tentatives de suicide, les crises de boulimie, les scarifications des bras, du dos, des cuisses « parce que la douleur physique est la seule capable de soulager ses douleurs psychiques. »
Par crainte du pire, Caroline passe ses nuits sur le canapé du salon pour prévenir les fugues. Et dans un instant de désespoir, elle retire la poignée de sa fenêtre de chambre.
"Lorsqu'elle m'a dit en regardant le cimetière depuis son lit que sa place était là-bas, qu'elle s'y sentirait bien, j'ai eu tellement peur qu'elle saute du troisième étage que j'ai enlevé la poignée... "
Ni les traitements médicamenteux, ni son mois d’hospitalisation, ni ses six mois de déscolarisation ne l’aideront à se relever. Une vie blessée qui sera finalement apaisée par une rencontre. Celle d’une formation professionnelle, justement à l’Institut des métiers de Clermont-Ferrand, où elle trouve sa voie. La vente et surtout de la confiance.
« Aujourd’hui, elle est en CDI dans un petit commerce de village et elle tente de se reconstruire. Elle a trouvé une seconde famille. » Aujourd’hui, la maman milite pour aider et conseiller. « J’aimerais que plus personne ne vive cela. À tous les parents, écoutez vos tripes, votre intuition et vos enfants. Aux premiers signes, préservez-les, mettez-les en sécurité. Il est grand temps que l’Éducation Nationale et la justice se saisissent de ce problème. » 
Un témoignage qui a fait mouche auprès des élèves. Franck, jeune élève en CAP cuisine s'avance, les yeux embués : "J'ai mon petit frère de 14 ans qui a un handicap physique et qui vit la même chose. Il se fait persécuter. On essaie de l'aider mais on est impuissant." Saisi par le chagrin, le grand frère partage sa détresse. " Mon petit frère reste en boule, il ne veut plus aller à l'école, il a mal au ventre... Je suis tellement inquiet". Sous le regard bienveillant de la maman de Ziha, Franck cherche des solutions : " On n'en parle pas assez ! Il faudrait des actions de sensibilisation beaucoup plus tôt dans écoles. Les harceleurs ce n'est pas une histoire de bons ou de méchants, c'est plus complexe que cela."  
Vous pouvez envoyer cet article par email à vos amis.
christine signoret a posté le 06 novembre 2021 à 07h27
Le harcèlement de toute forme diverses est indigne et méprisant. Quand il s'agit d'une enfant en effet c'est d'autant plus dur et ce sont des actes inhumains avec une portée grave pour l'enfant. En effet bien souvent quand les parents en font part, l'enfant harcelée se retrouve en plus soit elle même jugée!!!!! Comble de la situation, ou on minimise ...Déni!
fati a posté le 06 novembre 2021 à 02h14
Habitant moi même à ceyrat j au souvent entendu des parents dirent que leur enfant avait été victime de harcèlement et que la direction les profs n avaient rien fait c est bien triste ils faudrait punir plus sévèrement le harcèlement
cesar a posté le 05 novembre 2021 à 19h30
C.est toujours les mêmes histoires qu’on entend . Et ce qui est aberrant, honteux même, c’est le discours de certains établissements, certains profs qui rejettent la faute sur l’élève. Nous leur confions nos enfants, leur responsabilité ne s’arrête pas à la salle de classe.
Combien de suicide encore avant de pouvoir dire que l’établissement doit être reconnu de non assistance à personne en danger?

Anne-Marie Arsac a répondu le 07 novembre 2021 à 13h09
Comportements lamentables des enseignants et des directions, quand vous évoquez le harcèlement, c'est votre enfant le problème il faut le changer d'établissement, ce sont les réponses des adultes qui sont censés protéger nos enfants, surtout ne pas faire de vague, ne pas parler de leurs établissements par la négative pour la mauvaise "image", quid des élèves harcelés, leurs écoles ont bien plus gràce à leurs yeux que les élèves, voilà la triste réalité de "l'éducation nationale" ! C'est HONTEUX !

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Oui j'ai des amies qui me soutiennent , a qui je peux me confier et compter dessus , mais pas dans le lycée . Niveau famille non , pour l'instant ça ne tourne pas aux drames donc pas besoin de les inquiéter ou autres choses .
non ce n'est pas dramatique heureusement mais ça te prend quand meêm la tête ! Alors peut être qu'il faudrait que tu annalyse la situation lorsque leurs brimades te vexent, est ce que ça en vaut vraiment la peine car ça va finalement attisé le feu. Et la réaction des autres camarades lorsque cela leur arrive également ? Coment réagissent-ils et surtout est ce que cela les atteind comme à toi ? Car lorsqu'on est susceptible ou en manque de confiance tout devient un calvaire surtout le regard des autres. Mais dis toi que les autres sont des êtres humains des jeunes comme toi. Sois tu te prends la tête et tu prends ton courage à 2 mains soit si tu ny arrives pas fais toi aider surtout. Ne laisse pas tomber même si tu crois que ce n'est pas dramatique. C'est ce que tu vis au quotidien qui aura peut être un impact sur ta vie future, sur ton comportement etc... Des gens pourris tu en auras d'autres dans la vie et lorsque tu as les armes (mentalement parlant biensûr) pour les combattre, tu n'en souffres plus. Les sports de combat sont très biens, ils donnent de l'assurance, du self-control, et surtout tu te défouleras et t'auras moins de trop pleins d'émotions, et de sensibilité. Courage... Ne focalises pas sur ce qu'ils te disent car ça va t'épuiser moralement mais n'en reste pas là si ça doit continuer
lavendetta : Je ne pourrais te dire si les autres ressentent la même douleur que moi lorsque les cons de la classe les emmerdent , je sais juste que la plus part du temps ils ne répondent pas à leurs insultent , c'est tout . Je compte bien faire un sport de combat l'année prochaine , c'est une très bonne idée pour m'apaiser la conscience . Et je pense que , si j'arrive a prendre confiance en moi , le problème pourrait vite se régler : et c'est en bonne voie , enfin je crois .
lavendetta : Je ne pourrais te dire si les autres ressentent la même douleur que moi lorsque les cons de la classe les emmerdent , je sais juste que la plus part du temps ils ne répondent pas à leurs insultent , c'est tout . Je compte bien faire un sport de combat l'année prochaine , c'est une très bonne idée pour m'apaiser la conscience . Et je pense que , si j'arrive a prendre confiance en moi , le problème pourrait vite se régler : et c'est en bonne voie , enfin je crois .
Je te le souhaite vraiment, quand on veut on peut, comme dit l'adage. Alors bon courage pour la suite !
Bonjour à tous. Bon j'ai lu le tout pour ne pas faire de gaffe. Alors je n'ai jamais été dans ton cas directement, disons que le mépris des gens qui se pensaient plus intelligent que moi a suffit à me mettre mal à l'aise des années. Mais un jour j'ai réalisé, testé et approuvé, que c'est par jalousie intellectuel de leur part et plus moins grosse personnalité que je me faisait mentalement persécuté. A partir de ce moment là, les mots et les expressions de mon visage à suffit à les frapper en plein coeur. Ensuite sache que j'ai une année persécuté un camarade. Même cas que toi, je le vois dans ton témoignage. Je ne suis pas fier de moi du tout, et je n'irais pas jusqu'à dire qu'il le méritait, mais franchement ... il donnait envi. Alors que je ne suis pas méchant, et que des victimes dans les classes, il y en a toujours eut et je n'ai ni cautionné ni participé à ces imbécillités. A partir de là je vais essayer de me servir de ma c
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